- VioletEmpereur
Je suis désolée car je ne poste que des faits-divers atroces aujourd'hui...
Je viens de lire ça en rentrant de ma réunion...
apparemment un élève de 1° d'un bahut privé de marseille...il est dans un état très grave à l'hopital. Brûlé sur 70% de son corps...
http://www.europe1.fr/Faits-divers/Un-lyceen-tente-de-s-immoler-377219/
Je viens de lire ça en rentrant de ma réunion...
apparemment un élève de 1° d'un bahut privé de marseille...il est dans un état très grave à l'hopital. Brûlé sur 70% de son corps...
http://www.europe1.fr/Faits-divers/Un-lyceen-tente-de-s-immoler-377219/
- AudreyOracle
On se sort rarement d'une brûlure sur un tel pourcentage du corps malheureusement... quelle horreur..
- VioletEmpereur
J'espère que pour une fois, tu auras tort Audrey...
Je n'ose imaginer le mal être qui peut conduire à ça...
Je n'ose imaginer le mal être qui peut conduire à ça...
- MélisandeNeoprof expérimenté
J'ai lu aussi cet article et j'avoue mal comprendre comment on peut choisir un mode de suppression aussi terrible et douloureux.
Cela doit être affreux pour les parents, également.
Cela doit être affreux pour les parents, également.
- VioletEmpereur
http://www.laprovence.com/article/region/un-adolescent-tente-de-simmoler-par-le-feu-a-marseille
Mon dieu... il a dévalé en feu un escalier devant les yeux d'élèves de sixième...
Mon dieu... il a dévalé en feu un escalier devant les yeux d'élèves de sixième...
- jeanneÉrudit
Voilà qui me donne envie de vous retrouver là-bas...
Quelle horreur.
Quelle horreur.
- NasopiBon génie
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"Donne-moi la sérénité nécessaire pour accepter telles qu’elles sont les choses qu’on ne peut pas changer, donne-moi le courage de changer celles qui doivent l’être ; donne-moi la sagesse qui permet de discerner les unes et les autres." (Marc-Aurèle)
- JaneMonarque
C'est horrible ce que je vais dire, mais je ne sais pas s'il vaut mieux qu'il s'en sorte ou pas. J'avais eu, il y a quelques années, une jeune fille qui avait eu le même geste et qui était revenue en cours après sa "guérison". Elle était défigurée, y avait laissé une partie de son nez, ses oreilles, plusieurs doigts et une partie de ses cheveux (sans parler de l'état de sa peau sur les bras). Tout le monde l'évitait, la fuyait, elle faisait peur. Elle était seule, toujours, tout le temps...
- jeanneÉrudit
Jane a écrit:C'est horrible ce que je vais dire, mais je ne sais pas s'il vaut mieux qu'il s'en sorte ou pas. J'avais eu, il y a quelques années, une jeune fille qui avait eu le même geste et qui était revenue en cours après sa "guérison". Elle était défigurée, y avait laissé une partie de son nez, ses oreilles, plusieurs doigts et une partie de ses cheveux (sans parler de l'état de sa peau sur les bras). Tout le monde l'évitait, la fuyait, elle faisait peur. Elle était seule, toujours, tout le temps...
Je suis d'accord avec toi ; comment vivre après ça ?
- InvitéNGrand sage
Quelle horreur et quel traumatisme...pour tout un établissement!
- Docteur OXGrand sage
Et bien le racket serait à l'origine du drame d'après les dernières infos :
:colere:
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/01/19/97001-20110119FILWWW00580-immolation-le-lyceen-etait-rackette.php
il faut ajouter aussi la séparation de ses parents et le départ de sa petite amie.
Pauvre môme, il s'appelle Maxence.
:colere:
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/01/19/97001-20110119FILWWW00580-immolation-le-lyceen-etait-rackette.php
il faut ajouter aussi la séparation de ses parents et le départ de sa petite amie.
Pauvre môme, il s'appelle Maxence.
- JohnMédiateur
Oui :
Le lycéen de 17 ans qui a tenté de s'immoler par le feu, mardi, dans un établissement scolaire de Marseille, et se trouvait toujours dans un état critique mercredi, était victime d'un racket depuis plusieurs mois, a-t-on appris de source proche de l'enquête. Les premiers résultats des investigations diligentées par les policiers de la sûreté départementale ont montré que l'adolescent était à la dérive depuis plus d'un an, avec des résultats scolaires en chute libre, le divorce de ses parents et des problèmes de coeur liés au départ de sa petite amie. Mais de source proche de l'enquête, on souligne surtout qu'il était racketté avec des vols à répétition, son scooter lui ayant notamment été dérobé.
Maxence, admis au service des grands brûlés de l'hôpital de La Conception, était toujours dans un état critique mercredi en fin d'après-midi, selon un porte-parole de l'Assistance publique-Hôpitaux de Marseille. Cet élève de première ES s'est aspergé mardi après-midi d'un liquide - "vraisemblablement de l'essence", selon le parquet -, dans les toilettes de l'établissement Saint-Joseph-Les-Maristes, un collège-lycée privé de 920 élèves installé dans le centre-ville, où il étudiait depuis la quatrième. Le jeune homme, qui se trouvait au deuxième étage, est ensuite descendu dans la cour, avant de s'effondrer sous le regard de plusieurs camarades, sortis de classe à la suite du déclenchement de l'alarme incendie.
Le lycéen de 17 ans qui a tenté de s'immoler par le feu, mardi, dans un établissement scolaire de Marseille, et se trouvait toujours dans un état critique mercredi, était victime d'un racket depuis plusieurs mois, a-t-on appris de source proche de l'enquête. Les premiers résultats des investigations diligentées par les policiers de la sûreté départementale ont montré que l'adolescent était à la dérive depuis plus d'un an, avec des résultats scolaires en chute libre, le divorce de ses parents et des problèmes de coeur liés au départ de sa petite amie. Mais de source proche de l'enquête, on souligne surtout qu'il était racketté avec des vols à répétition, son scooter lui ayant notamment été dérobé.
Maxence, admis au service des grands brûlés de l'hôpital de La Conception, était toujours dans un état critique mercredi en fin d'après-midi, selon un porte-parole de l'Assistance publique-Hôpitaux de Marseille. Cet élève de première ES s'est aspergé mardi après-midi d'un liquide - "vraisemblablement de l'essence", selon le parquet -, dans les toilettes de l'établissement Saint-Joseph-Les-Maristes, un collège-lycée privé de 920 élèves installé dans le centre-ville, où il étudiait depuis la quatrième. Le jeune homme, qui se trouvait au deuxième étage, est ensuite descendu dans la cour, avant de s'effondrer sous le regard de plusieurs camarades, sortis de classe à la suite du déclenchement de l'alarme incendie.
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- JaneMonarque
ben vous savez quoi ? très égoïstement, je me suis dit que j'étais bien contente que mes mômes ne soient pas scolarisés dans cet établissement. Quel traumatisme pour les témoins bien involontaires de ce drame !
- VioletEmpereur
Pour ceux qui ne connaissent pas Marseille, c'est un établissement tout à fait correct...
Je comprends ce que tu dis Jane. J'ai pensé à tes enfants hier soir en me disant qu'ils n'étaient pas dans le même établissement...
Je comprends ce que tu dis Jane. J'ai pensé à tes enfants hier soir en me disant qu'ils n'étaient pas dans le même établissement...
- val09Neoprof expérimenté
C'est terrible d'être mal au point d'en arriver à cet extrême.
C'est comme la petite fille de 9 ans qui s'est suicidée en sautant du 5ème étage !
C'est comme la petite fille de 9 ans qui s'est suicidée en sautant du 5ème étage !
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Plus vraiment "néo" : prof de LM depuis 2001
- ChocolatGuide spirituel
Jane a écrit:C'est horrible ce que je vais dire, mais je ne sais pas s'il vaut mieux qu'il s'en sorte ou pas. J'avais eu, il y a quelques années, une jeune fille qui avait eu le même geste et qui était revenue en cours après sa "guérison". Elle était défigurée, y avait laissé une partie de son nez, ses oreilles, plusieurs doigts et une partie de ses cheveux (sans parler de l'état de sa peau sur les bras). Tout le monde l'évitait, la fuyait, elle faisait peur. Elle était seule, toujours, tout le temps...
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