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- simone du bavoirNiveau 6
..Post pour parler de nos tentatives de reconversions....
- DinaaaExpert spécialisé
Et les métiers de l'édition ? Je sais que c'est vaste et j'ignore s'il y a des débouchés, mais pourquoi pas ?
J'ai une amie qui a 7 ans comme journaliste polyvalente dans une chaîne locale derrière elle, qui a fait une formation de 6 mois au CFJ Paris et... qui attend désespérément sa première pige... alors je crois que le journalisme, c'est même pas la peine d'y penser !
Bon courage pour cette reconversion ! C'est déjà formidable d'avoir le courage de dire stop quand on sent qu'on va dans le mur, tout le monde n'en est pas capable.
J'ai une amie qui a 7 ans comme journaliste polyvalente dans une chaîne locale derrière elle, qui a fait une formation de 6 mois au CFJ Paris et... qui attend désespérément sa première pige... alors je crois que le journalisme, c'est même pas la peine d'y penser !
Bon courage pour cette reconversion ! C'est déjà formidable d'avoir le courage de dire stop quand on sent qu'on va dans le mur, tout le monde n'en est pas capable.
- InvitéNGrand sage
Euh ...pas de conseil avisé à te donner mais juste l'envie de te souhaiter bon courage !
- Reine MargotDemi-dieu
pour les bibliothèques: en coucours territorial en effet le concours seul ne te donne rien, tu dois rechercher un poste toi-même, et comme ils ne prennent que d'anciens contractuels...Carabas avec un DUT métiers du livre n'a pas trouvé de poste de contractuel d'ailleurs alors...
Sinon moi aussi je me vois de plus en plus en doc. certes il faut "garder" les élèves mais ça parait plus logique de jouer à "madame chut!"dans une bibliothèque où on gère soi-même le moment où on fait nos tâches de doc, que dans un cours de français, où le cours doit se dérouler maintenant, et où on devient un éducateur, ce qui dénature notre métier.
Je veux changer car je ne supporte plus ce que le métier est devenu, le travail d'éducation à faire auprès des élèves alors que je suis censée faire un cours. Surveiller, même activement, des élèves, pourquoi pas. Je ne manque pas d'autorité, c'est au contraire que la force que je déploie braque les élèves....et que je n'ai pas envie de faire semblant de copiner avec eux.
Sinon moi aussi je me vois de plus en plus en doc. certes il faut "garder" les élèves mais ça parait plus logique de jouer à "madame chut!"dans une bibliothèque où on gère soi-même le moment où on fait nos tâches de doc, que dans un cours de français, où le cours doit se dérouler maintenant, et où on devient un éducateur, ce qui dénature notre métier.
Je veux changer car je ne supporte plus ce que le métier est devenu, le travail d'éducation à faire auprès des élèves alors que je suis censée faire un cours. Surveiller, même activement, des élèves, pourquoi pas. Je ne manque pas d'autorité, c'est au contraire que la force que je déploie braque les élèves....et que je n'ai pas envie de faire semblant de copiner avec eux.
_________________
Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- Invité24Vénérable
et bien je dirais, pour parler franchement, que toutes les voies citées ne sont guère porteuses d'emploi et d'avenir....
journalisme: galère absolue, de quoi finir stagiaire à 35 piges....C'est un secteur extremement prisé, bcp de jeunes se jettent dans ces filières....
bibliothèque: les expériences de marquise et carabas me paraissent repoussoir....
capes de doc: ou comment quitter l'enseignenemnt en restant professeur.... si tu souffres de ce métier, je doute que la doc t'épanouisse...
edition: euh........... il y encore des gens qui trouvent un emploi dans le secteur????
alors je te dirais: cherche encore.
Plus j'y pense (et j'y pense pour moi à moyen terme) plus je me dis que l'avenir du prof de lettres n'a RIEN à voir avec les livres....
journalisme: galère absolue, de quoi finir stagiaire à 35 piges....C'est un secteur extremement prisé, bcp de jeunes se jettent dans ces filières....
bibliothèque: les expériences de marquise et carabas me paraissent repoussoir....
capes de doc: ou comment quitter l'enseignenemnt en restant professeur.... si tu souffres de ce métier, je doute que la doc t'épanouisse...
edition: euh........... il y encore des gens qui trouvent un emploi dans le secteur????
alors je te dirais: cherche encore.
Plus j'y pense (et j'y pense pour moi à moyen terme) plus je me dis que l'avenir du prof de lettres n'a RIEN à voir avec les livres....
- Reine MargotDemi-dieu
la doc oui on rste prof, mais c'est différent. Même avant de passer le Capes, je me demandais comment je ferais, je stressais un peu. Au CDI, pour toutes les heures que j'y ai passées, je 'nai jamais été mal, jamais souffert et ça m'a toujours attirée, j'ai toujours passé bcp de temps notamment en latin au CDI, seule ou accompagnée de la doc et j'y étais bien. ou comment exercer mon métier de la manière qui me convient.4
dans certains bahuts je passais plus de temps au CDI à papoter avec la doc qu'en salle des profs...et puis au moins j'ai vu le métier de près je ne peux pas dire que je n'ai aucune idée de ce qui m'attend.
dans certains bahuts je passais plus de temps au CDI à papoter avec la doc qu'en salle des profs...et puis au moins j'ai vu le métier de près je ne peux pas dire que je n'ai aucune idée de ce qui m'attend.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- simone du bavoirNiveau 6
Merci pour vos réponses
Effectivement, c'est difficile et le marché de l'emploi n'aide en rien...
Je pense que je vais essayer le capes de doc comme toi, marquise, si j'arrive à me motiver et à boucler l'année.
effectivement, je ne suis pas sûre que ça "m'épanouisse" comme dit Rose ; je ne cherche plus un métier qui m'épanouisse, juste un métier où je n'aille pas la peur au ventre comme c'est le cas actuellement et gagner honnêtement ma vie. Pour m'épanouir, j'ai des tas d'autres activités. en fait, hormis le boulot, j'adore ma vie mais c'est quand même un gros point noir.
J'espère juste que le métier de doc sera moins exposé que celui de prof et me demandera moins d'énergie physique et mentale. J'attends d'autres avis s'il y en a.
Effectivement, c'est difficile et le marché de l'emploi n'aide en rien...
Je pense que je vais essayer le capes de doc comme toi, marquise, si j'arrive à me motiver et à boucler l'année.
effectivement, je ne suis pas sûre que ça "m'épanouisse" comme dit Rose ; je ne cherche plus un métier qui m'épanouisse, juste un métier où je n'aille pas la peur au ventre comme c'est le cas actuellement et gagner honnêtement ma vie. Pour m'épanouir, j'ai des tas d'autres activités. en fait, hormis le boulot, j'adore ma vie mais c'est quand même un gros point noir.
J'espère juste que le métier de doc sera moins exposé que celui de prof et me demandera moins d'énergie physique et mentale. J'attends d'autres avis s'il y en a.
- V.MarchaisEmpereur
Bonsoir Simone,
Ma contribution va être très anecdotique mais on sait jamais...
Une de mes copines s'est reconvertie dans un domaine auquel on pense très peu, mais dans lequel elle est à présent très épanouie : écrivain public.
Oui, ça existe. Il y a même une formation, courte mais efficace, d'après elle. Notre société exige de plus en plus de savoir s'exprimer à l'écrit, élaborer toutes sortes de courriers, et vous n'êtes pas sans avoir remarqué que bien des personnes sont démunies dans ce domaine.
Soyons clair, le plus gros de son boulot, c'est des courriers administratifs. Mais aussi quelques beaux échanges : lire au destinataire une lettre reçue du pays, l'aider à formuler une réponse au plus près de sa pensée, exercice difficile quand la personne parle mal français : il faut s'abstenir de toute recherche d'effet, essayer d'être nuancé sans dénaturer la pensée d'autrui... Elle en parle avec passion. Elle ne gagne pas des cents et des mille - les débuts, surtout, sont durs - mais elle vit correctement et elle est très heureuse.
