- JohnMédiateur
http://www.etreprofquandmeme.com/
9 bonnes raisons d'être enseignant avec l'IFP
Face aux idées reçues...
Ca paye pas : Tout de même !
En début de carrière, après obtention du concours, prof en école, collège ou lycée, le salaire est aujourd'hui autour de 1 603 € brut par mois et 3 022 € brut en fin de carrière. Et en plus, en Master 2, si vous êtes admissible, vous êtes rémunéré pendant vos stages.
Ça peut être dangereux : C'est ce qu'on dit !
Les étudiants qui sortent de l'IFP connaissent la vie des classes, la réalité des établissements. Ils ont suivi des stages pro en observation et/ou en responsabilité. Il existe des incivilités au quotidien mais que très rarement de véritables violences. Les élèves sont très spontanés, attachés à l'enseignant car la plupart du temps il est l'un des éléments stables de leur vie.
On dit que tu fous rien : Même pas vrai !
Chaque année, j'évalue et j'innove pour rendre mes cours plus vivants. Je me remets en question, je me forme… on n'enseigne pas de la même façon deux ans de suite. C'est un métier où l'on évolue constamment.
Une voie de garage : Bien au contraire !
L'IFP s'engage à former les futurs enseignants, à les initier aux différentes facettes du métier, à cultiver l'ensemble des compétences, y compris l'idée de la formation tout au long de la vie.
Ca craint en société : au contraire !
Avec les écoles ouvertes sur la ville, la culture, les échanges, l'enseignant est un vrai partenaire de l'éducation. Enseigner, c'est transmettre des connaissances mais aussi apprendre la vie en société.
Toujours en vacances : et bien non !
Ce qui motive la majorité des profs, ce n'est pas juste les vacances – même si elles offrent un véritable équilibre entre vie professionnelle et personnelle-, mais l'enseignement, le contact humain, le goût de créer des projets pour faire avancer les enfants dans la vie. De plus, pendant une partie importante des vacances, le prof prépare son programme et corrige ses copies !
Une bonne planque : pas du tout !
Les enfants changent chaque année. Il faut s'adapter en permanence, imaginer de nouveaux exercices. Il faut avoir le bon mot qui éveille, celui qui motive, celui qui pose la limite. C'est un métier très enrichissant.
Y'a plus de postes : Faux !
Dans les années à venir, 20 000 professeurs partiront à la retraite dans l'enseignement catholique et seront donc à remplacer. L'enseignement catholique recrute ! Face à ce défi d'accueil et de recrutement, l'IFP a mis en place un Master de l'enseignement en deux ans qui comprend une formation aux concours et qui alterne des savoirs universitaires et professionnels.
C'est quand tu sais pas quoi faire : NON !
C'est un métier de passion. Et la passion demande du temps, notamment pour suivre une formation de qualité avec l'IFP, et de l'échange, de l'innovation pour devenir de véritables passeurs de savoirs.
Vous souhaitez devenir professeur en école, collège ou lycée ! l'IFP, Institut de Formation Pédagogique, propose un master de l'enseignement de qualité. Tordez le cou aux idées reçues et engagez-vous dans une profession valorisante et d'avenir.
9 bonnes raisons d'être enseignant avec l'IFP
Face aux idées reçues...
Ca paye pas : Tout de même !
En début de carrière, après obtention du concours, prof en école, collège ou lycée, le salaire est aujourd'hui autour de 1 603 € brut par mois et 3 022 € brut en fin de carrière. Et en plus, en Master 2, si vous êtes admissible, vous êtes rémunéré pendant vos stages.
Ça peut être dangereux : C'est ce qu'on dit !
Les étudiants qui sortent de l'IFP connaissent la vie des classes, la réalité des établissements. Ils ont suivi des stages pro en observation et/ou en responsabilité. Il existe des incivilités au quotidien mais que très rarement de véritables violences. Les élèves sont très spontanés, attachés à l'enseignant car la plupart du temps il est l'un des éléments stables de leur vie.
On dit que tu fous rien : Même pas vrai !
Chaque année, j'évalue et j'innove pour rendre mes cours plus vivants. Je me remets en question, je me forme… on n'enseigne pas de la même façon deux ans de suite. C'est un métier où l'on évolue constamment.
Une voie de garage : Bien au contraire !
L'IFP s'engage à former les futurs enseignants, à les initier aux différentes facettes du métier, à cultiver l'ensemble des compétences, y compris l'idée de la formation tout au long de la vie.
Ca craint en société : au contraire !
Avec les écoles ouvertes sur la ville, la culture, les échanges, l'enseignant est un vrai partenaire de l'éducation. Enseigner, c'est transmettre des connaissances mais aussi apprendre la vie en société.
Toujours en vacances : et bien non !
Ce qui motive la majorité des profs, ce n'est pas juste les vacances – même si elles offrent un véritable équilibre entre vie professionnelle et personnelle-, mais l'enseignement, le contact humain, le goût de créer des projets pour faire avancer les enfants dans la vie. De plus, pendant une partie importante des vacances, le prof prépare son programme et corrige ses copies !
Une bonne planque : pas du tout !
Les enfants changent chaque année. Il faut s'adapter en permanence, imaginer de nouveaux exercices. Il faut avoir le bon mot qui éveille, celui qui motive, celui qui pose la limite. C'est un métier très enrichissant.
Y'a plus de postes : Faux !
Dans les années à venir, 20 000 professeurs partiront à la retraite dans l'enseignement catholique et seront donc à remplacer. L'enseignement catholique recrute ! Face à ce défi d'accueil et de recrutement, l'IFP a mis en place un Master de l'enseignement en deux ans qui comprend une formation aux concours et qui alterne des savoirs universitaires et professionnels.
C'est quand tu sais pas quoi faire : NON !
C'est un métier de passion. Et la passion demande du temps, notamment pour suivre une formation de qualité avec l'IFP, et de l'échange, de l'innovation pour devenir de véritables passeurs de savoirs.
_________________
En achetant des articles au lien ci-dessous, vous nous aidez, sans frais, à gérer le forum. Merci !
"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- AuroreEsprit éclairé
:lol!: :Lool:
Cette pub en dit long, tant dans sa formulation (les meirieuseries...) que dans le fond du message...
Cette pub en dit long, tant dans sa formulation (les meirieuseries...) que dans le fond du message...
- retraitéeDoyen
C'est l'inverse! Meirieu sort de la JEC. Extrait d'une interview
Projet - Où commence votre histoire avec l’école?
Philippe Meirieu - Depuis la classe maternelle, devrais-je dire, mais
ce n’est peut-être pas là que tout commence. Elle débute vraiment à partir
du collège et surtout du lycée. J’étais élève dans un lycée public, à Alès
dans le Gard, et j’y étais militant de la JEC. La question de l’engagement
dans la cité est alors au coeur de la réflexion. A l’époque de Vatican II, ces
idées ont trouvé un écho et un socle. Mais voici qu’au même moment, la
JEC vit une crise : elle se voit rappelée à l’ordre par la hiérarchie catholique,
à cause de ses prises de position dans la guerre du Vietnam...
Je suis donc simultanément écolier et un membre très actif de l’Action
catholique. C’est en son sein que je découvre une dimension militante qui
sera déterminante pour m’aider à penser les problèmes scolaires. Dans le
contexte des années 60, quelques frémissements se font jour sous la poussée
d’organismes associatifs et plus largement des évolutions sociales,
Projet 267-
Projet - Où commence votre histoire avec l’école?
Philippe Meirieu - Depuis la classe maternelle, devrais-je dire, mais
ce n’est peut-être pas là que tout commence. Elle débute vraiment à partir
du collège et surtout du lycée. J’étais élève dans un lycée public, à Alès
dans le Gard, et j’y étais militant de la JEC. La question de l’engagement
dans la cité est alors au coeur de la réflexion. A l’époque de Vatican II, ces
idées ont trouvé un écho et un socle. Mais voici qu’au même moment, la
JEC vit une crise : elle se voit rappelée à l’ordre par la hiérarchie catholique,
à cause de ses prises de position dans la guerre du Vietnam...
Je suis donc simultanément écolier et un membre très actif de l’Action
catholique. C’est en son sein que je découvre une dimension militante qui
sera déterminante pour m’aider à penser les problèmes scolaires. Dans le
contexte des années 60, quelques frémissements se font jour sous la poussée
d’organismes associatifs et plus largement des évolutions sociales,
Projet 267-
- AuroreEsprit éclairé
retraitée a écrit:C'est l'inverse! Meirieu sort de la JEC. Extrait d'une interview
Projet - Où commence votre histoire avec l’école?
Philippe Meirieu - Depuis la classe maternelle, devrais-je dire, mais
ce n’est peut-être pas là que tout commence. Elle débute vraiment à partir
du collège et surtout du lycée. J’étais élève dans un lycée public, à Alès
dans le Gard, et j’y étais militant de la JEC. La question de l’engagement
dans la cité est alors au coeur de la réflexion. A l’époque de Vatican II, ces
idées ont trouvé un écho et un socle. Mais voici qu’au même moment, la
JEC vit une crise : elle se voit rappelée à l’ordre par la hiérarchie catholique,
à cause de ses prises de position dans la guerre du Vietnam...
Je suis donc simultanément écolier et un membre très actif de l’Action
catholique. C’est en son sein que je découvre une dimension militante qui
sera déterminante pour m’aider à penser les problèmes scolaires. Dans le
contexte des années 60, quelques frémissements se font jour sous la poussée
d’organismes associatifs et plus largement des évolutions sociales,
Projet 267-
Mais justement, aujourd'hui l'enseignement catho est en quête de "respectabilité", ce qui le pousse à en donner une image moins "traditionnelle", moins "passéiste". D'où le virage meirieusien en cours ("formation tout au long de la vie", insistance sur le rôle social de la scolarisation, culte de l'innovation, etc.).
- retraitéeDoyen
La crise des vocations, l'Église connaît!
- AuroreEsprit éclairé
retraitée a écrit:La crise des vocations, l'Église connaît!
Ce n'est certainement pas en minimisant (voire en niant) les problèmes comme elle le fait avec cette minable pub qu'elle va parvenir à l'enrayer ! :lol!:
- bellaciaoFidèle du forum
Oui, et bien moi, j'aimerais entendre des propos comme ce que je souligne plus souvent :
Toujours en vacances : et bien non !
Ce qui motive la majorité des profs, ce n'est pas juste les vacances – même si elles offrent un véritable équilibre entre vie professionnelle et personnelle-, mais l'enseignement, le contact humain, le goût de créer des projets pour faire avancer les enfants dans la vie. De plus, pendant une partie importante des vacances, le prof prépare son programme et corrige ses copies !
Une bonne planque : pas du tout !Les enfants changent chaque année. Il faut s'adapter en permanence, imaginer de nouveaux exercices. Il faut avoir le bon mot qui éveille, celui qui motive, celui qui pose la limite. C'est un métier très enrichissant.
Ca va sans dire, mais ça va mieux en le disant !
Toujours en vacances : et bien non !
Ce qui motive la majorité des profs, ce n'est pas juste les vacances – même si elles offrent un véritable équilibre entre vie professionnelle et personnelle-, mais l'enseignement, le contact humain, le goût de créer des projets pour faire avancer les enfants dans la vie. De plus, pendant une partie importante des vacances, le prof prépare son programme et corrige ses copies !
Une bonne planque : pas du tout !Les enfants changent chaque année. Il faut s'adapter en permanence, imaginer de nouveaux exercices. Il faut avoir le bon mot qui éveille, celui qui motive, celui qui pose la limite. C'est un métier très enrichissant.
Ca va sans dire, mais ça va mieux en le disant !
- SchéhérazadeNiveau 10
Mais justement, aujourd'hui l'enseignement catho est en quête de "respectabilité", ce qui le pousse à en donner une image moins "traditionnelle", moins "passéiste". D'où le virage meirieusien en cours ("formation tout au long de la vie", insistance sur le rôle social de la scolarisation, culte de l'innovation, etc.).[/quote]
Les institutions officielles, oui, tiennent ce discours, d' ailleurs au moment où Meirieu dit tout le mal qu' il pense du privé maintenant. Mais la situation d' ensemble est plus compliquée: tous les chefs d' établissements n' adhèrent pas à cette vulgate. Et tous les parents non plus. Il existe encore des établissements sérieux, où la transmission des connaissances est encore possible, souhaitée par la hiérarchie et par les parents.
Il ne s' agit pas d' un "virage" en cours: la majorité des organismes de formation du privé a de très longue date une ligne "pédagogiste", qui peut être en décalage, quand on est stagiaire, avec les attentes réelles de l' établissement où l' on exerce, je l' ai vécu en mon temps. Mon chef d' établissement de l' époque avait un solide bon sens. Dans de l' école, Milner, dès les années 80, avait bien perçu la différence entre les "coeurs pieux", chrétiens progressistes et pédagogistes, et d' autres chrétiens comme les jésuites, par exemple, attachés à un enseignement efficace et rigoureux.
- AuroreEsprit éclairé
Schéhérazade a écrit:
Les institutions officielles, oui, tiennent ce discours, d' ailleurs au moment où Meirieu dit tout le mal qu' il pense du privé maintenant. Mais la situation d' ensemble est plus compliquée: tous les chefs d' établissements n' adhèrent pas à cette vulgate. Et tous les parents non plus. Il existe encore des établissements sérieux, où la transmission des connaissances est encore possible, souhaitée par la hiérarchie et par les parents.
Il ne s' agit pas d' un "virage" en cours: la majorité des organismes de formation du privé a de très longue date une ligne "pédagogiste", qui peut être en décalage, quand on est stagiaire, avec les attentes réelles de l' établissement où l' on exerce, je l' ai vécu en mon temps. Mon chef d' établissement de l' époque avait un solide bon sens. Dans de l' école, Milner, dès les années 80, avait bien perçu la différence entre les "coeurs pieux", chrétiens progressistes et pédagogistes, et d' autres chrétiens comme les jésuites, par exemple, attachés à un enseignement efficace et rigoureux.
Merci pour ton éclairage !
Mais alors, pourquoi diable n'entend-on que les uns, et jamais les autres ?
- SchéhérazadeNiveau 10
Aurore, exactement pour la même raison que dans le public: nous savons tous qui a le pouvoir, et qui peut donc se faire entendre. Les autres, dans le public comme dans le privé, ne peuvent agir qu'avec discrétion.
- AuroreEsprit éclairé
Schéhérazade a écrit:Aurore, exactement pour la même raison que dans le public: nous savons tous qui a le pouvoir, et qui peut donc se faire entendre. Les autres, dans le public comme dans le privé, ne peuvent agir qu'avec discrétion.
Je croyais pourtant que dans le privé les "décideurs" se choisissaient "par cooptation", donc en interne. Seraient-ils finalement tout aussi dépendants de la hiérarchie pédagole de la rue de Grenelle ?
- SchéhérazadeNiveau 10
Je croyais pourtant que dans le privé les "décideurs" se choisissaient "par cooptation", donc en interne. Seraient-ils finalement tout aussi dépendants de la hiérarchie pédagole de la rue de Grenelle ? [/quote]
Disons que la même idéologie ayant triomphé dans les deux systèmes à la même époque pour les mêmes raisons, les "décideurs" des deux bord la partagent.
Certains "décideurs" du privé ne se vivent pas comme dépendants malgré eux d' une hiérarchie pédagole, mais la trouvent beaucoup trop timorée!
Les instances du privé ont été très investies à une époque par des "militants pédagogiques", je reprends là l' expression d' un formateur, qui y cherchaient un terrain où ils seraient libres d' innover.
Mais il y a heureusement beaucoup d' établissements privés que tout cela n' intéresse pas du tout.
- AuroreEsprit éclairé
Merci Schéhérazade...
- Prof de philo dans l'enseignement catholique
- Bifurquer, tout en visant quand même le supérieur ?
- Québec : la Fédération des Syndicats de l'Enseignement lance la campagne "Prof, ma fierté !"
- Enseignement catholique privé sous contrat : le Pape rappelle que "le témoignage de vie des formateurs" doit être fidèle aux valeurs chrétiennes.
- NVB peut-être dessaisie du secrétariat d'état à la recherche/enseignement supérieur en juin
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum