Sorbonne scandale

Travaux à la Sorbonne cette année, la plupart des amphis ne sont plus utilisables (notamment à cause de la mise en sécurité et du bruit je pense). Soit.

Résultat, à partir de février, les agrégatifs d'histoire ont cours à ... Antony. En zone 3, ce qui implique un surcoût de déplacement, une perte de temps énorme en trajet. Auparavant nos TD étaient Porte de Vanves, ce qui a d'ailleurs conduit un de nos professeurs à annuler une séance parce qu'il refusait de perdre 1h15 en trajet aller.

Sachant que le plus scandaleux dans l'histoire, c'est que le Grand Amphi de la Sorbonne est libre, pourrait accueillir les étudiants puisqu'il est dans un autre bâtiment que les travaux, mais bien sûr, on n'y fait plus cours depuis des années : et pour cause, il est réservé à des manifestations extérieures, qui le louent cher, très cher.

Je n'ose même pas imaginer le temps que vont mettre les étudiants qui habitent le nord de Paris (voire la banlieue Nord) pour aller jusqu'à Antony. J'ai fait le calcul : depuis le centre, 1h30 de trajet aller retour parfois pour 2h de cours.

Alors, certes, vous allez me répondre que c'est ça la vie en RP. Sauf que là, on pouvait vraiment faire autrement. Vive l'université française.

Et que l'année de l'agrég on a vraiment autre chose à f*** que passer des heures dans les transports... Encore deux mois et après en principe il y a moins de cours, non? La bibliothèque est toujours accessible ? Moi j'ai renoncé à y aller, jamais les bons créneaux pour refaire ma carte...

Tu as tout compris.. je pense que je vais travailler seule désormais et renoncer à aller en cours. Plus que deux mois oui, sachant que jusqu'à présent nos cours étaient Porte de Vanves, ce n'est pas non plus tout près. Vendredi je me suis pointée pour 2h de cours, pour en repartir finalement au bout de 20 minutes quand j'ai vu que l'enseignante faisait un cours quasi hors sujet.

Oui oui, la bibli est délocalisée à quelques métres (Sainte Barbe), mais toujours accessible. Néanmoins, pour obtenir certains ouvrages il faut 2 ou 3 jours (Sainte Geneviève a tout de même aussi un énorme fond)

Oiseau phenix a écrit:Tu as tout compris.. je pense que je vais travailler seule désormais et renoncer à aller en cours. Plus que deux mois oui, sachant que jusqu'à présent nos cours étaient Porte de Vanves, ce n'est pas non plus tout près. Vendredi je me suis pointée pour 2h de cours, pour en repartir finalement au bout de 20 minutes quand j'ai vu que l'enseignante faisait un cours quasi hors sujet.

Oui oui, la bibli est délocalisée à quelques métres (Sainte Barbe), mais toujours accessible. Néanmoins, pour obtenir certains ouvrages il faut 2 ou 3 jours (Sainte Geneviève a tout de même aussi un énorme fond)

ça, ce sont les joies des concours ! je me souviens comme si c'était hier d'un prof de contempo qui a commencé à dérouler un cours sur l'histoire diplomatique et bataille de la première Guerre mondiale... ALors que le programme portait sur les sociétés dans la guerre au XXe siècle
Malgré le petit groupe (la majorité préparait le Capes et je "redoublais" la prépa agrég), la petite salle, je me suis levée et je me suis barrée, furibarde... :colere: Et je me suis préparée seule pour (la partie du programme sur) première guerre mondiale...

oui, je suis habituée à ça, mais quand on voit qu'on a fait le trajet pour rien... ça commence à me gonfler.

Ah la Sorbonne, début des années 90, furieux du manque de places (nous étions en Licence d'Histoire), nous avions bloqué l'accès au Grand Amphi aux invités...d'un défilé de mode ! Karl Lagerfeld était même venu nous parler ! Et bien nous avons eu le Grand Amphi et nos profs n'en revenaient pas de pouvoir faire cours pour la 1ère fois dans cette salle !

Docteur OX a écrit:Ah la Sorbonne, début des années 90, furieux du manque de places (nous étions en Licence d'Histoire), nous avions bloqué l'accès au Grand Amphi aux invités...d'un défilé de mode ! Karl Lagerfeld était même venu nous parler ! Et bien nous avons eu le Grand Amphi et nos profs n'en revenaient pas de pouvoir faire cours pour la 1ère fois dans cette salle !

La classe !

Marie Laetitia a écrit:

Docteur OX a écrit:Ah la Sorbonne, début des années 90, furieux du manque de places (nous étions en Licence d'Histoire), nous avions bloqué l'accès au Grand Amphi aux invités...d'un défilé de mode ! Karl Lagerfeld était même venu nous parler ! Et bien nous avons eu le Grand Amphi et nos profs n'en revenaient pas de pouvoir faire cours pour la 1ère fois dans cette salle !

La classe !

Oui, Denis Crouzet était impressionné..

Ah en plus c'était Crouzet !

La classe x2 !!

John a écrit:Ah en plus c'était Crouzet !

La classe x2 !!

Je suis toute verte de jalousie !

soupir... c'est pas avec la promo de cette année que ça risque d'arriver.

C'est sûr que bloquer un amphi toute seule, ça va pas être d'une très grande efficacité :/

Arf John, on sent bien que tu n'as jamais vu mes biceps de nageuse est-allemande

:lol!:

en fait c'est aussi nul qu'ailleurs la sorbonne (et même peut-être plus...)

lalilala a écrit:en fait c'est aussi nul qu'ailleurs la sorbonne (et même peut-être plus...)

non, c'est simplement que les conditions sont déplorables cette année. Pour l'agrég, quand je vois apparemment qu'à Nancy une des profs a fait un cours hors sujet pendant une bonne partie de l'année... je me dis que dans des universités qui ont moins de candidats, les profs sont nécessairement souvent moins investis et moins au courant, même s'il y a d'excellents cours par ailleurs dans bien d'autres facs qu'à Paris.

Pourquoi seraient-ils moins investis et moins au courant? Au contraire, j'ai préparé l'agreg toute seule dans ma petite fac de province et je sentais vraiment que les profs étaient là pour moi et s'investissaient réellement. Le seul problème de ma fac c'était le manque de moyens et le manque de profs (une oeuvre au programme n'a pas été traitée car il n'y avait personne pour se charger des cours..je me suis débrouillée avec les cours du CNED et des articles que les profs me passaient). Je suis désolée de réagir comme ça sur ta conversation, mais ça m'a rappelé certains candidats de Paris imbuvables et on ne peut plus hautains qui ne juraient que par la Sorbonne où ils avaient forcément eu les meilleurs profs du monde et les meilleurs cours.... mouais...

[quote="lalilala"]Pourquoi seraient-ils moins investis et moins au courant? Au contraire, j'ai préparé l'agreg toute seule dans ma petite fac de province et je sentais vraiment que les profs étaient là pour moi et s'investissaient réellement. Le seul problème de ma fac c'était le manque de moyens et le manque de profs (une oeuvre au programme n'a pas été traitée car il n'y avait personne pour se charger des cours..je me suis débrouillée avec les cours du CNED et des articles que les profs me passaient). Je suis désolée de réagir comme ça sur ta conversation, mais ça m'a rappelé certains candidats de Paris imbuvables et on ne peut plus hautains qui ne juraient que par la Sorbonne où ils avaient forcément eu les meilleurs profs du monde et les meilleurs cours.... mouais...[/quote]

Je ne pense pas faire partie de cette catégorie de personnes... Je viens de province et n'en ai pas honte, et je côtoie aussi un certain nombre de candidats qui ont préparé pendant deux ans au moins, dont une année en province, une année à la sorbonne, et ils sont unanimes pour dire que les cours sont plus adaptés, plus nombreux, l'émulation plus intense (normal, plus de candidats ; d'ailleurs quand je passais Ulm dans ma prépa de province, j'ai bien vu les avantages de la petite prépa côté attention de l'équipe enseignante, mais alors côté émulation, néant, et ça c'est un énorme désavantage). Certains d'entre eux disent que les cours sont meilleurs, moi je n'étais pas dans leur fac de province, donc je n'en sais rien.

Et quand je dis parfois moins investis (pour certains, je souligne bien que mon propos de départ n'avait rien de généralisant), je sais de quoi je parle : dans ma fac de province, un prof à qui on avait confié d'assurer le cours pour une des périodes du programme, a tout bonnement refusé, sous prétexte que ce n'était pas son domaine de prédilection : les étudiants se sont retrouvés le bec dans l'eau. Ce genre de truc ne passerait pas à la Sorbonne, simplement parce que la demande étudiante agrégative est, en nombre, supérieure, et surtout, qu'on dispose d'une vraie coordination de la préparation au concours. Je pourrais multiplier les exemples.

Une fois encore, je le redis, il y a d'excellents cours dans de plus petites facs aussi, et des cours très moyens à la sorbonne (sauf que si on mélange les cours de Paris 1 et Paris 4, en histoire du moins, on multiplie les chances d'avoir forcément au moins un bon cours par période).

Comme tu le vois, je ne parle pas dans le vague du haut d'un quelconque point de vue imbu de lui-même, mais bien à partir d'expériences personnelles ou de témoignages d'amies que je connais bien.

Voilà, pour résumer il y a de tout partout. Je pense que je n'aurais pas été aussi soutenue et encouragée dans une grande fac où tout le monde devient anonyme et finalement je pense que c'était le plus important pour moi. Je pense que je n'aurais pas eu de meilleurs cours de linguistique, de latin ou de civi ailleurs. En plus ce ne sont pas forcément les bons profs et les bons cours qui font les bons candidats. Après oiseau phenix, je ne te mets pas dans la catégorie des têtes à claques, il n'y avait rien de méprisant dans ton post de départ, ça m'a juste rappelé certaines personnes (de la sorbonne et de l'ENS aussi) qui avaient l'air de me prendre pour la dernière des bouseuses et pour une candidate peu sérieuse.

ça serait à refaire, je préparerais à Paris centre... Je crois que mon manque de prépa en géographie m'a coûté cher. Et là, on dit "merci qui?"... eh bien les géographes qui se désintéressent complètement dans nombre de facs de province de l'enseignement parce que l'aménagement du territoire c'est la seule chose qui les intéresse le seul oral blanc d'agrég en géo que j'ai passé, c'était avec une géographe de bonne volonté qui ignorait totalement les modalités de l'épreuve de géo à l'agrég...

Les cours du CNED et la lecture des rapports de jury aident bien aussi....D'ailleurs je trouve ça bien de croiser plusieurs cours. Mes profs n'étaient pas toujours au courant du déroulement des épreuves ou des méthodes utilisées (la première prof de linguistique que j'ai eue ne savait pas du tout en quoi consistait l'épreuve, c'est une ATER qui avait passé le concours quelques années plus tôt et qui fut ensuite ma prof de linguistique qui m'a expliqué, et pour la dissert par exemple, exercice typiquement français, notre prof de civi qui était espagnol était un peu largué).

lalilala a écrit:Voilà, pour résumer il y a de tout partout. Je pense que je n'aurais pas été aussi soutenue et encouragée dans une grande fac où tout le monde devient anonyme et finalement je pense que c'était le plus important pour moi. Je pense que je n'aurais pas eu de meilleurs cours de linguistique, de latin ou de civi ailleurs. En plus ce ne sont pas forcément les bons profs et les bons cours qui font les bons candidats. Après oiseau phenix, je ne te mets pas dans la catégorie des têtes à claques, il n'y avait rien de méprisant dans ton post de départ, ça m'a juste rappelé certaines personnes (de la sorbonne et de l'ENS aussi) qui avaient l'air de me prendre pour la dernière des bouseuses et pour une candidate peu sérieuse.

je ne suis pas d'accord pour l'anonymat des grandes facs : quand j'ai passé les écrits pour la première fois, j'étais tellement désespérée par ma première dissert que le soir même j'ai écrit à un de mes profs (ce n'était même pas sa période qui était tombée, mais il voulait que je le tienne au courant des sujets), qui heureusement m'a remotivée. Donc on peut tout à fait établir une relation un peu personnelle (en s'intéressant au cours, en posant des questions, en ayant quelques échanges par mail...). Et j'ai vécu ça avec d'autres profs ! après, ça dépend des enseignants, des années, etc.
Mais ça m'a bien surprise de pouvoir nouer ce genre de liens à la sorbonne, alors qu'on parle toujours de l'anonymat de ce genre de facs.

Mais je compatis, Lalilala, pour l'attitude de ces parisiens ; j'ai vécu ça pas pour l'agrég (puisque j'étais devenue un peu parisienne), mais un peu avant quand je suis arrivée à Paris : je me suis entendu dire que le bac en province avait moins de valeur qu'à Paris (correcteurs plus sévères etc)

Et pour la géo... à Paris c'est sans doute moins pire qu'ailleurs, mais on n'est pas assez entraînés non plus... et puis la géo c'est l'hécatombe en histoire (deux fois que je me plante à l'oral sur ça...)

Bonjour,
J'arrive un peu tard mais ce fil me ramène à ma "jeunesse". Pour ma part, je suis allée à la Sorbonne jusqu'à ma licence et je n'en garde pas que des mauvais souvenirs. J'ai eu d'excellents profs qui ont vraiment su me passionner et si je pouvais y retourner pour faire mon master 2 recherche, je ne dirais pas non. Le pb, c'était l'organisation matérielle, les amphis bondés où tu prends les cours sur les genoux dans les escaliers, la bibliothèque de l'Institut Hispanique menaçant de s'écrouler sur le reste des locaux, l'absence de matériel informatique et j'en passe. Par contre, la proximité des librairies et du Luxembourg, franchement il y a pire.

Ensuite, j'ai fait ma maîtrise à Nancy pour suivre mon homme et là, l'inverse, matériellement bcp mieux, salles propres, salles infos, cafet et j'en passe. Par contre, pas de prép agreg valable, les agrégatifs partaient tous vers d'autres cieux, j'ai dû me contenter du Capes avec le CNED. Il faut dire que j'étais enceinte à l'époque, donc cela n'arrangeait rien.

Pour l'agreg, j'ai attendu de pouvoir passer l'interne et je l'ai préparée toute seule. Habitant en Charente, j'ai dû me contenter de 4 cours en explic. de textes et de mes propres lectures car la préparation à Poitiers était quasiment inexistante et celle de Bordeaux était complète, je ne pouvais pas m'y inscrire. Je ne m'étais pas inscrite non plus au CNED car je ne me sentais pas à la hauteur et ne voulais pas gaspiller de l'argent pour rien... De plus, je faisais déjà 1000 KM par semaine pour mes remplacements! Et je l'ai eu, malgré les regards très condescendants des préparationnaires parisiens.

Tout cela pour dire que ce n'est pas la fac qui fait l'étudiant et qu'il faut veiller à ne pas trop se disperser quand on prépare ce genre de concours.
Les exercices proposés par les rapports de jury et les lectures personnelles comptent bcp, je crois. Bon courage à tous

Dulcinea a écrit:Bonjour,
J'arrive un peu tard mais ce fil me ramène à ma "jeunesse". Pour ma part, je suis allée à la Sorbonne jusqu'à ma licence et je n'en garde pas que des mauvais souvenirs. J'ai eu d'excellents profs qui ont vraiment su me passionner et si je pouvais y retourner pour faire mon master 2 recherche, je ne dirais pas non. Le pb, c'était l'organisation matérielle, les amphis bondés où tu prends les cours sur les genoux dans les escaliers, la bibliothèque de l'Institut Hispanique menaçant de s'écrouler sur le reste des locaux, l'absence de matériel informatique et j'en passe. Par contre, la proximité des librairies et du Luxembourg, franchement il y a pire.

Ensuite, j'ai fait ma maîtrise à Nancy pour suivre mon homme et là, l'inverse, matériellement bcp mieux, salles propres, salles infos, cafet et j'en passe. Par contre, pas de prép agreg valable, les agrégatifs partaient tous vers d'autres cieux, j'ai dû me contenter du Capes avec le CNED. Il faut dire que j'étais enceinte à l'époque, donc cela n'arrangeait rien.

Pour l'agreg, j'ai attendu de pouvoir passer l'interne et je l'ai préparée toute seule. Habitant en Charente, j'ai dû me contenter de 4 cours en explic. de textes et de mes propres lectures car la préparation à Poitiers était quasiment inexistante et celle de Bordeaux était complète, je ne pouvais pas m'y inscrire. Je ne m'étais pas inscrite non plus au CNED car je ne me sentais pas à la hauteur et ne voulais pas gaspiller de l'argent pour rien... De plus, je faisais déjà 1000 KM par semaine pour mes remplacements! Et je l'ai eu, malgré les regards très condescendants des préparationnaires parisiens.

Tout cela pour dire que ce n'est pas la fac qui fait l'étudiant et qu'il faut veiller à ne pas trop se disperser quand on prépare ce genre de concours.
Les exercices proposés par les rapports de jury et les lectures personnelles comptent bcp, je crois. Bon courage à tous

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Tu es originaire de la Charente? J'y suis cette année

Lalilala, MP.

Oiseau phenix a écrit:Tu as tout compris.. je pense que je vais travailler seule désormais et renoncer à aller en cours. Plus que deux mois oui, sachant que jusqu'à présent nos cours étaient Porte de Vanves, ce n'est pas non plus tout près.

Marie Laetitia a écrit:ça serait à refaire, je préparerais à Paris centre... Je crois que mon manque de prépa en géographie m'a coûté cher. Et là, on dit "merci qui?"... eh bien les géographes qui se désintéressent complètement dans nombre de facs de province de l'enseignement parce que l'aménagement du territoire c'est la seule chose qui les intéresse

Rho la la... Oiseau et Marie Laetitia, que de souvenirs...

Il fut un temps fort lointain (15 ans), j'ai passé l'agreg de géo.

Ce qui m'a valu un double déménagement d'une fac à l'autre à 400 km de distance : "Vous préparez bien l'agreg de géo ?" "Oui" "Bon OK, je viens et je m'inscris". La réalité était tout autre... on pouvait bien s'inscrire à l'agreg de géo dans cette grande ville universitaire (s'inscrire sur Minitel...), mais il n'y avait pas de cours, puisque hors aménagement du territoire, point de salut. Et pour suivre les cours d'histoire, il fallait aller dans une autre université de ladite ville. (ML, je pense qu'on parle du même endroit).

En fait, cette année-là, j'étais en maîtrise. Retour à Lyon l'année suivante donc... grande ville universitaire aussi... cours éparpillés dans toute l'agglomération. Au début, j'ai été à tout, pour voir. (Plus de 30 heures de cours par semaine !)
Et je me suis rapidement fixé un critère simple :
Le cours doit être "rentable" temps de transport inclus. C'est-à-dire que si je travaillais plus efficacement chez moi toute seule, que le magnifique cours situé à 2x1h30 de transport, eh bien je restais chez moi.

Histoire de ne pas déprimer à bosser chacun notre concours dans notre coin, avec les copines, on déjeunait ensemble tous les midis. Ben oui, un peu de convivialité quand même...

Pfff... bonne chance à tous, travaillez bien, mais ne travaillez pas trop quand même, c'est le week-end, là !