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- CelebornEsprit sacré
Bonsoir à tous !
Je me permets de solliciter vos avis éclairés sur la situation dans laquelle je me trouve. C'est un peu compliqué, et disons que ça couronne une première moitié d'année 2010 particulièrement cataclysmique. Je vous résume les choses :
L'année avec notre principale (qui est partie à la retraite) a été extrêmement compliquée. Dernièrement, ce sont les répartitions pour l'année prochaine qui ont donné lieu à des pratiques peu agréables. Notre principale nous a en effet imposé de prendre 2h d'option DP3 à nous répartir dans l'équipe de lettres, sans quoi elle déciderait elle-même de la répartition (ce qui relève, je sais, de ses prérogatives), et dans ce cas, a-t-elle ajouté, cela nous mécontenterait tous (en gros, c'était une menace même pas voilée… perso, j'appelle ça par son nom, c'est-à-dire du chantage). C'est en tous les cas ce qui m'a été rapporté par la collègue qui a été "convoquée" dans son bureau.
Mes collègues de lettres ont replanché sur la répartition (sans moi : je n'étais pas là durant la matinée où ces événements se sont produits), et m'ont présenté comme étant la seule et unique solution le fait que je la prenne, car il n'y avait que dans mon service que ces deux heures rentraient sans avoir à prendre + d'une heure supplémentaire (ce que personne ne souhaite faire dans l'équipe). J'ai été mis sous pression d'accepter par elles, d'autant que, m'ont-elles dit, la réponse devait être apportée le jour-même. Ne voulant pas tout casser, et n'ayant pas vraiment la possibilité de réfléchir calmement, j'ai accepté pour le bien commun. Je me suis rendu compte à tête reposée qu'il y avait tout à fait moyen qu'une autre collègue prenne ces heures sans démolir la répartition, à partir du moment où je prenais ses PPRE (heures de soutien en 6e ou 5e). J'en veux à mes collègues de m'avoir présenté leur répartition faite sans me consulter comme la seule possible, tout en me demandant d'accepter sous le coup de l'urgence.
Je ne souhaite absolument pas faire cette option. Je n'y trouve aucun intérêt, elle ne me plaît en rien, et je ne pense pas être "l'homme de la situation" : je n'habite pas dans la région, n'ai pas de permis de conduire, n'ai pas de classe de 3e l'année prochaine, et ai choisi d'être professeur entre autres car le monde de l'entreprise ne me plaisait absolument pas. Je ne crois pas que ce soit du tout dans l'intérêt des élèves qu'une personne ayant mon profil leur fasse l'option DP3.
J'ai donc pris la décision d'écrire à mon syndicat (ce que j'ai fait, par un message qui ressemble à ce que je vous dis là : on verra si réponse il y a) et d'aller voir, à la rentrée, le nouveau principal pour lui expliquer la situation calmement et voir s'il avait des solutions à me proposer.
Mes collègues de lettres (comme je vous l'ai déjà plus ou moins raconté ailleurs) m'ont pris à part pour me défendre (il n'y a pas d'autre mot) de le faire, la collègue ayant eu la DP3 l'année dernière étant persuadée qui si je la refusais (je ne pensais pas avoir ce pouvoir), le nouveau principal allait forcément la lui donner à elle. Elle m'avait d'ailleurs expliqué quelques heures auparavant qu'il pouvait le faire sur le plan horaire, prouvant bien que la solution qu'elles m'avaient présentée comme la seul possible n'était certes pas la seule possible. Elles s'étaient de toute manière déjà mises d'accord entre elles sur le discours à me tenir. J'ai quitté avec fracas le lieu de réunion quand l'une d'entre elles m'a affirmé que j'étais le seul à ne pas donner de ma personne dans l'équipe. Ce reproche est tellement infondé que je n'ai pu supporter tant de mauvaise fois : je fais beaucoup dans l'établissement ; je suis l'un des seuls à prendre la parole en réunion (dans lesquelles on me voit plus souvent qu'à mon tour) pour marquer mon désaccord avec certaines choses ; j'ai assuré la charge de coordonnateur de l'équipe ces trois dernières années. Cela a eu lieu la veille des vacances : depuis, on ne s'est pas reparlé, même pour se dire bonjour. Plusieurs collègues d'autres disciplines comprennent bien mon désarroi.