Si tu veux, je lui demande des détails sur sa formation.
Ma contribution va être très anecdotique mais on sait jamais...
Une de mes copines s'est reconvertie dans un domaine auquel on pense très peu, mais dans lequel elle est à présent très épanouie : écrivain public.
Oui, ça existe. Il y a même une formation, courte mais efficace, d'après elle. Notre société exige de plus en plus de savoir s'exprimer à l'écrit, élaborer toutes sortes de courriers, et vous n'êtes pas sans avoir remarqué que bien des personnes sont démunies dans ce domaine.
Soyons clair, le plus gros de son boulot, c'est des courriers administratifs. Mais aussi quelques beaux échanges : lire au destinataire une lettre reçue du pays, l'aider à formuler une réponse au plus près de sa pensée, exercice difficile quand la personne parle mal français : il faut s'abstenir de toute recherche d'effet, essayer d'être nuancé sans dénaturer la pensée d'autrui... Elle en parle avec passion. Elle ne gagne pas des cents et des mille - les débuts, surtout, sont durs - mais elle vit correctement et elle est très heureuse.
Si tu veux, je lui demande des détails sur sa formation.
- Pierre_au_carréGuide spirituel
rose a écrit:
edition: euh........... il y encore des gens qui trouvent un emploi dans le secteur????
En salarié, peu.
Après, en indépendant, il y a beaucoup plus de places : correcteur, lecteur-correcteur, illustrateur, traducteur, auteur...
Il y a des métiers qui peuvent se faire à domicile, donc ils ont fini par se faire en indépendant.
Mais certains ont des mauvaises conditions : http://www.liberation.fr/culture/0101612104-correcteurs-a-rude-epreuve
- CarabasVénérable
C'est assez différent selon ton lieu de travail. Dans une bibliothèque municipale, tu as des tâches assez variées : catalogage (description et informatisation du document en fonction d'une norme) et indexation (classement des documents en fonction d'une autre norme et du fonds), constitution du fonds (évaluation des besoins, achats en fonction de ces besoins et désherbage, c'est-à-dire sélection des bouquins à virer parce que trop vieux ou inadaptés), gestion, organisation des expos (souvent prévue un ou 2 ans à l'avance) et autres animations (type l'heure du conte, bibliothèques hors les murs, salon de lecture...), réunions (c'est aussi un métier qui souffre de la réunionnite, mais ça dépend des chefs)... et comme tu le dis, rangement, qui occupe quand même pas mal de temps.Simone du bavoir a écrit:Quant aux biblis, aucune idée de ce que c'est! A part ranger les livres et enregistrer les prêts, je ne vois pas ce qu'ils font...
En BU, tu es affectée à une tâche en fonction de ton concours : si tu as eu celui de bibliothécaire adjoint spécialisé (BAS, dans leur jargon), tu fais essentiellement du catalogage (en même temps, je viens de réaliser qu'il faut le DUT pour se présenter à ce concours). Si tu as celui de bibliothécaire, tu as plus de responsabilités, puisque c'est catégorie A. C'est plus hiérarchisé, en fait.
Je ne peux que confirmer. J'espérais trouver un poste, grâce à mon DUT, mais rien du tout. Je suis pourtant, objectivement, sérieuse, aimable, souriante et motivée, mais ça ne passe pas. Je crois qu'avoir démissionné au bout de 2 ans dans l'EN paraît suspect. Je dis ça suite à mon dernier entretien, qui a eu lieu il y a un moins. Les personnes face à moi avaient l'air intéressé jusqu'au moment où, suite à une question, j'ai dû préciser que j'avais bien démissionné. Elles me croyaient en disponibilité et je les ai détrompées. Tu n'auras pas ce problème, mais je crois vraiment que mon cv suscite la méfiance parce que mon passage dans l'EN a été très très bref...marquisedemerteuil a écrit:pour les bibliothèques: en coucours territorial en effet le concours seul ne te donne rien, tu dois rechercher un poste toi-même, et comme ils ne prennent que d'anciens contractuels...Carabas avec un DUT métiers du livre n'a pas trouvé de poste de contractuel d'ailleurs alors...
Si j'avais été validée, j'aurais tenté l'interne de doc aussi. Comme toi, guider de petits groupes ne me posait pas de pbs, mais je ne sais absolument pas m'imposer face au groupe classe. En cours particuliers, en revanche, j'ai une très bonne relation avec mes élèves. Mais là, le capes doc est maintenant hors de ma portée : je n'ai pas de M2 et je n'ai pas envie de perdre une nouvelle année sur les bancs de la fac ou de l'IUFM...
Je te conseille les concours : tu peux tous les tenter, même ceux des catégories B et C, quitte à progresser en interne par la suite. En attendant, tu ne perdras pas sur ton salaire. Le mieux, pour les concours, c'est l'entraînement. Je dis ça, mais justement, je me suis découragée et ai arrêté de les passer... je vais essayer de m'y remettre.
Bon courage. N'hésite pas à me mp si tu veux des détails. Je crois qu'on s'en est déjà envoyé quelques uns.
- Pierre_au_carréGuide spirituel
V.Marchais a écrit:Bonsoir Simone,
Ma contribution va être très anecdotique mais on sait jamais...
Une de mes copines s'est reconvertie dans un domaine auquel on pense très peu, mais dans lequel elle est à présent très épanouie : écrivain public.
Oui, ça existe. Il y a même une formation, courte mais efficace, d'après elle. Notre société exige de plus en plus de savoir s'exprimer à l'écrit, élaborer toutes sortes de courriers, et vous n'êtes pas sans avoir remarqué que bien des personnes sont démunies dans ce domaine.
Soyons clair, le plus gros de son boulot, c'est des courriers administratifs. Mais aussi quelques beaux échanges : lire au destinataire une lettre reçue du pays, l'aider à formuler une réponse au plus près de sa pensée, exercice difficile quand la personne parle mal français : il faut s'abstenir de toute recherche d'effet, essayer d'être nuancé sans dénaturer la pensée d'autrui... Elle en parle avec passion. Elle ne gagne pas des cents et des mille - les débuts, surtout, sont durs - mais elle vit correctement et elle est très heureuse.
Si tu veux, je lui demande des détails sur sa formation.
J'avais lu à plusieurs endroits que c'était un métier "porteur", sans vraiment comprendre comment ça pouvait assurer un temps plein...
Comment s'adresse-t-on à elle ?
Je vois mal des gens qui ne savent pas écrire, aller vers quelqu'un qui va le faire à leur place, sauf si c'est une personne très proche.
- V.MarchaisEmpereur
C'est un métier. Les gens qui en ont besoin savent que ça existe - les communautés et les associations relaient ce type d'info. Elle a sa plaque. Au début, c'est dur : il faut se faire sa clientèle. C'est du bouche à oreille. Dur aussi de réclamer son salaire à des personnes manifestement très modestes. Evidemment, c'est pas les cadres sup qui ont besoin d'un écrivain public.
C'est un métier qu'on peut faire avec beaucoup d'humanité, mais il faut en vivre, ne pas tomber dans le sacerdoce et ne pas être gêné avec l'argent, sinon, ça devient impossible.
C'est un métier qu'on peut faire avec beaucoup d'humanité, mais il faut en vivre, ne pas tomber dans le sacerdoce et ne pas être gêné avec l'argent, sinon, ça devient impossible.
- Pierre_au_carréGuide spirituel
oui, le mélange des genres entre profession libérale et métier à caractère social doit être difficile à gérer...
- doublecasquetteEnchanteur
V.Marchais a écrit:Bonsoir Simone,
Ma contribution va être très anecdotique mais on sait jamais...
Une de mes copines s'est reconvertie dans un domaine auquel on pense très peu, mais dans lequel elle est à présent très épanouie : écrivain public.
Oui, ça existe. Il y a même une formation, courte mais efficace, d'après elle. Notre société exige de plus en plus de savoir s'exprimer à l'écrit, élaborer toutes sortes de courriers, et vous n'êtes pas sans avoir remarqué que bien des personnes sont démunies dans ce domaine.
Soyons clair, le plus gros de son boulot, c'est des courriers administratifs. Mais aussi quelques beaux échanges : lire au destinataire une lettre reçue du pays, l'aider à formuler une réponse au plus près de sa pensée, exercice difficile quand la personne parle mal français : il faut s'abstenir de toute recherche d'effet, essayer d'être nuancé sans dénaturer la pensée d'autrui... Elle en parle avec passion. Elle ne gagne pas des cents et des mille - les débuts, surtout, sont durs - mais elle vit correctement et elle est très heureuse.
Si tu veux, je lui demande des détails sur sa formation.
Ça me semble un bon plan ! Une sorte d'assistante sociale libérale. Le tout est de bien se renseigner sur toutes les aides sociales, les législations des professions artisanales, l'URSSAF, les Centres des Impôts, et tout et tout. On peut vite se rendre indispensable si on maîtrise bien les sujets.
- simone du bavoirNiveau 6
Pffff.... Je suis complètement paumée.
Marre de ces problèmes d'orientation qui me poursuivent depuis le lycée. En toute objectivité, je ne suis faite pour rien. Des tests d'orientation faits au lycée avec un conseiller m'avaient donné pour réponse: chercheur, poète, professions artistiques... Génial, autant dire chômeur longue durée!
L'enseignement est pour moi un calvaire, documentaliste, je ne crois pas que ce soit bien mieux, bibliothécaire me fait bailler d'avance, journaliste, aucune chance, et le reste... néant.
27 ans et toujours aucune avancée dans ce domaine.
L'idée d'écrivain public,je veux bien les infos mais je trouve ça un peu limite effectivement sauf si on accepte d'être super mal payé.
Entre les rêves impossibles et la réalité tellement décevante, je vais devenir dingue.
Quitte à me résigner à faire un boulot inintéressant, je souhaite juste qu'il me laisse le max de temps libre pour faire des choses intéressantes. Si vous avez d'autres idées...
Marre de ces problèmes d'orientation qui me poursuivent depuis le lycée. En toute objectivité, je ne suis faite pour rien. Des tests d'orientation faits au lycée avec un conseiller m'avaient donné pour réponse: chercheur, poète, professions artistiques... Génial, autant dire chômeur longue durée!
L'enseignement est pour moi un calvaire, documentaliste, je ne crois pas que ce soit bien mieux, bibliothécaire me fait bailler d'avance, journaliste, aucune chance, et le reste... néant.
27 ans et toujours aucune avancée dans ce domaine.
L'idée d'écrivain public,je veux bien les infos mais je trouve ça un peu limite effectivement sauf si on accepte d'être super mal payé.
Entre les rêves impossibles et la réalité tellement décevante, je vais devenir dingue.
Quitte à me résigner à faire un boulot inintéressant, je souhaite juste qu'il me laisse le max de temps libre pour faire des choses intéressantes. Si vous avez d'autres idées...
- doublecasquetteEnchanteur
Faire des ménages chez des particuliers et se rendre indispensable tout en gardant libre la totalité de son cerveau?
Des fois, j'en rêve ...
Des fois, j'en rêve ...
- CarabasVénérable
J'ai l'impression de me lire, à peu de choses près, Simone du bavoir.
Sauf que je n'ai pas fait de tests d'orientation et que j'étais convaincue de vouloir être prof.
Ou alors vendeuse à la fn*c.
Mais mon orgueil m'empêche de me tourner vers ces voies après avoir fait 6 ans d'études ...
Sauf que je n'ai pas fait de tests d'orientation et que j'étais convaincue de vouloir être prof.
Parfois, je rêve d'être vendeuse en animalerie chez Tr*ff**lt. Bon, je suis plus branchée chats et chiens que lapins, mais vous voyez l'idée.doublecasquette a écrit:Faire des ménages chez des particuliers et se rendre indispensable tout en gardant libre la totalité de son cerveau?
Des fois, j'en rêve ...
Ou alors vendeuse à la fn*c.
Mais mon orgueil m'empêche de me tourner vers ces voies après avoir fait 6 ans d'études ...
