- JulianneHabitué du forum
Je suis encore en train de travailler sur mes progressions annuelles...
Je voulais savoir de quoi vous teniez le plus compte en mettant au point les vôtres : le fait qu'il y ait une progression logique d'une séquence à l'autre ou le fait que tel ou tel point s'aborde mieux en début ou en fin d'année (peu importe alors de passer de l'épistolaire au portrait) ?
Je voulais savoir de quoi vous teniez le plus compte en mettant au point les vôtres : le fait qu'il y ait une progression logique d'une séquence à l'autre ou le fait que tel ou tel point s'aborde mieux en début ou en fin d'année (peu importe alors de passer de l'épistolaire au portrait) ?
- CarmillaNiveau 7
J'essaie dans la mesure du possible de tenir compte des deux.
On peut sans problème passer de l'épistolaire au portrait si on arrive à faire un lien entre les deux : une lettre peut contenir un portrait ou tu peux demander aux élèves de faire leur portrait dans une lettre , histoire d'introduire la séquence...
On peut sans problème passer de l'épistolaire au portrait si on arrive à faire un lien entre les deux : une lettre peut contenir un portrait ou tu peux demander aux élèves de faire leur portrait dans une lettre , histoire d'introduire la séquence...
- arriaNiveau 10
pour ma part j'essaie surtout d'équilibrer les séquences, je place d'abord les oeuvres intégrales puis le reste après, j'avoue que le lien entre mes séquences est assez artificiel, ça ne me préoccupe pas trop au niveau des textes, mais en revanche je soigne la progression grammaticale
- CarmillaNiveau 7
Tu veux dire que tu alternes OI et GT ?
Je suis d'accord pour la progression grammaticale, mais avec l'expérience on se rend compte que certaines notions sont plus faciles à voir à travers certaines séquences ( ex : cause et conséquence pour explicatif). Alors tous ces paramètres entrent en jeu.
Il peut aussi ne pas y avoir de lien entre deux séquences ( effet de rupture): cf l'inspectrice
Je suis d'accord pour la progression grammaticale, mais avec l'expérience on se rend compte que certaines notions sont plus faciles à voir à travers certaines séquences ( ex : cause et conséquence pour explicatif). Alors tous ces paramètres entrent en jeu.
Il peut aussi ne pas y avoir de lien entre deux séquences ( effet de rupture): cf l'inspectrice
- JulianneHabitué du forum
Effet de rupture ?! J'adore ... On a reproché à un de mes collègues il y a deux ans de ne pas lier ses séquences ce qui pouvait "déstabiliser les élèves" (dixit inspectrice). Il n'en fallait pas tant pour déstabiliser mes troisièmes l'an dernier !
- AdèleNiveau 6
Moi j'essaie de faire en sorte de placer au bon moment les bonnes choses, les liens passent après. Je fais en fonction de la mâturité qu'ils acquièrent au fur et à mesure de l'année.
- AdèleNiveau 6
adeline a écrit:Effet de rupture ?! J'adore ... On a reproché à un de mes collègues il y a deux ans de ne pas lier ses séquences ce qui pouvait "déstabiliser les élèves" (dixit inspectrice). Il n'en fallait pas tant pour déstabiliser mes troisièmes l'an dernier !
Tu parles ! Ils ne perçoivent pas tout cela, eux .
- InvitéInvité
Je tiens compte du bon moment où je peux présenter une notion s'il s'agit d'un genre comme le fantastique, le conte, le récit policier ou d'un type de discours comme l'explicatif, l'argumentatif. Mais j'essaie aussi de tenir compte de l'ordre chronologique du programme d'histoire-géo, ça m'aide d'ailleurs à trouver des liens entre les séquences. Après, j'alterne aussi GT et OI, et la langue, soit en fonction des séquences qui se prêtent le mieux à certains points de langue, soit selon les besoins internes à ma progression grammaticale (l'accord sujet-verbe, je n'aurai pas de mal à le "caser" avec un texte ou un autre, par exemple...).
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum