Page 3 sur 3 • 1, 2, 3
- hussareakNiveau 2
Cette question a le mérite de poser un vrai problème car la GRH à l'education nationale pose un vrai problème:
Qui va dans les établissements très difficiles? Ceux qui ne l'ont pas choisi, ceux qui veulent engranger des points pour muter et quelques profs motivés. On doit pouvoir interdire l'acces à ces établissements aux profs qui ne seront pas à la hauteur.
Un droit de regard du chef sur qui arrive et qui peut rester me parait donc très saint, le pendant c'est qu'il y ait un contre pouvoir et que si le chef ne fait pas le boulot, il puisse être muté sur demande du CA.
Donc faire élire les chefs pas sur que ça change quoi que ce soit (l'administration doit pouvoir mettre qui elle veut), faire en sorte qu'en cas de conflit, la communauté scolaire puisse exiger le départ peut être une bonne idée. ça protègerait contre la dérive de certains chefs.
Qui va dans les établissements très difficiles? Ceux qui ne l'ont pas choisi, ceux qui veulent engranger des points pour muter et quelques profs motivés. On doit pouvoir interdire l'acces à ces établissements aux profs qui ne seront pas à la hauteur.
Un droit de regard du chef sur qui arrive et qui peut rester me parait donc très saint, le pendant c'est qu'il y ait un contre pouvoir et que si le chef ne fait pas le boulot, il puisse être muté sur demande du CA.
Donc faire élire les chefs pas sur que ça change quoi que ce soit (l'administration doit pouvoir mettre qui elle veut), faire en sorte qu'en cas de conflit, la communauté scolaire puisse exiger le départ peut être une bonne idée. ça protègerait contre la dérive de certains chefs.
- LoubdalouExpert
hussareak a écrit:Cette question a le mérite de poser un vrai problème car la GRH à l'education nationale pose un vrai problème:
Qui va dans les établissements très difficiles? Ceux qui ne l'ont pas choisi, ceux qui veulent engranger des points pour muter et quelques profs motivés. On doit pouvoir interdire l'acces à ces établissements aux profs qui ne seront pas à la hauteur.
Un droit de regard du chef sur qui arrive et qui peut rester me parait donc très saint, le pendant c'est qu'il y ait un contre pouvoir et que si le chef ne fait pas le boulot, il puisse être muté sur demande du CA.
Donc faire élire les chefs pas sur que ça change quoi que ce soit (l'administration doit pouvoir mettre qui elle veut), faire en sorte qu'en cas de conflit, la communauté scolaire puisse exiger le départ peut être une bonne idée. ça protègerait contre la dérive de certains chefs.
+1
- frankensteinVénérable
hussareak a écrit:Cette question a le mérite de poser un vrai problème car la GRH à l'education nationale pose un vrai problème:
Qui va dans les établissements très difficiles? Ceux qui ne l'ont pas choisi, ceux qui veulent engranger des points pour muter et quelques profs motivés. On doit pouvoir interdire l'acces à ces établissements aux profs qui ne seront pas à la hauteur.
Un droit de regard du chef sur qui arrive et qui peut rester me parait donc très saint, le pendant c'est qu'il y ait un contre pouvoir et que si le chef ne fait pas le boulot, il puisse être muté sur demande du CA.
Donc faire élire les chefs pas sur que ça change quoi que ce soit (l'administration doit pouvoir mettre qui elle veut), faire en sorte qu'en cas de conflit, la communauté scolaire puisse exiger le départ peut être une bonne idée. ça protègerait contre la dérive de certains chefs.
Euh, je crois que tu ne te rends pas compte des dérives que produira un tel système ! Le CA (et les enseignants) n'aura absolument pas le pouvoir de "choisir son chef ! Au contraire, ce petit chef aura tout loisir de créer des divisions, favoriser les enseignants qui sont à ses pieds, emmerder ceux qui ne le suivront pas dans
_________________
Mettez des pouces verts sur : https://www.youtube.com/user/Choristenimes/ videos
Si les élections pouvaient changer la société, elles seraient interdites.
- hussareakNiveau 2
frankenstein a écrit:Euh, je crois que tu ne te rends pas compte des dérives que produira un tel système ! Le CA (et les enseignants) n'aura absolument pas le pouvoir de "choisir son chef ! Au contraire, ce petit chef aura tout loisir de créer des divisions, favoriser les enseignants qui sont à ses pieds, emmerder ceux qui ne le suivront pas dansses projets d'établissementson carriérisme etc. Affreux !
vision on ne peut plus caricaturale, si on donne le pouvoir au CA de destituer le chef, celui-ci ne pourra adopter l'attitude que tu décris (sauf à se faire virer).
Les enseignants qui ont des relations humaines normales avec le chef ne sont pas forcément des carpettes. Cette vision me rappelle celle de élèves qui critiquent les forts en themes et les accusent de fricoter avec le prof.
J'ai souvent eu d'excellent rapport avec mes chefs d'établissement et me suis également plaint parfois qu'un enseignant ne puisse être déplacé tellement il nuisait aux projets mis en place.
Je pense qu'il n'est pas souhaitable que les enseignants choisissent le chef mais qu'il puissent mettre fin à sa présence dans l'établissement.
- InvitéInvité
hussareak a écrit:
Les enseignants qui ont des relations humaines normales avec le chef ne sont pas forcément des carpettes. Cette vision me rappelle celle de élèves qui critiquent les forts en themes et les accusent de fricoter avec le prof.
Je me demande bien ce que nous enseigne le chef !
Page 3 sur 3 • 1, 2, 3
- Reprographie dans vos établissements : en autonomie ou avec un personnel ?
- Jean-Paul Brighelli : les chefs d'établissements sont-ils des chefs d'entreprise ?
- Vivez, au jour le jour, le quotidien d’un poilu sur le plus grand réseau social.
- Au jour le jour, le CP avec la méthode de lecture Bulle
- Le récit de notre tour du monde au jour le jour.
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum