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- Invité31Sage
Macassa: à mon avis, ce doit être comme pour les vacations. Il faut demander au secrétariat de ton chef d'établissement, ou regarder sur i-prof, il y a certaines infos (mais pas les formulaires concernés).
- macassaNiveau 7
[quote="Lynette"]Macassa: à mon avis, ce doit être comme pour les vacations. Il faut demander au secrétariat de ton chef d'établissement, ou regarder sur i-prof, il y a certaines infos (mais pas les formulaires concernés).[/quote
Sur I Prof, je n'avais pas trouvé d'infos mais je vais mieux chercher.
je ne préfère pas en parler à la direction de mon lycée même si je suis en bons termes, je préfère rester discrète sur mon projet.
J'ai une collègue, mère de 3 enfants, qui va partir en retraite anticipée, elle a à peine 50 ans et compte se mettre à son compte...je l'envie beaucoup...je rêve de plus en plus d'être aussi à mon compte, de bosser à mon ryhtme]
Sur I Prof, je n'avais pas trouvé d'infos mais je vais mieux chercher.
je ne préfère pas en parler à la direction de mon lycée même si je suis en bons termes, je préfère rester discrète sur mon projet.
J'ai une collègue, mère de 3 enfants, qui va partir en retraite anticipée, elle a à peine 50 ans et compte se mettre à son compte...je l'envie beaucoup...je rêve de plus en plus d'être aussi à mon compte, de bosser à mon ryhtme]
- Pierre_au_carréGuide spirituel
macassa a écrit:
Quelqu'un dans ce forum avec le statut ou le projet de formateur/consultant ??
Tu es dans quelle matière ? Parce que consultant, dans ta matière, ça correspond à quoi ?
- EdgarNeoprof expérimenté
IL faut demander une autorisation spéciale de cumul à ton chef d'établissement à renouveler chaque année. En général ça se passe très bien
MAIS
Concrètement la situation est plus ou moins viable à long terme en fonction des rapports que tu as avec ta hiérarchie, de ta résistance physique, de la difficulté d'exercice au quotidien sur ton poste principal (par exemple si tu es en collège ou en LP).
Pour résumer :
Avantages :
-Permet de souffler un peu quand on est dans un établissement sinistré
- Permet d'avoir en fin de mois une paie qui se rapproche un petit peu d'un cadre, ou au moins d'un agent de maîtrise, et non d'un employé.
- Permet de se diversifier et de garder un contact avec une forme de réalité
Inconvénients :
-le salaire complémentaire payé en vacations ne compte pas de la même façon dans le calcul de la retraite si ma mémoire est bonne.
- La hiérarchie accepte toujours les cumuls à la condition qu'elle n'ait pas besoin de vous en heures supp sur votre établissement. Sinon, il faut d'abord combler toutes les heures supp avant de pouvoir prendre des cumuls (c'est logique, ils ne vont pas vous autoriser à aller enseigner ailleurs si vous refusez des HS au motif que cela vous fera un service trop important. Donc il faut être totalement "irréprochable" sur votre service actuel ou ne pas avoir trop d'HS non pourvues sur votre établissment)
- Parfois, lors des vacations même dans ce qu'on appelle le supérieur, le niveau des étudiants peut être faible et leur attitude très pénible. Après tout, nos élèves ne se transforment pas subitement tous en étudiants passionnés, cultivés et distingués une fois que nous les quittons. J'ai des souvenirs de BTS qui faisaient des jeux vidéo en ligne pdt le cours sur leurs laptop et auxquels il fallait sans cesse demander d'arrêter de parler.
J'ai cessé cela de mon côté après avoir fait une dernière année à 29 heures de cours par semaine, entre mon collège qui me prenait déjà 6 HS contraintes, un BTS et une école de commerce et suis revenu à des taux plus conventionnels qui mettent moins au défi ma santé physique et morale. Ma bourse s'en trouve moins bien certes, mais j'ai moins d'étourdissements en classe et sur la route .
Mais toutes les situations ne sont pas identiques à la mienne, alors...
MAIS
Concrètement la situation est plus ou moins viable à long terme en fonction des rapports que tu as avec ta hiérarchie, de ta résistance physique, de la difficulté d'exercice au quotidien sur ton poste principal (par exemple si tu es en collège ou en LP).
Pour résumer :
Avantages :
-Permet de souffler un peu quand on est dans un établissement sinistré
- Permet d'avoir en fin de mois une paie qui se rapproche un petit peu d'un cadre, ou au moins d'un agent de maîtrise, et non d'un employé.
- Permet de se diversifier et de garder un contact avec une forme de réalité
Inconvénients :
-le salaire complémentaire payé en vacations ne compte pas de la même façon dans le calcul de la retraite si ma mémoire est bonne.
- La hiérarchie accepte toujours les cumuls à la condition qu'elle n'ait pas besoin de vous en heures supp sur votre établissement. Sinon, il faut d'abord combler toutes les heures supp avant de pouvoir prendre des cumuls (c'est logique, ils ne vont pas vous autoriser à aller enseigner ailleurs si vous refusez des HS au motif que cela vous fera un service trop important. Donc il faut être totalement "irréprochable" sur votre service actuel ou ne pas avoir trop d'HS non pourvues sur votre établissment)
- Parfois, lors des vacations même dans ce qu'on appelle le supérieur, le niveau des étudiants peut être faible et leur attitude très pénible. Après tout, nos élèves ne se transforment pas subitement tous en étudiants passionnés, cultivés et distingués une fois que nous les quittons. J'ai des souvenirs de BTS qui faisaient des jeux vidéo en ligne pdt le cours sur leurs laptop et auxquels il fallait sans cesse demander d'arrêter de parler.
J'ai cessé cela de mon côté après avoir fait une dernière année à 29 heures de cours par semaine, entre mon collège qui me prenait déjà 6 HS contraintes, un BTS et une école de commerce et suis revenu à des taux plus conventionnels qui mettent moins au défi ma santé physique et morale. Ma bourse s'en trouve moins bien certes, mais j'ai moins d'étourdissements en classe et sur la route .
Mais toutes les situations ne sont pas identiques à la mienne, alors...
- macassaNiveau 7
c'est vrai que pour l'instant mon envie d'exercer dans le privé en tant que formatrice en communication n'en est qu'au stade de projet...je me doute qu'il y a des avantages et des inconvénients.
Mère de deux enfants en bas âge, je n'ai pas envie d'avoir un rythme de travail de dingue..c'est plutôt l'inverse que je cherche.
je sais qu'en plus, vu les DHG annoncés et toutes les heures sups, c'est la mauvaise période pour obtenir un temps partiel !!
Mère de deux enfants en bas âge, je n'ai pas envie d'avoir un rythme de travail de dingue..c'est plutôt l'inverse que je cherche.
je sais qu'en plus, vu les DHG annoncés et toutes les heures sups, c'est la mauvaise période pour obtenir un temps partiel !!
- La JabotteNeoprof expérimenté
Bonsoir,
Je suis nouvelle sur ce forum mais je peux vous apporter quelques réponses. Tout dépend de votre projet exact, qui ne m'est pas apparu très clairement. Toutefois si, comme il me semble le comprendre, vous souhaitez vous mettre à temps partiel pour lancer une activité professionnelle privée en tant qu'indépendant, c'est possible.
Je vous renvoie à ces liens, qui vous permettront de savoir dans quelle situation vous vous trouvez :
cumul d'activité
Particulièrement :
soumises à autorisation
Vous semblez entrer dans la catégorie "enseignement et formation", qui est soumise à autorisation de la part du Recteur. Une procédure est à suivre, c'est la même pour tout le monde et pour toutes les académies. (Ce n'était pas forcément le cas jusqu'à présent.)
Vous pouvez choisir le statut d'auto-entrepreneur ou pas.
La demande d'autorisation est à transmettre au Recteur par voie hiérarchique, c'est-à-dire par le biais de votre chef d'établissement, qui émettra de toute façon son avis (favorable, ou non favorable motivé).
Dans le cas d'une création d'entreprise, vous pouvez demander un temps partiel (de droit) mais attention : cette possibilité est limitée dans le temps (2 à 3 ans dans mes souvenirs). A l'issue de ce temps, vous devez choisir : soit vous continuez à enseigner avec la quotité qu'on vous donne, soit vous quittez l'enseignement pour vous consacrer pleinement à votre autre activité.
Ce problème ne se pose pas dans le cas des professions libérales liées à votre matière d'enseignement, qui sont "libres" (il faut toutefois passer par la demande d'autorisation pour que le Recteur puisse vérifier la réelle adéquation entre votre matière et la profession que vous souhaitez exercer ; de plus on vérifie aussi que vous ne portez pas atteinte à l'image de la fonction publique et qu'aucun problème éthique ou déontologique ne se pose).
Cette demande d'autorisation est à déposer chaque année, quel que soit le cas dans lequel vous vous trouvez.
Sachez enfin qu'il existe une indemnité de départ volontaire, au cas où, poussé(e) à bout, vous décidiez de démissionner plutôt que de cumuler deux activités : on dépose un dossier de demande, on reçoit une réponse, et seulement alors on démissionne.
Cette indemnité peut monter jusqu'à 24 fois le dernier salaire brut perçu. Deux ans de salaire, en somme. Ce n'est pas systématique.
Lien :
indemnité de départ volontaire
J'espère que vous pourrez réaliser votre projet !
Toutefois, avoir deux boulots à temps partiel, c'est toujours plus prenant qu'en avoir un seul à temps complet... surtout lorsqu'on travaille en tant qu'indépendant !
Bonne nuit,
Je suis nouvelle sur ce forum mais je peux vous apporter quelques réponses. Tout dépend de votre projet exact, qui ne m'est pas apparu très clairement. Toutefois si, comme il me semble le comprendre, vous souhaitez vous mettre à temps partiel pour lancer une activité professionnelle privée en tant qu'indépendant, c'est possible.
Je vous renvoie à ces liens, qui vous permettront de savoir dans quelle situation vous vous trouvez :
cumul d'activité
Particulièrement :
soumises à autorisation
Vous semblez entrer dans la catégorie "enseignement et formation", qui est soumise à autorisation de la part du Recteur. Une procédure est à suivre, c'est la même pour tout le monde et pour toutes les académies. (Ce n'était pas forcément le cas jusqu'à présent.)
Vous pouvez choisir le statut d'auto-entrepreneur ou pas.
La demande d'autorisation est à transmettre au Recteur par voie hiérarchique, c'est-à-dire par le biais de votre chef d'établissement, qui émettra de toute façon son avis (favorable, ou non favorable motivé).
Dans le cas d'une création d'entreprise, vous pouvez demander un temps partiel (de droit) mais attention : cette possibilité est limitée dans le temps (2 à 3 ans dans mes souvenirs). A l'issue de ce temps, vous devez choisir : soit vous continuez à enseigner avec la quotité qu'on vous donne, soit vous quittez l'enseignement pour vous consacrer pleinement à votre autre activité.
Ce problème ne se pose pas dans le cas des professions libérales liées à votre matière d'enseignement, qui sont "libres" (il faut toutefois passer par la demande d'autorisation pour que le Recteur puisse vérifier la réelle adéquation entre votre matière et la profession que vous souhaitez exercer ; de plus on vérifie aussi que vous ne portez pas atteinte à l'image de la fonction publique et qu'aucun problème éthique ou déontologique ne se pose).
Cette demande d'autorisation est à déposer chaque année, quel que soit le cas dans lequel vous vous trouvez.
Sachez enfin qu'il existe une indemnité de départ volontaire, au cas où, poussé(e) à bout, vous décidiez de démissionner plutôt que de cumuler deux activités : on dépose un dossier de demande, on reçoit une réponse, et seulement alors on démissionne.
Cette indemnité peut monter jusqu'à 24 fois le dernier salaire brut perçu. Deux ans de salaire, en somme. Ce n'est pas systématique.
Lien :
indemnité de départ volontaire
J'espère que vous pourrez réaliser votre projet !
Toutefois, avoir deux boulots à temps partiel, c'est toujours plus prenant qu'en avoir un seul à temps complet... surtout lorsqu'on travaille en tant qu'indépendant !
Bonne nuit,
- macassaNiveau 7
Merci pour cette réponse Céline,
mon projet n'est pas encore bien défini mais c'est un peu ce que tu écris.
Créer mon activité de "formatrice" sans pour l'instant laisser tomber mon activité de prof dans le public.
je souhaiterai me lancer, voir ce que ça donne sans prendre trop de risques financiers non plus.
j'ai déjà travaillé dans le privé, je connais les avantages (liberté d'entreprendre, être à son compte..) et les inconvénients (revenus irréguliers, gestion du temps...)
Obtenir un temps partiel de droit sur 2 ans serait déjà pas mal, je pourrai tester mon activité, je vais donc me renseigner auprès de ma DRH
Toi même, tu as une activité professionnelle dans le privé ??
mon projet n'est pas encore bien défini mais c'est un peu ce que tu écris.
Créer mon activité de "formatrice" sans pour l'instant laisser tomber mon activité de prof dans le public.
je souhaiterai me lancer, voir ce que ça donne sans prendre trop de risques financiers non plus.
j'ai déjà travaillé dans le privé, je connais les avantages (liberté d'entreprendre, être à son compte..) et les inconvénients (revenus irréguliers, gestion du temps...)
Obtenir un temps partiel de droit sur 2 ans serait déjà pas mal, je pourrai tester mon activité, je vais donc me renseigner auprès de ma DRH
Toi même, tu as une activité professionnelle dans le privé ??
- La JabotteNeoprof expérimenté
Bonjour Macassa,
Je suis au collège à 80% (de droit parce que mon troisième enfant a moins de 3 ans), et même sans bosser à côté, c'est déjà limite (en français, les copies + un bébé...) et cela ne libère pas suffisamment de temps pour être serein et efficace dans un deuxième boulot. Mais je suis très contente de le faire !
Bonne continuation dans tes projets !
oui, je viens de m'installer comme écrivain public. Je n'ai pas beaucoup de clients, mais lorsqu'il s'en présente ne serait-ce qu'un, c'est épuisant !Toi même, tu as une activité professionnelle dans le privé ??
Je suis au collège à 80% (de droit parce que mon troisième enfant a moins de 3 ans), et même sans bosser à côté, c'est déjà limite (en français, les copies + un bébé...) et cela ne libère pas suffisamment de temps pour être serein et efficace dans un deuxième boulot. Mais je suis très contente de le faire !
Bonne continuation dans tes projets !
- MHGNiveau 7
C'est exactement ce que je projette pour l'an prochain TP à 80% posé (de droit car j'ai un enfant de moins de 3 ans). Avez-vous eu des difficultés pour obtenir l'autorisation de cumul ?
Qu'en est-il de la viabilité économique au vu de votre expérience ?
Qu'en est-il de la viabilité économique au vu de votre expérience ?
- La JabotteNeoprof expérimenté
MHG a écrit:C'est exactement ce que je projette pour l'an prochain TP à 80% posé (de droit car j'ai un enfant de moins de 3 ans). Avez-vous eu des difficultés pour obtenir l'autorisation de cumul ?
Qu'en est-il de la viabilité économique au vu de votre expérience ?
Bonsoir,
aucune difficulté pour obtenir l'autorisation, car il s'agit d'une activité libérale, donc de pratique libre. (voir les liens que j'ai donnés plus haut.)
Il faut toutefois compléter quand même la demande d'autorisation car il faut effectuer une déclaration préalable auprès du recteur, afin qu'il puisse vérifier la réelle adéquation entre votre matière d'enseignement et votre profession libérale (prof de français / écrivain public : aucun problème), ainsi que l'absence de "contre-indication" déontologique ou éthique.
Pour la viabilité économique et mon expérience, je vous propose d'en discuter plus tard, éventuellement en privé. Ce n'est d'ailleurs pas auprès de moi que vous trouverez les meilleurs renseignements : je ne suis installée que depuis novembre et tout reste à faire ! Je vous invite à parcourir les 100 questions (et leurs réponses) du GREC, si vous ne l'avez déjà fait. Vous en apprendrez beaucoup également en visitant les sites de nombreux confrères.
Cordialement,
- macassaNiveau 7
Bonjour La jabotte,
J'ai fait pas mal de recherches sur les possibilités que donne la nouvelle loi sur la mobilité des fonctionnaires...j'ai même découvert que nous avions un " conseiller mobilité" dans chaque rectorat...je prendrai contact après les vacances.
Mon projet n'ai pas encore bien défini, ce serait de m'installer comme formateur à mon compte....mon rêve serait de quitter l'éducation nationale main bon...ce n'est qu'un rêve..
En gros, pas de problème pour obtenir l'autorisation de cumul, mais faut-il la demander chaque année ??
