- Marie56Niveau 6
Comment faites-vous pour structurer vos lectures analytiques - au collège, je précise ?
- D'abord, faire répondre les élèves à des questions à l'écrit
- Puis, corriger chacune des questions, à l'écrit ? (solution fastidieuse pour les élèves... ?)
- Ou bien : faire un corrigé oral des questions, puis une synthèse écrite, qui reprend les principaux points vus lors des questions, mais sans faire le détail ?
OU bien (j'avoue qu'à la fin de l'année, je pratiquais de plus en plus cette méthode)
- Réponse aux questions à l'oral
- Synthèse détaillée à l'écrit
Parvenez-vous à faire élaborer la synthèse à vos élèves ?
J'avoue que j'ai tendance à leur dicter ma propre synthèse, après bien sûr avoir vu tous les points évoqués avec eux. j'ai l'impression qu'ils préfèrent prendre en note ma synthèse plutôt que d'élaborer eux-même une synthèse (car c'est un peu fouillis)
merci de vos réponses
- D'abord, faire répondre les élèves à des questions à l'écrit
- Puis, corriger chacune des questions, à l'écrit ? (solution fastidieuse pour les élèves... ?)
- Ou bien : faire un corrigé oral des questions, puis une synthèse écrite, qui reprend les principaux points vus lors des questions, mais sans faire le détail ?
OU bien (j'avoue qu'à la fin de l'année, je pratiquais de plus en plus cette méthode)
- Réponse aux questions à l'oral
- Synthèse détaillée à l'écrit
Parvenez-vous à faire élaborer la synthèse à vos élèves ?
J'avoue que j'ai tendance à leur dicter ma propre synthèse, après bien sûr avoir vu tous les points évoqués avec eux. j'ai l'impression qu'ils préfèrent prendre en note ma synthèse plutôt que d'élaborer eux-même une synthèse (car c'est un peu fouillis)
merci de vos réponses
- EmeraldiaÉrudit
Pour la lecture analytique, il faut privilégier l'oral... Les premières questions ne doivent pas être trop précises car le but est d'échanger avec les élèves et de rebondir sur leurs remarques, leurs intuitions... Dc souvent, on rappelle à l'écrit les 5 W en anglais : de quoi ça parle, qui, où, etc. Je rebondis sur leurs remarques, je fais creuser si ça ne vient pas mais à l'oral.
Je leur demande ensuite une synthèse que je note avec eux au fur et à mesure...
Je me suis inscrite au PAF pour ça, j'espère que ça sera intéressant, c'est qd même la nébuleuse cette lecture analytique et ça nous est demandé lors des inspections. Mais je trouve bien aussi que ça incite les élèves à s'interroger seuls sur les textes.
Je leur demande ensuite une synthèse que je note avec eux au fur et à mesure...
Je me suis inscrite au PAF pour ça, j'espère que ça sera intéressant, c'est qd même la nébuleuse cette lecture analytique et ça nous est demandé lors des inspections. Mais je trouve bien aussi que ça incite les élèves à s'interroger seuls sur les textes.
- MésangeNiveau 5
Je me pose les mêmes questions + faut-il que les élèves aient lu le texte avant d'entrer en classe?
- doctor whoDoyen
Si tu fais une synthèse, fais la courte, et ne reprend que les quelques points essentiels. Pour moi, c'est quatre ou cinq lignes maxi.
Sinon, rien ne t'oblige à faire une synthèse. Que veux-tu qu'ils apprennent et retiennent ? Tout ce que vous avez vu du texte ? Cela me semble utopique et fais courir le risque de rendre l'exercice excessivement scolaire et fastidieux.
Ma solution : poser une question à laquelle ils doivent répondre à l'écrit, reprenant quelques éléments d'analyse ou d'interprétation vus pendant le cours. Ainsi, tu ne fais pas tout écrire, mais ils s'entraînent à rédiger et penser.
Sinon, rien ne t'oblige à faire une synthèse. Que veux-tu qu'ils apprennent et retiennent ? Tout ce que vous avez vu du texte ? Cela me semble utopique et fais courir le risque de rendre l'exercice excessivement scolaire et fastidieux.
Ma solution : poser une question à laquelle ils doivent répondre à l'écrit, reprenant quelques éléments d'analyse ou d'interprétation vus pendant le cours. Ainsi, tu ne fais pas tout écrire, mais ils s'entraînent à rédiger et penser.
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Mon blog sur Tintin (entre autres) : http://popanalyse.over-blog.com/
Blog pédagogique : http://pedagoj.eklablog.com
- Marie56Niveau 6
Mais du coup, avant de poser ta question à l'écrit, tu les as fait réfléchir à l'oral seulement ? ça veut dire que pendant les 35-40 premières min, ils n'écrivent rien ? Autant avec des 3ème, il me semble que ça peut marcher, autant ça me paraît difficile avec des 6ème (mais je n'en ai jamais eu...)
C'est vraiment dur de structurer et de rythmer ses cours !
C'est vraiment dur de structurer et de rythmer ses cours !
- V.MarchaisEmpereur
Je copie ici une réponse donnée à un autre message.
Personnellement, j'aime découvrir les textes en classe avec les élèves - sauf cas particuliers - il n'y a donc pas de questions préparatoires. En fait, nous faisons presque tout à l'oral. Je ne note au fur et à mesure que les notions indispensables à retenir et, à la fin, la synthèse. Nous suivons à peu près le déroulement du manuel mais, d'une classe à l'autre, selon les réactions des élèves, cet ordre peut subir de sérieuses variations (nous nous sommes parfois astreintes, pour vérifier la pertinence d'un questionnaire, à le suivre à la lettre, mais c'est assez frustrant).
La partie comprendre, comme son nom l'indique, vérifie la compréhension orale du texte. C'est aussi le moment, très important pour les élèves et pour moi, où nous échangeons nos impressions de lecture : c'était terrible / affreux / stimulant / bouleversant, pourquoi ? C'est important qu'on en cause, qu'on puisse dire que tel personnage, on le trouve vraiment dégueu, que celui-ci nous impressionne par son courage, qu'on éprouve de la compassion pour celui-là : le bonheur de lire vient d'abord du bonheur de mettre des mots sur ces impressions-là et d'échanger à ce sujet. Impensable pour moi de partir bille en tête dans l'analyse sans avoir profité de ce moment-là. Cela va passer par la compréhension claire de la situation et des événements, l'élucidation des motivations des personnages - mais à vrai dire, c'est souvent assez décousu, au gré des réactions des élèves, et il est bien rare que nous suivions scrupuleusement l'ordre des questions.
Quand nous nous sommes bien plongés dans l'histoire et son intérêt, notre travail va être de comprendre comment, techniquement, l'auteur a su créer telle ou telle impression. C'est l'objet de la partie analyser. A partir de là, nous allons essayer de tirer une conclusion, dégager l'essentiel du texte, qui a pu nous échapper à première lecture. C'est le but des questions "interpréter".
Mais là encore, au moins pour les questions d'analyse, je crois qu'il ne faut pas s'arcbouter sur ces rubriques : il arrive bien souvent, quand un élève me dit, dès les premiers échanges (partie comprendre) : "Ca fait peur" ou "Y a de l'action", que je lui demande quels passages exactement font peur / donnent ce sentiment qu'il y a beaucoup d'action, quels mots / phrases, pourquoi... et nous anticipons sur telle ou telle question de la partie analyser.
Concrètement, je surfe sur la dynamique de la classe et les questions arrivent souvent dans le désordre. Quand ça se tasse, si des remarques importantes restent en attente, je pose tout de même une question précise. Sinon, on conclut, même si telle ou telle question est passée à l'as.
Bref, tout se fait à l'oral, j'aime cette dimension, cette spontanéité. Je note au tableau, au fur et à mesure, les notions à retenir (définition de telle figure, nom de tel mètre) - mais je suis loin de rédiger chaque réponse. La synthèse aussi est collective, à partir des questions proposées, que nous pouvons élargir, compléter si les élèves ont des choses à dire. Sur certains textes, c'est l'occasion d'un vrai débat oral (exemple tiré du manuel de Sixième : Phaéton est-il un héros positif ou négatif ? Il n'y a pas de bonne réponse, c'est en discuter qui est intéressant et qui révèle l'enjeu du texte).
A partir de là, rédaction écrite d'une synthèse collective. En Sixième, je demande rarement de rédiger tout seul cette réponse, c'est encore trop difficile (j'ai essayé, avec Céline - coucou Céline !- il en reste des traces dans certains chapitres qui traînent sur Dictame mais, honnêtement, j'en suis revenue : trop ambitieux en 6e/5e). Je le propose seulement au troisième trimestre, et encore, ça dépend des classes. Par contre, très souvent, je demande de reprendre à la maison une ou deux question à laquelle nous avons déjà répondu : l'élève a tous les éléments pour répondre - le texte a été expliqué et toutes les notions nécessaires ont été notées dans le cahier - mais il doit s'appliquer à rédiger cette réponse correctement, et c'est un vrai travail, surtout en Sixième.
De temps en temps, mais de temps en temps seulement, parce que cela peut vite devenir fastidieux, nous prenons une partie et nous en rédigeons ensemble chaque question, pour donner des habitudes de rédaction. Je donne aussi une fiche pour la rédaction des réponses que les élèves ont le droit d'utiliser lors des contrôles.
La partie vocabulaire, elle, est faite individuellement à l'écrit, chacun avec son dictionnaire (enfin, un par table), et en temps limité - sinon, on peut y passer une heure entière. En une dizaine de minutes, certains auront tout fait, d'autres seulement une ou deux questions, mais on corrige, et tout le monde doit apprendre pour la séance suivante. C'est au prix de ce rythme imposé que les plus lents finissent par faire des progrès dans l'utilisation du dictionnaire.
Tout ça tient à peu près dans l'heure, ça dépend des textes, du temps que nous avons passé en digressions diverses. Souvent, je dois donner le voca à faire à la maison. Nous avons alors une deuxième séance voca / écriture. Je complète alors par de l'orthographe pour ne pas entamer un deuxième texte dans l'heure ou mélanger textes et grammaire. Bref, c'est souvent du bricolage, ce boulot, vous trouvez pas ?
Personnellement, j'aime découvrir les textes en classe avec les élèves - sauf cas particuliers - il n'y a donc pas de questions préparatoires. En fait, nous faisons presque tout à l'oral. Je ne note au fur et à mesure que les notions indispensables à retenir et, à la fin, la synthèse. Nous suivons à peu près le déroulement du manuel mais, d'une classe à l'autre, selon les réactions des élèves, cet ordre peut subir de sérieuses variations (nous nous sommes parfois astreintes, pour vérifier la pertinence d'un questionnaire, à le suivre à la lettre, mais c'est assez frustrant).
La partie comprendre, comme son nom l'indique, vérifie la compréhension orale du texte. C'est aussi le moment, très important pour les élèves et pour moi, où nous échangeons nos impressions de lecture : c'était terrible / affreux / stimulant / bouleversant, pourquoi ? C'est important qu'on en cause, qu'on puisse dire que tel personnage, on le trouve vraiment dégueu, que celui-ci nous impressionne par son courage, qu'on éprouve de la compassion pour celui-là : le bonheur de lire vient d'abord du bonheur de mettre des mots sur ces impressions-là et d'échanger à ce sujet. Impensable pour moi de partir bille en tête dans l'analyse sans avoir profité de ce moment-là. Cela va passer par la compréhension claire de la situation et des événements, l'élucidation des motivations des personnages - mais à vrai dire, c'est souvent assez décousu, au gré des réactions des élèves, et il est bien rare que nous suivions scrupuleusement l'ordre des questions.
Quand nous nous sommes bien plongés dans l'histoire et son intérêt, notre travail va être de comprendre comment, techniquement, l'auteur a su créer telle ou telle impression. C'est l'objet de la partie analyser. A partir de là, nous allons essayer de tirer une conclusion, dégager l'essentiel du texte, qui a pu nous échapper à première lecture. C'est le but des questions "interpréter".
Mais là encore, au moins pour les questions d'analyse, je crois qu'il ne faut pas s'arcbouter sur ces rubriques : il arrive bien souvent, quand un élève me dit, dès les premiers échanges (partie comprendre) : "Ca fait peur" ou "Y a de l'action", que je lui demande quels passages exactement font peur / donnent ce sentiment qu'il y a beaucoup d'action, quels mots / phrases, pourquoi... et nous anticipons sur telle ou telle question de la partie analyser.
Concrètement, je surfe sur la dynamique de la classe et les questions arrivent souvent dans le désordre. Quand ça se tasse, si des remarques importantes restent en attente, je pose tout de même une question précise. Sinon, on conclut, même si telle ou telle question est passée à l'as.
Bref, tout se fait à l'oral, j'aime cette dimension, cette spontanéité. Je note au tableau, au fur et à mesure, les notions à retenir (définition de telle figure, nom de tel mètre) - mais je suis loin de rédiger chaque réponse. La synthèse aussi est collective, à partir des questions proposées, que nous pouvons élargir, compléter si les élèves ont des choses à dire. Sur certains textes, c'est l'occasion d'un vrai débat oral (exemple tiré du manuel de Sixième : Phaéton est-il un héros positif ou négatif ? Il n'y a pas de bonne réponse, c'est en discuter qui est intéressant et qui révèle l'enjeu du texte).
A partir de là, rédaction écrite d'une synthèse collective. En Sixième, je demande rarement de rédiger tout seul cette réponse, c'est encore trop difficile (j'ai essayé, avec Céline - coucou Céline !- il en reste des traces dans certains chapitres qui traînent sur Dictame mais, honnêtement, j'en suis revenue : trop ambitieux en 6e/5e). Je le propose seulement au troisième trimestre, et encore, ça dépend des classes. Par contre, très souvent, je demande de reprendre à la maison une ou deux question à laquelle nous avons déjà répondu : l'élève a tous les éléments pour répondre - le texte a été expliqué et toutes les notions nécessaires ont été notées dans le cahier - mais il doit s'appliquer à rédiger cette réponse correctement, et c'est un vrai travail, surtout en Sixième.
De temps en temps, mais de temps en temps seulement, parce que cela peut vite devenir fastidieux, nous prenons une partie et nous en rédigeons ensemble chaque question, pour donner des habitudes de rédaction. Je donne aussi une fiche pour la rédaction des réponses que les élèves ont le droit d'utiliser lors des contrôles.
La partie vocabulaire, elle, est faite individuellement à l'écrit, chacun avec son dictionnaire (enfin, un par table), et en temps limité - sinon, on peut y passer une heure entière. En une dizaine de minutes, certains auront tout fait, d'autres seulement une ou deux questions, mais on corrige, et tout le monde doit apprendre pour la séance suivante. C'est au prix de ce rythme imposé que les plus lents finissent par faire des progrès dans l'utilisation du dictionnaire.
Tout ça tient à peu près dans l'heure, ça dépend des textes, du temps que nous avons passé en digressions diverses. Souvent, je dois donner le voca à faire à la maison. Nous avons alors une deuxième séance voca / écriture. Je complète alors par de l'orthographe pour ne pas entamer un deuxième texte dans l'heure ou mélanger textes et grammaire. Bref, c'est souvent du bricolage, ce boulot, vous trouvez pas ?
- ClarianzEmpereur
I. Lecture + impressions de lecture
II Vocabulaire soit ensemble soit seuls avec dico
III Questions
- paratexte
- texte
IV Synthèse ou notion ou leçon suivant les besoins
V écriture et ou questions à la maison en général des choses que l'on a déjà faites en classe.
à l'oral, à l'écrit les deux, ça dépend!
II Vocabulaire soit ensemble soit seuls avec dico
III Questions
- paratexte
- texte
IV Synthèse ou notion ou leçon suivant les besoins
V écriture et ou questions à la maison en général des choses que l'on a déjà faites en classe.
à l'oral, à l'écrit les deux, ça dépend!
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Mama's Rock
- mymouneNiveau 10
Parfois quand le texte n'est pas trop difficile, on peut essayer de leur demander de préparer une lecture expressive pour vérifier quel a été leur ressenti par rapport au texte, ce qu'il en ont compris. C'est une autre possibilité.
- Marie56Niveau 6
Ok, merci de vos réponses. ça me donne de très bonnes idées, notamment pour le vocabulaire...
- bellaciaoFidèle du forum
Je leur fais découvrir le texte en classe et je pars de leurs réactions : j'essaie de donner un titre "parlant" à la leçon pour démarrer mais qui n'oriente pas trop leur lecture, et je leur dis "essayez de vous relier au titre". Nous observons, justifions un peu par rapport au texte. Je note au tableau les mots-clés. Nous lisons le texte ensemble et rédigeons une première synthèse globale sur cette lecture d'ensemble. En fait, je fais reformuler par les élèves ce qui a été dit et je formule moi-même la synthèse, en y intégrant le plus possible "leurs mots". Au TNI je fais taper la synthèse à un élève pendant que je l'improvise avec plusieurs autres.
Deuxième temps, nous revenons au texte, plus en détail, avec relevés (champ lexical, recherches spécifiques), si c'est pratique je fais un tableau en deux colonnes (pour comparer deux personnages, par exemple). C'est une sorte de partie "application". Là, généralement pas de synthèse, ou alors pré-écrite au TNI ou photocopiée à coller.
Souvent, en 4e-3e, je donne à la maison une question d'approfondissement sous forme de paragraphe rédigé.
Deuxième temps, nous revenons au texte, plus en détail, avec relevés (champ lexical, recherches spécifiques), si c'est pratique je fais un tableau en deux colonnes (pour comparer deux personnages, par exemple). C'est une sorte de partie "application". Là, généralement pas de synthèse, ou alors pré-écrite au TNI ou photocopiée à coller.
Souvent, en 4e-3e, je donne à la maison une question d'approfondissement sous forme de paragraphe rédigé.
- Marie56Niveau 6
Et à la séance d'après, tu relèves les paragraphes rédigés, Bellaciao ? Ou tu vérifies que c'est bien fait en passant dans les rangs ?
- Marie56Niveau 6
Et question très bête.... Est-ce que dans vos synthèses, il y a une partie réservée à un mini-résumé du texte (avant de voir les notions importantes) ?
- bellaciaoFidèle du forum
Marie56 a écrit:Et à la séance d'après, tu relèves les paragraphes rédigés, Bellaciao ? Ou tu vérifies que c'est bien fait en passant dans les rangs ?
Oui, je les relève et les note sur 5.
Pour la deuxième question, non, je ne fais pas de résumé. Je donne parfois des éléments culturels sous la forme d'un paragraphe déjà écrit quand cela est nécessaire.
- Marie56Niveau 6
D'accord... C'est très pro, mais c'est beaucoup de boulot alors...
- lailalaiNiveau 4
V.Marchais a écrit:Je copie ici une réponse donnée à un autre message.
Personnellement, j'aime découvrir les textes en classe avec les élèves - sauf cas particuliers - il n'y a donc pas de questions préparatoires. En fait, nous faisons presque tout à l'oral. Je ne note au fur et à mesure que les notions indispensables à retenir et, à la fin, la synthèse. Nous suivons à peu près le déroulement du manuel mais, d'une classe à l'autre, selon les réactions des élèves, cet ordre peut subir de sérieuses variations (nous nous sommes parfois astreintes, pour vérifier la pertinence d'un questionnaire, à le suivre à la lettre, mais c'est assez frustrant) [...]Je complète alors par de l'orthographe pour ne pas entamer un deuxième texte dans l'heure ou mélanger textes et grammaire. Bref, c'est souvent du bricolage, ce boulot, vous trouvez pas ?
J'adore! Tu m'as donné envie d'assister à tes cours! Hhahah
- LunnaNiveau 5
lailalai a écrit:V.Marchais a écrit:Je copie ici une réponse donnée à un autre message.
Personnellement, j'aime découvrir les textes en classe avec les élèves - sauf cas particuliers - il n'y a donc pas de questions préparatoires. En fait, nous faisons presque tout à l'oral. Je ne note au fur et à mesure que les notions indispensables à retenir et, à la fin, la synthèse. Nous suivons à peu près le déroulement du manuel mais, d'une classe à l'autre, selon les réactions des élèves, cet ordre peut subir de sérieuses variations (nous nous sommes parfois astreintes, pour vérifier la pertinence d'un questionnaire, à le suivre à la lettre, mais c'est assez frustrant) [...]Je complète alors par de l'orthographe pour ne pas entamer un deuxième texte dans l'heure ou mélanger textes et grammaire. Bref, c'est souvent du bricolage, ce boulot, vous trouvez pas ?
J'adore! Tu m'as donné envie d'assister à tes cours! Hhahah
Tout pareil
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