Etes-vous syndiqué au SNALC ?
- Reine MargotDemi-dieu
beaucoup de gens disent le Snalc de droite voire extrême-droite car il s'oppose à des choses comme le collègue unique, et à l'idée d'une élévation du niveau en prolongeant les études d'une classe d'âge, bref il remet en cause ce qui a été depuis la réforme Haby considéré comme le must de la démocratisation scolaire. malheureusement des choses ont changé depuis 1975, et bien des gens n'osent pas examiner les véritables problèmes de l'école (autres que les moyens, comme les missions et buts de l'école), et lorsque vous le faites, vous êtes suspecté de vous opposer à toute démocratisation scolaire, et donc d'être d'extrême-droite. je crois que cette réputation du snalc vient de là.
- AudreyOracle
Mon "c'est bien triste" signifiait que je trouvais fort dommage de ne pas "vivre" l'expérience de son syndicat, mais de se contenter d'en penser ce qu'en pensent les autres. J'ai mis des années à me syndiquer, parce que je jugeais essentiel de ne pas avoir l'impression d'être sous la coupe d'un Politburo, et je voulais, une fois le bon syndicat trouvé, me sentir partie prenante d'un réel échange, de débats parfois tendus mais toujours enrichissants. Je me dis, peut-être bêtement, que si on n'a pas cette envie de "partage", "d'expérience commune", il n'y a pas de réel intérêt à se syndiquer, à part peut-être pour défendre son dossier de mut une fois tous les 10 ans... ce n'est pas une critique personnelle Pili, c'est une vraie remarque d'ordre général!
Et franchement, j'avoue que j'en ai ras la casquette de me voir taxée d'extrême droitiste par des gens qui ne savent pas du tout ce qui se dit au SNALC, alors quand en plus, c'est le fait de quelqu'un qui y a adhéré, mais n'a pas fait le geste de creuser un peu, reconnais qu'il y a de quoi se sentir doublement méprisé! Mon ton a pu te sembler méprisant, il ne l'était pas... c'était davantage de la lassitude.
Et franchement, j'avoue que j'en ai ras la casquette de me voir taxée d'extrême droitiste par des gens qui ne savent pas du tout ce qui se dit au SNALC, alors quand en plus, c'est le fait de quelqu'un qui y a adhéré, mais n'a pas fait le geste de creuser un peu, reconnais qu'il y a de quoi se sentir doublement méprisé! Mon ton a pu te sembler méprisant, il ne l'était pas... c'était davantage de la lassitude.
- Palombella RossaNeoprof expérimenté
Syndiquée au SNES depuis... 1972 !!!
Je lis régulièrement la presse du SNALC, qui traîne en salle des professeurs. Elle ne dit pas que des khonneries, tant s'en faut.
Mais ce qui a coulé le SNALC, c'est le titre du livre de B. Kuntz, "Prof de droite".
Côté image, pas terrible, sspas ?
:lol!:
- lalilalaEmpereur
bof...
_________________
Nuestra vida es un círculo dantesco.
Mon blog
- DaphnéDemi-dieu
marquisedemerteuil a écrit:beaucoup de gens disent le Snalc de droite voire extrême-droite car il s'oppose à des choses comme le collègue unique, et à l'idée d'une élévation du niveau en prolongeant les études d'une classe d'âge, bref il remet en cause ce qui a été depuis la réforme Haby considéré comme le must de la démocratisation scolaire. malheureusement des choses ont changé depuis 1975, et bien des gens n'osent pas examiner les véritables problèmes de l'école (autres que les moyens, comme les missions et buts de l'école), et lorsque vous le faites, vous êtes suspecté de vous opposer à toute démocratisation scolaire, et donc d'être d'extrême-droite. je crois que cette réputation du snalc vient de là.
Tu sais, une collègue m'a dit une fois que si on n'était pas d'extrême gauche (c'était sa chapelle) on était forcément d'extrême droite
J'ai trouvé qu'elle manquait un peu de nuance mais je n'ai même pas répondu.
- PiliGrand sage
Audrey a écrit:
Et franchement, j'avoue que j'en ai ras la casquette de me voir taxée d'extrême droitiste par des gens qui ne savent pas du tout ce qui se dit au SNALC, alors quand en plus, c'est le fait de quelqu'un qui y a adhéré, mais n'a pas fait le geste de creuser un peu, reconnais qu'il y a de quoi se sentir doublement méprisé! Mon ton a pu te sembler méprisant, il ne l'était pas... c'était davantage de la lassitude.
Ok ...message bien reçu.
Mon expérience lors des "commissions d'été" des TZR, un interlocuteur du SNALC qui m'avoue clairement qu'il n'a rien pu faire face aux ...3 collègues en face qui défendaient le cas d'un autre TZR pour une attribution d'AFA ... J'ai été perdante dans l'histoire...donc perso, je préfère un syndicat plus représentatif aux commissions
- AudreyOracle
En même temps..si tout le monde agit comme toi, c'est sûr qu'il ne risque pas d'être plus représenté lors des commissions....
- lalilalaEmpereur
Moi le SNALC m'a bien aidée pour les mutations
_________________
Nuestra vida es un círculo dantesco.
Mon blog
- PiliGrand sage
Je sais Audrey... mais sur ce coup là,excuse-moi d'être égoïste. Ma situation de TZR comme beaucoup d'autres, je la traîne de plus en plus lourdement...
- AudreyOracle
Je pense aussi que parfois, même si on est bien défendu, d'autres dossiers peuvent avoir des arguments encore plus lourds... malheureusement, on en est là: à donner un coup de pouce aux amputés des deux bras, deux jambes, aveugles, sourds et muets plutôt qu'aux aveugles, sourds et muets amputés des deux jambes et d'un seul bras.
Courage Pili en tout cas....
Courage Pili en tout cas....
- MorgaredNiveau 9
Je me permets de faire part ici de mon expérience personnelle.
J'ai adhéré au SNALC il y a deux ans et demi, après avoir été adhérente du SNES par intermittence.
Ce qui a motivé ce changement de syndicat est l'évolution des prises de position du SNES concernant la pédagogie, que j'ai constatées en ce qui me concerne dans les années 2005-2007. La littérature envoyée par la FSU est abondante (divers magazines), et je me suis de nombreuses fois à l'époque mise en colère devant des textes que n'auraient pas reniés le SGEN et l'UNSA. A l'époque, décidant de rejeter en bloc l'idée du "retour aux fondamentaux" (lancée par De Robien, me semble-t-il), le SNES a commencé à prétendre, dans ses synthèses des débats en cours au sein du syndicat, que l'acquisition des connaissances ne devait pas s'envisager comme la construction d'une maison, et qu'en la matière, la notion même de bases à acquérir n'existait pas. Dans la même période, le magazine de la FSU encensait le film Entre les murs et la façon dont il valorisait la si belle "énergie" de la jeunesse et le "vivre-ensemble". Il m'a semblé évident que le SNES avait décidé de renoncer à la mission d'instruction de l'école. Le virage à 180° du groupe Lettres du SNES, qui désormais disait l'exact contraire de ce qu'il prônait deux ou trois ans avant (sur la nécessité d'un apprentissage solide de la langue), a conforté ma décision. J'en ai discuté avec des collègues du SNES qui pensaient qu'il fallait changer les choses de l'intérieur, mais ils ne m'ont pas convaincue.
J'ai hésité entre FO et le SNALC, et ce sont les arguments que j'ai lus ici à l'époque, il me semble, qui m'ont fait choisir le second, apparemment plus actif. Quand j'ai débuté, en 1999, le SNALC me dégoûtait : c'était un syndicat d'extrême-droite, m'avaient affirmé mes collègues lors de mon année de stage, en montrant du doigt le représentant de ce syndicat ; j'ai donc considéré cela comme un fait. Dix ans après, j'ai estimé que cette opinion était finalement infondée, et que l'important était que je sois en accord avec les conceptions que le SNALC a de l'enseignement, ce qui est en très grande partie le cas. Aucun de mes collègues actuels ne m'en a fait grief - je suis notoirement très à gauche (et de toute façon, je ne crois pas que le vote à droite soit rare dans un établissement de Haute-Savoie). Ce n'est en revanche pas le cas d'un ami de la famille (professeur en prépa) qui m'a traitée de facho, à mo, grand dam, comme quoi le SNALC garde bel et bien cette image...
