- clairlaureNiveau 9
j'ai une autre petite question en ce qui concerne les sixièmes (que j'aurai pour la première fois cette année).
Selon notre inspecteur, il ne faudrait que travailler en OI. Les élèves ne risquent pas de se lasser des oeuvres ou au contraire est-ce plus facile pour les plus faibles? Dans ce cas, faut-il raccourcir à trois semaines la durée d'une séquence? (Mais je n'ai jamais réussi aussi court, au mieux 4 semaines).
Mais si je cherche à tout respecter:
1) Leur faire lire 10 livres par an
2) Ne leur faire lire que des textes patrimoniaux.
3) Ne pas leur faire acheter plus de trois livres par an dans mon collège.
Arffffffffffffffffffffff
- alprechac2Expert
clairlaure a écrit: j'ai une autre petite question en ce qui concerne les sixièmes (que j'aurai pour la première fois cette année).
Selon notre inspecteur, il ne faudrait que travailler en OI.
C'est curieux : les IO précisent qu'il faut étudier en matière de lecture : 3 OI et 3 GT minimum, plus leur faire lire 3 livres en LC.
- Thalia de GMédiateur
+ 1. Tu as un IPR qui fait du zèle !alprechac2 a écrit:clairlaure a écrit: j'ai une autre petite question en ce qui concerne les sixièmes (que j'aurai pour la première fois cette année).
Selon notre inspecteur, il ne faudrait que travailler en OI.
C'est curieux : les IO précisent qu'il faut étudier en matière de lecture : 3 OI et 3 GT minimum, plus leur faire lire 3 livres en LC.
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- lulucastagnetteEmpereur
Depuis deux ans, je ne fais quasiment que des OI (ou plutôt des oeuvres par extraits, parce que la Bible en OI... :lol: ), sauf pour la poésie ou je fais un GT.
Dans les IO on ne dit pas qu'il FAUT faire trois GT.
Je suis revenue des GT : les élèves retiennent bien mieux lorsqu'on passe 1 mois/1 mois et demi sur une oeuvre précise.
Dans les IO on ne dit pas qu'il FAUT faire trois GT.
Je suis revenue des GT : les élèves retiennent bien mieux lorsqu'on passe 1 mois/1 mois et demi sur une oeuvre précise.
- clairlaureNiveau 9
Je pense aussi qu'ils retiennent mieux en OI.
Donc quand tu parles d'OI, ça peut être une OI par extraits? La Bible, les métamorphoses, l'Odyssée...
Donc quand tu parles d'OI, ça peut être une OI par extraits? La Bible, les métamorphoses, l'Odyssée...
- clairlaureNiveau 9
Lulucastagnette, arrives tu as le faire aussi en troisième? L'intérêt des élèves est-il le même?
- Thalia de GMédiateur
Autre question, lulucastagnette. Comment gérer tous les achats ? Un partie par les élèves, soit, une autre par le collège, alors qu'on n'a plus tellement de crédits et qu'il faut en plus veiller à la rotation entres les différentes classes
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Soleil noir de mes mélancolies.
- CelebornEsprit sacré
Je pense que la définition même de l'OI est très floue. Faire la Bible par extraits, OI ou GT ? Personnellement, je considère qu'une OI, c'est quand ils ont lu l'oeuvre en entier (parfois dans une adaptation). Sinon, j'appelle ça un GT.
Mais je pense que de toute manière, ce n'est pas l'essentiel de savoir si l'on fait une OI ou un GT : l'essentiel est de leur transmettre des connaissances.
Mais je pense que de toute manière, ce n'est pas l'essentiel de savoir si l'on fait une OI ou un GT : l'essentiel est de leur transmettre des connaissances.
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"On va bien lentement dans ton pays ! Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu'on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça !" (Lewis Carroll)
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- ProvenceEnchanteur
clairlaure a écrit:
Dans ce cas, faut-il raccourcir à trois semaines la durée d'une séquence? (Mais je n'ai jamais réussi aussi court, au mieux 4 semaines).
