- Invité19Esprit sacré
Je ne sais pas si certains ont déjà posté là dessus, mais je suis tombée sur cet article du monde (qui date un peu), je ne sais pas trop quoi en penser. Etant donné qu'elle écrit sous pseudonyme, est-ce une histoire vraie ? librement adaptée peut-être ?
L'histoire me paraît un peu étrange.
http://www.lemonde.fr/idees/article/2010/08/27/delit-de-profil-a-l-education-nationale_1403421_3232.html
Luc Cédelle
C'est un drame du conformisme, comme l'éducation nationale en produit parfois, que raconte plaisamment ce livre sous le pseudonyme de Lucie Hart. Le récit est celui d'une femme hautement diplômée et d'allure avenante qui, à 45 ans et après quinze ans entre les Etats-Unis et la France, veut démarrer une seconde carrière dans l'enseignement secondaire.
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Pensant présenter toutes les garanties d'une intégration heureuse, elle se trouve au contraire - moitié par pure malchance, moitié par inconscience du danger - rejetée par ce système avec un acharnement qui frise le fanatisme.
Pourtant, tout semblait bien commencer. Inscrite en candidat libre, elle est reçue du premier coup au capes et à l'agrégation d'anglais. En septembre 2006, la lauréate, désormais stagiaire rémunérée de l'éducation nationale, entre à l'institut universitaire de formation des maîtres (IUFM) de Paris pour une année en alternance (celle que l'actuelle réforme vient de supprimer) : un mi-temps à suivre sa formation, un autre à donner des cours dans un lycée parisien.
C'est d'abord avec l'IUFM que s'enclenche ce qu'elle nomme son "délit de profil". N'ayant pas l'âge des autres stagiaires, elle n'en a pas non plus la rassurante docilité. Ses habits sont trop chers et trop délurés. Elle oublie de dissimuler ses titres universitaires. Son affectation au lycée Henri-IV, à Paris, aggrave son cas. Pure mécanique administrative : son domicile est proche et elle est chargée de famille. Mais impossible de faire admettre qu'elle n'est pas pistonnée...
L'année de stage se termine néanmoins par une appréciation très élogieuse du proviseur, ce qui devrait être de bon augure pour sa titularisation. D'autant que l'IUFM, qu'elle ne prend pas de haut et où elle trouve des alliés, a quand même donné un avis favorable.
COUP DE TRIQUE
Reste l'inspection, effectuée, comme pour tous les agrégés, par un inspecteur général. Le rapport tombe comme un coup de trique : un redoublement de l'année de stage lui permettra de "travailler sur elle-même".
Premier échec, cuisant, incompris. Mais la narratrice ravale sa déception et reprend le chemin de l'IUFM. Elle est affectée, cette fois, dans l'un des plus durs lycées parisiens. Ce passage d'un extrême à l'autre se conclut en fin d'année par une nouvelle excellente notation du proviseur, un nouvel avis favorable de l'IUFM... suivi d'un second rapport d'inspection qui, solidaire du premier, la "casse".
Deux refus de titularisation équivalent à un licenciement. Après avoir usé en vain des voies de recours, elle engage une action en référé devant le tribunal administratif. Celui-ci lui donne raison et ordonne sa réintégration pour une troisième année de stage, disposition inédite dans l'éducation nationale.
Le jugement étant tombé en mars, elle enseigne d'avril 2009 à avril 2010, dans un autre établissement. Et, pour la troisième fois, l'IUFM valide son année, le chef d'établissement donne un avis positif... et une nouvelle inspection refuse sa titularisation. Le jugement sur le fond est attendu pour 2011. "Lucie", désormais vacataire dans deux universités parisiennes où on ne la trouve pas si nulle, ne peut s'empêcher de garder un espoir ténu.
Tous les inspecteurs généraux, précisons-le, ne ressemblent pas aux personnages qu'elle a eu la déveine de croiser et qu'un film de Claude Chabrol rendrait à merveille. Mais qu'est-ce qui accrédite sa version ? Son livre. Il n'a rien d'un pamphlet venimeux et révèle une arme secrète que ses zoïles n'avaient pas envisagée : l'humour.
La Stagiaire et le Mammouth, de Lucie Hart, Alphée, 264 p., 19,90 euros
Luc Cédelle
Article paru dans l'édition du 28.08.10
L'histoire me paraît un peu étrange.
http://www.lemonde.fr/idees/article/2010/08/27/delit-de-profil-a-l-education-nationale_1403421_3232.html
Luc Cédelle
C'est un drame du conformisme, comme l'éducation nationale en produit parfois, que raconte plaisamment ce livre sous le pseudonyme de Lucie Hart. Le récit est celui d'une femme hautement diplômée et d'allure avenante qui, à 45 ans et après quinze ans entre les Etats-Unis et la France, veut démarrer une seconde carrière dans l'enseignement secondaire.
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Pensant présenter toutes les garanties d'une intégration heureuse, elle se trouve au contraire - moitié par pure malchance, moitié par inconscience du danger - rejetée par ce système avec un acharnement qui frise le fanatisme.
Pourtant, tout semblait bien commencer. Inscrite en candidat libre, elle est reçue du premier coup au capes et à l'agrégation d'anglais. En septembre 2006, la lauréate, désormais stagiaire rémunérée de l'éducation nationale, entre à l'institut universitaire de formation des maîtres (IUFM) de Paris pour une année en alternance (celle que l'actuelle réforme vient de supprimer) : un mi-temps à suivre sa formation, un autre à donner des cours dans un lycée parisien.
C'est d'abord avec l'IUFM que s'enclenche ce qu'elle nomme son "délit de profil". N'ayant pas l'âge des autres stagiaires, elle n'en a pas non plus la rassurante docilité. Ses habits sont trop chers et trop délurés. Elle oublie de dissimuler ses titres universitaires. Son affectation au lycée Henri-IV, à Paris, aggrave son cas. Pure mécanique administrative : son domicile est proche et elle est chargée de famille. Mais impossible de faire admettre qu'elle n'est pas pistonnée...
L'année de stage se termine néanmoins par une appréciation très élogieuse du proviseur, ce qui devrait être de bon augure pour sa titularisation. D'autant que l'IUFM, qu'elle ne prend pas de haut et où elle trouve des alliés, a quand même donné un avis favorable.
COUP DE TRIQUE
Reste l'inspection, effectuée, comme pour tous les agrégés, par un inspecteur général. Le rapport tombe comme un coup de trique : un redoublement de l'année de stage lui permettra de "travailler sur elle-même".
Premier échec, cuisant, incompris. Mais la narratrice ravale sa déception et reprend le chemin de l'IUFM. Elle est affectée, cette fois, dans l'un des plus durs lycées parisiens. Ce passage d'un extrême à l'autre se conclut en fin d'année par une nouvelle excellente notation du proviseur, un nouvel avis favorable de l'IUFM... suivi d'un second rapport d'inspection qui, solidaire du premier, la "casse".
Deux refus de titularisation équivalent à un licenciement. Après avoir usé en vain des voies de recours, elle engage une action en référé devant le tribunal administratif. Celui-ci lui donne raison et ordonne sa réintégration pour une troisième année de stage, disposition inédite dans l'éducation nationale.
Le jugement étant tombé en mars, elle enseigne d'avril 2009 à avril 2010, dans un autre établissement. Et, pour la troisième fois, l'IUFM valide son année, le chef d'établissement donne un avis positif... et une nouvelle inspection refuse sa titularisation. Le jugement sur le fond est attendu pour 2011. "Lucie", désormais vacataire dans deux universités parisiennes où on ne la trouve pas si nulle, ne peut s'empêcher de garder un espoir ténu.
Tous les inspecteurs généraux, précisons-le, ne ressemblent pas aux personnages qu'elle a eu la déveine de croiser et qu'un film de Claude Chabrol rendrait à merveille. Mais qu'est-ce qui accrédite sa version ? Son livre. Il n'a rien d'un pamphlet venimeux et révèle une arme secrète que ses zoïles n'avaient pas envisagée : l'humour.
La Stagiaire et le Mammouth, de Lucie Hart, Alphée, 264 p., 19,90 euros
Luc Cédelle
Article paru dans l'édition du 28.08.10
- Invité19Esprit sacré
Ce qui me semble curieux c'est le coup de l'avis favorable de l'IUFM, invalidé par l'inspection (et deux ans de suite en plus !). C'est possible ça ?? :shock:
- roxanneOracle
Trois fois même..c'est toujours pareil avec ce genre d'histoires , on n'a qu'une version des choses..parce que là tel que c'est raconté, ça ressemble à de l'acharnement..mais pourquoi , dans quel but?
- CarabasVénérable
Je me ferai des sous, si j'écrivais mon histoire. :lol:
Bien sûr, je dédicacerai aux néoprofs.
Tu sais Roxanne, moi aussi, ça ressemble à de l'acharnement.
Je comprends qu'on puisse douter, prendre de la distance. Je ne crois pas sur parole les témoignages qui sortent.
Mais si j'écrivais mes mêmes pas 2 ans de stage, je sais qu'on mettrait ma parole en doute. Qui croirait la pauv' fille même pas fichue de se faire obéir dans un collège d'une belle banlieue? C'est la parole de la stagiaire contre celle de l'Institution.
Bien sûr, je dédicacerai aux néoprofs.
Tu sais Roxanne, moi aussi, ça ressemble à de l'acharnement.
Je comprends qu'on puisse douter, prendre de la distance. Je ne crois pas sur parole les témoignages qui sortent.
Mais si j'écrivais mes mêmes pas 2 ans de stage, je sais qu'on mettrait ma parole en doute. Qui croirait la pauv' fille même pas fichue de se faire obéir dans un collège d'une belle banlieue? C'est la parole de la stagiaire contre celle de l'Institution.
_________________
Les chances uniques sur un million se réalisent neuf fois sur dix.
Terry Pratchett
- roxanneOracle
Je sais , je sais..mais c'est vrai qu'on ne comprend pas ..une agrégée en plus...peut-être des conflits d'intérêt mal digérés.
- CarabasVénérable
Peut-être.
J'ai arrêté de lire ce genre de livres. Ca fait bouffer l'édition, point.
Vu qu'on ne connait pas les personnes, on peut tomber sur des gens de mauvaise foi qui se vengent.
J'ai arrêté de lire ce genre de livres. Ca fait bouffer l'édition, point.
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- InvitéInvité
Carabas a écrit:Peut-être.
J'ai arrêté de lire ce genre de livres.
moi, ça m'arrive de les lire par périodes.
- InvitéNGrand sage
Carabas a écrit:Je me ferai des sous, si j'écrivais mon histoire. :lol:
Bien sûr, je dédicacerai aux néoprofs.
Tu sais Roxanne, moi aussi, ça ressemble à de l'acharnement.
Je comprends qu'on puisse douter, prendre de la distance. Je ne crois pas sur parole les témoignages qui sortent.
Mais si j'écrivais mes mêmes pas 2 ans de stage, je sais qu'on mettrait ma parole en doute. Qui croirait la pauv' fille même pas fichue de se faire obéir dans un collège d'une belle banlieue? C'est la parole de la stagiaire contre celle de l'Institution.
Je suis d'accord avec toi et je trouve cette histoire très plausible. Dans les cas d'acharnement de ce genre ( oserais je parler d'harcèlement ? ) la victime est complètement démunie. Impossible de lutter seule contre une institution : celle ci te broie. Par solidarité des Inspecteurs sont capables d'une telle idiotie : j'en suis persuadée . Pour autant il faudrait pouvoir entendre les autres sons de cloche pour se faire une opinion ...
- InvitéNGrand sage
roxanne a écrit:Je sais , je sais..mais c'est vrai qu'on ne comprend pas ..une agrégée en plus...peut-être des conflits d'intérêt mal digérés.