Là où ce n'est pas clair, c'est la limitation dans le temps ?? certains me disent 2 voire 3 ans, d'autres me rétorquent aucune limite, tout dépend du statut juridique de cette activité.
Comme je bosse à plein temps, j'ai 2 enfants en bas âge, je veux être à mon compte et donc à mon rythme...je pense au statut auto-entrepreneur...et je demanderai un temps partiel de droit pour créer une entreprise.
Toujours dans la nouvelle loi, on parle d'activité accessoire ?? en revenus ou en temps ??
J'ai fait pas mal de recherches sur les possibilités que donne la nouvelle loi sur la mobilité des fonctionnaires...j'ai même découvert que nous avions un " conseiller mobilité" dans chaque rectorat...je prendrai contact après les vacances.
Mon projet n'ai pas encore bien défini, ce serait de m'installer comme formateur à mon compte....mon rêve serait de quitter l'éducation nationale main bon...ce n'est qu'un rêve..
En gros, pas de problème pour obtenir l'autorisation de cumul, mais faut-il la demander chaque année ??
Là où ce n'est pas clair, c'est la limitation dans le temps ?? certains me disent 2 voire 3 ans, d'autres me rétorquent aucune limite, tout dépend du statut juridique de cette activité.
Comme je bosse à plein temps, j'ai 2 enfants en bas âge, je veux être à mon compte et donc à mon rythme...je pense au statut auto-entrepreneur...et je demanderai un temps partiel de droit pour créer une entreprise.
Toujours dans la nouvelle loi, on parle d'activité accessoire ?? en revenus ou en temps ??
- Remi FNiveau 3
La Jabotte a écrit:Bonjour Macassa,
oui, je viens de m'installer comme écrivain public. Je n'ai pas beaucoup de clients, mais lorsqu'il s'en présente ne serait-ce qu'un, c'est épuisant !Toi même, tu as une activité professionnelle dans le privé ??
Je suis au collège à 80% (de droit parce que mon troisième enfant a moins de 3 ans), et même sans bosser à côté, c'est déjà limite (en français, les copies + un bébé...) et cela ne libère pas suffisamment de temps pour être serein et efficace dans un deuxième boulot. Mais je suis très contente de le faire !
Bonne continuation dans tes projets !
Je me demande justement s'il est possible de s'en sortir correctement à titre purement libéral avec cette activité.
Beaucoup d'associations de mairies proposent gratuitement ce service.
- La JabotteNeoprof expérimenté
Remi F a écrit:La Jabotte a écrit:Bonjour Macassa,
oui, je viens de m'installer comme écrivain public. Je n'ai pas beaucoup de clients, mais lorsqu'il s'en présente ne serait-ce qu'un, c'est épuisant !Toi même, tu as une activité professionnelle dans le privé ??
Je suis au collège à 80% (de droit parce que mon troisième enfant a moins de 3 ans), et même sans bosser à côté, c'est déjà limite (en français, les copies + un bébé...) et cela ne libère pas suffisamment de temps pour être serein et efficace dans un deuxième boulot. Mais je suis très contente de le faire !
Bonne continuation dans tes projets !
Je me demande justement s'il est possible de s'en sortir correctement à titre purement libéral avec cette activité.
Beaucoup d'associations de mairies proposent gratuitement ce service.
D'après les retours d'expérience, il est très difficile voire impossible d'en vivre les premières années. La plupart ont une autre activité en parallèle. Ensuite, c'est très variable, et cela dépend sans doute du lieu dans lequel vous vous trouvez, de la clientèle que vous cibles, des travaux que vous proposez, etc.
Les services d'écrivain public en mairie ou communauté de communes sont effectivement gratuits pour les usagers : ils sont soit assurés par des associations à titre bénévole, soit par des personnes rémunérées (salariés ou intervenants extérieurs avec convention) par la structure qui offre ce service. Gratuit pour les usagers ne signifie pas nécessairement travail bénévole !
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- Enseigner dans le privé + droit de cumuler une autre activité professionnelle ?
- Enseignant dans le public - Puis-je demander un poste dans le privé?
- Mutation dans les DOM pour un prof du privé: mêmes avantages que dans le public?
- Etre prof dans le public et enseigner dans le privé : possible ?
- Prof dans le public -> passer l'interne dans le privé
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