- doublecasquetteEnchanteur
Moi, quand je rêve, y'a pas de bestioles ...Carabas a écrit:J'ai l'impression de me lire, à peu de choses près, Simone du bavoir.
Sauf que je n'ai pas fait de tests d'orientation et que j'étais convaincue de vouloir être prof.Parfois, je rêve d'être vendeuse en animalerie chez Tr*ff**lt. Bon, je suis plus branchée chats et chiens que lapins, mais vous voyez l'idée.doublecasquette a écrit:Faire des ménages chez des particuliers et se rendre indispensable tout en gardant libre la totalité de son cerveau?
Des fois, j'en rêve ...
Ou alors vendeuse à la fn*c.
Mais mon orgueil m'empêche de me tourner vers ces voies après avoir fait 6 ans d'études ...
- InvitéeHrÉrudit
Je me reconnais un peu dans ton témoignage simone, les quelques boulots que j'ai pu faire m'ont toujours horriblement ennuyée, ce qui m'intéresse le plus c'est mon activité artistique que je ne lâcherai jamais. Si tu es d'un tempérament créatif, ne tente pas bibliothécaire, tu vas t'ennuyer.
PS j'en profite pour dire à Carabas que l'autre jour à la radio j'ai entendu parler du métier de comportemaliste animalier, mais je ne sais pas quelle formation il faut faire.
PS j'en profite pour dire à Carabas que l'autre jour à la radio j'ai entendu parler du métier de comportemaliste animalier, mais je ne sais pas quelle formation il faut faire.
- CarabasVénérable
Ce sont des formations par correspondance par des organismes privés. Il n'y a pas de diplôme d'Etat. J'y pense, des fois, mais c'est, là encore, hyper précaire. Il faut se constituer une clientèle et on est toujours en déplacement (donc sans permis c'est problématique.) Mais il y aurait de la demande, je pense, vu comment les gens connaissent peu leurs animaux et ne savent pas s'en occuper (tout comme ils connaissent peu leur progéniture, mais ça ne me concerne plus).heather a écrit:PS j'en profite pour dire à Carabas que l'autre jour à la radio j'ai entendu parler du métier de comportemaliste animalier, mais je ne sais pas quelle formation il faut faire.
Edit : bon, du coup, j'ai envoyé un mp à Doublecasquette.
- doublecasquetteEnchanteur
Les formations par correspondance non diplômantes auprès d'organismes privés sont des pièges à gogos. C'est de l'exploitation de crédulité, quelque soit le domaine. Ça vaut la pilule-miracle qui te fait perdre dix kilos par semaine sans souffrance, sauf que c'est beaucoup plus cher.
Il est totalement anormal qu'on laisse fleurir ces merdes qui truffent les programmes télé et les journaux pour ménagères de moins de cinquante ans.
Les gens s'y font voler comme dans un bois.
Il est totalement anormal qu'on laisse fleurir ces merdes qui truffent les programmes télé et les journaux pour ménagères de moins de cinquante ans.
Les gens s'y font voler comme dans un bois.
- doublecasquetteEnchanteur
Sérieusement, si moi, vétérinaire, abstraction faite de mon diplôme qui m'ouvre les portes, voulait faire, du haut de mon expérience, du conseil en éducation canine, je commencerais par ouvrir une pension pour chiens et chats, en grande banlieue ou proche campagne de ville de belle importance. Là, il y a de la demande et certainement nettement supérieure à l'offre. A partir de cette entreprise, et une fois qu'elle serait florissante, je créerais des activités annexes type école du chiot, dressage, agility, éducation canine et soins aux troubles comportementaux, ce dernier point une fois la notoriété acquise. Eventuellement, vente d'aliments haut de gamme et/ou élevage canin et/ou crematorium, avec urnes funéraires et tout et tout.
- doublecasquetteEnchanteur
Sérieusement, l'idéal est de commencer par la pension et l'école du chiot, mais ne croyez pas que les maîtres de chiots sont plus ouverts que les parents d'élèves et que vous en retirerez plus de satisfactions ...
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