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Vous vous considérez scientifique, vous êtes actuellement professeur de ... ?
- profesvtNiveau 5
:lol:
Pas le temps de chercher la tombe de tous ce gadjos ! Je suis overbookée , j'ai des copies à corriger ( avec du texte à lire moi ! ) :lecteur:
Pas le temps de chercher la tombe de tous ce gadjos ! Je suis overbookée , j'ai des copies à corriger ( avec du texte à lire moi ! ) :lecteur:
- InvitéInvité
Igniatius a écrit:
- Spoiler:
chez moi, quand un collègue de svt ou de PC passe en SDP, il me dit tjrs "Ah Igniatius, encore en train de corriger des copies ! Mais faut arrêter les contrôles, tu les fatigues." Eux ne trouvent jamais avoir trop de travail.
Ben oui, nous ce ne sont pas les copies qui nous donnent le plus de taf, ce sont les manips !
- IgniatiusGuide spirituel
Tiens, une vieille blague connue, mais qui me fait tjrs marrer.
Un mathématicien, un physicien, un biologiste et un informaticien sont réunis et on leur demande de démontrer le théorème suivant : "Tout nombre entier impair est premier."
Le mathématicien commence : "3 est premier, 5 est premier, 7 est premier, par une récurrence évidente, tous les nombres impairs sont premiers."
Le physicien prend la suite : "3 est premier, 5 est premier, 7 est premier, 9 n'est pas premier, 11 est premier, 13 est premier, aux erreurs de mesure près, tout nombre impair est premier."
Au tour du biologiste : "3 est premier, 5 est premier, 7 est premier, 9 est premier, 11 est premier, 13 est premier, 15 est premier, tous les nombres impairs sont premiers."
Et enfin l'informaticien : "3 est premier, 5 est premier, 7 est premier, 9 n'est pas premier, 9 n'est pas premier, 9 n'est pas premier, 9 n'est pas premier, 9 n'est pas premier....."
Je l'aime bien.
Un mathématicien, un physicien, un biologiste et un informaticien sont réunis et on leur demande de démontrer le théorème suivant : "Tout nombre entier impair est premier."
Le mathématicien commence : "3 est premier, 5 est premier, 7 est premier, par une récurrence évidente, tous les nombres impairs sont premiers."
Le physicien prend la suite : "3 est premier, 5 est premier, 7 est premier, 9 n'est pas premier, 11 est premier, 13 est premier, aux erreurs de mesure près, tout nombre impair est premier."
Au tour du biologiste : "3 est premier, 5 est premier, 7 est premier, 9 est premier, 11 est premier, 13 est premier, 15 est premier, tous les nombres impairs sont premiers."
Et enfin l'informaticien : "3 est premier, 5 est premier, 7 est premier, 9 n'est pas premier, 9 n'est pas premier, 9 n'est pas premier, 9 n'est pas premier, 9 n'est pas premier....."
Je l'aime bien.
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"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion."
St Augustin
"God only knows what I'd be without you"
Brian Wilson
- profesvtNiveau 5
Euh ??
C'est sympa mais ce doit être une blague que pour des profs de maths ... :boulet:
C'est sympa mais ce doit être une blague que pour des profs de maths ... :boulet:
- IgniatiusGuide spirituel
Oh la la, toi, tu vas avoir de gros problèmes.
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"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion."
St Augustin
"God only knows what I'd be without you"
Brian Wilson
- profesvtNiveau 5
Mon carnet , msieur ?? Mais j'ai rien fait !
- InvitéInvité
Bouh, je viens de me rendre compte que j'ai oublié toutes mes blagues sur les mathématiciens, physiciens etc etc ...
Pourtant, je les aimais bien !
Pourtant, je les aimais bien !
- InvitéInvité
Un mathématicien et un ingénieur assistent à la conférence d'un éminent physicien concernant les théories de Kulza-Klein sur les processus physiques intervenant dans les espaces de dimension 9.
Le mathématicien est assis et apprécie beaucoup la conférence, pendant que l'ingénieur fronce les sourcils et semble complètement embrouillé. A la fin, le mathématicien et l'ingénieur,qui a un énorme mal de crâne, commentent la conférence.
L'ingénieur : "Comment fais-tu pour comprendre tout cela ?"
Le mathématicien : "Il suffit de visualiser le processus."
L'ingénieur : "Mais comment peux-tu visualiser un processus intervenant dans un espace de dimension 9 ???"
Le mathématicien : "C'est simple. D'abord tu visualises le processus en dimension n, et ensuite il suffit de prendre n=9."."
Le mathématicien est assis et apprécie beaucoup la conférence, pendant que l'ingénieur fronce les sourcils et semble complètement embrouillé. A la fin, le mathématicien et l'ingénieur,qui a un énorme mal de crâne, commentent la conférence.
L'ingénieur : "Comment fais-tu pour comprendre tout cela ?"
Le mathématicien : "Il suffit de visualiser le processus."
L'ingénieur : "Mais comment peux-tu visualiser un processus intervenant dans un espace de dimension 9 ???"
Le mathématicien : "C'est simple. D'abord tu visualises le processus en dimension n, et ensuite il suffit de prendre n=9."."
- InvitéInvité
Ah mais je retrouve !
Deux personnes qui font un tour en montgolfière sont perdues. Elles décident de descendre un peu pour demander leur chemin.
Elles aperçoivent deux hommes qui discutent sur la route. Elles s'approchent et demandent :
" Excusez-moi, mais pouvez vous nous dire ou nous sommes ? "
Les deux hommes se regardent, délibèrent un moment, puis répondent :
" Vous êtes dans une montgolfière ! "
Les deux personnes de la montgolfière, un peu surpris, remercient quand même et reprennent de l'altitude.
Un peu plus loin, l'un dit à l'autre :
" À mon avis, ces deux-là, c'était des mathématiciens.
- Qu'est-ce qui te fait dire ça ?
- Eh bien, ils ont mis beaucoup de temps à nous répondre. Ce qu'ils nous ont dit est parfaitement juste. Et ça ne nous sert absolument à rien. "
Pendant ce temps, les deux mathématiciens disent :
" À mon avis, c'était des physiciens : ils nous posent des question évidentes, et après, s'ils sont perdus, ça va être de notre faute ! "
Deux personnes qui font un tour en montgolfière sont perdues. Elles décident de descendre un peu pour demander leur chemin.
Elles aperçoivent deux hommes qui discutent sur la route. Elles s'approchent et demandent :
" Excusez-moi, mais pouvez vous nous dire ou nous sommes ? "
Les deux hommes se regardent, délibèrent un moment, puis répondent :
" Vous êtes dans une montgolfière ! "
Les deux personnes de la montgolfière, un peu surpris, remercient quand même et reprennent de l'altitude.
Un peu plus loin, l'un dit à l'autre :
" À mon avis, ces deux-là, c'était des mathématiciens.
- Qu'est-ce qui te fait dire ça ?
- Eh bien, ils ont mis beaucoup de temps à nous répondre. Ce qu'ils nous ont dit est parfaitement juste. Et ça ne nous sert absolument à rien. "
Pendant ce temps, les deux mathématiciens disent :
" À mon avis, c'était des physiciens : ils nous posent des question évidentes, et après, s'ils sont perdus, ça va être de notre faute ! "
- InvitéInvité
Comment démontrer un théorème? Voici les différentes méthodes recensées par l'APMEP (revue Plot, n°86) :
Démonstration par l'évidence : "La démonstration est triviale" ; "Immédiat à partir des définitions" ; "On obtient sans peine que..." ; "On voit que..."
Démonstration par la confiance : "Vous n'avez qu'à essayer, vous verrez, ça marche". Variante : "Je l'ai démontré hier chez moi, aucune difficulté."
Démonstration par consensus : "Tous ceux qui sont d'accord lèvent la main". Variante encore plus efficace : "Tous ceux qui ne sont pas d'accord lèvent la main."
Démonstration par commodité dénommée "nos désirs sont des réalités" : "Ce serait si beau si c'était vrai, donc..." (Redoutablement dangereuse.)
Démonstration par nécessité : "Ça doit être vrai, sinon toutes les mathématiques s'effondreraient." Variante : "Le cas contraire contredirait un résultat bien connu qui ne peut pas être faux." (Peu de travail est nécessaire pour en tirer une bonne vieille preuve par l'absurde.)
Démonstration par plausibilité : "Ça a l'air bon, donc ça doit être vrai." (Très utilisé pour évaluer le résultat d'un long calcul ; ne pas en abuser.)
Démonstration par intimidation : "Ne soyez pas stupide! Bien sûr que c'est vrai." Variantes du débutant : "Même un débutant sait ça" ; "Vous l'avez vu en sixième"." Variante du devoir pour demain : "Ceux qui en doutent feront la démonstration pour demain sur une feuille qu'ils me rendront." Variante du tableau : "Si quelqu'un a des doutes, il passe au tableau le démontrer."
Démonstration par manque de temps : "Il ne me reste pas assez de temps, vous ferez la démonstration vous-même."
Démonstration par complexité : "La démonstration est trop compliquée pour être donnée ici." Variantes : "Je ne peux pas vous le faire, car ça fait partie du programme de l'année prochaine." "J'ai fait le calcul en 1985, c'est assez pénible, je n'ai pas envie de le refaire."
Démonstration par accident : "Tiens, tiens, qu'avons-nous là..." (En fait, tout était calculé par avance pour obtenir le résultat prétendument inattendu.)
Démonstration par la définition dite méthode du postulat d'Euclide : "On le définit comme vrai." (En abuser risque de diminuer l'intérêt de votre cours.)
Démonstration par la tautologie : "C'est vrai, parce que c'est vrai." (Risque de vous faire perdre du crédit, mieux vaut utiliser une des autres méthodes.)
Démonstration par référence : "Comme c'est établi à la page 289 du ..." (Là encore, si vous en abusez, vous viderez votre cours de sa substance.)
Démonstration par perte de référence : "Je sais que j'ai vu la démonstration quelque part." (Même si c'est du bluff, préférez la méthode précédente.)
Démonstration par manque d'intérêt : "Y a-t-il quelqu'un qui souhaite vraiment voir la démonstration?" Variante en combinant avec la démonstration par complexité : "La démonstration est longue et pénible. Est-ce que je la fais?" Variante dite du calcul merdique : "En général, quand je me lance dans ce calcul, je me plante. On y va?"
Démonstration par obstination : "Vous pouvez croire ce que vous voulez, moi je vous dis que c'est vrai." Variante du contre-exemple : "Trouvez-moi un contre-exemple, en attendant je considère que c'est vrai." (Contraire à la déontologie la charge de la preuve ne serait pas à celui qui affirme.)
Démonstration par analogie : "C'est la même chose que..." ; "Il suffit de s'inspirer de..." "On procède comme pour..." (Moyen efficace d'obtenir des résultats faux : le procédé a coûté cher à de nombreux mathématiciens.)
Démonstration par autorité : "Borsnbuch l'a dit." Variante dite de l'ascenseur : "J'ai rencontré Borsnbuch dans l'ascenseur, et il est d'accord."
Démonstration par renvoi multiple : "On conclut en combinant les lemmes 1, 3, 8 et 15 avec le théorème 12, puis en utilisant les propositions 7, 9 et 21."
Démonstration par appel à l'opinion publique : "Si c'était vrai ça se saurait, donc c'est faux..." (Contrairement aux apparences, ce procédé marche bien, car les résultats simples qui n'ont pas été démontrés sont généralement faux.)
Démonstration par l'évidence : "La démonstration est triviale" ; "Immédiat à partir des définitions" ; "On obtient sans peine que..." ; "On voit que..."
Démonstration par la confiance : "Vous n'avez qu'à essayer, vous verrez, ça marche". Variante : "Je l'ai démontré hier chez moi, aucune difficulté."
Démonstration par consensus : "Tous ceux qui sont d'accord lèvent la main". Variante encore plus efficace : "Tous ceux qui ne sont pas d'accord lèvent la main."
Démonstration par commodité dénommée "nos désirs sont des réalités" : "Ce serait si beau si c'était vrai, donc..." (Redoutablement dangereuse.)
Démonstration par nécessité : "Ça doit être vrai, sinon toutes les mathématiques s'effondreraient." Variante : "Le cas contraire contredirait un résultat bien connu qui ne peut pas être faux." (Peu de travail est nécessaire pour en tirer une bonne vieille preuve par l'absurde.)
Démonstration par plausibilité : "Ça a l'air bon, donc ça doit être vrai." (Très utilisé pour évaluer le résultat d'un long calcul ; ne pas en abuser.)
Démonstration par intimidation : "Ne soyez pas stupide! Bien sûr que c'est vrai." Variantes du débutant : "Même un débutant sait ça" ; "Vous l'avez vu en sixième"." Variante du devoir pour demain : "Ceux qui en doutent feront la démonstration pour demain sur une feuille qu'ils me rendront." Variante du tableau : "Si quelqu'un a des doutes, il passe au tableau le démontrer."
Démonstration par manque de temps : "Il ne me reste pas assez de temps, vous ferez la démonstration vous-même."
Démonstration par complexité : "La démonstration est trop compliquée pour être donnée ici." Variantes : "Je ne peux pas vous le faire, car ça fait partie du programme de l'année prochaine." "J'ai fait le calcul en 1985, c'est assez pénible, je n'ai pas envie de le refaire."
Démonstration par accident : "Tiens, tiens, qu'avons-nous là..." (En fait, tout était calculé par avance pour obtenir le résultat prétendument inattendu.)
Démonstration par la définition dite méthode du postulat d'Euclide : "On le définit comme vrai." (En abuser risque de diminuer l'intérêt de votre cours.)
Démonstration par la tautologie : "C'est vrai, parce que c'est vrai." (Risque de vous faire perdre du crédit, mieux vaut utiliser une des autres méthodes.)
Démonstration par référence : "Comme c'est établi à la page 289 du ..." (Là encore, si vous en abusez, vous viderez votre cours de sa substance.)
Démonstration par perte de référence : "Je sais que j'ai vu la démonstration quelque part." (Même si c'est du bluff, préférez la méthode précédente.)
Démonstration par manque d'intérêt : "Y a-t-il quelqu'un qui souhaite vraiment voir la démonstration?" Variante en combinant avec la démonstration par complexité : "La démonstration est longue et pénible. Est-ce que je la fais?" Variante dite du calcul merdique : "En général, quand je me lance dans ce calcul, je me plante. On y va?"
Démonstration par obstination : "Vous pouvez croire ce que vous voulez, moi je vous dis que c'est vrai." Variante du contre-exemple : "Trouvez-moi un contre-exemple, en attendant je considère que c'est vrai." (Contraire à la déontologie la charge de la preuve ne serait pas à celui qui affirme.)
Démonstration par analogie : "C'est la même chose que..." ; "Il suffit de s'inspirer de..." "On procède comme pour..." (Moyen efficace d'obtenir des résultats faux : le procédé a coûté cher à de nombreux mathématiciens.)
Démonstration par autorité : "Borsnbuch l'a dit." Variante dite de l'ascenseur : "J'ai rencontré Borsnbuch dans l'ascenseur, et il est d'accord."
Démonstration par renvoi multiple : "On conclut en combinant les lemmes 1, 3, 8 et 15 avec le théorème 12, puis en utilisant les propositions 7, 9 et 21."
Démonstration par appel à l'opinion publique : "Si c'était vrai ça se saurait, donc c'est faux..." (Contrairement aux apparences, ce procédé marche bien, car les résultats simples qui n'ont pas été démontrés sont généralement faux.)
- InvitéInvité
Un mathématicien, un physicien et un ingénieur voyagent à travers l'Ecosse et voient un mouton noir par la fenêtre du train.
"Aha," dit l'ingénieur, "je vois que les moutons écossais sont noirs."
"Hmm," dit le physicien, "tu veux dire que certains moutons écossais sont noirs."
"Non," dit le mathématicien, "tout ce qu'on sait est qu'il y a au moins un mouton en Ecosse, et qu'au moins un côté de ce mouton est noir !"
"Aha," dit l'ingénieur, "je vois que les moutons écossais sont noirs."
"Hmm," dit le physicien, "tu veux dire que certains moutons écossais sont noirs."
"Non," dit le mathématicien, "tout ce qu'on sait est qu'il y a au moins un mouton en Ecosse, et qu'au moins un côté de ce mouton est noir !"
- InvitéInvité
:lol: :lol:
J'en utilise certaines !
Et la démonstration par renvoi multiple me rappelle la prépa
J'en utilise certaines !
Et la démonstration par renvoi multiple me rappelle la prépa
- JPhMMDemi-dieu
Will lâche ton recueil !!!
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- InvitéInvité
Un médecin, un légiste et un mathématicien discutent des mérites comparés d'une épouse et d'une maîtresse.
Le légiste :
“ Il vaut mieux avoir une maîtresse. En cas de divorce, une épouse pose de nombreux problèmes légaux. ”
Le médecin :
“ Il vaut mieux avoir une épouse, car le sentiment de sécurité réduit le stress, et c'est bon pour la santé. ”
Le mathématicien :
“ Vous avez tous les deux tort. Le mieux est d'avoir les deux. Quand votre femme vous croit chez votre maîtresse, et votre maîtresse chez votre femme, vous pouvez faire des maths. ”
Le légiste :
“ Il vaut mieux avoir une maîtresse. En cas de divorce, une épouse pose de nombreux problèmes légaux. ”
Le médecin :
“ Il vaut mieux avoir une épouse, car le sentiment de sécurité réduit le stress, et c'est bon pour la santé. ”
Le mathématicien :
“ Vous avez tous les deux tort. Le mieux est d'avoir les deux. Quand votre femme vous croit chez votre maîtresse, et votre maîtresse chez votre femme, vous pouvez faire des maths. ”
- InvitéInvité
JPhMM a écrit:Will lâche ton recueil !!!
Problème de la casserole de Poincaré
Dans une pièce, se trouve : un évier muni d'un robinet d'eau courante, une casserole accrochée à un mur, un réchaud à gaz et une boîte d'alumettes.
Problème : comment faire chauffer de l'eau ?
Solution : on prend la casserole, on la remplit d'eau, on la pose sur le réchaud que l'on allume.
Deuxième problème : nous sommes dans la même pièce, mais à présent, la casserole est remplie d'eau, posée sur le réchaud. La question est la même : faire chauffer de l'eau.
Solution du physicien : on allume le réchaud.
Solution du mathématicien : on vide la casserole, on la raccroche au mur, et on est ramené au problème précédent.
- InvitéInvité
dans le même esprit que ce matin :
Il y a trois sortes de matheux : ceux qui savent compter et ceux qui ne savent pas.
Il y a trois sortes de matheux : ceux qui savent compter et ceux qui ne savent pas.
- IgniatiusGuide spirituel
On demande à un mathématicien et à un physicien de sortir les casseroles pour faire chauffer de l'eau pour les pâtes.
Le physicien ouvre le placard dessous l'évier, sort la casserole, met de l'eau dedans, et la met à chauffer.
Le mathématicien ouvre le placard dessous l'évier, sort la casserole, met de l'eau dedans, et la met à chauffer.
On réitère l'expérience en plaçant la casserole dans un placard au-dessus de l'évier.
Le physicien ouvre le placard au-dessus de l'évier, sort la casserole, met de l'eau dedans, et la met à chauffer.
Le mathématicien ouvre le placard au-dessus de l'évier, sort la casserole, referme le placard, ouvre celui dessous l'évier, y place la casserole, le referme, se redresse et dit : "On est ramené au cas précédent."
Le physicien ouvre le placard dessous l'évier, sort la casserole, met de l'eau dedans, et la met à chauffer.
Le mathématicien ouvre le placard dessous l'évier, sort la casserole, met de l'eau dedans, et la met à chauffer.
On réitère l'expérience en plaçant la casserole dans un placard au-dessus de l'évier.
Le physicien ouvre le placard au-dessus de l'évier, sort la casserole, met de l'eau dedans, et la met à chauffer.
Le mathématicien ouvre le placard au-dessus de l'évier, sort la casserole, referme le placard, ouvre celui dessous l'évier, y place la casserole, le referme, se redresse et dit : "On est ramené au cas précédent."
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"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion."
St Augustin
"God only knows what I'd be without you"
Brian Wilson
- InvitéInvité
Oui, c'était celle la que je connaissais !
- JPhMMDemi-dieu
Oui.Will.T a écrit:dans le même esprit que ce matin :
Il y a trois sortes de matheux : ceux qui savent compter et ceux qui ne savent pas.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- InvitéInvité
Histoires courtes :
Une logicienne vient d'avoir un enfant. Un de ses amis lui téléphone, et lui demande :
“ C'est une fille ou un garçon ?
- Oui, répond la logicienne. ”
L'éléphant est énorme, mais le mammouth est n+1-orme.
Monsieur et madame Bertienne ont un fils, comment s'appelle-t-il ?
Trois statisticiens vont à la chasse au canard. Un canard décolle. Le premier tire et passe dix centimètres au-dessus. Le second tire et passe dix centimètres en-dessous. Le troisième, tout sourire : "c'est bon les gars, on l'a eu !"
Une logicienne vient d'avoir un enfant. Un de ses amis lui téléphone, et lui demande :
“ C'est une fille ou un garçon ?
- Oui, répond la logicienne. ”
L'éléphant est énorme, mais le mammouth est n+1-orme.
Monsieur et madame Bertienne ont un fils, comment s'appelle-t-il ?
- Spoiler:
- Basile
Trois statisticiens vont à la chasse au canard. Un canard décolle. Le premier tire et passe dix centimètres au-dessus. Le second tire et passe dix centimètres en-dessous. Le troisième, tout sourire : "c'est bon les gars, on l'a eu !"
- JPhMMDemi-dieu
Et dire qu'il y en a 115 pages...
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- InvitéInvité
Igniatius a écrit:Tiens, une vieille blague connue, mais qui me fait tjrs marrer.
Un mathématicien, un physicien, un biologiste et un informaticien sont réunis et on leur demande de démontrer le théorème suivant : "Tout nombre entier impair est premier."
Le mathématicien commence : "3 est premier, 5 est premier, 7 est premier, par une récurrence évidente, tous les nombres impairs sont premiers."
Le physicien prend la suite : "3 est premier, 5 est premier, 7 est premier, 9 n'est pas premier, 11 est premier, 13 est premier, aux erreurs de mesure près, tout nombre impair est premier."
Au tour du biologiste : "3 est premier, 5 est premier, 7 est premier, 9 est premier, 11 est premier, 13 est premier, 15 est premier, tous les nombres impairs sont premiers."
Et enfin l'informaticien : "3 est premier, 5 est premier, 7 est premier, 9 n'est pas premier, 9 n'est pas premier, 9 n'est pas premier, 9 n'est pas premier, 9 n'est pas premier....."
Je l'aime bien.
version plus longue...
Un mathématicien, un physicien, un informaticien, un biologiste et un littéraire veulent démontrer que tous les nombres impairs sont premiers.
Le mathématicien :
" 1 ça marche, 2 et 3, ça marche, 5 et 7 ça marche, 9 ça marche pas. ! Elle est débile votre règle ! "
Le physicien :
" 1 ça marche, 2 et 3 ça marche, 5 et 7 ça marche, 9 ça marche pas, c'est un résultat expérimental aberrant. 11 et 13 marchent... La règle est vrai."
L'informaticien :
" 1 ça marche, 2, ça marche, 3 ça marche, 5 ça marche, 7 ça marche, 9 ça marche pas, 9 ça marche pas, 9 ça marche pas ... "
Le chimiste :
"1 ça marche, 2 ça marche, 3 ça marche, 5 ça marche, 7 ça marche, 9 ça marche, 11 ça marche, 13 ça marche, etc... Donc la règle est vraie".
Le biologiste :
"1 est premier, 2 est premier, 3 est premier, 4 est premier..."
Le littéraire :
" C'est quoi un nombre premier ??? "
- InvitéInvité
Et on n'est pas sorti de l'auberge ...
- InvitéInvité
Will.T a écrit:Igniatius a écrit:Tiens, une vieille blague connue, mais qui me fait tjrs marrer.
Un mathématicien, un physicien, un biologiste et un informaticien sont réunis et on leur demande de démontrer le théorème suivant : "Tout nombre entier impair est premier."
Le mathématicien commence : "3 est premier, 5 est premier, 7 est premier, par une récurrence évidente, tous les nombres impairs sont premiers."
Le physicien prend la suite : "3 est premier, 5 est premier, 7 est premier, 9 n'est pas premier, 11 est premier, 13 est premier, aux erreurs de mesure près, tout nombre impair est premier."
Au tour du biologiste : "3 est premier, 5 est premier, 7 est premier, 9 est premier, 11 est premier, 13 est premier, 15 est premier, tous les nombres impairs sont premiers."
Et enfin l'informaticien : "3 est premier, 5 est premier, 7 est premier, 9 n'est pas premier, 9 n'est pas premier, 9 n'est pas premier, 9 n'est pas premier, 9 n'est pas premier....."
Je l'aime bien.
version plus longue...
Un mathématicien, un physicien, un informaticien, un biologiste et un littéraire veulent démontrer que tous les nombres impairs sont premiers.
Le mathématicien :
" 1 ça marche, 2 et 3, ça marche, 5 et 7 ça marche, 9 ça marche pas. ! Elle est débile votre règle ! "
Le physicien :
" 1 ça marche, 2 et 3 ça marche, 5 et 7 ça marche, 9 ça marche pas, c'est un résultat expérimental aberrant. 11 et 13 marchent... La règle est vrai."
L'informaticien :
" 1 ça marche, 2, ça marche, 3 ça marche, 5 ça marche, 7 ça marche, 9 ça marche pas, 9 ça marche pas, 9 ça marche pas ... "
Le chimiste :
"1 ça marche, 2 ça marche, 3 ça marche, 5 ça marche, 7 ça marche, 9 ça marche, 11 ça marche, 13 ça marche, etc... Donc la règle est vraie".
Le biologiste :
"1 est premier, 2 est premier, 3 est premier, 4 est premier..."
Le littéraire :
" C'est quoi un nombre premier ??? "
Mais pourquoi 2 ?
- JPhMMDemi-dieu
L'élève :
"1 est premier, 2 est deuxième, 3 est troisième..."
"1 est premier, 2 est deuxième, 3 est troisième..."
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- InvitéInvité
Un soir, les apôtres sont réunis autour de Jésus. Soudain, celui-ci prend la parole et déclare : "y = ax² + bx + c". Les apôtres restent un moment silencieux, et puis l'un deux murmure à son voisin : "Tu as compris ce qu'il a dit ?" Et l'autre répond : "Tu sais bien qu'il parle toujours par parabole !".
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