- JohnMédiateur
Comment, vous ne connaissiez pas encore le HCEAC ? Il s'est pourtant réuni "une trentaine de fois" et a auditionné environ 700 personnes... en cinq ans.
http://www.culture.gouv.fr/mcc/Le-ministere/Missions-et-organisation/Themes/Les-Conseils-superieurs-du-Ministere/Haut-conseil-de-l-education-artistique-et-culturelle
PRÉSENTATION
Le Haut Conseil de l'éducation artistique et culturelle, a été créé en novembre 2005 pour assurer la promotion des arts à l’école. Il est chargé d’une mission de conseil, de réflexion, de proposition, de veille et de prospective. Il comprend des représentants de l’État, des collectivités locales, des parents d’élèves et des personnalités qualifiées.
Il est présidé par le Ministre de la Culture et le Ministre de l’Éducation nationale ; l’organisation et l’animation des débats sont confiées à son Vice-président, Didier Lockwood. Un Rapporteur général procède à la synthèse des débats, et soumet les propositions aux ministres.
Le Haut-conseil est doté d’un secrétariat général qui assure la préparation et le soutien logistique des séances de travail du Haut-Conseil.
Les membres du Haut Conseil auditionnent au cours de séances plénières les porteurs de projets en éducation artistique et culturelle, les acteurs majeurs de la politique d’éducation artistique et les administrations chargées de leur mise en œuvre. Elles permettent aux acteurs de développer leurs positions dans un cadre dialectique fécond et débouchent sur l’identification de solutions concrètes. Par nature interministériel, le Haut Conseil représente un précieux organe de liaison entre ces deux administrations.
Si les séances plénières sont des occasions régulières de contacts rapprochés et informels, les membres du Haut Conseil œuvrent régulièrement à faciliter les échanges sur certaines questions.
Le Haut Conseil s’est réuni une trentaine de fois en séance plénière depuis sa création, au cours desquelles il a auditionné près de 250 personnes, et reçu en séance restreinte un demi-millier d’acteurs et d’opérateurs d’éducation artistique et culturelle.
MISSIONS
Les Ministres de l’Education nationale et de la culture ont confié au Haut-conseil le soin :
1) De proposer des orientations politiques qui soient en cohérence avec les attentes toujours nouvelles de publics diversifiés.
2) D’examiner, avec les acteurs concernés, les conditions de mise en œuvre d’une politique d’éducation artistique généralisée, qui tienne compte des spécificités territoriales et des compétences de chacun.
3) De considérer la qualité de vie culturelle des étudiants et d’en favoriser le développement
4) D’élaborer une réflexion sur la formation des enseignants, des artistes intervenants et des cadres du second degré de l’Education nationale afin qu’elle soit en adéquation avec les besoins de chaque établissement et avec les exigences portées par les programmes ;
5) De porter une grande attention aux nouveaux objets et vecteurs culturels qui façonnent l’imaginaire des enfants et des étudiants – et notamment Internet et les jeux vidéos.
PRIORITÉS ET RÉSULTATS
Chaque synthèse des débats, qui portent sur des grandes orientations politiques en matière d’éducation artistique et culturelle, s’accompagne de propositions concrètes qui sont susceptibles d’être appliquées par les différents partenaires dans un domaine artistique précis.
Certaines ont été reprises par la circulaire interministérielle d’avril 2008 consacrée à l’éducation artistique et culturelle. D’autres sont en cours de mise en place.
1.L’inscription de l’éducation artistique et culturelle au socle commun de compétences et de connaissances, point fondateur essentiel affirmé dans le premier rapport du Haut Conseil, en 2006, a été le premier signe de réussite de ses membres. Elle garantit la pérennité d’un enseignement spécifique au sein de l’institution scolaire et reconnaît le caractère incontournable des arts et de la culture dans le cursus des élèves.
2. La généralisation de l’histoire des arts à l’école, mise en place à la rentrée 2008 pour l’école primaire, et à la rentrée 2009 pour l’enseignement secondaire est le fruit d’une conviction du Haut Conseil : la sensibilité se nourrit d’une mémoire, et cette mémoire des arts imprègne chaque discipline, artistique et scolaire. Proposée en 2006, l’histoire des arts à l’école contribue à faire sens avec et par-delà les enseignements disciplinaires.
3. La nomination d’un Inspecteur général d’histoire des arts, et d’un historien de l’art parmi les membres du Haut Conseil assurent de la qualité scientifique du nouvel enseignement.
Sa forme transversale, nouvelle s’il en est dans le système scolaire, permet l’introduction et le partage de nouvelles méthodes, celles des historiens de l’art, tout en reconnaissant la spécificité de chaque discipline.
4. Le renforcement des dispositifs de formation initiale et continue des enseignants en matière d’éducation artistique et culturelle est aux yeux du Haut Conseil un levier décisif pour la généralisation d’une éducation artistique et culturelle de qualité. C’est pourquoi il s’est particulièrement investi comme facilitateur entre les différents acteurs de la formation.
5. Le volet culturel du projet d’établissement, rendu obligatoire par la circulaire de 2008, est l’occasion de développer des temps et des espaces dédiés à l’art, condition essentielle pour faciliter l’accès de tous aux arts et à la culture. Il est l’occasion pour chaque établissement de nouer des liens privilégiés avec les structures culturelles de son bassin, d’accueillir des artistes en résidence, en partenariat avec les collectivités territoriales, ou de mutualiser des activités culturelles avec les établissements voisins. Chaque école, collège ou lycée devient un acteur à part entière de la politique culturelle de l’Etat. En proposant de développer de nouvelles modalités de partenariat, de mettre en valeur les meilleures pratiques et de former les enseignants et chefs d’établissements à la mise en place de projets, le Haut Conseil propose aux pouvoirs publics des orientations pratiques pour mettre en oeuvre ces orientations.
6. Une charte nationale dédiée aux résidences d’artistes en milieu scolaire, rédigée conjointement par les deux ministères, a été proposée par le Haut Conseil. Il a été l’initiateur et le facilitateur de ce texte qui a vocation à simplifier leur développement tout en répartissant les compétences et les responsabilités de chacun. La charte a été publiée au bulletin officiel du Ministère de l’Education nationale le 11 mars 2010.
Tout en se réunissant en séance plénière régulièrement, les membres du Haut Conseil travaillent de fait au suivi de leurs propositions et à leur mise en place, et à faire connaître les bonnes pratiques et les expériences originales. Ce sont au total près d’un demi-millier de personnes qui ont été entendues en séance plénière au cours de ces quatre dernières années. L’expérience de chacun, enracinée dans un contexte particulier, permet à chaque proposition d’être confrontée à l’épreuve du réel.
CHANTIERS
Poursuivre la mise en œuvre de l’enseignement d’histoire des arts
Le Haut-conseil entend poursuivre son action dans la continuité en donnant la priorité à l’accompagnement des réformes qu’il a pu inspirer. En particulier, l’articulation en bonne intelligence de l’enseignement transversal d’histoire des arts avec les arts plastiques demeure un souci constant : il veillera à ce que l’enseignement théorique et l’apprentissage pratique puissent trouver leur équilibre, en favorisant le dialogue entre la communauté des historiens de l’art et celle des plasticiens, dont la tradition intellectuelle, différente, s’est parfois opposée. Une séance plénière consacrée à ce sujet a eu lieu au printemps 2010.
Favoriser l’accès de chacun au spectacle vivant
L’éducation aux arts dans leur historicité doit aussi prendre en compte le spectacle vivant. À cet égard, une attention doit être portée à l’histoire de la mise en scène, les études dramaturgiques, et le texte théâtral dans sa spécificité. Mais elle doit pouvoir être articulée à des parcours spécifiques, dans lesquels chaque élève peut trouver sa place, qui, en amont comme en aval, les préparent au spectacle auquel ils iront assister dans l’établissement culturel partenaire. En 2007, le Haut-Conseil avait appelé à développer les « sorties de classe » dans les musées, les théâtres et les salles de concerts, qui soient distinctes de sorties récréatives. Il a suivi en observateur en 2009 la rédaction d’un projet de charte « d’école du spectateur » par un groupe de travail constitué d’associatifs et d’acteurs culturels. Et il soutient, plus largement, la mise en place d’un dispositif d’accompagnement des élèves au spectacle vivant, qui prendrait aussi en compte les singularités et les disparités territoriales.
Le Haut-Conseil, en organisant une séance plénière sur l’éducation musicale en juin 2009, a soutenu la réforme en cours des conservatoires et appuiera la création de nouveaux outils pédagogiques pour que la formation qu’ils délivrent corresponde aux attentes de publics diversifiés, tout en leur offrant la possibilité de découvrir d’autres mondes musicaux.
Numérique et éducation artistique et culturelle
Il s’agira enfin de faciliter la généralisation de l’éducation artistique et culturelle en explorant les possibilités d’un accès de tous aux œuvres d’art. À ce titre la libération des droits pour motifs pédagogiques est l’une des préoccupations majeures du Haut-Conseil. Enjeux essentiels au regard des disparités territoriales, notamment pour les établissements situés en zone rurale, les reproductions permettent à chacun le contact avec les œuvres d’art. L’accès en toute régularité aux œuvres, qui doit s’accompagner d’outils pédagogiques adéquats, permettra en outre une éducation au respect des conditions de leur production, et une découverte de créations originales à condition que cet accès soit en adéquation avec les moyens qui peuvent être mis en œuvre par les institutions. Une réflexion sera menée avec les acteurs publics et privés de diffusion des œuvres.
Et voilà ses membres : http://www.culture.gouv.fr/mcc/content/download/5980/40241/file/organigramme%20HCEAC.pdf
http://www.culture.gouv.fr/mcc/Le-ministere/Missions-et-organisation/Themes/Les-Conseils-superieurs-du-Ministere/Haut-conseil-de-l-education-artistique-et-culturelle
PRÉSENTATION
Le Haut Conseil de l'éducation artistique et culturelle, a été créé en novembre 2005 pour assurer la promotion des arts à l’école. Il est chargé d’une mission de conseil, de réflexion, de proposition, de veille et de prospective. Il comprend des représentants de l’État, des collectivités locales, des parents d’élèves et des personnalités qualifiées.
Il est présidé par le Ministre de la Culture et le Ministre de l’Éducation nationale ; l’organisation et l’animation des débats sont confiées à son Vice-président, Didier Lockwood. Un Rapporteur général procède à la synthèse des débats, et soumet les propositions aux ministres.
Le Haut-conseil est doté d’un secrétariat général qui assure la préparation et le soutien logistique des séances de travail du Haut-Conseil.
Les membres du Haut Conseil auditionnent au cours de séances plénières les porteurs de projets en éducation artistique et culturelle, les acteurs majeurs de la politique d’éducation artistique et les administrations chargées de leur mise en œuvre. Elles permettent aux acteurs de développer leurs positions dans un cadre dialectique fécond et débouchent sur l’identification de solutions concrètes. Par nature interministériel, le Haut Conseil représente un précieux organe de liaison entre ces deux administrations.
Si les séances plénières sont des occasions régulières de contacts rapprochés et informels, les membres du Haut Conseil œuvrent régulièrement à faciliter les échanges sur certaines questions.
Le Haut Conseil s’est réuni une trentaine de fois en séance plénière depuis sa création, au cours desquelles il a auditionné près de 250 personnes, et reçu en séance restreinte un demi-millier d’acteurs et d’opérateurs d’éducation artistique et culturelle.
MISSIONS
Les Ministres de l’Education nationale et de la culture ont confié au Haut-conseil le soin :
1) De proposer des orientations politiques qui soient en cohérence avec les attentes toujours nouvelles de publics diversifiés.
2) D’examiner, avec les acteurs concernés, les conditions de mise en œuvre d’une politique d’éducation artistique généralisée, qui tienne compte des spécificités territoriales et des compétences de chacun.
3) De considérer la qualité de vie culturelle des étudiants et d’en favoriser le développement
4) D’élaborer une réflexion sur la formation des enseignants, des artistes intervenants et des cadres du second degré de l’Education nationale afin qu’elle soit en adéquation avec les besoins de chaque établissement et avec les exigences portées par les programmes ;
5) De porter une grande attention aux nouveaux objets et vecteurs culturels qui façonnent l’imaginaire des enfants et des étudiants – et notamment Internet et les jeux vidéos.
PRIORITÉS ET RÉSULTATS
Chaque synthèse des débats, qui portent sur des grandes orientations politiques en matière d’éducation artistique et culturelle, s’accompagne de propositions concrètes qui sont susceptibles d’être appliquées par les différents partenaires dans un domaine artistique précis.
Certaines ont été reprises par la circulaire interministérielle d’avril 2008 consacrée à l’éducation artistique et culturelle. D’autres sont en cours de mise en place.
1.L’inscription de l’éducation artistique et culturelle au socle commun de compétences et de connaissances, point fondateur essentiel affirmé dans le premier rapport du Haut Conseil, en 2006, a été le premier signe de réussite de ses membres. Elle garantit la pérennité d’un enseignement spécifique au sein de l’institution scolaire et reconnaît le caractère incontournable des arts et de la culture dans le cursus des élèves.
2. La généralisation de l’histoire des arts à l’école, mise en place à la rentrée 2008 pour l’école primaire, et à la rentrée 2009 pour l’enseignement secondaire est le fruit d’une conviction du Haut Conseil : la sensibilité se nourrit d’une mémoire, et cette mémoire des arts imprègne chaque discipline, artistique et scolaire. Proposée en 2006, l’histoire des arts à l’école contribue à faire sens avec et par-delà les enseignements disciplinaires.
3. La nomination d’un Inspecteur général d’histoire des arts, et d’un historien de l’art parmi les membres du Haut Conseil assurent de la qualité scientifique du nouvel enseignement.
Sa forme transversale, nouvelle s’il en est dans le système scolaire, permet l’introduction et le partage de nouvelles méthodes, celles des historiens de l’art, tout en reconnaissant la spécificité de chaque discipline.
4. Le renforcement des dispositifs de formation initiale et continue des enseignants en matière d’éducation artistique et culturelle est aux yeux du Haut Conseil un levier décisif pour la généralisation d’une éducation artistique et culturelle de qualité. C’est pourquoi il s’est particulièrement investi comme facilitateur entre les différents acteurs de la formation.
5. Le volet culturel du projet d’établissement, rendu obligatoire par la circulaire de 2008, est l’occasion de développer des temps et des espaces dédiés à l’art, condition essentielle pour faciliter l’accès de tous aux arts et à la culture. Il est l’occasion pour chaque établissement de nouer des liens privilégiés avec les structures culturelles de son bassin, d’accueillir des artistes en résidence, en partenariat avec les collectivités territoriales, ou de mutualiser des activités culturelles avec les établissements voisins. Chaque école, collège ou lycée devient un acteur à part entière de la politique culturelle de l’Etat. En proposant de développer de nouvelles modalités de partenariat, de mettre en valeur les meilleures pratiques et de former les enseignants et chefs d’établissements à la mise en place de projets, le Haut Conseil propose aux pouvoirs publics des orientations pratiques pour mettre en oeuvre ces orientations.
6. Une charte nationale dédiée aux résidences d’artistes en milieu scolaire, rédigée conjointement par les deux ministères, a été proposée par le Haut Conseil. Il a été l’initiateur et le facilitateur de ce texte qui a vocation à simplifier leur développement tout en répartissant les compétences et les responsabilités de chacun. La charte a été publiée au bulletin officiel du Ministère de l’Education nationale le 11 mars 2010.
Tout en se réunissant en séance plénière régulièrement, les membres du Haut Conseil travaillent de fait au suivi de leurs propositions et à leur mise en place, et à faire connaître les bonnes pratiques et les expériences originales. Ce sont au total près d’un demi-millier de personnes qui ont été entendues en séance plénière au cours de ces quatre dernières années. L’expérience de chacun, enracinée dans un contexte particulier, permet à chaque proposition d’être confrontée à l’épreuve du réel.
CHANTIERS
Poursuivre la mise en œuvre de l’enseignement d’histoire des arts
Le Haut-conseil entend poursuivre son action dans la continuité en donnant la priorité à l’accompagnement des réformes qu’il a pu inspirer. En particulier, l’articulation en bonne intelligence de l’enseignement transversal d’histoire des arts avec les arts plastiques demeure un souci constant : il veillera à ce que l’enseignement théorique et l’apprentissage pratique puissent trouver leur équilibre, en favorisant le dialogue entre la communauté des historiens de l’art et celle des plasticiens, dont la tradition intellectuelle, différente, s’est parfois opposée. Une séance plénière consacrée à ce sujet a eu lieu au printemps 2010.
Favoriser l’accès de chacun au spectacle vivant
L’éducation aux arts dans leur historicité doit aussi prendre en compte le spectacle vivant. À cet égard, une attention doit être portée à l’histoire de la mise en scène, les études dramaturgiques, et le texte théâtral dans sa spécificité. Mais elle doit pouvoir être articulée à des parcours spécifiques, dans lesquels chaque élève peut trouver sa place, qui, en amont comme en aval, les préparent au spectacle auquel ils iront assister dans l’établissement culturel partenaire. En 2007, le Haut-Conseil avait appelé à développer les « sorties de classe » dans les musées, les théâtres et les salles de concerts, qui soient distinctes de sorties récréatives. Il a suivi en observateur en 2009 la rédaction d’un projet de charte « d’école du spectateur » par un groupe de travail constitué d’associatifs et d’acteurs culturels. Et il soutient, plus largement, la mise en place d’un dispositif d’accompagnement des élèves au spectacle vivant, qui prendrait aussi en compte les singularités et les disparités territoriales.
Le Haut-Conseil, en organisant une séance plénière sur l’éducation musicale en juin 2009, a soutenu la réforme en cours des conservatoires et appuiera la création de nouveaux outils pédagogiques pour que la formation qu’ils délivrent corresponde aux attentes de publics diversifiés, tout en leur offrant la possibilité de découvrir d’autres mondes musicaux.
Numérique et éducation artistique et culturelle
Il s’agira enfin de faciliter la généralisation de l’éducation artistique et culturelle en explorant les possibilités d’un accès de tous aux œuvres d’art. À ce titre la libération des droits pour motifs pédagogiques est l’une des préoccupations majeures du Haut-Conseil. Enjeux essentiels au regard des disparités territoriales, notamment pour les établissements situés en zone rurale, les reproductions permettent à chacun le contact avec les œuvres d’art. L’accès en toute régularité aux œuvres, qui doit s’accompagner d’outils pédagogiques adéquats, permettra en outre une éducation au respect des conditions de leur production, et une découverte de créations originales à condition que cet accès soit en adéquation avec les moyens qui peuvent être mis en œuvre par les institutions. Une réflexion sera menée avec les acteurs publics et privés de diffusion des œuvres.
Et voilà ses membres : http://www.culture.gouv.fr/mcc/content/download/5980/40241/file/organigramme%20HCEAC.pdf
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- AuroreEsprit éclairé
Lockwood, l'ami du Socle commun de compétences, c'est ici : http://www.education.gouv.fr/lettre_information/question_d_education/decembre2006/arts.pdf
Encore un qui aurait mieux fait de se contenter de jouer...
Encore un qui aurait mieux fait de se contenter de jouer...
- JaleoNiveau 1
D'autant qu'il est surtout là pour se servir lui-même..
- AuroreEsprit éclairé
Pour tout dire, le fait qu'il (se) soit ainsi embrigadé par le pouvoir ne m'étonne guère : il intervient très régulièrement dans les conservatoires de musique dirigés par les pédagos.Jaleo a écrit:D'autant qu'il est surtout là pour se servir lui-même..
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