- val09Neoprof expérimenté
Je ne sais pas chez vous mais chez nous, le CDE est un véritable tyran, qui nous fait quotidiennement ses crises d'autoritarisme. Il connaît parfaitement les textes et en joue, en nous menant la vie dure ...
Ce serait bien que l'on utilise ce topic pour partager nos expériences à ce sujet, voire donner les textes précis.
Par exemple, le CDE a-t-il le "droit" :
- de nous imposer de partager des classes avec un collègue ?
- de nous imposer un niveau précis ?
- de nous imposer plusieurs classes de 3èmes (ce qui est très lourd, srtt en Lettres)
- de nous refuser la demi-journée de repos que l'on demande
Autre question : est-ce vrai que pour la note administrative, quand le CDE décide, par un rapport, d'aller au-delà du max de notre échelon, le Rectorat n'en tient jamais compte et fout tout au panier ???
Ce serait bien que l'on utilise ce topic pour partager nos expériences à ce sujet, voire donner les textes précis.
Par exemple, le CDE a-t-il le "droit" :
- de nous imposer de partager des classes avec un collègue ?
- de nous imposer un niveau précis ?
- de nous imposer plusieurs classes de 3èmes (ce qui est très lourd, srtt en Lettres)
- de nous refuser la demi-journée de repos que l'on demande
Autre question : est-ce vrai que pour la note administrative, quand le CDE décide, par un rapport, d'aller au-delà du max de notre échelon, le Rectorat n'en tient jamais compte et fout tout au panier ???
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Plus vraiment "néo" : prof de LM depuis 2001
- lulucastagnetteEmpereur
val09 a écrit:Je ne sais pas chez vous mais chez nous, le CDE est un véritable tyran, qui nous fait quotidiennement ses crises d'autoritarisme. Elle connaît parfaitement les textes et en joue, en nous menant la vie dure ...
Ce serait bien que l'on utilise ce topic pour partager nos expériences à ce sujet, voire donner les textes précis.
Par exemple, le CDE a-t-il le "droit" :
- de nous imposer de partager des classes avec un collègue ?
- de nous imposer un niveau précis ?
- de nous imposer plusieurs classes de 3èmes (ce qui est très lourd, srtt en Lettres)
- de nous refuser la demi-journée de repos que l'on demande
Autre question : est-ce vrai que pour la note administrative, quand le CDE décide, par un rapport, d'aller au-delà du max de notre échelon, le Rectorat n'en tient jamais compte et fout tout au panier ???
A mon avis, oui à toutes les questions.
A savoir que la demi-journée n'est pas un droit, c'est à la bonne volonté du CDE. C'est parfois difficile pour eux de satisfaire les voeux de chacun, surtout pour les 1/2 journées très demandées...
- Reine MargotDemi-dieu
alors en effet ta CDE connaît les textes, et surtout ce qu'elle impose là n'est interdit nulle part. Elle profite d'un vide juridique... Pour la demi-journée, en effet c'est selon le bon vouloir du CDE qui fait les edt comme bon lui semble...
- alprechac2Expert
Pour toutes les questions sauf la dernière, j'ai peur que la réponse soit oui : la nécessité de service doit passer avant tout, je suppose.
Je m'étais renseignée sur ce forum quand mon CDE avait voulu partager une classe de latin en deux profs, on m'avait répondu que c'était légal (si je me rappelle bien).
Je m'étais renseignée sur ce forum quand mon CDE avait voulu partager une classe de latin en deux profs, on m'avait répondu que c'était légal (si je me rappelle bien).
- AdriGrand Maître
pour la note administrative, je doute. Il existe des collègues dépassant les bornes de leur échelon.
à ce genre de comportement, je dirais, répondre de la même façon :
ne participer qu'aux réunions prévus dans les textes par exemple. (ça ne fera pas beaucoup, si tout le monde s'y met, elle va se sentir seule...)
à ce genre de comportement, je dirais, répondre de la même façon :
ne participer qu'aux réunions prévus dans les textes par exemple. (ça ne fera pas beaucoup, si tout le monde s'y met, elle va se sentir seule...)
- AdriGrand Maître
Pour le partage de classe, j'en parlerais aux parents : le jour de la réunion de parents à la rentrée s'il y en a une (uniquement à l'oral) en laissant entendre les difficultés que cela suppose, en présentant leurs enfants comme les victimes d'une gestion purement administrative...
- DaphnéDemi-dieu
val09 a écrit:Je ne sais pas chez vous mais chez nous, le CDE est un véritable tyran, qui nous fait quotidiennement ses crises d'autoritarisme. Il connaît parfaitement les textes et en joue, en nous menant la vie dure ...
Ce serait bien que l'on utilise ce topic pour partager nos expériences à ce sujet, voire donner les textes précis.
Par exemple, le CDE a-t-il le "droit" :
- de nous imposer de partager des classes avec un collègue ?
- de nous imposer un niveau précis ?
- de nous imposer plusieurs classes de 3èmes (ce qui est très lourd, srtt en Lettres)
- de nous refuser la demi-journée de repos que l'on demande
Oui, il se retranche derrière la clausse "nécessité de service".
Tu dois prendre le service qui t'es donné.
Tu peux formuler des voeux mais il n'est pas obligé d'en tenir compte.
J'en au eu une comme ça qui donnait systématiquement l'inverse de ce qu'on demandait : au bout de quelques années j'ai fini par comprendre alors je rendais la feuille de voeux rayée en travers comme ça elle ne savait pas comment m'em............. ! Et ça a été mieux, alors
Autre question : est-ce vrai que pour la note administrative, quand le CDE décide, par un rapport, d'aller au-delà du max de notre échelon, le Rectorat n'en tient jamais compte et fout tout au panier ???
Non pas forcément. Mais en fait ça arrive excessivement rarement.
Ceci dit je suppose qu'il y a des pratiques académiques.
- PseudoDemi-dieu
Reine Margot a écrit:alors en effet ta CDE connaît les textes, et surtout ce qu'elle impose là n'est interdit nulle part. Elle profite d'un vide juridique... Pour la demi-journée, en effet c'est selon le bon vouloir du CDE qui fait les edt comme bon lui semble...
Un vide juridique ? Non mais on ne va quand même pas faire une loi disant que le chef peut, ou pas, imposer un niveau à un enseignant, ou partager ou pas une classe
Et sans vouloir être désagréable, si chaque enseignant y va de son niveau qu'il ne veux pas, ou que tout le monde demande les mêmes demi-journées, y a bien un moment où il faut qu'une décision soit prise, sans que ce soit forcement "le bon vouloir"du chef d'ailleurs. Légiférer là-dessus ?
En revanche il y a des chefs qui ont le don pour se mettre tout le monde à dos en ne contentant personne. Mais mettre en avant les textes, au lieu des raisons qui ont présidés à son choix, ça n'est pas malin. A moins que ses raisons soient, effectivement, d'emmerder le plus de monde. C'est pas impossible. Mais pas sûr qu'il gagne à la fin ! Le jeu des "lois et règles" ça peut aussi aller à son encontre...
- Anna de NoaillesHabitué du forum
val09 a écrit:Je ne sais pas chez vous mais chez nous, le CDE est un véritable tyran, qui nous fait quotidiennement ses crises d'autoritarisme. Il connaît parfaitement les textes et en joue, en nous menant la vie dure ...
Ce serait bien que l'on utilise ce topic pour partager nos expériences à ce sujet, voire donner les textes précis.
Par exemple, le CDE a-t-il le "droit" :
- de nous imposer de partager des classes avec un collègue ?
- de nous imposer un niveau précis ?
- de nous imposer plusieurs classes de 3èmes (ce qui est très lourd, srtt en Lettres)
- de nous refuser la demi-journée de repos que l'on demande
Autre question : est-ce vrai que pour la note administrative, quand le CDE décide, par un rapport, d'aller au-delà du max de notre échelon, le Rectorat n'en tient jamais compte et fout tout au panier ???
Une année j'ai une cde qui a dépassé les cadres de mon échelon et c'est passé. Ca doit donc être possible.
- V.MarchaisEmpereur
val09 a écrit:Je ne sais pas chez vous mais chez nous, le CDE est un véritable tyran, qui nous fait quotidiennement ses crises d'autoritarisme. Il connaît parfaitement les textes et en joue, en nous menant la vie dure ...
Ce serait bien que l'on utilise ce topic pour partager nos expériences à ce sujet, voire donner les textes précis.
Par exemple, le CDE a-t-il le "droit" :
- de nous imposer de partager des classes avec un collègue ?
- de nous imposer un niveau précis ?
- de nous imposer plusieurs classes de 3èmes (ce qui est très lourd, srtt en Lettres)
- de nous refuser la demi-journée de repos que l'on demande
Autre question : est-ce vrai que pour la note administrative, quand le CDE décide, par un rapport, d'aller au-delà du max de notre échelon, le Rectorat n'en tient jamais compte et fout tout au panier ???
Pour les trois dernières questions, la réponse est oui. Pour des raisons assez évidentes - en dépit des desiderata de chacun, il faut bien mettre un professeur devant chaque classe et rendre possible la création d'EDT corrects avant tout pour les élèves - le CDE organise les services. S'il n'est pas trop borné, il essaie de satisfaire au moins certains voeux de chacun. Mais ce n'est pas toujours possible (dans mon ancien étab, en Seine-Saint-Denis, moyenne d'âge très jeune, nombreux collègues avec enfants en bas âge, il était impossible d'accorder le mercredi à tous ceux qui le demandaient : ça tournait). Dans ce cas-là, si possible, on discute. Il ne faut pas que ce soient toujours les mêmes qui trinquent.
Pour la première question : oui en théorie seulement. Rappelons tout de même que le CDE n'est pas un autocrate. Il gère l'établissement avec l'aide d'un CA dont certaines décisions sont souveraines. En particulier, le TA a désavoué un CDE qui n'avait pas tenu compte de la répartition de la DHG votée par le CA. Le CDE ne peut pas donc faire tout et n'importe quoi. Pour cette histoire de partage de classe, informez les parents, notamment les représentants au CA, faites valoir à quel point c'est anti-pédagogique, contraire aux recommandations des IPR (vous pouvez même vous faire appuyer par votre IPR si vous avez de bonne relation avec lui) puisqu'il suppose de séparer langue et littérature ou de mener en permanence deux séquences, les étirant ainsi au préjudice de l'intérêt et de la mémoire de l'élève. Faites voter par le CA une motion rejetant la possibilité d'un tel partage. À partir de là, ce sera au CDE de faire remonter à l'IA et d'obtenir les moyens de faire tourner son établissement autrement.
Quant au dernier point, oui, on peut noter en dehors des grilles. On prend le risque d'un ajustement en commission, mais ce n'est pas systématique.
- User5899Demi-dieu
Non, oui, oui, oui. Le partage de classe ne se propose en principe que dans certaines situations bloquées (avec refus général d'HSA par exemple). Sinon, le service relève intégralement de ses prérogatives et il peut vous donner ce qu'il veut. Mais ce genre d'autocrate est rare, quand même, je suis surpris. Qu'a-t-il à gagner à se comporter ainsi ?val09 a écrit:Par exemple, le CDE a-t-il le "droit" :
- de nous imposer de partager des classes avec un collègue ?
- de nous imposer un niveau précis ?
- de nous imposer plusieurs classes de 3èmes (ce qui est très lourd, srtt en Lettres)
- de nous refuser la demi-journée de repos que l'on demande
- User5899Demi-dieu
Sous ce lien, vous trouverez le Guide juridique du CE, régulièrement remis à jour. Ca peut être utile de le télécharger et de le conserver...
GUIDE
GUIDE
- Reine MargotDemi-dieu
Pseudo a écrit:Reine Margot a écrit:alors en effet ta CDE connaît les textes, et surtout ce qu'elle impose là n'est interdit nulle part. Elle profite d'un vide juridique... Pour la demi-journée, en effet c'est selon le bon vouloir du CDE qui fait les edt comme bon lui semble...
Un vide juridique ? Non mais on ne va quand même pas faire une loi disant que le chef peut, ou pas, imposer un niveau à un enseignant, ou partager ou pas une classe
Et sans vouloir être désagréable, si chaque enseignant y va de son niveau qu'il ne veux pas, ou que tout le monde demande les mêmes demi-journées, y a bien un moment où il faut qu'une décision soit prise, sans que ce soit forcement "le bon vouloir"du chef d'ailleurs. Légiférer là-dessus ?
En revanche il y a des chefs qui ont le don pour se mettre tout le monde à dos en ne contentant personne. Mais mettre en avant les textes, au lieu des raisons qui ont présidés à son choix, ça n'est pas malin. A moins que ses raisons soient, effectivement, d'emmerder le plus de monde. C'est pas impossible. Mais pas sûr qu'il gagne à la fin ! Le jeu des "lois et règles" ça peut aussi aller à son encontre...
je veux dire qu'aucun texte n'interdit à un CDE de donner des classes d'un niveau unique à un prof. même si on est bien d'accord, c'est absurde.
- GrypheMédiateur
Sur cette page, il n'y a que les chapitres mis à jour.
Pour avoir l'intégrale, elle est toujours dispo sur le net, mais quelque part en "cache". Il faut farfouiller un peu.
Mais sinon, Cripure, tu as raison, c'est une mine ce guide.
Pour avoir l'intégrale, elle est toujours dispo sur le net, mais quelque part en "cache". Il faut farfouiller un peu.
Mais sinon, Cripure, tu as raison, c'est une mine ce guide.
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Τί ἐστιν ἀλήθεια ;
- CelebornEsprit sacré
Pseudo a écrit:Reine Margot a écrit:alors en effet ta CDE connaît les textes, et surtout ce qu'elle impose là n'est interdit nulle part. Elle profite d'un vide juridique... Pour la demi-journée, en effet c'est selon le bon vouloir du CDE qui fait les edt comme bon lui semble...
Un vide juridique ? Non mais on ne va quand même pas faire une loi disant que le chef peut, ou pas, imposer un niveau à un enseignant, ou partager ou pas une classe
Rappelons au passage que le "vide juridique", ça n'existe pas.
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"On va bien lentement dans ton pays ! Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu'on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça !" (Lewis Carroll)
Mon Blog
- Reine MargotDemi-dieu
ce que 'jappelle "vide juridique", c'est une situation non prévue par les textes, qui donc n'est pas interdite.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- CelebornEsprit sacré
Reine Margot a écrit:ce que 'jappelle "vide juridique", c'est une situation non prévue par les textes, qui donc n'est pas interdite.
Et qui donc est légale Et légiférer sur ce genre de situation, c'est parfois trouver des remèdes pire que les maux de départ car ça fait naître des problèmes qu'on n'avait pas du tout prévus (Montaigne a très bien dit ça, pour le coup, mais on ne daigne retenir de lui que la "tête bien faite>bien pleine", hélas…).
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"On va bien lentement dans ton pays ! Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu'on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça !" (Lewis Carroll)
Mon Blog
- Reine MargotDemi-dieu
oui, c'est légal, je ne voulais pas dire qu'il fallait forcément légiférer sur tout, seulement là la CDE profite qu'aucun texte n'interdise un truc pénible et absurde...
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- User5899Demi-dieu
Je dépose la version "première" en PJ, si un modo veut que je la place ailleurs, qu'il me le fasse savoir.Gryphe a écrit:Sur cette page, il n'y a que les chapitres mis à jour.
Pour avoir l'intégrale, elle est toujours dispo sur le net, mais quelque part en "cache". Il faut farfouiller un peu.
Mais sinon, Cripure, tu as raison, c'est une mine ce guide.
- frecheGrand sage
merci Cripure
- val09Neoprof expérimenté
Pseudo a écrit:Et sans vouloir être désagréable, si chaque enseignant y va de son niveau qu'il ne veux pas, ou que tout le monde demande les mêmes demi-journées, y a bien un moment où il faut qu'une décision soit prise, sans que ce soit forcement "le bon vouloir"du chef d'ailleurs. Légiférer là-dessus ?
En revanche il y a des chefs qui ont le don pour se mettre tout le monde à dos en ne contentant personne. Mais mettre en avant les textes, au lieu des raisons qui ont présidés à son choix, ça n'est pas malin. A moins que ses raisons soient, effectivement, d'emmerder le plus de monde. C'est pas impossible. Mais pas sûr qu'il gagne à la fin ! Le jeu des "lois et règles" ça peut aussi aller à son encontre...
Oui mais quand on lui demande 1/2 journée et commencer à 9h pour déposer BB et qu'elle nous dit que c'est impossible (soit l'un soit l'autre) et que d'autres ont, eux, 3 1/2 journées de libre ... C'est un peu abusif !!!
L'an prochain, je n'accepterai que l'heure qu'elle peut m'imposer, au moins j'aurai facilement plus de temps libre ...
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Plus vraiment "néo" : prof de LM depuis 2001
- val09Neoprof expérimenté
[quote="V.MarchaisPour la première question : oui en théorie seulement. Rappelons tout de même que le CDE n'est pas un autocrate. Il gère l'établissement avec l'aide d'un CA dont certaines décisions sont souveraines. En particulier, le TA a désavoué un CDE qui n'avait pas tenu compte de la répartition de la DHG votée par le CA. Le CDE ne peut pas donc faire tout et n'importe quoi. Pour cette histoire de partage de classe, informez les parents, notamment les représentants au CA, faites valoir à quel point c'est anti-pédagogique, contraire aux recommandations des IPR (vous pouvez même vous faire appuyer par votre IPR si vous avez de bonne relation avec lui) puisqu'il suppose de séparer langue et littérature ou de mener en permanence deux séquences, les étirant ainsi au préjudice de l'intérêt et de la mémoire de l'élève. Faites voter par le CA une motion rejetant la possibilité d'un tel partage. À partir de là, ce sera au CDE de faire remonter à l'IA et d'obtenir les moyens de faire tourner son établissement autrement.
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Le pblme, c'est qu'il prétend (mais on n'en sait rien) que c'est notre IPR qui l'a exigé (parce que la collègue avec qui on doit partager les classes s'est faite descendre (y a pas d'autre mot) lors d'une inspection et que, paraît-il l'IPR ne veut plus qu'elle ait de classe en responsabilité
Au passage, pour vous situer mon CDE : dès qu'un prof manifeste un peu trop son désaccord avec elle, elle appelle immédiatement l'IPR et menace
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Le pblme, c'est qu'il prétend (mais on n'en sait rien) que c'est notre IPR qui l'a exigé (parce que la collègue avec qui on doit partager les classes s'est faite descendre (y a pas d'autre mot) lors d'une inspection et que, paraît-il l'IPR ne veut plus qu'elle ait de classe en responsabilité
Au passage, pour vous situer mon CDE : dès qu'un prof manifeste un peu trop son désaccord avec elle, elle appelle immédiatement l'IPR et menace
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Plus vraiment "néo" : prof de LM depuis 2001
- User5899Demi-dieu
Hi hi. Nous, notre super proviseur qu'on va encore garder un an ou deux raccroche au nez de l'IPR dès que celui-ci exige quelque chose. Je l'ai déjà entendu dire à un copain prof de SVT "le chef c'est moi, et moi, j'ai confiance en vous. Faites-la mentir, moi, je m'occupe du reste". Ben ça aide à se lever le matin, des CE comme ça, je vous jure.val09 a écrit:Le pblme, c'est qu'il prétend (mais on n'en sait rien) que c'est notre IPR qui l'a exigé (parce que la collègue avec qui on doit partager les classes s'est faite descendre (y a pas d'autre mot) lors d'une inspection et que, paraît-il l'IPR ne veut plus qu'elle ait de classe en responsabilité
Au passage, pour vous situer mon CDE : dès qu'un prof manifeste un peu trop son désaccord avec elle, elle appelle immédiatement l'IPR et menace
- Quelle argumentation développer quand on nous attaque sur notre métier et notre statut de fonctionnaire ?
- Quand saurons-nous quelle sera notre ZR???
- Quand notre propre organisation des cours ne nous satisfait plus
- Quand une collègue pp joue les hypocrites...
- Il est 14h: notre cde nous dit de rentrer chez nous!! :)))))))
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