- Ruggera7Neoprof expérimenté
Nous, nous avons ciblé les élèves en difficulté dans chaque classe et constitué ainsi un groupe de besoin qui a changé trois fois dans l'année (idée suggérée par notre direction!). Le hic cest que certains élèves se sont retrouvés "sollicités" toute l'année!
Je comprends leur manque de motivation, hein...
Et chez vous, quelles pratiques?
Quels résultats?
Quel programme ?
Je comprends leur manque de motivation, hein...
Et chez vous, quelles pratiques?
Quels résultats?
Quel programme ?
- Hermione0908Modérateur
Bilan très mitigé. J'ai l'impression d'en avoir fait progresser un, un petit peu. Pour les autres... Le problème est que je ne sais jamais par quel bout attaquer ces heures de soutien, c'est un vrai casse-tête. Si quelqu'un a des méthodes, des idées d'exercices, des mises en oeuvre efficace, je n'aurai qu'un mot :
Pour l'organisation pratique, notre administration a mis le nez dedans tout au long de l'année, très agréable de se faire imposer des élèves que l'administration ne connaît que par le biais de bulletins, ou au contraire de se voir enlever des élèves d'un groupe pour cette même raison (en vrai, j'ai fait "oui, oui" par devant, et par derrière, j'ai donné MES listes aux élèves et à la vie sco).
Au premier trimestre, en sixième, comme on nous a obligées à faire repasser les évaluations de CM2, la cde s'est fondée sur les résultats de CM2 et ceux obtenus en début de sixième pour constituer les groupes. Puis après chaque conseil de classe, nous avions une réunion des profs de français et maths AVEC un membre de la chefferie, pour constituer les groupes selon leurs souhaits. Vaste fumisterie, et énervement profond de ma part que l'administration se mêle de pédagogique. Du coup, j'ai séché la dernière sous un prétexte pas tout à fait fallacieux.
En troisième, la chef convoquait les PP pour leur remettre les dossiers au deuxième trimestre, et elle nous donnait SES desiderata pour le soutien, et nous devions argumenter pour dire que non, machin ne viendra pas, mais que oui, bidule viendra, même s'il a dans l'absolu une meilleure moyenne. Bref, un beau panier de crabes.
(A force, vous me croyez, hein quand je vous dis que ma cde, c'est tout un poème...)
Pour l'organisation pratique, notre administration a mis le nez dedans tout au long de l'année, très agréable de se faire imposer des élèves que l'administration ne connaît que par le biais de bulletins, ou au contraire de se voir enlever des élèves d'un groupe pour cette même raison (en vrai, j'ai fait "oui, oui" par devant, et par derrière, j'ai donné MES listes aux élèves et à la vie sco).
Au premier trimestre, en sixième, comme on nous a obligées à faire repasser les évaluations de CM2, la cde s'est fondée sur les résultats de CM2 et ceux obtenus en début de sixième pour constituer les groupes. Puis après chaque conseil de classe, nous avions une réunion des profs de français et maths AVEC un membre de la chefferie, pour constituer les groupes selon leurs souhaits. Vaste fumisterie, et énervement profond de ma part que l'administration se mêle de pédagogique. Du coup, j'ai séché la dernière sous un prétexte pas tout à fait fallacieux.
En troisième, la chef convoquait les PP pour leur remettre les dossiers au deuxième trimestre, et elle nous donnait SES desiderata pour le soutien, et nous devions argumenter pour dire que non, machin ne viendra pas, mais que oui, bidule viendra, même s'il a dans l'absolu une meilleure moyenne. Bref, un beau panier de crabes.
(A force, vous me croyez, hein quand je vous dis que ma cde, c'est tout un poème...)
- ProvenceEnchanteur
trinacria a écrit:Nous, nous avons ciblé les élèves en difficulté dans chaque classe et constitué ainsi un groupe de besoin qui a changé trois fois dans l'année (idée suggérée par notre direction!). Le hic cest que certains élèves se sont retrouvés "sollicités" toute l'année!
Je comprends leur manque de motivation, hein...
Et chez vous, quelles pratiques?
Quels résultats?
Quel programme ?
En même temps, on ne va pas soutenir les élèves qui n'ont ont pas besoin juste pour le plaisir.
Chez nous, pas de soutien, mais de l'ATP fait n'importe comment par une assistante d'éducation.
- zigotineHabitué du forum
J'avais une très bonne sixième cette année, du coup le soutien ne concernait que 8 élèves.
Ils en avaient assez de venir en soutien de français et de math...
Du coup j'ai fait des projets et j'ai mis aussi d'autres élèves dedans.
Par exemple préparer une rencontre avec nos élèves autistes (autour de la présentation d'ouvrages), rédaction en traitement de textes de fiches de grammaire avec recherche d'exemples, fiches de conjugaison, rédaction de textes avec mini spectacle au CDI...
Je ne sais pas s'ils ont plus ou moins progressé qu'avec un soutien classique, mais ils venaient avec plaisir et travaillaient.
Ils en avaient assez de venir en soutien de français et de math...
Du coup j'ai fait des projets et j'ai mis aussi d'autres élèves dedans.
Par exemple préparer une rencontre avec nos élèves autistes (autour de la présentation d'ouvrages), rédaction en traitement de textes de fiches de grammaire avec recherche d'exemples, fiches de conjugaison, rédaction de textes avec mini spectacle au CDI...
Je ne sais pas s'ils ont plus ou moins progressé qu'avec un soutien classique, mais ils venaient avec plaisir et travaillaient.
- HermionyGuide spirituel
Chez nous, pas d'heure dévolue au soutien. On a l'ATP, certes mais c'est en classe entière, donc ça sert plus à faire de la méthodo (ranger son cartable, apprendre une leçon) ou d'heure pour faire les devoirs...En fait, en début d'année, chaque prof peut si son EDT le permet, et s'il y a assez d'HSE, donner 1 heure de soutien par classe / semaine. Je repère donc les élèves en difficultés et, sur la base du volontariat, je leur propose une heure de soutien. En général, elle porte sur le point de grammaire vu en classe ou, à leur demande sur un point qu'ils n'auraient pas compris. Du coup, petits groupes de 7 /8 max et des élèves motivés parce que volontaires. De toute façon, ça se vérifie, les élèves pour qui la demande vient des parents, je ne les garde pas..ils ne sont pas motivés et ne s'investissent pas...En tout, je suis contente de voir que certains progressent / prennent confiance grâce à ça. L'an prochain, on a une heure de soutien obligatoire pour les 3è...du coup, on les aura tous, et comme certains n'en auront rien à faire, ils vont quelque peu pourrir le système...
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"Soyons subversifs. Révoltons-nous contre l'ignorance, l'indifférence, la cruauté, qui d'ailleurs ne s'exerce si souvent contre l'homme que parce qu'elles se sont fait la main sur les animaux. Il y aurait moins d'enfants martyrs s'il y avait moins d'animaux torturés".
Marguerite Yourcenar
« La vraie bonté de l’homme ne peut se manifester en toute pureté et en toute liberté qu’à l’égard de ceux qui ne représentent aucune force. » «Le véritable test moral de l’humanité, ce sont ses relations avec ceux qui sont à sa merci : les animaux. » Kundera, L’Insoutenable Légèreté de l’être
- pallasNiveau 9
Chez nous, 2h de soutien en 6e par semaine et 1h en 5e et 4e. Mais c'est obligatoire pour tous : en tant que PP je faisais 4 groupes de soutien donc 4 matières différentes. Par contre, je n'ai pas ces heures-là, ce sont d'autres collègues qui les ont pour compléter leurs services.
En français et maths, ils ont très souvent les élèves en PPRE (donc toujours les mêmes) (et notre chef nous a bien dit que c'était illégal, on doit faire de la pédagogie différenciée dans nos classes à 28 hein?!). Dans d'autres matières, je faisais souvent un groupe plus fort et ils travaillaient sur une pièce de théâtre en plus ! (ça c'était pas mal).
Par contre, pour obtenir toutes ces heures, nous avons de nous même supprimé une classe et donc chargé les effectifs : nous ne voulions pas mais le chef voulait essayer.
Personnellement, je ne pense pas qu'on rattrape quoi que ce soit avec quelques heures de soutien par semaine. Et c'est encore le principe d'essayer de rattraper avec deux pauvres heures les mauvaises conditions de toute l'année pour l'ensemble des élèves. Je suis vraiment sceptique quant à l'efficacité de ce système.
Enfin si mais avec des moyens vraiment supplémentaires.
En français et maths, ils ont très souvent les élèves en PPRE (donc toujours les mêmes) (et notre chef nous a bien dit que c'était illégal, on doit faire de la pédagogie différenciée dans nos classes à 28 hein?!). Dans d'autres matières, je faisais souvent un groupe plus fort et ils travaillaient sur une pièce de théâtre en plus ! (ça c'était pas mal).
Par contre, pour obtenir toutes ces heures, nous avons de nous même supprimé une classe et donc chargé les effectifs : nous ne voulions pas mais le chef voulait essayer.
Personnellement, je ne pense pas qu'on rattrape quoi que ce soit avec quelques heures de soutien par semaine. Et c'est encore le principe d'essayer de rattraper avec deux pauvres heures les mauvaises conditions de toute l'année pour l'ensemble des élèves. Je suis vraiment sceptique quant à l'efficacité de ce système.
Enfin si mais avec des moyens vraiment supplémentaires.
- Hermione0908Modérateur
Je ne crois pas qu'une heure de soutien règle les problèmes non plus, surtout quand elle a lieu de 16h à 17h, voire, en troisième, qu'elle n'a lieu qu'une semaine sur deux (là, c'est carrément du foutage de gueule, ça ne sert à rien, surtout quand les principaux intéressés sèchent).
Pour l'élève que je trouve avoir progressé, je pense que c'est plus en classe complète qu'il a progressé que grâce au soutien.
Officiellement, on nous a demandé de ne pas faire de l'heure de soutien une heure "d'anticipation du cours suivant" ou de "remédiation du cours précédent", mais qu'il fallait travailler sur les compétences du palier deux qui n'auraient pas été acquises et que le nouveau passage des évaluations CM2 aurait permis de détecter (quand on voit la gueule des évaluations...).
Encore une fois, j'ai fait "oui, oui", et on a révisé les conjugaisons non acquises et la phrase et la lecture et fait de l'écriture... A quoi sert le soutien si on n'y fait pas de remédiation pour ces élèves-là, qui justement sont largués en classe ? On espère que par l'opération du Saint-Esprit, la leçon qu'il n'ont pas comprise le lundi, ils la comprendront seuls et par magie le vendredi ?
Et, je me répète, mais j'ai très mal accepté l'ingérence de l'administration qui non content de nous dire qui on devait prendre en soutien (c'est vrai que moi, je les vois tous les jours, je suis la moins à-même de juger qui doit venir sans doute), nous a de plus expliqué ce que nous devions faire, et voulais même qu'on rende des comptes à un collègue (d'HG, cherchez pas à comprendre). Le flicage, ça va bien deux minutes.
Pour l'élève que je trouve avoir progressé, je pense que c'est plus en classe complète qu'il a progressé que grâce au soutien.
Officiellement, on nous a demandé de ne pas faire de l'heure de soutien une heure "d'anticipation du cours suivant" ou de "remédiation du cours précédent", mais qu'il fallait travailler sur les compétences du palier deux qui n'auraient pas été acquises et que le nouveau passage des évaluations CM2 aurait permis de détecter (quand on voit la gueule des évaluations...).
Encore une fois, j'ai fait "oui, oui", et on a révisé les conjugaisons non acquises et la phrase et la lecture et fait de l'écriture... A quoi sert le soutien si on n'y fait pas de remédiation pour ces élèves-là, qui justement sont largués en classe ? On espère que par l'opération du Saint-Esprit, la leçon qu'il n'ont pas comprise le lundi, ils la comprendront seuls et par magie le vendredi ?
Et, je me répète, mais j'ai très mal accepté l'ingérence de l'administration qui non content de nous dire qui on devait prendre en soutien (c'est vrai que moi, je les vois tous les jours, je suis la moins à-même de juger qui doit venir sans doute), nous a de plus expliqué ce que nous devions faire, et voulais même qu'on rende des comptes à un collègue (d'HG, cherchez pas à comprendre). Le flicage, ça va bien deux minutes.
- MarieLNeoprof expérimenté
Chez nous l'heure d'ATP concerne des groupes (obtenus de haute lutte !). Deux classes et deux enseignants. Par contre l'administration insiste pour que tous les élèves soient concernés, que les classes soient obligatoirement mêlées, et qu'il ne soit pas question de "cours".
Les groupes changent environ toutes les 6 semaines.
Nous nous sommes organisés pour avoir des groupes de 8 à 10 élèves, officiellement il y a des groupes de soutien, des groupes de remédiation, et des groupes d'approfondissement. Dans les faits... chacun fait ce qu'il veut avec son groupe, la seule concertation c'est pour mettre dans un même groupe des élèves de niveau à peu près équivalent.
Cela fonctionne bien mieux que lorsque nous ne prenions que les élèves en grande difficulté qui avaient vite l'impression d'être punis.
Pour l'efficacité par contre... Le fait de les avoir en petit groupe permet de travailler bien plus sereinement, ne pas faire de "cours" de s'appuyer plus ou moins sur leur intérêt, de renouveler les groupes de pouvoir féliciter ceux qui ont fait des progrès.
Les groupes changent environ toutes les 6 semaines.
Nous nous sommes organisés pour avoir des groupes de 8 à 10 élèves, officiellement il y a des groupes de soutien, des groupes de remédiation, et des groupes d'approfondissement. Dans les faits... chacun fait ce qu'il veut avec son groupe, la seule concertation c'est pour mettre dans un même groupe des élèves de niveau à peu près équivalent.
Cela fonctionne bien mieux que lorsque nous ne prenions que les élèves en grande difficulté qui avaient vite l'impression d'être punis.
Pour l'efficacité par contre... Le fait de les avoir en petit groupe permet de travailler bien plus sereinement, ne pas faire de "cours" de s'appuyer plus ou moins sur leur intérêt, de renouveler les groupes de pouvoir féliciter ceux qui ont fait des progrès.
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Je suis ce que je suis et je suis l'être même, je suis ma volonté en moi-même exaucée - A. Kalda
- HermionyGuide spirituel
Hermione0908 a écrit:Je ne crois pas qu'une heure de soutien règle les problèmes non plus, surtout quand elle a lieu de 16h à 17h, voire, en troisième, qu'elle n'a lieu qu'une semaine sur deux (là, c'est carrément du foutage de gueule, ça ne sert à rien, surtout quand les principaux intéressés sèchent).
+1. L'an prochain, ce sera ça pour les 3è, à 28 bien sûr et pour combler des lacunes que beaucoup traînent depuis le primaire...
Pour l'élève que je trouve avoir progressé, je pense que c'est plus en classe complète qu'il a progressé que grâce au soutien.
Officiellement, on nous a demandé de ne pas faire de l'heure de soutien une heure "d'anticipation du cours suivant" ou de "remédiation du cours précédent", mais qu'il fallait travailler sur les compétences du palier deux qui n'auraient pas été acquises et que le nouveau passage des évaluations CM2 aurait permis de détecter (quand on voit la gueule des évaluations...).
Encore une fois, j'ai fait "oui, oui", et on a révisé les conjugaisons non acquises et la phrase et la lecture et fait de l'écriture... A quoi sert le soutien si on n'y fait pas de remédiation pour ces élèves-là, qui justement sont largués en classe ? On espère que par l'opération du Saint-Esprit, la leçon qu'il n'ont pas comprise le lundi, ils la comprendront seuls et par magie le vendredi ?
