- OrnellaDoyen
"Tu m'as donné ta boue et j'en ai fait de l'or"
sans hésitation
j'aime y croire
sans hésitation
j'aime y croire
- mel93Grand sage
Selon l'humeur :
"Le vent se lève! . . . il faut tenter de vivre!" Paul Valery
"Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle" Charles Baudelaire
"Le vent se lève! . . . il faut tenter de vivre!" Paul Valery
"Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle" Charles Baudelaire
- InvitéeHrÉrudit
Oisive jeunesse
A tout asservie
Par délicatesse
J'ai perdu ma vie.
A tout asservie
Par délicatesse
J'ai perdu ma vie.
- doctor whoDoyen
L'amour : un sentiment sorti des égoûts.
Dans ma vie, les filles changeaient d'nom mais avaient toutes le même goût. Pfuit.
Dans ma vie, les filles changeaient d'nom mais avaient toutes le même goût. Pfuit.
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Mon blog sur Tintin (entre autres) : http://popanalyse.over-blog.com/
Blog pédagogique : http://pedagoj.eklablog.com
- SessiExpert
Plein de vers...
De Sapho: "Eros a secoué mon âme comme le vent qui vient de la montagne tombe dans les chênes"
Ce passage de "La Nuit de décembre" de Musset:
"Partout où j'ai voulu dormir
Partout où j'ai voulu mourir
Partout où j'ai touché la terre
Sur ma route est venu s'asseoir
Un malheureux vêtu de noir
Qui me ressemblait comme un frère"
A peu près un vers sur deux chez Rimbaud, mais s'il fallait n'en retenir qu'un ce serait (et c'est de la prose!), dans les Illuminations:
"Je devins un opéra fabuleux: je vis que tous les êtres ont une fatalité de bonheur [...]"
Et Chez Marcelline: "Au fond de ton absence écouter que tu m'aimes
C'est entendre le ciel sans y monter jamais"
Torturée? Qui ça? Moi? Pas du tout!
De Sapho: "Eros a secoué mon âme comme le vent qui vient de la montagne tombe dans les chênes"
Ce passage de "La Nuit de décembre" de Musset:
"Partout où j'ai voulu dormir
Partout où j'ai voulu mourir
Partout où j'ai touché la terre
Sur ma route est venu s'asseoir
Un malheureux vêtu de noir
Qui me ressemblait comme un frère"
A peu près un vers sur deux chez Rimbaud, mais s'il fallait n'en retenir qu'un ce serait (et c'est de la prose!), dans les Illuminations:
"Je devins un opéra fabuleux: je vis que tous les êtres ont une fatalité de bonheur [...]"
Et Chez Marcelline: "Au fond de ton absence écouter que tu m'aimes
C'est entendre le ciel sans y monter jamais"
Torturée? Qui ça? Moi? Pas du tout!
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- Tout ce que nous pouvons faire est d'ajouter à la création, le plus que nous le pouvons, pendant que d'autres travaillent à la destruction. C'est ce long, patient et secret effort qui a fait avancer réellement les hommes depuis qu'ils ont une histoire.-
Albert Camus
- InvitéeHrÉrudit
Cela, si simple
Que sont mes amis devenus
Que j'avais de si près tenus
Et tant aimés
Que sont mes amis devenus
Que j'avais de si près tenus
Et tant aimés
- InvitéInvité
Quand je serai mort
vous ne penserez plus à moi
-silence et absence-
un nom sur une marguerite d’os
que je ne serai plus là pour effeuiller.
(Alain Borne)
vous ne penserez plus à moi
-silence et absence-
un nom sur une marguerite d’os
que je ne serai plus là pour effeuiller.
(Alain Borne)
- InvitéeHrÉrudit
Water, is taught by thirst.
Land- by the Oceans passed.
Transport- by throe-
Peace- by its battles told-
Love, by Memorial Mold-
Birds, by the Snow.
On apprend l'Eau par la soif
Et la Terre par les Voyages en mer-
La Passion- par les affres
Et la Paix- par les récits de guerre-
L'Amour- par la Mort
Et les Oiseaux- par l'Hiver
E. Dickinson
Land- by the Oceans passed.
Transport- by throe-
Peace- by its battles told-
Love, by Memorial Mold-
Birds, by the Snow.
On apprend l'Eau par la soif
Et la Terre par les Voyages en mer-
La Passion- par les affres
Et la Paix- par les récits de guerre-
L'Amour- par la Mort
Et les Oiseaux- par l'Hiver
E. Dickinson
- LoEsprit sacré
Ce ne sont pas vraiment des vers, mais ces mots d'Une Saison en Enfer m'ont interpellée il y a quelques années:
Jadis, si je me souviens bien, ma vie était un festin où s'ouvraient tous les coeurs, où tous les vins coulaient.
Un soir, j'ai assis la Beauté sur mes genoux. - Et je l'ai trouvée amère - Et je l'ai injuriée.
Je me suis armé contre la justice. Je me suis enfui. Ô sorcières, ô misères, ô haine c'est à vous que mon trésor a été confié!
Je parvins à faire s'évanouir dans mon esprit toute l'espérance humaine. Sur toute joie pour l'étrangler j'ai fait le bond sourd de la bête féroce.
- LoEsprit sacré
Ou sinon, sonnet 43 de Shakespeare:
But when I sleep, in dreams they look on thee,
And darkly bright, are bright in dark directed.
Then thou, whose shadow shadows doth make bright,
How would thy shadow's form form happy show
To the clear day with thy much clearer light,
When to unseeing eyes thy shade shines so!
- eowynNiveau 7
"Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle"
"Les chants désespérés sont les chants les plus beaux
Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots" Musset
"Que le jour recommence et que le jour finisse,
Sans que jamais Titus puisse voir Bérénice" Racine
"Vienne la nuit sonne l'heure
les jours s'en vont je demeure" Appolinaire
"Les chants désespérés sont les chants les plus beaux
Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots" Musset
"Que le jour recommence et que le jour finisse,
Sans que jamais Titus puisse voir Bérénice" Racine
"Vienne la nuit sonne l'heure
les jours s'en vont je demeure" Appolinaire
- snowNiveau 9
Choix difficile mais je pense immédiatement à Eluard
"J’étais si près de toi que j’ai froid près des autres" ou le très beau "Elle est debout sur mes paupières"
Et Desnos. Mais là j'ai vraiment du mal à choisir...
Me vient en tête le poème "Coucher avec elle" et peut-être plus particulièrement ces vers:
"Coucher avec elle
Pour un naufrage ineffable
Pour se prostituer l'un à l'autre
Pour se confondre"
et enfin, le grand Victor, dans "Après la bataille"
"le champ couvert de morts sur qui tombait la nuit": j'ai tout un film dans la tête quand j'arrive à ce vers.
"J’étais si près de toi que j’ai froid près des autres" ou le très beau "Elle est debout sur mes paupières"
Et Desnos. Mais là j'ai vraiment du mal à choisir...
Me vient en tête le poème "Coucher avec elle" et peut-être plus particulièrement ces vers:
"Coucher avec elle
Pour un naufrage ineffable
Pour se prostituer l'un à l'autre
Pour se confondre"
et enfin, le grand Victor, dans "Après la bataille"
"le champ couvert de morts sur qui tombait la nuit": j'ai tout un film dans la tête quand j'arrive à ce vers.
- manuuNiveau 6
J'aime ces vers de Phèdre, ils m'ont marquée ado quand mes histoires d'amour étaient compliquées (pas aussi compliquées que pour Phèdre bien sûr...):
"Ah ! cruel, tu m'as trop entendue !
Je t'en ai dit assez pour te tirer d'erreur.
Eh bien ! connais donc Phèdre et toute sa fureur.
J'aime. Ne pense pas qu'au moment que je t'aime,
Innocente à mes yeux, je m'approuve moi−même,
Ni que du fol amour qui trouble ma raison,
Ma lâche complaisance ait nourri le poison.
Objet infortuné des vengeances célestes,
Je m'abhorre encor plus que tu ne me détestes.
Les dieux m'en sont témoins, ces dieux qui dans mon flanc
Ont allumé le feu fatal à tout mon sang ;
Ces dieux qui se sont fait une gloire cruelle
De séduire le coeur d'une faible mortelle."
"Ah ! cruel, tu m'as trop entendue !
Je t'en ai dit assez pour te tirer d'erreur.
Eh bien ! connais donc Phèdre et toute sa fureur.
J'aime. Ne pense pas qu'au moment que je t'aime,
Innocente à mes yeux, je m'approuve moi−même,
Ni que du fol amour qui trouble ma raison,
Ma lâche complaisance ait nourri le poison.
Objet infortuné des vengeances célestes,
Je m'abhorre encor plus que tu ne me détestes.
Les dieux m'en sont témoins, ces dieux qui dans mon flanc
Ont allumé le feu fatal à tout mon sang ;
Ces dieux qui se sont fait une gloire cruelle
De séduire le coeur d'une faible mortelle."
- helripNiveau 3
De mémoire, pèle-mêle, vous m'excuserez les erreurs de syntaxe :
"Elle est retrouvée - quoi? L'éternité " (Rimbaud)
"Tes yeux sont si profonds qu'en me penchant pour boire
J'ai vu tous les soleils y venir s'y mirer
S'y jeter à mourir tous les désespérés
Tes yeux sont si profonds que j'en perds la mémoire" (Aragon)
"Et j'ai vu quelquefois ce que l'homme a cru voir" (Rimbaud)
"Qui pleure là sinon le vent triste à cette heure seule?" (Valéry)
"Et la maison durait sous les arbres à plumes" (Saint John Perse)
"Fuir là bas, fuir etc..." et "La chair est triste hélas ! Et j'ai lu tous les livres" (Mallarmé)
"Sois sage, ô ma douleur, et tiens-toi plus tranquille" (Baudelaire ?)
Apollinaire : beaucoup trop !
Et aussi cette phrase du Voyage au bout de la nuit:
"Dans l'hébétude des longues siestes paludéènnes, il fait si chaud que les mouches aussi se reposent"
Extra ce topic ! C'est toujours bon de relire ces vers !
"Elle est retrouvée - quoi? L'éternité " (Rimbaud)
"Tes yeux sont si profonds qu'en me penchant pour boire
J'ai vu tous les soleils y venir s'y mirer
S'y jeter à mourir tous les désespérés
Tes yeux sont si profonds que j'en perds la mémoire" (Aragon)
"Et j'ai vu quelquefois ce que l'homme a cru voir" (Rimbaud)
"Qui pleure là sinon le vent triste à cette heure seule?" (Valéry)
"Et la maison durait sous les arbres à plumes" (Saint John Perse)
"Fuir là bas, fuir etc..." et "La chair est triste hélas ! Et j'ai lu tous les livres" (Mallarmé)
"Sois sage, ô ma douleur, et tiens-toi plus tranquille" (Baudelaire ?)
Apollinaire : beaucoup trop !
Et aussi cette phrase du Voyage au bout de la nuit:
"Dans l'hébétude des longues siestes paludéènnes, il fait si chaud que les mouches aussi se reposent"
Extra ce topic ! C'est toujours bon de relire ces vers !
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On devrait toujours être légèrement improbable. O. Wilde
- ZeugmaNiveau 4
"La lucidité est la blessure la plus rapprochée du soleil" René Char
Ce vers m'obsède depuis des années..
Ce vers m'obsède depuis des années..
- AlcyoneFidèle du forum
"Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème / De la Mer, infusé d'astres, et lactescent"
"J'ai vu le soleil bas, taché d'horreurs mystiques, / Illuminant de longs figements violets"
Le bateau ivre
Partie pour une journée avec ces vers en tête!
Helrip : "Et j'ai vu quelquefois ce que l'homme a cru voir!"
"J'ai vu le soleil bas, taché d'horreurs mystiques, / Illuminant de longs figements violets"
Le bateau ivre
Partie pour une journée avec ces vers en tête!
Helrip : "Et j'ai vu quelquefois ce que l'homme a cru voir!"
- InvitéNGrand sage
Je n'ai pas lu tous les coms:
Je le vis, je rougis,je pâlis à sa vue
Sois sage,ô ma douleur et tiens toi souveraine
Mon bras qui tant de fois a sauvé cet empire
Juliet...Roméo ( facile )
Oh...un rhinocéros ( mélangé à Bioman c'est pas mal : où ça ? )
Quoi ma gueule qu'est ce qu'elle a ma gueule ? ( le pouet pouet Jonhny )
Je le vis, je rougis,je pâlis à sa vue
Sois sage,ô ma douleur et tiens toi souveraine
Mon bras qui tant de fois a sauvé cet empire
Juliet...Roméo ( facile )
Oh...un rhinocéros ( mélangé à Bioman c'est pas mal : où ça ? )
Quoi ma gueule qu'est ce qu'elle a ma gueule ? ( le pouet pouet Jonhny )
- InvitéNGrand sage
snow a écrit:Choix difficile mais je pense immédiatement à Eluard
"J’étais si près de toi que j’ai froid près des autres" ou le très beau "Elle est debout sur mes paupières"
Et Desnos. Mais là j'ai vraiment du mal à choisir...
Me vient en tête le poème "Coucher avec elle" et peut-être plus particulièrement ces vers:
"Coucher avec elle
Pour un naufrage ineffable
Pour se prostituer l'un à l'autre
Pour se confondre"
et enfin, le grand Victor, dans "Après la bataille"
"le champ couvert de morts sur qui tombait la nuit": j'ai tout un film dans la tête quand j'arrive à ce vers.
Desnos c'est dur de choisir : Il est où le tamalou ?
Victor moi c'est " Vous toi je sais que tu m'attends" bouleversant. je ne faisais même plus cours d'ATP : mon collègue de lettres était dans la salle voisine et je l'écoutais lire le texte : certes mes 6ème ( greemlins ) ont été un un perturbés
- helripNiveau 3
"Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème / De la Mer, infusé d'astres, et lactescent"
"J'ai vu le soleil bas, taché d'horreurs mystiques, / Illuminant de longs figements violets"
Le bateau ivre
Partie pour une journée avec ces vers en tête!
Oui, en parlant d'obsession, Le Bateau Ivre m'a accompagnée un certain nombre d'années. J'en avais appris les sept premières strophes en 5è... J'avais rien compris, et ça reste encore pour moi un sac d'émotions brutes, de couleurs et d'odeurs, ce texte !
- InvitéNGrand sage
helrip a écrit:"Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème / De la Mer, infusé d'astres, et lactescent"
"J'ai vu le soleil bas, taché d'horreurs mystiques, / Illuminant de longs figements violets"
Le bateau ivre
Partie pour une journée avec ces vers en tête!
Oui, en parlant d'obsession, Le Bateau Ivre m'a accompagnée un certain nombre d'années. J'en avais appris les sept premières strophes en 5è... J'avais rien compris, et ça reste encore pour moi un sac d'émotions brutes, de couleurs et d'odeurs, ce texte !
Idem...Le dormeur du val...Et bien sûr Baudelaire ou encore Appolinaire
- Hermione0908Modérateur
Il y en a plusieurs :
"Je suis le Ténébreux, le veuf, l'inconsolé / Le prince d'Aquitaine à la tour abolie" (pourtant, suis pas fan de Nerval, traumatisée par une dissertation à la fac...)
"J'entendrai des regards que vous croirez muets" (Britannicus)
"Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais/Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais" ("A une passante")
"Je suis le Ténébreux, le veuf, l'inconsolé / Le prince d'Aquitaine à la tour abolie" (pourtant, suis pas fan de Nerval, traumatisée par une dissertation à la fac...)
"J'entendrai des regards que vous croirez muets" (Britannicus)
"Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais/Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais" ("A une passante")
- GombrichNiveau 5
Ce n'est pas un vers, mais plusieurs puisqu'il s'agit de la tirade de Camille dans l'acte IV de Horace
Rome, l'unique objet de mon ressentiment !
Rome, à qui vient ton bras d'immoler mon amant !
Rome qui t'a vu naître et que ton cœur adore !
Rome enfin que je hais, parce qu'elle t'honore !
Puissent tous ses voisins, ensemble conjurés,
Saper ses fondements encor mal assurés !
Et si ce n'est assez de toute l'Italie,
Que l'Orient, contre elle, à l'Occident s'allie !
Que cent peuples unis des bouts de l'univers
Passent pour la détruire et les monts et les mers !
Qu'elle-même sur soi renverse ses murailles,
Et de ses propres mains déchire ses entrailles !
Que le courroux du ciel allumé par mes vœux,
Fasse tomber sur elle un déluge de feux !
Puissé-je de mes yeux y voir tomber ce foudre,
Voir ses maisons en cendres, et tes lauriers en poudre !
Voir le dernier Romain à son dernier soupir,
Moi seule en être cause, et mourir de plaisir.
Horace ne peut pas répondre avec des mots à un tel assaut. Quel personnage, cette Camille...
D'ailleurs est-ce que le sujet "mon personnage préféré " a-t-il déjà été traité ?
Rome, l'unique objet de mon ressentiment !
Rome, à qui vient ton bras d'immoler mon amant !
Rome qui t'a vu naître et que ton cœur adore !
Rome enfin que je hais, parce qu'elle t'honore !
Puissent tous ses voisins, ensemble conjurés,
Saper ses fondements encor mal assurés !
Et si ce n'est assez de toute l'Italie,
Que l'Orient, contre elle, à l'Occident s'allie !
Que cent peuples unis des bouts de l'univers
Passent pour la détruire et les monts et les mers !
Qu'elle-même sur soi renverse ses murailles,
Et de ses propres mains déchire ses entrailles !
Que le courroux du ciel allumé par mes vœux,
Fasse tomber sur elle un déluge de feux !
Puissé-je de mes yeux y voir tomber ce foudre,
Voir ses maisons en cendres, et tes lauriers en poudre !
Voir le dernier Romain à son dernier soupir,
Moi seule en être cause, et mourir de plaisir.
Horace ne peut pas répondre avec des mots à un tel assaut. Quel personnage, cette Camille...
D'ailleurs est-ce que le sujet "mon personnage préféré " a-t-il déjà été traité ?
- InvitéNGrand sage
Hermione0908 a écrit:Il y en a plusieurs :
"Je suis le Ténébreux, le veuf, l'inconsolé / Le prince d'Aquitaine à la tour abolie" (pourtant, suis pas fan de Nerval, traumatisée par une dissertation à la fac...)
"J'entendrai des regards que vous croirez muets" (Britannicus)
"Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais/Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais" ("A une passante")
C'est très beau
- InvitéNGrand sage
Le lac de Lamartine, n'est ce pas le summum de la poésie romantique ?
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