Il faut savoir que je n'ai jamais souhaité mettre mes collègues dans l'embarras, et qu'il ne m'est jamais venu à l'idée de me défausser sur elles de la chose par des manœuvres auprès de la nouvelle direction. J'étais même prêt à signaler que ma collègue avait beaucoup donné les années précédentes, et à accepter malgré tout sans faire d'éclats cette option dans le cas où le nouveau chef d'établissement en décide ainsi.
Face à cette situation extrêmement difficile à gérer pour moi, qui suis par ailleurs assez affaibli sur le plan personnel suite à mon année 2010 pourrie, je me permets donc de solliciter votre aide. J'accepte tous les conseils et de tout le soutien que l'on pourra me donner. Je tiens vraiment à ce que ma rentrée se passe le mieux possible, surtout avec une nouvelle équipe de direction (principal, peut-être principal-adjoint, et aussi nouveau CPE par ailleurs).
Je me permets de solliciter vos avis éclairés sur la situation dans laquelle je me trouve. C'est un peu compliqué, et disons que ça couronne une première moitié d'année 2010 particulièrement cataclysmique. Je vous résume les choses :
L'année avec notre principale (qui est partie à la retraite) a été extrêmement compliquée. Dernièrement, ce sont les répartitions pour l'année prochaine qui ont donné lieu à des pratiques peu agréables. Notre principale nous a en effet imposé de prendre 2h d'option DP3 à nous répartir dans l'équipe de lettres, sans quoi elle déciderait elle-même de la répartition (ce qui relève, je sais, de ses prérogatives), et dans ce cas, a-t-elle ajouté, cela nous mécontenterait tous (en gros, c'était une menace même pas voilée… perso, j'appelle ça par son nom, c'est-à-dire du chantage). C'est en tous les cas ce qui m'a été rapporté par la collègue qui a été "convoquée" dans son bureau.
Mes collègues de lettres ont replanché sur la répartition (sans moi : je n'étais pas là durant la matinée où ces événements se sont produits), et m'ont présenté comme étant la seule et unique solution le fait que je la prenne, car il n'y avait que dans mon service que ces deux heures rentraient sans avoir à prendre + d'une heure supplémentaire (ce que personne ne souhaite faire dans l'équipe). J'ai été mis sous pression d'accepter par elles, d'autant que, m'ont-elles dit, la réponse devait être apportée le jour-même. Ne voulant pas tout casser, et n'ayant pas vraiment la possibilité de réfléchir calmement, j'ai accepté pour le bien commun. Je me suis rendu compte à tête reposée qu'il y avait tout à fait moyen qu'une autre collègue prenne ces heures sans démolir la répartition, à partir du moment où je prenais ses PPRE (heures de soutien en 6e ou 5e). J'en veux à mes collègues de m'avoir présenté leur répartition faite sans me consulter comme la seule possible, tout en me demandant d'accepter sous le coup de l'urgence.
Je ne souhaite absolument pas faire cette option. Je n'y trouve aucun intérêt, elle ne me plaît en rien, et je ne pense pas être "l'homme de la situation" : je n'habite pas dans la région, n'ai pas de permis de conduire, n'ai pas de classe de 3e l'année prochaine, et ai choisi d'être professeur entre autres car le monde de l'entreprise ne me plaisait absolument pas. Je ne crois pas que ce soit du tout dans l'intérêt des élèves qu'une personne ayant mon profil leur fasse l'option DP3.
J'ai donc pris la décision d'écrire à mon syndicat (ce que j'ai fait, par un message qui ressemble à ce que je vous dis là : on verra si réponse il y a) et d'aller voir, à la rentrée, le nouveau principal pour lui expliquer la situation calmement et voir s'il avait des solutions à me proposer.
Mes collègues de lettres (comme je vous l'ai déjà plus ou moins raconté ailleurs) m'ont pris à part pour me défendre (il n'y a pas d'autre mot) de le faire, la collègue ayant eu la DP3 l'année dernière étant persuadée qui si je la refusais (je ne pensais pas avoir ce pouvoir), le nouveau principal allait forcément la lui donner à elle. Elle m'avait d'ailleurs expliqué quelques heures auparavant qu'il pouvait le faire sur le plan horaire, prouvant bien que la solution qu'elles m'avaient présentée comme la seul possible n'était certes pas la seule possible. Elles s'étaient de toute manière déjà mises d'accord entre elles sur le discours à me tenir. J'ai quitté avec fracas le lieu de réunion quand l'une d'entre elles m'a affirmé que j'étais le seul à ne pas donner de ma personne dans l'équipe. Ce reproche est tellement infondé que je n'ai pu supporter tant de mauvaise fois : je fais beaucoup dans l'établissement ; je suis l'un des seuls à prendre la parole en réunion (dans lesquelles on me voit plus souvent qu'à mon tour) pour marquer mon désaccord avec certaines choses ; j'ai assuré la charge de coordonnateur de l'équipe ces trois dernières années. Cela a eu lieu la veille des vacances : depuis, on ne s'est pas reparlé, même pour se dire bonjour. Plusieurs collègues d'autres disciplines comprennent bien mon désarroi.
Il faut savoir que je n'ai jamais souhaité mettre mes collègues dans l'embarras, et qu'il ne m'est jamais venu à l'idée de me défausser sur elles de la chose par des manœuvres auprès de la nouvelle direction. J'étais même prêt à signaler que ma collègue avait beaucoup donné les années précédentes, et à accepter malgré tout sans faire d'éclats cette option dans le cas où le nouveau chef d'établissement en décide ainsi.
Face à cette situation extrêmement difficile à gérer pour moi, qui suis par ailleurs assez affaibli sur le plan personnel suite à mon année 2010 pourrie, je me permets donc de solliciter votre aide. J'accepte tous les conseils et de tout le soutien que l'on pourra me donner. Je tiens vraiment à ce que ma rentrée se passe le mieux possible, surtout avec une nouvelle équipe de direction (principal, peut-être principal-adjoint, et aussi nouveau CPE par ailleurs).
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"On va bien lentement dans ton pays ! Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu'on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça !" (Lewis Carroll)
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- JohnMédiateur
Elles t'ont forcé à dire "oui", tu as réfléchi et maintenant tu dis "non".
Tu as écrit quelque part que tu avais dit "oui" à quoi que ce soit ?
Ou alors vous prenez une heure chacun de cette DP3, et vous faites tourner les heures chaque année entre deux profs.
Tu as écrit quelque part que tu avais dit "oui" à quoi que ce soit ?
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- AudreyOracle
Pauvre Céléborn... difficile ta situation. j'ai connu le même genre de chose... et malheureusement, quand on ose réagir, même calmement et avec des arguments qui tiennent la route, face à une équipe (de femmes qui plus est...et en lettres!) qui a décidé de ne prendre que des intérêts personnels en compte sans se soucier de ta situation, ça se finit mal. Pour ma part, ça m'avait valu le silence et le mépris d'une collègue un an durant après la remise à plat juste et équitable des services par la principale.
J'aurais tout de même tendance à dire que si les heures de français à assurer sont assez nombreuses pour faire vos services, vous devriez pouvoir les refuser.
Quoi qu'il en soit, je te souhaite beaucoup de courage....
J'aurais tout de même tendance à dire que si les heures de français à assurer sont assez nombreuses pour faire vos services, vous devriez pouvoir les refuser.
Quoi qu'il en soit, je te souhaite beaucoup de courage....
- CelebornEsprit sacré
je développe, pour les amateurs de chiffres.
En fait, suite à la suppression d'une classe et à l'arrivée d'une nouvelle collègue sur 14h, on s'est retrouvé dans une situation où la somme de nos heures postes + de nos heures sup initialement prévues dépassait de 2h les nécessités de service.