+1..une fois encore, je sais qu'une heure / semaine, ce n'est en rien une solution, mais au moins, ça permet à l'élève qui n'a pas compris le cours (et qui, dans une classe à 26, peut évidemment être traité de façon individuel), de ne pas couler complètement et d'avoir au moins ce temps en plus pour lui permettre de comprendre. Si ,au moins, il ressort du soutien en me disant "j'ai compris madame", eh bien, je suis contente, même si je sais que la semaine d'après, il y aura d'autres pbs, d'autres difficultés, bref que c'est par moment un puits sans fond devant lequel, je dois l'avouer , je suis bien impuissante parfois..Je sais qu'avec ce système on fait du rafistolage, on ne règle pas le pb de fond...J'ai des élèves en classe qui sont tellement largués, qui ont tellement de lacunes, qu'une heure / semaine....c'est bien dérisoire....et inefficace...
Et, je me répète, mais j'ai très mal accepté l'ingérence de l'administration qui non content de nous dire qui on devait prendre en soutien (c'est vrai que moi, je les vois tous les jours, je suis la moins à-même de juger qui doit venir sans doute), nous a de plus expliqué ce que nous devions faire, et voulais même qu'on rende des comptes à un collègue (d'HG, cherchez pas à comprendre). Le flicage, ça va bien deux minutes.
- Ruggera7Neoprof expérimenté
Que de pratiques différentes!
Moi aussi, une année, j'avais eu droit à l'heure en quinzaine... Quel rafistolage!
Moi aussi, une année, j'avais eu droit à l'heure en quinzaine... Quel rafistolage!
- NestyaEsprit sacré
Les élèves vivent le soutien comme une punition. Leurs camarades finisssent le vendredi à 11h alors qu'il sont obligés de rester jusqu'à midi.
Quant aux résultats... Je n'en ai vu aucun rééllement progresser. Certains ont de telles difficultés qu'à raison d'une heure par semaine, on ne peut pas faire de miracle.
Quant aux résultats... Je n'en ai vu aucun rééllement progresser. Certains ont de telles difficultés qu'à raison d'une heure par semaine, on ne peut pas faire de miracle.
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"Attendre et espérer."
Alexandre Dumas
- Ruggera7Neoprof expérimenté
Pour que ce soit efficace, il faudrait aussi que le professeur responsable de cette heure de soutien établisse un vrai programme et ne se contente pas, à la demande de ses collègues, de "réparer" et "rafistoler" des petits bouts de leçons à droite et à gauche, en fonction des progressions (pas toujours communes) de ses collègues.
- minnieExpert
Un échec cuisant une année de plus..... parce que les gamins en échecs le sont parce qu'ils ont de graves lacunes accumulées par manque de travail.
Ils refusent tout autant de travailler en 6e.... les familles sollicitées et archi sollicitées ne font rien pour aider leur gamins par ce qu'elles ne veulent pas rentrer dans le conflit des devoirs, estiment qu'elles ne peuvent pas aider, considèrent que l'école c'est trop dur, etc.
L'année prochaine, c'est moi qui récupère (à ma demande) les heures de soutien... je n'ai pas fini de m'arracher les cheveux!
Ils refusent tout autant de travailler en 6e.... les familles sollicitées et archi sollicitées ne font rien pour aider leur gamins par ce qu'elles ne veulent pas rentrer dans le conflit des devoirs, estiment qu'elles ne peuvent pas aider, considèrent que l'école c'est trop dur, etc.
L'année prochaine, c'est moi qui récupère (à ma demande) les heures de soutien... je n'ai pas fini de m'arracher les cheveux!
- 4e aide et soutien : chez vous ? (besoin de témoignages)
- Prof célibataire (mais pas seulement?)... vous ruminez chez vous quand vous avez une classe pénible?
- Séance de bilan de séquence. Qu'en pensez-vous ?
- Affectés loin de chez vous : comment avez-vous géré le côté matériel ?
- Evaluation bilan sur les fables, vos avis, s'il vous plaît.
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