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- JPhMMDemi-dieu
Par rapport aux 10 premiers c'est probable.Lornet a écrit:JPhMM a écrit:Alors ça, à mon avis c'est une vaste fumisterie.Lornet a écrit:Si tout fout le camp...Déjà qu'on est les derniers en LV !
Mais en quoi brille-t-on, au juste ?
Les derniers ?
Quelle langue étrangère parlent les Anglais ? les Américains ? les Australiens ? les Chinois ? ah oui, vraiment, les 900 millions de paysans chinois parlent anglais ou une autre langue étrangère ? et les Russes ? et les Japonais ? ...
Oui, d'accord, les Hollandais parlent plusieurs langues. Les Suisses aussi. Mieux que nous. Mais les autres ?
Mais cela fait-il de nous les derniers ? c'est-à-dire derrière TOUS LES AUTRES ? hum hum... vaste fumisterie je vous dis...
Si nous ne sommes pas derniers, nous sommes quand même à la traîne.
Par rapport aux 190 autres, c'est moins sûr.
- JPhMMDemi-dieu
Devoir de réserve.Noetiote a écrit:Une question et je sors :
On s'inquiète pour nos élèves / étudiants. Et il y a de quoi. Et qu'en pensez-vous en tant que parents ?
:lol!:
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- User5899Demi-dieu
"Les champs de l'aveuglement donnent la mort pour fruits"... (Eschyle)Igniatius a écrit:Eh oui, voilà des propos inquiétants mais pleins de bon sens.
Les inspections ont fait le choix idéologique de renoncer à proclamer l'importance des mathématiques, et de refuser leur enseignement rigoureux.
Les effets s'en font déjà fortement sentir, et ce n'est que le début.
Concernant la filière littéraire : 80% des instits proviennent de filières littéraires, nous allons donc au devant d'un autre problème.
La plupart des futurs instits n'auront plus qu'une formation scientifique lamentable, et nous allons donc même détruire la formation des petits, sans que les principaux intervenants ne s'en rendent seulement compte.
Et la France a besoin de scientifiques.
- User5899Demi-dieu
Ben quoi ? Le niveau monteJPhMM a écrit:Un indice en mathématiques : on considérait lors de leur première parution que les Elements de Mathématiques de Bourbaki étaient destinés aux Bac+2 (dixit le groupe Bourbaki lui-même). Lorsque j'étais étudiant, on considérait que cela s'adressait aux Bac+4. Aujourd'hui, j'ai entendu dire qu'un Bac+5 était nécessaire. Et dans cinq ans ?
(Et il prend l'ascenseur)
- NasopiBon génie
Noetiote a écrit:Une question et je sors :
On s'inquiète pour nos élèves / étudiants. Et il y a de quoi. Et qu'en pensez-vous en tant que parents ?
En tant que parents, je pense qu'on n'a pas un point de vue très objectif ni très représentatif, vu qu'on a au maximum 4 ou 5 enfants concernés.
Mon aîné finit sa 5e. En français, je peux affirmer sans nul doute qu'il a un niveau excellent, aussi bien en orthographe (il ne fait quasiment aucune faute) qu'en expression. De plus il a déjà une bonne culture littéraire, que je n'avais pas à son âge.
Dans les autres matières c'est plus difficile de se rendre compte, puisque je ne les enseigne pas. Mais il a un très bon niveau aussi (il impressionne souvent mon mari par la justesse et la rapidité de ses raisonnements en maths, par exemple).
J'espère qu'il pourra s'épanouir dans ses études et avoir un enseignement qui puisse nourrir sa curiosité intellectuelle. Et là, c'est vrai que tout ce que vous dites sur la baisse du niveau et des exigences m'inquiète beaucoup.
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"Donne-moi la sérénité nécessaire pour accepter telles qu’elles sont les choses qu’on ne peut pas changer, donne-moi le courage de changer celles qui doivent l’être ; donne-moi la sagesse qui permet de discerner les unes et les autres." (Marc-Aurèle)
- Pierre_au_carréGuide spirituel
[quote="malcolm"]
Je travaille sur un livre parascolaire de Tale S sur le nouveau programme et suite à une réunion entre éditeurs, d'autres personnes et des personnes du ministère pour détailler le programme, ils parlent de modifier les programmes de prépas...
Ben oui, il en manque à l'appel : que les bases sur les complexes, plus d'IPP donc des sujets plus simples, plus d'équa-diff...
Les grandes écoles s’inquiètent des conséquences de la réforme du lycée
Pierre Tapie, président de la Conférence des grandes écoles.
Les grandes écoles tirent la sonnette d'alarme : elles estiment que la réforme du lycée, appliquée en seconde en 2010 et en première en 2011 (avant les terminales en 2012), pourrait encore dégrader le niveau des élèves.
L'un des points qui les inquiètent particulièrement, c'est le niveau scientifique des futurs bacheliers. « Il est dangereux de revoir gravement à la baisse les exigences » en sciences, a déclaré Pierre Tapie, président de la Conférence des grandes écoles (CGE), lors d'une conférence de presse, mardi 21 juin. Selon le directeur général de l'Essec, « on perd 3 heures de sciences en tout en première et en terminale avec la réforme ».
Je travaille sur un livre parascolaire de Tale S sur le nouveau programme et suite à une réunion entre éditeurs, d'autres personnes et des personnes du ministère pour détailler le programme, ils parlent de modifier les programmes de prépas...
Ben oui, il en manque à l'appel : que les bases sur les complexes, plus d'IPP donc des sujets plus simples, plus d'équa-diff...
Il est impossible de faire de la science sans formalisme mathématiques et cela ne s'adapte pas trop à la mode du tout ludique!
- IgniatiusGuide spirituel
Mais évidemment qu'ils vont modifier les programmes de prépa : c'est intenable autrement.
Ils l'ont déjà logiquement été en 2004 (si mes souvenirs sont bons) et ce sera sans doute à nouveau le cas à la rentrée 2012 (ou 2013 au plus tard).
J'y vois un intérêt égoïste : je vais pouvoir postuler en prépa, ce ne sera plus que la terminale C que j'ai connue, avec quelques notions superficielles sur les espaces vectoriels, l'algèbre non linéaire etc... (c'est déjà le cas en PCSI, où le programme est très allégé, surtout dans des prépas peu sélectives)
Ca me déprime.
Ils l'ont déjà logiquement été en 2004 (si mes souvenirs sont bons) et ce sera sans doute à nouveau le cas à la rentrée 2012 (ou 2013 au plus tard).
J'y vois un intérêt égoïste : je vais pouvoir postuler en prépa, ce ne sera plus que la terminale C que j'ai connue, avec quelques notions superficielles sur les espaces vectoriels, l'algèbre non linéaire etc... (c'est déjà le cas en PCSI, où le programme est très allégé, surtout dans des prépas peu sélectives)
Ca me déprime.
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"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion."
St Augustin
"God only knows what I'd be without you"
Brian Wilson
- Pierre_au_carréGuide spirituel
Igniatius a écrit:
J'y vois un intérêt égoïste : je vais pouvoir postuler en prépa, ce ne sera plus que la terminale C que j'ai connue,
Et moi, je travaille sur du parascolaire de Tale (fiches de cours + sujets-type corrigés)...
- User5899Demi-dieu
Ulm en lettres classiques dans les 80's : version latine (35 lignes, 4h), version grecque (35 lignes, 4h), thème latin (35 lignes, 4h). Aujourd'hui : les deux versions (vers 25-30 lignes), la latine étant suivie, en 1h, d'un "court thème".Igniatius a écrit:Mais évidemment qu'ils vont modifier les programmes de prépa : c'est intenable autrement.
CQFD...
- CathEnchanteur
Noetiote a écrit:Une question et je sors :
On s'inquiète pour nos élèves / étudiants. Et il y a de quoi. Et qu'en pensez-vous en tant que parents ?
Quand on est parent et prof, on se sert de sa connaissance du système pour tirer le meilleur parti des options offertes par les établissements du coin, et on en fait profiter ceux que ça intéresse (et qui nous croient, parce que certains se pensent quand même mieux renseignés que nous...).
Pour les miens, ça donne au collège section bilangue allemand/anglais + latin, au lycée S + euro allemand + latin.