N'étant pas Gérard Majax, je n'ai rien pu faire d'autre que de proposer une répartition avec 2h sup de moins, à moins de créer un sous-service. Notre principale en a profité pour nous recaser 2h de DP3 qui n'avaient pas trouvé preneur (de toute manière, dans sa tête, il fallait absolument qu'elles reviennent à l'équipe de lettres, c'était une vraie fixette), ça tombait justement bien.
Donc au final, oui, la direction a un projet qui a été proposé avec les 2h de DP3 qui me sont attribuées (une en heure poste, l'autre en heure sup). je l'ai même porté moi-même.
Audrey, tu résumes les choses avec brio, hélas… Merci pour ton soutien, vraiment
En fait, suite à la suppression d'une classe et à l'arrivée d'une nouvelle collègue sur 14h, on s'est retrouvé dans une situation où la somme de nos heures postes + de nos heures sup initialement prévues dépassait de 2h les nécessités de service.
N'étant pas Gérard Majax, je n'ai rien pu faire d'autre que de proposer une répartition avec 2h sup de moins, à moins de créer un sous-service. Notre principale en a profité pour nous recaser 2h de DP3 qui n'avaient pas trouvé preneur (de toute manière, dans sa tête, il fallait absolument qu'elles reviennent à l'équipe de lettres, c'était une vraie fixette), ça tombait justement bien.
Donc au final, oui, la direction a un projet qui a été proposé avec les 2h de DP3 qui me sont attribuées (une en heure poste, l'autre en heure sup). je l'ai même porté moi-même.
Audrey, tu résumes les choses avec brio, hélas… Merci pour ton soutien, vraiment
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- JohnMédiateur
Eh ben et moi rien du tout
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- RaphFidèle du forum
Tu as le droit d'en rediscuter maintenant que les vacances sont là, à tête reposée, et que votre CDE est partie. Les décisions prises dans l'urgence ... Courage face à la solidarité féminine
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"Il faut rire de tout. C'est la seule humaine façon de friser la lucidité sans tomber dedans." Pierre Desproges
- AudreyOracle
hum... et si tu allais te présenter gentiment à ton nouveau chef, pour une raison toute banale... en lui demandant de l'aide pour concevoir tes cours de dp3? le nom d'un référent sur l'académie, qui pourrait te donner des conseils, parce que, malheureux, le monde de l'entreprise, tu n'y connais rien...
Ne refuse rien: exprime simplement ton désarroi, de façon fort honnête. Et surtout, dis bien que tu as conscience que quelqu'un doit faire ce boulot, et que tu feras ce que tu peux, aussi professionnellement que quelqu'un qui n'a pas été formé pour cette option peut le faire, hein....
Ne refuse rien: exprime simplement ton désarroi, de façon fort honnête. Et surtout, dis bien que tu as conscience que quelqu'un doit faire ce boulot, et que tu feras ce que tu peux, aussi professionnellement que quelqu'un qui n'a pas été formé pour cette option peut le faire, hein....
- CelebornEsprit sacré
John a écrit:Eh ben et moi rien du tout
Si, je t'aime aussi, John, rassure-toi !
Raph', je ne me vois absolument pas recontacter mes collègues pour rediscuter ENTRE NOUS de la chose, même à tête reposée. Ça me paraît tout à fait impossible. Je ne me vois même pas leur parler de nouveau sans avoir préalablement reçu des excuses. J'ai été terriblement blessé.
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- AudreyOracle
Attention Raph: en suivant ce conseil-là, à l'époque, j'en avais pris plein la gueule. lol
Faut voir à quoi tu es prêt Céléborn. Tu as l'air de dire que les collègues des autres disciplines te soutiennent: si tu penses que tu peux subir une ambiance pourrie en lettres en tenant le coup grâce aux autres collègues, vas-y. Mais si tu sais que tu n'auras d'autre choix que de bosser sur des projets avec tes collègues de lettres, réfléchis bien.
Faut voir à quoi tu es prêt Céléborn. Tu as l'air de dire que les collègues des autres disciplines te soutiennent: si tu penses que tu peux subir une ambiance pourrie en lettres en tenant le coup grâce aux autres collègues, vas-y. Mais si tu sais que tu n'auras d'autre choix que de bosser sur des projets avec tes collègues de lettres, réfléchis bien.
- HéliandreExpert
Je ne peux pour l'instant que t'envoyer un message de soutien, tout comme Audrey je te comprends et suis sensible à ta situation, ayant vécu en partie la même : l'équipe de lettres contre moi, parce que LC. Elles ne prennent en compte mon nombre de niveaux, mais voient bien leurs contraintes. J'avais résisté, mais cette année je n'en ai pas eu le courage.
Pareil que toi, répartition faite un jour où je n'étais pas là, envoyée par mail en m'expliquant que ça arrangeait tout le monde, et complétement différente de ce qu'on avait évoqué avant en réunion. Les autres année ça a été deux IDD, là ce n'est que le niveau qui me chiffonne.
Il me semble qu'il sera difficile pour toi d'éviter la DP3, et plus encore si tu attends la rentrée, car les EDT, les répartitions de classes et de services seront faites. Ne peux-tu prendre contact avec le nouveau CDE en cette fin d'année ? Tu peux peut-être obtenir de n'avoir qu'une heure, chez nous cette option est toujours partagée entre 2 matières (HGéo / techno, puis techno / SVT, une année français / SVT). Explique que tu n'as rien de prêt, que tu ne sais pas faire... L'argument de ton manque d'intérêt pour la chose, malheureusement dans l'ambiance actuelle, je ne sais pas s'il portera, à moi on me l'a reproché (j'avais finalement obtenu ce que je voulais, mais avec le commentaire du CDE "si c'est pour que vous soyez en arrêt à la rentrée...", bien immérité au regard de mon nombre d'absences. Pas très agréable à entendre, surtout devant le reste de l'équipe).
Plein de pensées de soutien, j'espère que tu recevras des conseils qui t'aideront à décider quoi faire.
Pareil que toi, répartition faite un jour où je n'étais pas là, envoyée par mail en m'expliquant que ça arrangeait tout le monde, et complétement différente de ce qu'on avait évoqué avant en réunion. Les autres année ça a été deux IDD, là ce n'est que le niveau qui me chiffonne.
Il me semble qu'il sera difficile pour toi d'éviter la DP3, et plus encore si tu attends la rentrée, car les EDT, les répartitions de classes et de services seront faites. Ne peux-tu prendre contact avec le nouveau CDE en cette fin d'année ? Tu peux peut-être obtenir de n'avoir qu'une heure, chez nous cette option est toujours partagée entre 2 matières (HGéo / techno, puis techno / SVT, une année français / SVT). Explique que tu n'as rien de prêt, que tu ne sais pas faire... L'argument de ton manque d'intérêt pour la chose, malheureusement dans l'ambiance actuelle, je ne sais pas s'il portera, à moi on me l'a reproché (j'avais finalement obtenu ce que je voulais, mais avec le commentaire du CDE "si c'est pour que vous soyez en arrêt à la rentrée...", bien immérité au regard de mon nombre d'absences. Pas très agréable à entendre, surtout devant le reste de l'équipe).
Plein de pensées de soutien, j'espère que tu recevras des conseils qui t'aideront à décider quoi faire.
- JohnMédiateur
Mais dans les autres matières, personne n'en veut, de la DP3 ?
Y a pas un historien-géographe ou un prof de techno que ça passionne ?
Y a pas un historien-géographe ou un prof de techno que ça passionne ?
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- CelebornEsprit sacré
John a écrit:Mais dans les autres matières, personne n'en veut, de la DP3 ?
Y a pas un historien-géographe ou un prof de techno que ça passionne ?
SUr les 3h, y'a 1h prise par un prof d'EPS. Sinon, non, personne n'en veut.
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- AudreyOracle
Héliandre a écrit:Je ne peux pour l'instant que t'envoyer un message de soutien, tout comme Audrey je te comprends et suis sensible à ta situation, ayant vécu en partie la même : l'équipe de lettres contre moi, parce que LC. Elles ne prennent en compte mon nombre de niveaux, mais voient bien leurs contraintes. J'avais résisté, mais cette année je n'en ai pas eu le courage.
Pareil que toi, répartition faite un jour où je n'étais pas là, envoyée par mail en m'expliquant que ça arrangeait tout le monde, et complétement différente de ce qu'on avait évoqué avant en réunion. Les autres année ça a été deux IDD, là ce n'est que le niveau qui me chiffonne.
Il me semble qu'il sera difficile pour toi d'éviter la DP3, et plus encore si tu attends la rentrée, car les EDT, les répartitions de classes et de services seront faites. Ne peux-tu prendre contact avec le nouveau CDE en cette fin d'année ? Tu peux peut-être obtenir de n'avoir qu'une heure, chez nous cette option est toujours partagée entre 2 matières (HGéo / techno, puis techno / SVT, une année français / SVT). Explique que tu n'as rien de prêt, que tu ne sais pas faire... L'argument de ton manque d'intérêt pour la chose, malheureusement dans l'ambiance actuelle, je ne sais pas s'il portera, à moi on me l'a reproché (j'avais finalement obtenu ce que je voulais, mais avec le commentaire du CDE "si c'est pour que vous soyez en arrêt à la rentrée...", bien immérité au regard de mon nombre d'absences. Pas très agréable à entendre, surtout devant le reste de l'équipe).
Plein de pensées de soutien, j'espère que tu recevras des conseils qui t'aideront à décider quoi faire.
Ah la la..la solitude des LC quand ils sont seuls dans l'équipe de lettres, j'ai connu aussi.
Quand je vois mes collègues se plaindre d'avoir 3 niveaux de français... que dire quand j'ia 2 niveaux en français, 3 en latin, et 1 en grec? Dans les pires semaines, j'ai 6, 7 ou 8 paquets de copies sur mon bureau quand j'ai la bonne idée de donner une rédac en français la même semaine qu'une interro de conjugaison ou une dictée...
bref.
N'empêche, c'est souvent la merde dans les équipes de lettres...et je supporte plus ces ambiances de filles.
- HéliandreExpert
+1
Le pire c'est que j'étais super contente de l'entente qu'il y avait entre nous cette année. Et là, au dernier moment, poignard dans le dos... Et encore, je ne parle pas de l'attribution des salles qui a eu lieu le lendemain, ça a été la mise à mort. Mais bon, comme je suis en TP (donc elles ont des heures sup à cause de moi, pas parce qu'elles les acceptent...), que je n'ai pas d'enfants et pas les heures RAR... bref bref, sûr que c'est pas facile.
En tous cas, Céléborn, je me répète, je pense que si tu attends la rentrée ce sera trop tard, autant que tu te fasses à l'idée d'assurer la DP tout de suite.
Le pire c'est que j'étais super contente de l'entente qu'il y avait entre nous cette année. Et là, au dernier moment, poignard dans le dos... Et encore, je ne parle pas de l'attribution des salles qui a eu lieu le lendemain, ça a été la mise à mort. Mais bon, comme je suis en TP (donc elles ont des heures sup à cause de moi, pas parce qu'elles les acceptent...), que je n'ai pas d'enfants et pas les heures RAR... bref bref, sûr que c'est pas facile.
En tous cas, Céléborn, je me répète, je pense que si tu attends la rentrée ce sera trop tard, autant que tu te fasses à l'idée d'assurer la DP tout de suite.
- AudreyOracle
oui, c'est clair: il faut trancher maintenant.
Soit tu vas voir le nouveau chef, soit tu acceptes et tu fais fermement valoir tes droits en fin d'année prochaine.
Soit tu vas voir le nouveau chef, soit tu acceptes et tu fais fermement valoir tes droits en fin d'année prochaine.
- CelebornEsprit sacré
Héliandre a écrit:
En tous cas, Céléborn, je me répète, je pense que si tu attends la rentrée ce sera trop tard, autant que tu te fasses à l'idée d'assurer la DP tout de suite.
Le souci est que le nouveau principal ne nous a pas même encore été présenté, etc. Et la communication avec ma principale qui part à la retraite, c'est de la haute voltige, d'autant que bon, elle y a + que sa part, dans les soucis qui se sont abattus sur nous en cette fin d'année concernant cette répartition. Je ne vois pas trop à qui m'adresser, donc…
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- RaphFidèle du forum
Mieux vaut le joindre avant que l'établissement ne ferme, présenté ou non au préalable. Une secrétaire sympa peut te présenter.
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- CelebornEsprit sacré
Raph a écrit:Mieux vaut le joindre avant que l'établissement ne ferme, présenté ou non au préalable. Une secrétaire sympa peut te présenter.
Je vois bien l'idée, mais le fait est qu'il n'a pas encore pris ses fonctions. Ça me paraît compliqué de le joindre comme ça directement pour lui parler de mes petits problèmes.
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- miss teriousDoyen
Celeborn, je compatis pleinement puisque moi aussi j'ai eu droit au chantage de mon CDE (elle aussi s'en va, mais pas à la retraite ; hélas ! d'autres auront à la subir encore...).
Alors, pour ton problème, deux choses :
- la première : je te déconseille d'attendre la rentrée pour gérer parce que les EDT auront été établis et il sera très difficile d'y revenir. Mieux vaudrait que tu puisses voir ton CDE avant, ap. avoir discuter avec tes collègues de la répartition que tu as trouvée et qui convient. Je sais qu'il ne va pas être facile de parler avec tes collègues, mais la situation l'impose - je crois - ; tu pourras attendre et obtenir des excuses plus tard
- ma soeur m'a dit que ds son etb, le CDE a décidé de supprimer la DP3 pour récupérer des heures sur la DHG. J'ignorais que ce fût possible, mais apparemment, les etb ne sont pas obligés de proposer cette option. Qu'en est-il vraiment ? Il serait sans doute bon de se renseigner, car alors ces deux heures pourraient être redistribuées de façon, par ex., à augmenter les horaires de LM sur un niveau, ce qui pourrait changer la donne pour votre répartition.
En tout cas, bon courage, compagnon de galère de répartition.
(Moi aussi, je suis des rares à l'ouvrir en réunion, et je pense que le CDE se venge en m'imposant la répartition qui LUI plaît et non celle qui nous convient, à nous quatre collègues de lettres...)
Alors, pour ton problème, deux choses :
- la première : je te déconseille d'attendre la rentrée pour gérer parce que les EDT auront été établis et il sera très difficile d'y revenir. Mieux vaudrait que tu puisses voir ton CDE avant, ap. avoir discuter avec tes collègues de la répartition que tu as trouvée et qui convient. Je sais qu'il ne va pas être facile de parler avec tes collègues, mais la situation l'impose - je crois - ; tu pourras attendre et obtenir des excuses plus tard
- ma soeur m'a dit que ds son etb, le CDE a décidé de supprimer la DP3 pour récupérer des heures sur la DHG. J'ignorais que ce fût possible, mais apparemment, les etb ne sont pas obligés de proposer cette option. Qu'en est-il vraiment ? Il serait sans doute bon de se renseigner, car alors ces deux heures pourraient être redistribuées de façon, par ex., à augmenter les horaires de LM sur un niveau, ce qui pourrait changer la donne pour votre répartition.
En tout cas, bon courage, compagnon de galère de répartition.
(Moi aussi, je suis des rares à l'ouvrir en réunion, et je pense que le CDE se venge en m'imposant la répartition qui LUI plaît et non celle qui nous convient, à nous quatre collègues de lettres...)
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"Ni ange, ni démon, juste sans nom." (Barbey d'AUREVILLY, in. Une histoire sans nom)
"Bien des choses ne sont impossibles que parce qu'on s'est accoutumé à les regarder comme telles." DUCLOS
- AudreyOracle
Oui, nous, le principal nous a carrément demandé de ne pas trop défendre l'option auprès des élèves pour qu'on puisse la fermer...
- CelebornEsprit sacré
miss terious a écrit::
- la première : je te déconseille d'attendre la rentrée pour gérer parce que les EDT auront été établis et il sera très difficile d'y revenir. Mieux vaudrait que tu puisses voir ton CDE avant, ap. avoir discuter avec tes collègues de la répartition que tu as trouvée et qui convient. Je sais qu'il ne va pas être facile de parler avec tes collègues, mais la situation l'impose - je crois - ; tu pourras attendre et obtenir des excuses plus tard
Le problème est qu'il n'y a aucune répartition qui convient. Personne n'en veut, de la DP3 (qui est obligatoire : j'ai regardé les textes). En fait, on ne pensait pas brutalement voir la DP3 fondre sur l'équipe de lettres telles un hibou grand-duc sur un bébé faucon pèlerin. On a tous été pris de court, quelque part, et mes collègues, qui étaient sur place et bien groupées, en ont profité pour me refiler le bébé en mentant comme des arracheuses de dents et en faisant jouer l'argument de l'urgence absolue. Le souci n'est finalement pas tant que j'aie la DP3 (bon, si, c'est un souci, et toute personne au cerveau normalement constitué en salle des profs en convient, d'ailleurs), mais la manière tout à fait dégueulasse dont ça s'est produit, avec pressions psychologiques (de groupe) en point d'orgue.
Mais une fois encore, le dialogue avec la principale actuelle m'apparaît comme impossible, et je ne me vois pas commencer celui avec le nouveau principal avant sa prise de fonctions. Donc je ne vois pas comment agir autrement qu'à la rentrée, en fait. Mais je suis preneur de tout mode d'action qui me permettrait d'agir intelligemment plus tôt.
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- miss teriousDoyen
Ne peux-tu nous indiquer les données : nombre de classes par niveaux, horaires pour chaque niveau, nombre de collègues, heures de chaque collègue que l'on réfléchisse à une répartition qui pourrait convenir et sur la base de laquelle vs pourriez discuter, puis que vous pourriez proposer à votre CDE ?
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"Ni ange, ni démon, juste sans nom." (Barbey d'AUREVILLY, in. Une histoire sans nom)
"Bien des choses ne sont impossibles que parce qu'on s'est accoutumé à les regarder comme telles." DUCLOS
- AudreyOracle
est-il trop tard pour demander une décharge syndicale?
- AudreyOracle
ouais, je sais, c'est nul comme idée... mais tu as l'air de te plaire dans ton syndic, de trouver ça intéressant, et du coup, tu pourrais être en sous-service...
- CelebornEsprit sacré
miss terious a écrit:Ne peux-tu nous indiquer les données : nombre de classes par niveaux, horaires pour chaque niveau, nombre de collègues, heures de chaque collègue que l'on réfléchisse à une répartition qui pourrait convenir et sur la base de laquelle vs pourriez discuter, puis que vous pourriez proposer à votre CDE ?
J'aimerais bien. mais comme je vous ai dit : on a trop d'heures en stock et pas assez de besoins, d'où l'arrivée de la DP3. La principale ne reviendra pas là-dessus, puisqu'elle en est venue à faire du chantage pour nous l'imposer dans la répartition. Mes collègues, qui sont très contentes (tu m'étonnes), ne reviendront pas là-dessus, puisqu'elles ne l'ont pas. Mon seul vague et mince espoir est qu'à la rentrée, un nouveau collègue (TZR, par exemple) soit intéressé par la chose. Pour le reste, je ne vois pas, à moins que le CDE suive le raisonnement tarabiscoté de ma collègue qui l'avait l'année dernière et juge que c'est elle la + apte à assurer l'option, procédant alors aux modifications évoquées + haut (je prendrais son soutien).
Je dois dire que, vu ce qui s'est passé, je le laisserais faire (ce que je n'envisageais pas jusque là, par exemple s'il y avait eu une vraie discussion honnête entre nous). En revanche, si ça se produit, il faudra considérer que je serai fâché à vie avec toute une partie de l'équipe. mais bon, ça, je peux y survivre.
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