Je crois que cela n'a aucune importance. Le cours est fini quand il est fini.
- FantômetteHabitué du forum
lulucastagnette a écrit:Depuis deux ans, je ne fais quasiment que des OI (ou plutôt des oeuvres par extraits, parce que la Bible en OI... :lol: ), sauf pour la poésie ou je fais un GT.
Dans les IO on ne dit pas qu'il FAUT faire trois GT.
Je suis revenue des GT : les élèves retiennent bien mieux lorsqu'on passe 1 mois/1 mois et demi sur une oeuvre précise.
Tout pareil.
- V.MarchaisEmpereur
lulucastagnette a écrit:
Je suis revenue des GT : les élèves retiennent bien mieux lorsqu'on passe 1 mois/1 mois et demi sur une oeuvre précise.
Les élèves retiennent bien... ce qui les frappe, ce qu'on est capable de leur transmettre avec vigueur et enthousiasme, GT ou OI.
J'ai des élèves de 3e qui se souviennent de quelque attaque de dinosaures que nous avons vécue ensemble, du gentil d'Artagnan fraternisant avec Athos, Porthos et Aramis, de l'histoire d'Oedipe ou d'Icare, des bourdes de Lucien de Rubempré ou de Julien amoureux...
En outre, certains éléments du programme, comme les mythes en 6e, que les élèves adorent, se prêtent mal aux OI, sauf à se cantonner à Ovide (remarquez, Ovide, c'est magnifique, mais il faut alors renoncer à parler de Bellérophon, d'Oedipe, de Médée et tant d'autres héros saisissants) ou à donner dans la médiocre réécriture pour la jeunesse.
Les GT, c'est l'occasion de faire découvrir des oeuvres diverses, que certains élèves auront envie de lire. Combien en ai-je vu, ainsi, se lancer, parce qu'un extrait les avait emballés, dans Tom Sawyer, Le Monde perdu, Oliver Twist ou autres ? On ne pourra jamais, en se limitant à des OI successives, faire découvrir autant d'oeuvres. Il me semble qu'il y a une mesure à trouver en toute chose et que la variété des approches, l'alternance OI, LC, GT, est encore ce qu'on fait de mieux.
- IsiaSage
V.Marchais a écrit:lulucastagnette a écrit:
Je suis revenue des GT : les élèves retiennent bien mieux lorsqu'on passe 1 mois/1 mois et demi sur une oeuvre précise.
Les élèves retiennent bien... ce qui les frappe, ce qu'on est capable de leur transmettre avec vigueur et enthousiasme, GT ou OI.
J'ai des élèves de 3e qui se souviennent de quelque attaque de dinosaures que nous avons vécue ensemble, du gentil d'Artagnan fraternisant avec Athos, Porthos et Aramis, de l'histoire d'Oedipe ou d'Icare, des bourdes de Lucien de Rubempré ou de Julien amoureux...
En outre, certains éléments du programme, comme les mythes en 6e, que les élèves adorent, se prêtent mal aux OI, sauf à se cantonner à Ovide (remarquez, Ovide, c'est magnifique, mais il faut alors renoncer à parler de Bellérophon, d'Oedipe, de Médée et tant d'autres héros saisissants) ou à donner dans la médiocre réécriture pour la jeunesse.
Les GT, c'est l'occasion de faire découvrir des oeuvres diverses, que certains élèves auront envie de lire. Combien en ai-je vu, ainsi, se lancer, parce qu'un extrait les avait emballés, dans Tom Sawyer, Le Monde perdu, Oliver Twist ou autres ? On ne pourra jamais, en se limitant à des OI successives, faire découvrir autant d'oeuvres. Il me semble qu'il y a une mesure à trouver en toute chose et que la variété des approches, l'alternance OI, LC, GT, est encore ce qu'on fait de mieux.
Amen.
- lulucastagnetteEmpereur
V.Marchais a écrit:lulucastagnette a écrit:
Je suis revenue des GT : les élèves retiennent bien mieux lorsqu'on passe 1 mois/1 mois et demi sur une oeuvre précise.
Les élèves retiennent bien... ce qui les frappe, ce qu'on est capable de leur transmettre avec vigueur et enthousiasme, GT ou OI.
J'ai des élèves de 3e qui se souviennent de quelque attaque de dinosaures que nous avons vécue ensemble, du gentil d'Artagnan fraternisant avec Athos, Porthos et Aramis, de l'histoire d'Oedipe ou d'Icare, des bourdes de Lucien de Rubempré ou de Julien amoureux...
En outre, certains éléments du programme, comme les mythes en 6e, que les élèves adorent, se prêtent mal aux OI, sauf à se cantonner à Ovide (remarquez, Ovide, c'est magnifique, mais il faut alors renoncer à parler de Bellérophon, d'Oedipe, de Médée et tant d'autres héros saisissants) ou à donner dans la médiocre réécriture pour la jeunesse.
Les GT, c'est l'occasion de faire découvrir des oeuvres diverses, que certains élèves auront envie de lire. Combien en ai-je vu, ainsi, se lancer, parce qu'un extrait les avait emballés, dans Tom Sawyer, Le Monde perdu, Oliver Twist ou autres ? On ne pourra jamais, en se limitant à des OI successives, faire découvrir autant d'oeuvres. Il me semble qu'il y a une mesure à trouver en toute chose et que la variété des approches, l'alternance OI, LC, GT, est encore ce qu'on fait de mieux.
Les GT permettent la variété, certes, et ME donnaient l'impression de voir beaucoup de choses. Mais passer 1h ou 1h30 sur un extrait des "Trois mousquetaires", même si ça leur plaisait, ne marquait pas les esprits de mes élèves au bout du compte. Je dois sûrement mal m'y prendre...
Je suis plus à l'aise avec les OI ou les oeuvres par extraits.
Pour les livres, je fais acheter trois oeuvres dans l'année, et pour le reste et bien photocopies (quand je fais une séquence sur les "Métamorphoses", j'utilise le manuel).
- roxanneOracle
c'est marrant parce que c'est en 6° , que je trazvaille le moins en OI, mais je fais de très larges extraits, des contes intégraux .De plus , le collège participe à une action-lecture avec les cm2 et ils lisent en cursive une dizaine de bouquins-jeunesse dont certains sont assez épais tout de même.Par contre, en 3°, je fais quasiment toute mon année en OI.
- AnguaGrand sage
roxanne a écrit:c'est marrant parce que c'est en 6° , que je trazvaille le moins en OI, mais je fais de très larges extraits, des contes intégraux .De plus , le collège participe à une action-lecture avec les cm2 et ils lisent en cursive une dizaine de bouquins-jeunesse dont certains sont assez épais tout de même.Par contre, en 3°, je fais quasiment toute mon année en OI.
C'est la réflexion que je me faisais à la lecture de ce fil! Car en réfléchissant à ce que j'ai étudié la dernière fois que j'ai eu des 6e:
- Les Métamorphoses: un recueil en OI, mais un GT de l'œuvre d'Ovide
- L'Odyssée: une adaptation, donc même cas de figure que ci-dessus
- Les Contes de Perrault: recueil aussi...
... aucun livre acheté par les élèves n'était donc une OI "véritable".
- lulucastagnetteEmpereur
Angua a écrit:roxanne a écrit:c'est marrant parce que c'est en 6° , que je trazvaille le moins en OI, mais je fais de très larges extraits, des contes intégraux .De plus , le collège participe à une action-lecture avec les cm2 et ils lisent en cursive une dizaine de bouquins-jeunesse dont certains sont assez épais tout de même.Par contre, en 3°, je fais quasiment toute mon année en OI.
C'est la réflexion que je me faisais à la lecture de ce fil! Car en réfléchissant à ce que j'ai étudié la dernière fois que j'ai eu des 6e:
- Les Métamorphoses: un recueil en OI, mais un GT de l'œuvre d'Ovide
- L'Odyssée: une adaptation, donc même cas de figure que ci-dessus
- Les Contes de Perrault: recueil aussi...
... aucun livre acheté par les élèves n'était donc une OI "véritable".
Par OI, j'englobe aussi les oeuvres par extraits. Quand on fait tout un chapitre sur une oeuvre, pour moi c'est assimilable à une OI.
Le gt, pour moi, c'est un extrait de Virgile + un extrait d'Homère + un extrait d'Ovide...
- HermionyGuide spirituel
lulucastagnette a écrit:
Par OI, j'englobe aussi les oeuvres par extraits. Quand on fait tout un chapitre sur une oeuvre, pour moi c'est assimilable à une OI.
Le gt, pour moi, c'est un extrait de Virgile + un extrait d'Homère + un extrait d'Ovide...
+1.
- V.MarchaisEmpereur
Je crois surtout qu'OI et GT ont des visées différentes.
Une OI permet de découvrir une oeuvre en profondeur, et parfois, cette oeuvre est la réalisation parachevée d'un genre (L'Odyssée pour l'épopée, L'Avare pour la grande comédie, etc.). L'étude de l'oeuvre se superpose alors à la découverte du genre en question.
Mais parfois, il est difficile de faire le tour d'un genre ou d'un registre avec une seule oeuvre. Comme le dit Celeborn, l'essentiel n'est pas d'employer tel ou tel moyen mais de parvenir à transmettre des connaissances aux élèves. Il faut donc, pour chaque objet d'étude, dresser en quelque sorte l'inventaire des connaissances à faire acquérir sur cet objet pour tel niveau. Et ensuite se demander quel corpus permettra cette transmission. Parfois, comme déjà dit, une seule oeuvre s'y prête parfaitement, parce qu'elle est en quelque sorte l'archétype du genre. Parfois, c'est plus délicat. Par exemple, le fantastique a épousé des formes très variées, allant de la volonté de saisir d'effroi par la "monstration" de l'horreur à une poétique de l'indicible restant dans le registre, rendu célèbre par Todorov, de l'hésitation. Je trouve intéressant de faire découvrir aux élèves ces deux pôles presque opposés, leurs moyens et leurs enjeux. Mais bien évidemment, l'étude d'une OI ne le permet pas.
Mais quand dans un GT chaque extrait trouve sa légitimité parce qu'il construit une partie des connaissances à acquérir sur un sujet, ce GT est solide et a toutes les chances de marquer les esprits aussi bien qu'une OI. Il est fort possible que, dans les détails, beaucoup de choses soient oubliées, comme toujours, mais il faut se méfier de cette impression de vacuité et se souvenir que nous semons dans les profondeurs. Il est difficile d'évaluer ce qu'il reste précisément de nos cours. Bien des impressions ne demandent qu'à resurgir à la moindre sollicitation.
Une collègue me demandait récemment s'il valait mieux étudier la tragédie en OI ou par GT. Je crois que les deux sont faisables. Il existe des tragédies qui sont de tels bijoux que leur seule étude dit déjà énormément. Mais il est aussi formidablement intéressant de faire découvrir la variété des formes tragiques de la violence élisabéthaine à l'épure racinienne, de la terreur sacrée émanent des textes antiques au puissant pathétique émanant du mélange romantique de grotesque et de sublime, de la fatalité à l'ironie tragique comme moteur de la pièce, des héros parfaits de l'âge classique aux héros ambigus de la tragédie moderne... Cette dernière approche, vous le comprenez bien, ne peut passer que par un GT.
Idéalement, il faudrait pouvoir faire toujours les deux, prolonger chaque GT par une étude d'OI, ce qui bien sûr est impossible étant donnés nos horaires.
Mais je continue de croire que ces démarches sont complémentaires, qu'elles construisent des visions et des connaissances différentes, que le choix de l'une ou de l'autre dépend de ce que l'on veut faire passer et ne peut être déterminé a priori une fois pour toutes - sauf à se priver de certaines possibilités.
Une OI permet de découvrir une oeuvre en profondeur, et parfois, cette oeuvre est la réalisation parachevée d'un genre (L'Odyssée pour l'épopée, L'Avare pour la grande comédie, etc.). L'étude de l'oeuvre se superpose alors à la découverte du genre en question.
Mais parfois, il est difficile de faire le tour d'un genre ou d'un registre avec une seule oeuvre. Comme le dit Celeborn, l'essentiel n'est pas d'employer tel ou tel moyen mais de parvenir à transmettre des connaissances aux élèves. Il faut donc, pour chaque objet d'étude, dresser en quelque sorte l'inventaire des connaissances à faire acquérir sur cet objet pour tel niveau. Et ensuite se demander quel corpus permettra cette transmission. Parfois, comme déjà dit, une seule oeuvre s'y prête parfaitement, parce qu'elle est en quelque sorte l'archétype du genre. Parfois, c'est plus délicat. Par exemple, le fantastique a épousé des formes très variées, allant de la volonté de saisir d'effroi par la "monstration" de l'horreur à une poétique de l'indicible restant dans le registre, rendu célèbre par Todorov, de l'hésitation. Je trouve intéressant de faire découvrir aux élèves ces deux pôles presque opposés, leurs moyens et leurs enjeux. Mais bien évidemment, l'étude d'une OI ne le permet pas.
Mais quand dans un GT chaque extrait trouve sa légitimité parce qu'il construit une partie des connaissances à acquérir sur un sujet, ce GT est solide et a toutes les chances de marquer les esprits aussi bien qu'une OI. Il est fort possible que, dans les détails, beaucoup de choses soient oubliées, comme toujours, mais il faut se méfier de cette impression de vacuité et se souvenir que nous semons dans les profondeurs. Il est difficile d'évaluer ce qu'il reste précisément de nos cours. Bien des impressions ne demandent qu'à resurgir à la moindre sollicitation.
Une collègue me demandait récemment s'il valait mieux étudier la tragédie en OI ou par GT. Je crois que les deux sont faisables. Il existe des tragédies qui sont de tels bijoux que leur seule étude dit déjà énormément. Mais il est aussi formidablement intéressant de faire découvrir la variété des formes tragiques de la violence élisabéthaine à l'épure racinienne, de la terreur sacrée émanent des textes antiques au puissant pathétique émanant du mélange romantique de grotesque et de sublime, de la fatalité à l'ironie tragique comme moteur de la pièce, des héros parfaits de l'âge classique aux héros ambigus de la tragédie moderne... Cette dernière approche, vous le comprenez bien, ne peut passer que par un GT.
Idéalement, il faudrait pouvoir faire toujours les deux, prolonger chaque GT par une étude d'OI, ce qui bien sûr est impossible étant donnés nos horaires.
Mais je continue de croire que ces démarches sont complémentaires, qu'elles construisent des visions et des connaissances différentes, que le choix de l'une ou de l'autre dépend de ce que l'on veut faire passer et ne peut être déterminé a priori une fois pour toutes - sauf à se priver de certaines possibilités.
- V.MarchaisEmpereur
Hermiony a écrit:lulucastagnette a écrit:
Par OI, j'englobe aussi les oeuvres par extraits. Quand on fait tout un chapitre sur une oeuvre, pour moi c'est assimilable à une OI.
Le gt, pour moi, c'est un extrait de Virgile + un extrait d'Homère + un extrait d'Ovide...
+1.
À strictement parler, l'étude d'une oeuvre par extrait ne constitue ni une étude d'OI (définie comme la lecture du texte intégral avant même le début de son analyse) ni un GT (compilation d'extraits tirés d'oeuvres, d'auteurs, voire d'époques divers) mais un travail intermédiaire appelé lecture suivie.
Cette nomenclature pas si ancienne mériterait d'être redécouverte - et plus encore ce qu'elle recouvre, évidemment.
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