Curieusement, mes enfants tombent toujours dans les meilleures classes, ce qui montrent que d'autres parents ont compris...
- roxanneOracle
oui et ce qui fait des autres classes des "poubelles"..mais j'imagine que je ferai pareil...
- CathEnchanteur
Sûrement.
Je ne vois hélas pas quoi faire d'autre: en tant que parent, je n'ai pas envie que mes enfants paient les pots cassés de réformes contre lesquelles je proteste en tant qu'enseignante.
Je ne vois hélas pas quoi faire d'autre: en tant que parent, je n'ai pas envie que mes enfants paient les pots cassés de réformes contre lesquelles je proteste en tant qu'enseignante.
- TrinityEsprit éclairé
roxanne a écrit:oui et ce qui fait des autres classes des "poubelles"..mais j'imagine que je ferai pareil...
cath5660 a écrit:Sûrement.
Je ne vois hélas pas quoi faire d'autre: en tant que parent, je n'ai pas envie que mes enfants paient les pots cassés de réformes contre lesquelles je proteste en tant qu'enseignante.
+1
- JPhMMDemi-dieu
Comme une envie de ne pas envoyer pitchoune à l'école, et de lui faire école moi-même. Mais il détesterait, je crois...
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- RikkiMonarque
Les enfants d'enseignants sont ceux qui s'en sortent le mieux.
Je pense qu'on n'a pas trop de soucis à se faire pour nos chéris d'amour. J'ai toujours fait le choix du public par conviction profonde, même quand je me suis fait traiter d'irresponsable par mes propres collègues qui me disaient qu'elles ne mettraient pour rien au monde leurs gosses dans le public du quartier.
Quand Fiston est entré en Sixième, j'ai quand même été un peu angoissée. J'ai parlé à la principale du collège, qui m'a dit en gros "Vous avez raison, on a 40 % de réussite au brevet et de passage en Seconde, mais sociologiquement on devrait avoir 25 %, donc, on se situe plutôt bien. De plus, votre fils, au vu de ses bulletins de CM2, a 100 % de chances d'avoir son brevet et sa Seconde".
Après, on apprend plein de choses à l'école, en dehors des cours : Fiston parle le ouèche-ouèche couramment, ce qui est très utile. Ses potes des beaux quartiers ont peur de leur ombre dès que Papa-Maman ne sont pas là et qu'il fait sombre, lui n'a certainement pas peur du noir ! Il est à l'aise dans tous les milieux, et il a des potes de toutes origines. Pour moi, ça compte énormément.
Et dans son bahut — Aranel confirmera, j'espère, il est mieux placé que moi pour en parler — il y avait quand même pas mal de gosses de pauvres qui ont été poussés par les profs et qui ont réussi.
Je pense qu'on n'a pas trop de soucis à se faire pour nos chéris d'amour. J'ai toujours fait le choix du public par conviction profonde, même quand je me suis fait traiter d'irresponsable par mes propres collègues qui me disaient qu'elles ne mettraient pour rien au monde leurs gosses dans le public du quartier.
Quand Fiston est entré en Sixième, j'ai quand même été un peu angoissée. J'ai parlé à la principale du collège, qui m'a dit en gros "Vous avez raison, on a 40 % de réussite au brevet et de passage en Seconde, mais sociologiquement on devrait avoir 25 %, donc, on se situe plutôt bien. De plus, votre fils, au vu de ses bulletins de CM2, a 100 % de chances d'avoir son brevet et sa Seconde".
Après, on apprend plein de choses à l'école, en dehors des cours : Fiston parle le ouèche-ouèche couramment, ce qui est très utile. Ses potes des beaux quartiers ont peur de leur ombre dès que Papa-Maman ne sont pas là et qu'il fait sombre, lui n'a certainement pas peur du noir ! Il est à l'aise dans tous les milieux, et il a des potes de toutes origines. Pour moi, ça compte énormément.
Et dans son bahut — Aranel confirmera, j'espère, il est mieux placé que moi pour en parler — il y avait quand même pas mal de gosses de pauvres qui ont été poussés par les profs et qui ont réussi.
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mon site sur l'écriture : www.ecritureparis.fr
- clemsEsprit éclairé
Je me souviendrai toujours du jour où le nouveau terminal de Roissy s'est effondré....mon père, prof de Génie civil a dit qu'il y en aurait de plus en plus......car les élèves de lycée en STI, étudiants de BTS ou même ceux qu'il avait en Master à la fac ne savaient plus compter.....et que du coup, dans la réalité des chantiers, il y avait des erreurs à tous les niveaux ( du conducteur de travaux au simple ouvrier qui se trompe dans le dosage de béton...)...........et ça c'était bien avant la réforme.....
- TrinityEsprit éclairé
Rikki a écrit:Les enfants d'enseignants sont ceux qui s'en sortent le mieux.
Je pense qu'on n'a pas trop de soucis à se faire pour nos chéris d'amour. J'ai toujours fait le choix du public par conviction profonde, même quand je me suis fait traiter d'irresponsable par mes propres collègues qui me disaient qu'elles ne mettraient pour rien au monde leurs gosses dans le public du quartier.
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Après, on apprend plein de choses à l'école, en dehors des cours : Fiston parle le ouèche-ouèche couramment, ce qui est très utile. Ses potes des beaux quartiers ont peur de leur ombre dès que Papa-Maman ne sont pas là et qu'il fait sombre, lui n'a certainement pas peur du noir ! Il est à l'aise dans tous les milieux, et il a des potes de toutes origines. Pour moi, ça compte énormément.
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"Deux choses sont infinies : l'Univers et la bêtise humaine. Mais en ce qui concerne l'Univers, je n'en ai pas encore acquis la certitude absolue." Albert Einstein
- lene75Prophète
Bof, les enfants de profs s'en sortent mieux précisément parce que leurs parents ne les laissent généralement pas n'importe où. Ma mère prof est revenue de ses principes républicains quand elle s'est aperçue du massacre sur son aîné. Heureusement que le privé était là pour l'inscrire en BEP puis pour le présenter à un bac techno, bac qui lui a permis de décrocher un job, sans quoi c'était sortie de l'école à 16 ans en fin de 3e... On dira donc qu'il s'en est sorti, et c'est bien grâce à sa mère prof qui a remué ciel et terre pour lui trouver une formation, mais ce n'est pas grâce à l'école publique.
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Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- lene75Prophète
Pour répondre à la question initiale, je suis inquiète pour ma fille et encore plus pour mes neveux qui sont déjà sacrifiés. L'aîné étant en fin de 6e, c'est déjà trop tard pour lui, c'est d'ailleurs ce que sa prof de français a laissé entendre. Il est pourtant un des meilleurs de la classe...
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Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- CathEnchanteur
Trop tard pour quoi, en 6°?
- AliceinwonderlandNeoprof expérimenté
Je vois autour de moi pas mal de parents qui réalisent trop tard qu'en 6ème leur enfant ne maîtrise pas les 4 opérations parfaitement, a de grosses lacunes en grammaire orthographe, et ce même en étant issu d'un milieu favorisé.
Sinon pour rebondir sur ce qu'a dit Rikki, choisir le privé ne signifie pas absence de mixité ethnique. Mon fils aîné est dans un très bon établissement privé depuis la 6ème (avant il était dans le public), or il y a beaucoup d'enfants d'origines variées, (et il bosse plus que moi quand j'étais dans mon bahut bourge où on était presque tous blancs, c'est un très bon collège). Mais ce sont plutôt des enfants de l'immigration issus de la deuxième génération je dirais, dont les parents ont réussi et se méfient plus des dérives de l'école et de la ghettoïsation. Peut-être parce que les parents issus de l'immigration ayant réussi appréhendent plus l'échec tandis que dans des familles plus "français pure souche" les parents sont persuadés que leur enfant va réussir de toutes façons et tombent parfois de haut trop tard.
Sinon pour rebondir sur ce qu'a dit Rikki, choisir le privé ne signifie pas absence de mixité ethnique. Mon fils aîné est dans un très bon établissement privé depuis la 6ème (avant il était dans le public), or il y a beaucoup d'enfants d'origines variées, (et il bosse plus que moi quand j'étais dans mon bahut bourge où on était presque tous blancs, c'est un très bon collège). Mais ce sont plutôt des enfants de l'immigration issus de la deuxième génération je dirais, dont les parents ont réussi et se méfient plus des dérives de l'école et de la ghettoïsation. Peut-être parce que les parents issus de l'immigration ayant réussi appréhendent plus l'échec tandis que dans des familles plus "français pure souche" les parents sont persuadés que leur enfant va réussir de toutes façons et tombent parfois de haut trop tard.
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Comme chaque année à la même époque je fais preuve d'un optimisme aveugle en me disant que l'année à venir ne peut pas être pire que celle qui vient de s'écouler. En oubliant que l'année passée a été pire que la précédente... (je cite de mémoire Emmanuel Brouillard)
- FilnydarNiveau 9
Igniatius a écrit:(c'est déjà le cas en PCSI, où le programme est très allégé, surtout dans des prépas peu sélectives)
Le prof de PCSI que je suis n'est pas trop d'accord !
- IgniatiusGuide spirituel
Filnydar a écrit:Igniatius a écrit:(c'est déjà le cas en PCSI, où le programme est très allégé, surtout dans des prépas peu sélectives)
Le prof de PCSI que je suis n'est pas trop d'accord !
Ben il n'y a quand même pas trop d'algèbre non linéaire et de théorie des ensembles ?
Je veux dire que dans une prepa peu cotée, le niveau de recrutement ne poussera pas les profs a trop déborder. Et, même si cela demeure un programme complique pour nos élèves, on est quand même plus dans une optique outillage mathématique que fondements : qu'en penses-tu ?
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"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion."
St Augustin
"God only knows what I'd be without you"
Brian Wilson
- FilnydarNiveau 9
On ne fait effectivement plus que définir quelques structures, mais c'est la même chose en MPSI.
Les programmes de première année ne sont pas très différents des uns des autres : ce qui n'est fait qu'en MPSI se limite au groupe symétrique (vu seulement pour définir le déterminant), un peu d'arithmétique sur les entiers et les polynômes (Bézout-Gauss), et le théorème de Bolzano-Weierstrass, qui ouvre des possibilités de démonstrations en analyse, démonstrations d'ailleurs non exigibles.
Mais, dans l'horaire disponible (10 heures par semaine) et sachant que la plupart des étudiants n'ont pas fait de spécialité maths et manquent donc de pratique, le programme actuel est largement assez copieux. J'ai, comme d'habitude depuis quelques années, fini aujourd'hui, à la dernière minute de la dernière heure de cours.
Note to self : si des étudiants à moi ou des collègues traînent par ici, c'en est fini de mon anonymat
Les programmes de première année ne sont pas très différents des uns des autres : ce qui n'est fait qu'en MPSI se limite au groupe symétrique (vu seulement pour définir le déterminant), un peu d'arithmétique sur les entiers et les polynômes (Bézout-Gauss), et le théorème de Bolzano-Weierstrass, qui ouvre des possibilités de démonstrations en analyse, démonstrations d'ailleurs non exigibles.
Mais, dans l'horaire disponible (10 heures par semaine) et sachant que la plupart des étudiants n'ont pas fait de spécialité maths et manquent donc de pratique, le programme actuel est largement assez copieux. J'ai, comme d'habitude depuis quelques années, fini aujourd'hui, à la dernière minute de la dernière heure de cours.
Note to self : si des étudiants à moi ou des collègues traînent par ici, c'en est fini de mon anonymat
- ysabelDevin
Filnydar a écrit:Igniatius a écrit:(c'est déjà le cas en PCSI, où le programme est très allégé, surtout dans des prépas peu sélectives)
Le prof de PCSI que je suis n'est pas trop d'accord !
Tiens, j'étais à Poinca aujourd'hui !!! la salle où j'étais était la même qu'il y a 20 ans ! pas de changement...
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- FilnydarNiveau 9
ysabel a écrit:
Tiens, j'étais à Poinca aujourd'hui !!! la salle où j'étais était la même qu'il y a 20 ans ! pas de changement...
C'était laquelle ?
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