Il paraît que les Inspecteurs soutiennent les agrégé-e-s en général et c'est vrai que celà a été mon cas à chaque fois. Mais il est possible que il y ait eu enlisement dans une situation mal gérée au départ et que l'attitude de la collègue en ait été affectée...C'est compliqué de voir clair en général dans ce type d'histoire
- lucie HartNiveau 1
La Stagiaire vue de dos
Je lis avec intérêt les postes des collègues. J'ai apprécié leur solidarité et mon public de lycéens durant mes trois ans de stage. Mon dossier passe en commission le 30 septembre et je désespère de la situation. J'ai écrit LA STAGIAIRE ET LE MAMMOUTH, car c'est en effet ma parole contre celle de l'institution. En attendant, ce "livre criant d'actualité qui se lit comme un roman" (Psychologies Magazine) se veut un témoignage véridique sur un milieu professionnel beaucoup moins banal et routinier qu'on ne le croit. C'est un récit d'initiation! Espérant qu'il évitera aux collègues stagiaires des ennuis inutiles, qu'il vous distraira, et comptant sur votre soutien! Une fois licenciée, je n'aurai plus que mes lecteurs et lectrices pour me consoler...
Je lis avec intérêt les postes des collègues. J'ai apprécié leur solidarité et mon public de lycéens durant mes trois ans de stage. Mon dossier passe en commission le 30 septembre et je désespère de la situation. J'ai écrit LA STAGIAIRE ET LE MAMMOUTH, car c'est en effet ma parole contre celle de l'institution. En attendant, ce "livre criant d'actualité qui se lit comme un roman" (Psychologies Magazine) se veut un témoignage véridique sur un milieu professionnel beaucoup moins banal et routinier qu'on ne le croit. C'est un récit d'initiation! Espérant qu'il évitera aux collègues stagiaires des ennuis inutiles, qu'il vous distraira, et comptant sur votre soutien! Une fois licenciée, je n'aurai plus que mes lecteurs et lectrices pour me consoler...
- lucie HartNiveau 1
[url]http://www.amazon.fr/Stagiaire-Mammouth-désarrois-lélève-professeur/dp/2753806187/ref=sr_1_1?ie=UTF8&s=books&qid=1283286867&sr=8-1[/url]
- InvitéNGrand sage
lucie Hart a écrit:La Stagiaire vue de dos
Je lis avec intérêt les postes des collègues. J'ai apprécié leur solidarité et mon public de lycéens durant mes trois ans de stage. Mon dossier passe en commission le 30 septembre et je désespère de la situation. J'ai écrit LA STAGIAIRE ET LE MAMMOUTH, car c'est en effet ma parole contre celle de l'institution. En attendant, ce "livre criant d'actualité qui se lit comme un roman" (Psychologies Magazine) se veut un témoignage véridique sur un milieu professionnel beaucoup moins banal et routinier qu'on ne le croit. C'est un récit d'initiation! Espérant qu'il évitera aux collègues stagiaires des ennuis inutiles, qu'il vous distraira, et comptant sur votre soutien! Une fois licenciée, je n'aurai plus que mes lecteurs et lectrices pour me consoler...
Cet extrait m'a déjà beaucoup distraite ...et pas surprise
Bon courage à vous
- InvitéNGrand sage
Je vais faire de la pub pour ce livre ...bon je sais que celà ne consolera pas son auteur et que le licenciement c'est
mais au moins s'il se vend bien, celà compensera un manque à gagner certain
mais au moins s'il se vend bien, celà compensera un manque à gagner certain
- InvitéInvité
- CarabasVénérable
Je crois que tous les profs ont vécu ça.
En tout cas, je préfère nettement votre style à celui d'Emilie.
Avez-vous une piste de reconversion?
Je vous souhaite bon courage!
En tout cas, je préfère nettement votre style à celui d'Emilie.
Avez-vous une piste de reconversion?
Je vous souhaite bon courage!
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Terry Pratchett
- olivier-np30Habitué du forum
Personnellement j'ai été refusé définitif (mais jeune) et donc l'impact reste faible, mais en comparant avec l'entreprise je n'ai jamais compris pourquoi on n'a jamais cherché à valoriser ce que je faisais...
(je précise que je n'avais pas de maitre de stage (hospitalisée la 1ère année, en congé mat la 2nde: il est évident que les collègues aident...)
8 contrôles sur 2 ans font forcément réfléchir et j'ai eu le tort au collège de faire savoir que ça n'allait pas
Plus tard j'ai compris combien les phrases les plus simples peuvent être riches d'enseignement:
"Il ne faut jamais donner le bâton pour se faire battre".
Pour des raisons que j'ignore l'institution, au lieu de contrôler tlm à part égale, se focalise sur une poignée : peut-être que ça coûte moins cher : mais l'intérêt ?
(je précise que je n'avais pas de maitre de stage (hospitalisée la 1ère année, en congé mat la 2nde: il est évident que les collègues aident...)
8 contrôles sur 2 ans font forcément réfléchir et j'ai eu le tort au collège de faire savoir que ça n'allait pas
Plus tard j'ai compris combien les phrases les plus simples peuvent être riches d'enseignement:
"Il ne faut jamais donner le bâton pour se faire battre".
Pour des raisons que j'ignore l'institution, au lieu de contrôler tlm à part égale, se focalise sur une poignée : peut-être que ça coûte moins cher : mais l'intérêt ?
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Quadra aujourd'hui, quinqua demain
- olivier-np30Habitué du forum
Je viens d'écouter et je détourne certaines de vos phrases au sens des rapports de l'EN avec ses stagiaires:
-le potentiel affectif: 3 visites par une même personne chaque fois en début d'année et pour bien marquer le ton.
-le comique de répétition : 8 visites sur 2 ans dont 5 avec la même classe.
-le potentiel affectif: 3 visites par une même personne chaque fois en début d'année et pour bien marquer le ton.
-le comique de répétition : 8 visites sur 2 ans dont 5 avec la même classe.
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- InvitéNGrand sage
olivier-np30 a écrit:Personnellement j'ai été refusé définitif (mais jeune) et donc l'impact reste faible, mais en comparant avec l'entreprise je n'ai jamais compris pourquoi on n'a jamais cherché à valoriser ce que je faisais...
(je précise que je n'avais pas de maitre de stage (hospitalisée la 1ère année, en congé mat la 2nde: il est évident que les collègues aident...)
8 contrôles sur 2 ans font forcément réfléchir et j'ai eu le tort au collège de faire savoir que ça n'allait pas
Plus tard j'ai compris combien les phrases les plus simples peuvent être riches d'enseignement:
"Il ne faut jamais donner le bâton pour se faire battre".
Pour des raisons que j'ignore l'institution, au lieu de contrôler tlm à part égale, se focalise sur une poignée : peut-être que ça coûte moins cher : mais l'intérêt ?
devise shadok : pour faire le moins de mécontents possible il suffit de taper toujours sur les mêmes !
- InvitéNGrand sage
olivier-np30 a écrit:Je viens d'écouter et je détourne certaines de vos phrases au sens des rapports de l'EN avec ses stagiaires:
-le potentiel affectif: 3 visites par une même personne chaque fois en début d'année et pour bien marquer le ton.
-le comique de répétition : 8 visites sur 2 ans dont 5 avec la même classe.
+ 1
Des gros "lourdingues" !
- lucie HartNiveau 1
Sans rire, j'envisage... d'émigrer en Amérique, comme au bon vieux temps. Mais je ne quitterai pas l'enseignement, un métier que j'aime malgré tout!
- lucie HartNiveau 1
C'est sûr qu'il y a un dindon de la farce, enfin une et pas trente-six, un mammouth, ça trompe, ça trompe!
- InvitéInvité
Aux USA la situation des enseignants est meilleure ? parce qu'en France et par les films américains , on en a une image assez terrible...Il parait que le salaire est meilleur en tout cas. Ma question est innocente, je le précise, je suis curieuse.
- InvitéNGrand sage
Je crois que je n'aimerais pas être prof aux états unis : j'ai entendu dire qu'on pouvait y licencier les profs jugés non efficaces .Vous imaginez la galère pour mesurer l'efficacité d'un prof ?
Lucie : courage et n'envisagez pas en plus de la sanction exagérée l'exil
Lucie : courage et n'envisagez pas en plus de la sanction exagérée l'exil
- llaimaHabitué du forum
Tout n'est peut-être pas perdu encore, courage! En tout cas cette histoire me révolte, on y voit la stupidité d'un système où pour ne as perdre la face une administration persiste dans ses erreurs au prix de sacrifier les personnes!
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