Je trouve le magazine du SNALC très largement supérieur (idées et rhétorique) à ceux du SNES et de la FSU. En revanche, en ce qui concerne les actions de protestation, je trouve le SNALC un peu mou. Je n'ai pas l'intention de changer de syndicat avant longtemps, sauf si une force nouvelle et particulièrement combative devait voir le jour...
J'ai adhéré au SNALC il y a deux ans et demi, après avoir été adhérente du SNES par intermittence.
Ce qui a motivé ce changement de syndicat est l'évolution des prises de position du SNES concernant la pédagogie, que j'ai constatées en ce qui me concerne dans les années 2005-2007. La littérature envoyée par la FSU est abondante (divers magazines), et je me suis de nombreuses fois à l'époque mise en colère devant des textes que n'auraient pas reniés le SGEN et l'UNSA. A l'époque, décidant de rejeter en bloc l'idée du "retour aux fondamentaux" (lancée par De Robien, me semble-t-il), le SNES a commencé à prétendre, dans ses synthèses des débats en cours au sein du syndicat, que l'acquisition des connaissances ne devait pas s'envisager comme la construction d'une maison, et qu'en la matière, la notion même de bases à acquérir n'existait pas. Dans la même période, le magazine de la FSU encensait le film Entre les murs et la façon dont il valorisait la si belle "énergie" de la jeunesse et le "vivre-ensemble". Il m'a semblé évident que le SNES avait décidé de renoncer à la mission d'instruction de l'école. Le virage à 180° du groupe Lettres du SNES, qui désormais disait l'exact contraire de ce qu'il prônait deux ou trois ans avant (sur la nécessité d'un apprentissage solide de la langue), a conforté ma décision. J'en ai discuté avec des collègues du SNES qui pensaient qu'il fallait changer les choses de l'intérieur, mais ils ne m'ont pas convaincue.
J'ai hésité entre FO et le SNALC, et ce sont les arguments que j'ai lus ici à l'époque, il me semble, qui m'ont fait choisir le second, apparemment plus actif. Quand j'ai débuté, en 1999, le SNALC me dégoûtait : c'était un syndicat d'extrême-droite, m'avaient affirmé mes collègues lors de mon année de stage, en montrant du doigt le représentant de ce syndicat ; j'ai donc considéré cela comme un fait. Dix ans après, j'ai estimé que cette opinion était finalement infondée, et que l'important était que je sois en accord avec les conceptions que le SNALC a de l'enseignement, ce qui est en très grande partie le cas. Aucun de mes collègues actuels ne m'en a fait grief - je suis notoirement très à gauche (et de toute façon, je ne crois pas que le vote à droite soit rare dans un établissement de Haute-Savoie). Ce n'est en revanche pas le cas d'un ami de la famille (professeur en prépa) qui m'a traitée de facho, à mo, grand dam, comme quoi le SNALC garde bel et bien cette image...
Je trouve le magazine du SNALC très largement supérieur (idées et rhétorique) à ceux du SNES et de la FSU. En revanche, en ce qui concerne les actions de protestation, je trouve le SNALC un peu mou. Je n'ai pas l'intention de changer de syndicat avant longtemps, sauf si une force nouvelle et particulièrement combative devait voir le jour...
- DaphnéDemi-dieu
Intéressant Morgared.
Tu as raison concernant les actions de protestation, ce n'est pas dans la "culture" du SNALC.
Les adhérents viennent et adhèrent pour les idées et les services. Pas pour les manifs. Enfin pas tous quand même
Tu as raison concernant les actions de protestation, ce n'est pas dans la "culture" du SNALC.
Les adhérents viennent et adhèrent pour les idées et les services. Pas pour les manifs. Enfin pas tous quand même
- Reine MargotDemi-dieu
Comment pensez-vous donc pouvoir peser sur nos dirigeants?
_________________
Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- IgniatiusGuide spirituel
Celeborn a écrit:Disons qu'on ne serait pas parti de
Alors, je le dis une fois et je n'y reviens plus :
- le SNALC n'est pas pour le rétablissement de la peine de mort
- le SNALC n'est pas pour la préférence nationale
- le SNALC ne dit pas que l'immigration, c'est le mal
- le SNALC ne distingue pas de races chez l'être humain
- le SNALC est pour la réussite des élèves de toutes les couleurs et de toutes les religions
- le SNALC ne défend pas particulièrement le privé de confession catholique
- le SNALC n'est pas anti-intellectuel
- le SNALC n'est pas homophobe
Donc non, le SNALC n'a rien à voir avec l'extrême droite, que cela soit dit, redit, et que ça finisse par rentrer dans toutes les caboches, fumée ou pas fumée.
Ouais d'accord. Un vrai syndicat de couilles-molles quoi.
Je suis écoeuré, je vais rendre ma carte.
Quel syndicat défend les vraies valeurs ?
_________________
"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion."
St Augustin
"God only knows what I'd be without you"
Brian Wilson
- AudreyOracle
Mais Igniatius, tu n'avais pas dit que tu venais d'adhérer au SNES????
- Reine MargotDemi-dieu
:lol!:
_________________
Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- RuthvenGuide spirituel
marquisedemerteuil a écrit:beaucoup de gens disent le Snalc de droite voire extrême-droite car il s'oppose à des choses comme le collègue unique, et à l'idée d'une élévation du niveau en prolongeant les études d'une classe d'âge, bref il remet en cause ce qui a été depuis la réforme Haby considéré comme le must de la démocratisation scolaire. malheureusement des choses ont changé depuis 1975, et bien des gens n'osent pas examiner les véritables problèmes de l'école (autres que les moyens, comme les missions et buts de l'école), et lorsque vous le faites, vous êtes suspecté de vous opposer à toute démocratisation scolaire, et donc d'être d'extrême-droite. je crois que cette réputation du snalc vient de là.
C'est surtout la tentative avortée d'entrisme du FN dans les années 80 ou 90, je ne sais plus, qui nuit encore à son image chez les collègues plus âgés.
Il est vrai qu'il y aurait un effort à faire sur la culture militante - par la formation des délégués ? - (dans toutes les salles de profs où je suis passé, il n'y a qu'un établissement où j'ai vu les collègues du Snalc participer à l'animation de l'heure de vie syndicale (bon, en même temps, si les collègues sont prêts à leur jeter des tomates pourries, c'est un peu normal qu'ils ne se montrent pas :lol: )).
- PiliGrand sage
C'est clair qui y a un vrai travail à faire sur l'image de ce syndicat, car les clichés perdurent
- lalilalaEmpereur
Ruthven a écrit:marquisedemerteuil a écrit:beaucoup de gens disent le Snalc de droite voire extrême-droite car il s'oppose à des choses comme le collègue unique, et à l'idée d'une élévation du niveau en prolongeant les études d'une classe d'âge, bref il remet en cause ce qui a été depuis la réforme Haby considéré comme le must de la démocratisation scolaire. malheureusement des choses ont changé depuis 1975, et bien des gens n'osent pas examiner les véritables problèmes de l'école (autres que les moyens, comme les missions et buts de l'école), et lorsque vous le faites, vous êtes suspecté de vous opposer à toute démocratisation scolaire, et donc d'être d'extrême-droite. je crois que cette réputation du snalc vient de là.
C'est surtout la tentative avortée d'entrisme du FN dans les années 80 ou 90, je ne sais plus, qui nuit encore à son image chez les collègues plus âgés.
Il est vrai qu'il y aurait un effort à faire sur la culture militante - par la formation des délégués ? - (dans toutes les salles de profs où je suis passé, il n'y a qu'un établissement où j'ai vu les collègues du Snalc participer à l'animation de l'heure de vie syndicale (bon, en même temps, si les collègues sont prêts à leur jeter des tomates pourries, c'est un peu normal qu'ils ne se montrent pas :lol: )).
c'est un peu ça Dans mon lycée, le SNES est tout-puissant...si tu n'es pas adhérent tu vaux moins que les autres apparemment (en tout cas c'est l'idée qui ressortie d'une engueulade à laquelle j'ai assisté entre une représentante du SNES et l'une de ses collègues..)
_________________
Nuestra vida es un círculo dantesco.
Mon blog
- InvitéInvité
lalilala a écrit:
c'est un peu ça Dans mon lycée, le SNES est tout-puissant...si tu n'es pas adhérent tu vaux moins que les autres apparemment (en tout cas c'est l'idée qui ressortie d'une engueulade à laquelle j'ai assisté entre une représentante du SNES et l'une de ses collègues..)
C'est ce que j'ai pu remarquer et qui me pose pb au snes, les collègues "représentants" locaux sont souvent très pénible ( à mon gout), mais ils ont le mérite d'essayer de faire bouger les collègues.
Pour le snalc, honnetement, dans les bahuts où je suis passé, ils sont invisibles... (même si je sais qu'il y en a au moins un dans mon RAD)
- JPhMMDemi-dieu
Qui veut noyer son chien...Pili a écrit:C'est clair qui y a un vrai travail à faire sur l'image de ce syndicat, car les clichés perdurent
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- DaphnéDemi-dieu
philip a écrit:lalilala a écrit:
c'est un peu ça Dans mon lycée, le SNES est tout-puissant...si tu n'es pas adhérent tu vaux moins que les autres apparemment (en tout cas c'est l'idée qui ressortie d'une engueulade à laquelle j'ai assisté entre une représentante du SNES et l'une de ses collègues..)
C'est ce que j'ai pu remarquer et qui me pose pb au snes, les collègues "représentants" locaux sont souvent très pénible ( à mon gout), mais ils ont le mérite d'essayer de faire bouger les collègues.
Pour le snalc, honnetement, dans les bahuts où je suis passé, ils sont invisibles... (même si je sais qu'il y en a au moins un dans mon RAD)
Il y en a plusieurs dans ton RAD
Mais c'est vrai qu'il y en a qui n'ont pas envie de faire leur coming out alors ils préfèrent rester adhérent de base épicétou.
Parce que se faire arracher ses affiches sur le panneau syndical ou se prendre régulièrement des qualificatifs peu amènes
- InvitéInvité
Daphné a écrit:
Il y en a plusieurs dans ton RAD
Mais c'est vrai qu'il y en a qui n'ont pas envie de faire leur coming out alors ils préfèrent rester adhérent de base épicétou.
Parce que se faire arracher ses affiches sur le panneau syndical ou se prendre régulièrement des qualificatifs peu amènes
Oui mais ce n'est pas en restant "anonyme" que tu choppes des adhérents...
(et qu'en est-il de cette loi sur la représentativité des syndicats qui menaçait le snalc ?
- DaphnéDemi-dieu
philip a écrit:Daphné a écrit:
Il y en a plusieurs dans ton RAD
Mais c'est vrai qu'il y en a qui n'ont pas envie de faire leur coming out alors ils préfèrent rester adhérent de base épicétou.
Parce que se faire arracher ses affiches sur le panneau syndical ou se prendre régulièrement des qualificatifs peu amènes
Oui mais ce n'est pas en restant "anonyme" que tu choppes des adhérents....
Ce n'est pas non plus à l'adhérent de base de faire des adhérents.
Il y a ceux qui acceptent d'être S1, tant mieux, et puis les autres. Chacun son choix.
(et qu'en est-il de cette loi sur la représentativité des syndicats qui menaçait le snalc ?
Elle est passée depuis 2008 je crois.
- musaNeoprof expérimenté
Pour ce qui est du livre de B. Kuntz, Prof de droite, il me semble de mémoire qu'il y avait un point d'interrogation après et que l'idée du livre était justement de remettre en cause cette étiquette sur l'air de "est-ce que c'est de droite que de revendiquer l'excellence etc etc"
- Etes-vous syndiqué à SUD ?
- Etes-vous syndiqué(e)?
- êtes-vous syndiqué au Snes?
- Le député-maire Jean-Michel Fourgous (Yvelines) à une journaliste de LCP : "Vous êtes une socialiste primaire qui n'apporte rien ! Ma pauvre amie, vous êtes marquée !"
- Jean-Paul Brighelli à Philippe Meirieu : "Pédagogiquement, vous n’êtes rien. Ou moins que rien, tant vous êtes nuisible".
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum