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- neoSage
Le nombre de stagiaires dans une académie ne dépend pas du nombre d'admis dans l'académie, mais des capacités d'accueil déjà décidées par le ministère depuis bien longtemps. S'il n'y a que 6 capacités d'accueil, il y aura 6 stagiaires dans l'académie, que vous soyez 3 reçus ou 15 reçus au concours.Aemilia a écrit:Vous pensez que la liste des postes disponibles pour les stagiaires a pu évoluer depuis cette publication (8 avril je crois)... parce qu'il n'y a que 6 postes de lettres classiques (!!!), nous sommes une trentaine d'admissibles...
Dans certaines académies et certaines disciplines, les listes des supports stagaires sont incomplètes, le rectorat doit encore trouver d'autres supports avant la rentrée.
- InvitéInvité
lilicheng a écrit:Montpellier ?
clic ici mais attention, ça fait mal aux yeux
- lilichengEsprit éclairé
philip a écrit:lilicheng a écrit:Montpellier ?
clic ici mais attention, ça fait mal aux yeux
je confirme
"De quoi donner le tournis aux élèves : pour notre académie, plus de
35000 élèves verront ainsi se succéder de la rentrée à la Toussaint un
remplaçant (TZR ou contractuel), le stagiaire et son tuteur, puis le
stagiaire seul de Toussaint à Noël, suivi d’un chassé-croisé répété
entre le stagiaire et « son » étudiant M2 jusqu’aux vacances d’hiver, et
pour finir le stagiaire seul !
[
A la rentrée de janvier,... le stagiaire,
et l’étudiant en M2 , seront ensemble dans
les classes du stagiaire, ce qui est censé être pour l’étudiant une
période d’observation et de pratique accompagnée ; puis, pendant 2
semaines, le stagiaire partira en formation et l’étudiant en M2 prendra
seul en charge les classes du stagiaire ; ensuite, pendant 2 semaines,
retour du stagiaire qui prendra seul ses classes ; puis pendant 2
semaines, le stagiaire repartira en formation et l’étudiant en M2 (le
même ?) prendra à nouveau seul en charge les classes du stagiaire ; avec
pour finir, une 2ème semaine de « tuilage » : le stagiaire et
l’étudiant en M2 se retrouveront à nouveau ensemble dans les classes
pendant une semaine, ce qui est censé leur permettre à tous deux de
mener une réflexion commune sur leurs pratiques.]
Il est par ailleurs difficile de ne pas remarquer qu’au bout du compte,
c’est le stagiaire qui finit par « former » l’étudiant."
- FinrodExpert
C'est convivial.
Dans moins de 5 ans, il n'y aura plus de prof. Avec les classes délicates, les étudiants de M2 vont passer pour les clowns de service et faire démonter.
Sauf ceux qui ont un caractère d'acier. (Formation Darwiniste donc)
Tiens j'ai lu ça tt à l'heure, extrait d'une HDR de sc de l'éducation (Felouzis).
ça a le mérite d'être clair. On ne donne pa l'autorité, vous vous démerdez, point. Si certains se demandent d'où vient l'idée.
Dans moins de 5 ans, il n'y aura plus de prof. Avec les classes délicates, les étudiants de M2 vont passer pour les clowns de service et faire démonter.
Sauf ceux qui ont un caractère d'acier. (Formation Darwiniste donc)
Tiens j'ai lu ça tt à l'heure, extrait d'une HDR de sc de l'éducation (Felouzis).
Il déduit de cette enquête l'existence d'une « force de la scolarisation par l'école et conclu que l'autorité du professeur n'est plus une donnée, mais qu'elle est à construire dans l'interaction pédagogique ».
ça a le mérite d'être clair. On ne donne pa l'autorité, vous vous démerdez, point. Si certains se demandent d'où vient l'idée.
- CathEnchanteur
lilicheng a écrit:philip a écrit:lilicheng a écrit:Montpellier ?
clic ici mais attention, ça fait mal aux yeux
je confirme
"De quoi donner le tournis aux élèves : pour notre académie, plus de
35000 élèves verront ainsi se succéder de la rentrée à la Toussaint un
remplaçant (TZR ou contractuel), le stagiaire et son tuteur, puis le
stagiaire seul de Toussaint à Noël, suivi d’un chassé-croisé répété
entre le stagiaire et « son » étudiant M2 jusqu’aux vacances d’hiver, et
pour finir le stagiaire seul !
[
A la rentrée de janvier,... le stagiaire,
et l’étudiant en M2 , seront ensemble dans
les classes du stagiaire, ce qui est censé être pour l’étudiant une
période d’observation et de pratique accompagnée ; puis, pendant 2
semaines, le stagiaire partira en formation et l’étudiant en M2 prendra
seul en charge les classes du stagiaire ; ensuite, pendant 2 semaines,
retour du stagiaire qui prendra seul ses classes ; puis pendant 2
semaines, le stagiaire repartira en formation et l’étudiant en M2 (le
même ?) prendra à nouveau seul en charge les classes du stagiaire ; avec
pour finir, une 2ème semaine de « tuilage » : le stagiaire et
l’étudiant en M2 se retrouveront à nouveau ensemble dans les classes
pendant une semaine, ce qui est censé leur permettre à tous deux de
mener une réflexion commune sur leurs pratiques.]
Il est par ailleurs difficile de ne pas remarquer qu’au bout du compte,
c’est le stagiaire qui finit par « former » l’étudiant."
Et là, comme tout parent, si ça tombe sur mes gosses, je
- elea84Niveau 10
Et pour Aix-Marseille? Sait-on à quelle sauce vont être mangés nos pauvres jeunes collègues?
- InvitéInvité
elea84 a écrit:Et pour Aix-Marseille? Sait-on à quelle sauce vont être mangés nos pauvres jeunes collègues?
clic ici
- lalilalaEmpereur
philip a écrit:lalilala a écrit:Quelqu'un sait comment ça va se passer dans l'académie de Limoges?
http://www.limoges.snes.edu/pdf/pub-acadinfo-100329.pdf
merci!
- Mamz'elleNiveau 7
Meryret a écrit:C'est bizarre que ça soit variable selon les académies, ça va créer de sacrés inégalités tout ça.
Une copine passant son CAPES à Reims m'a dit que c'était 12h de cours. En fait, au lieu d'avoir 2/3 formation et 1/3 stage en responsabilité, c'est l'inverse.
Bjr,
je suis de Reims, mais on m'a encore donné d'autres informations, c'est dire !
- InvitéInvité
Mamz'elle a écrit:Meryret a écrit:C'est bizarre que ça soit variable selon les académies, ça va créer de sacrés inégalités tout ça.
Une copine passant son CAPES à Reims m'a dit que c'était 12h de cours. En fait, au lieu d'avoir 2/3 formation et 1/3 stage en responsabilité, c'est l'inverse.
Bjr,
je suis de Reims, mais on m'a encore donné d'autres informations, c'est dire !
oui, chaque académie fait son truc comme elle veut
Pour Reims c'est expliqué ici : clic
- isamiaNiveau 5
Bonjour à tous, j'ai besoin d'aide.
On m'a demandé d'être tuteur d'un stagiaire l'année prochaine. Le gros hic: il n'est pas dans mon établissement mais dans la même ville que mon établissement. Les collègues de l'établissement d'accueil du stagiaire refusent de le suivre.
J'ai bien l'intention de refuser car je n'approuve pas la réforme et j'aurai un EDT bien chargé l'année prochaine . Je dois répondre à l-IA-IPR assez vite mais je ne sais pas vraiment quoi lui dire pour que cela passe sans trop de problèmes.
Merci d'avance de votre aide.
On m'a demandé d'être tuteur d'un stagiaire l'année prochaine. Le gros hic: il n'est pas dans mon établissement mais dans la même ville que mon établissement. Les collègues de l'établissement d'accueil du stagiaire refusent de le suivre.
J'ai bien l'intention de refuser car je n'approuve pas la réforme et j'aurai un EDT bien chargé l'année prochaine . Je dois répondre à l-IA-IPR assez vite mais je ne sais pas vraiment quoi lui dire pour que cela passe sans trop de problèmes.
Merci d'avance de votre aide.
- InvitéInvité
isamia a écrit:Bonjour à tous, j'ai besoin d'aide.
On m'a demandé d'être tuteur d'un stagiaire l'année prochaine. Le gros hic: il n'est pas dans mon établissement mais dans la même ville que mon établissement. Les collègues de l'établissement d'accueil du stagiaire refusent de le suivre.
J'ai bien l'intention de refuser car je n'approuve pas la réforme et j'aurai un EDT bien chargé l'année prochaine . Je dois répondre à l-IA-IPR assez vite mais je ne sais pas vraiment quoi lui dire pour que cela passe sans trop de problèmes.
Merci d'avance de votre aide.
Tu n'as pas à développer des arguments... tu luis envoies juste un message en lui expliquant que tu refuses d'être tuteur.
- neoSage
Tu as juste à lui dire que tu n'es pas volontaire, point.isamia a écrit:Bonjour à tous, j'ai besoin d'aide.
On m'a demandé d'être tuteur d'un stagiaire l'année prochaine. Le gros hic: il n'est pas dans mon établissement mais dans la même ville que mon établissement. Les collègues de l'établissement d'accueil du stagiaire refusent de le suivre.
J'ai bien l'intention de refuser car je n'approuve pas la réforme et j'aurai un EDT bien chargé l'année prochaine . Je dois répondre à l-IA-IPR assez vite mais je ne sais pas vraiment quoi lui dire pour que cela passe sans trop de problèmes.
Merci d'avance de votre aide.
Au cas où l'on te ferait croire que tu ne peux pas refuser, tu peux citer la circulaire nationale de cadrage de l'année de professeur stagaire :
Voir article du SNES de Lille pour plus de détails : http://www.lille.snes.edu/spip.php?article1857"2.2.3 Choix des tuteurs intervenant dans le compagnonnage. Les collèges et lycées qui accueilleront des personnels stagiaires disposeront en leur sein ou à proximité d’enseignants expérimentés et volontaires qui s’engageront dans le tutorat." (circulaire n° 2010-037 du 25-2-2010 , http://www.education.gouv.fr/cid50946/menh1005426c.html )
Tiens bon et refuse, le but des refus collectifs des missions de tuteur est justement de mettre en échec l'application de la réforme sur le terrain, pour obtenir ensuite des évolutions !
En cas de pressions individuelles pour te faire accepter cette mission de tuteur, contacte le SNES de ton académie.
_________________
Human... https://www.youtube.com/watch?v=RIZdjT1472Y
- JohnMédiateur
isamia a écrit:Bonjour à tous, j'ai besoin d'aide.
On m'a demandé d'être tuteur d'un stagiaire l'année prochaine. Le gros hic: il n'est pas dans mon établissement mais dans la même ville que mon établissement. Les collègues de l'établissement d'accueil du stagiaire refusent de le suivre.
J'ai bien l'intention de refuser car je n'approuve pas la réforme et j'aurai un EDT bien chargé l'année prochaine . Je dois répondre à l-IA-IPR assez vite mais je ne sais pas vraiment quoi lui dire pour que cela passe sans trop de problèmes.
Merci d'avance de votre aide.
Je souscris aux conseils qui t'ont été donnés :
M. l'Inspecteur,
La circulaire nationale de cadrage de l'année de professeur stagiaire prévoit que l'encadrement des enseignants stagiaires soit assuré par des enseignants titulaires volontaires (circulaire n° 2010-037 du 25-2-2010)
Je vous informe par la présente que je ne suis pas volontaire pour assurer le suivi d'un stagiaire cette année.
Veuillez agréer etc.
_________________
En achetant des articles au lien ci-dessous, vous nous aidez, sans frais, à gérer le forum. Merci !
"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- neoSage
Et si tu es tutrice, tu devras laisser tes classes pendant plusieurs semaines (dès la rentrée à Lille), et te faire remplacer par un TZR, pour être présente dans les classes de ton stagiaire (c'est prévu dans la réforme et comptabilisé comme temps de formation du stagiaire). En as-tu envie ??
_________________
Human... https://www.youtube.com/watch?v=RIZdjT1472Y
- isamiaNiveau 5
neo a écrit:Et si tu es tutrice, tu devras laisser tes classes pendant plusieurs semaines (dès la rentrée à Lille), et te faire remplacer par un TZR, pour être présente dans les classes de ton stagiaire (c'est prévu dans la réforme et comptabilisé comme temps de formation du stagiaire). En as-tu envie ??
Absolument pas! Je ne crois pas que cela soit prévu à Besac mais de toute manière je ne veux pas de stagiaire, étant absolument contre la réforme. Le mail est parti hier; je n'ai pas eu de réponse; de toute manière je sais qu'on ne peut pas nous forcer.
Merci pour vos conseils.
- InvitéInvité
isamia a écrit:neo a écrit:Et si tu es tutrice, tu devras laisser tes classes pendant plusieurs semaines (dès la rentrée à Lille), et te faire remplacer par un TZR, pour être présente dans les classes de ton stagiaire (c'est prévu dans la réforme et comptabilisé comme temps de formation du stagiaire). En as-tu envie ??
Absolument pas! Je ne crois pas que cela soit prévu à Besac mais de toute manière je ne veux pas de stagiaire, étant absolument contre la réforme. Le mail est parti hier; je n'ai pas eu de réponse; de toute manière je sais qu'on ne peut pas nous forcer.
Merci pour vos conseils.
en effet à besançon, il n'y aura pas de valse des tzr :
- DaphnéDemi-dieu
En effet ce n'est pas prévu comme ça ici, les stagiaires auront leurs 18 h toute l'année et auront leur formation en plus.
Tu as eu de bons conseils
Tu as eu de bons conseils
- InvitéInvité
Je met ici un message de mon syndicat
Nous n’avons pas renoncé à
faire évoluer les choses : alors que l’instance paritaire chargée d’examiner
les projets de mutations intra-académiques pour les personnels enseignants des
collèges et lycées était convoquée mardi 15 juin au rectorat, le SNES-FSU a
proposé son boycott à l’ensemble des organisations syndicales représentées
(SE-UNSA, SGEN-CFDT, SNALC-CSEN, SNFOLC et SUD Éducation). Nous entendions
marquer notre refus de voir bloqué le système de mutations à la fois par les
suppressions massives de postes (16000 à la rentrée 2010 et 16000 annoncées
pour la rentrée 2011) et par le dispositif inacceptable que compte imposer le
ministère dès la rentrée 2010 pour l’accueil des stagiaires (affectation à
temps plein sur des postes bloqués ainsi retirés du mouvement
intra-académique). Le SNES-FSU, le SNALC-CSEN et SUD Éducation ont refusé de
siéger à l’heure d’ouverture prévue et ont été reçus par le recteur : la
commission a donc dû être repoussée à 14 heures faute de quorum. Ce boycott n'a
eu aucune incidence sur la qualité du travail paritaire (la durée des séances a
été allongée pour permettre un examen approfondi de toutes les demandes) et les
élus SNES-FSU ont fait comme d'habitude respecter l'équité entre tous les
demandeurs. Notre action a permis dès l'après-midi de débloquer quelques
situations parmi les plus problématiques.
La pétition intersyndicale
est massivement signée : le rectorat est désormais en difficulté face au
refus d'une immense majorité de collègues d'être tuteur et cherche des parades
:
1)
Polyvalence des tuteurs : le tuteur n'enseignera pas forcément dans le
même établissement que son stagiaire. Dans ce cas, pour pallier un éloignement
dommageable au suivi du stagiaire, le rectorat pourra lui trouver sur place un
"tuteur métier", qui n'enseignera pas la même discipline ! Deux
tuteurs, l'un éloigné et l'autre dans une discipline différente : voilà le
schéma retenu pour assurer "l'accompagnement fort" sur 110 heures
promis aux jeunes collègues dès les premières semaines de l'année !
2)
Pressions sur les collègues : appels téléphoniques des IPR, lettre
individuelle de refus à compléter et à renvoyer aux IPR.
Pour
le SNES, il n'est pas question de céder à ces pressions, puisque :
-
être tuteur repose sur le volontariat et ne fait pas partie des obligations de
service définies dans la loi d'orientation de 1989 ( http://dcalin.fr/textoff/loi_1989.html#II
)
-
la circulaire nationale de cadrage de l'année de professeur stagiaire est
explicite quant au volontariat : "2.2.3
Choix des tuteurs intervenant dans le compagnonnage. Les collèges et lycées qui
accueilleront des personnels stagiaires disposeront en leur sein ou à proximité
d'enseignants expérimentés et volontaires qui s'engageront dans le
tutorat." ( circulaire n° 2010-037 du 25-2-2010, ( http://www.education.gouv.fr/cid50946/menh1005426c.html
).
-
la plupart des collègues concernés ont déjà fait savoir de façon collective
leur refus d'être tuteur
en signant la pétition intersyndicale, appuyée parfois localement par un
courrier de tous les enseignants de la discipline.
3)
Perspective d'une revalorisation financière : accès à la hors classe
facilité pour les tuteurs, peut-être indemnité de 2000 € (non confirmée par le
ministère à ce jour). Compte-tenu des possibilités d'accès à la hors-classe, la
carotte mise en avant s'éloignerait au fur et à mesure qu'on avancerait...
4)
Un semblant de concession pour alléger le service des futurs stagiaires
: il est recommandé aux chefs d'établissement de placer sur le mercredi
(journée normalement réservée aux formations) quelques heures de cours des
stagiaires, durant lesquelles ils seront absents mais remplacés par des
collègues de l'établissement. Autrement dit, les stagiaires qui auront déjà des
difficultés à prendre en charge leurs nombreuses tâches devront en plus assurer
une semaine sur deux la jonction avec un remplaçant ! Et nous sommes censés
accepter de les remplacer !
La
navigation à vue du rectorat montre combien cette "réforme" de la
formation des enseignants est nocive pour tous. Elle montre aussi que nos
résistances l'obligent à adapter sa stratégie. Il faut donc tenir bon jusqu'à
la rentrée, pour l'obliger à revoir à la baisse le temps de service des
stagiaires.
- caperucitaGuide spirituel
Je ne sais pas si je poste au bon endroit puisqu'il y a plusieurs fils ouverts sur ce sujet, mais je vous copie colle ici un mail d'une collègue que j'ai reçu d'une liste de diffusion à laquelle je suis abonnée, c'est tout bonnement aberrant !!
"Voici la situation incroyable dans laquelle je me trouve, et dans
laquelle vous risquez de vous retrouver vous aussi. Moi qui n'ai pas
pour habitude de me plaindre, j'ai décidé d'en informer le plus de
collègues possible, quelle que soit l'académie où ils travaillent. Merci
de faire passer le message à qui vous voudrez.
/J'enseigne depuis 22 ans l'anglais dans un petit collège rural de
l'académie de Clermont-Ferrand où je suis officiellement nommée « à
titre définitif » (en tout cas c'est ce qui est noté sur i-prof) depuis
septembre 1988. Ce collège étant de petite taille, il n'y a que deux
postes d'anglais: le mien (à temps complet) et un autre, qui est partagé
avec un autre collège de la région. Mon collègue venant d'obtenir le
concours de chef d'établissement, son poste est donc vacant pour la
rentrée prochaine, sans toutefois être passé au mouvement . Et voilà que
vendredi dernier, j'ai été informée par mon chef d'établissement, qui me
soutient activement dans mes démarches, de la décision de la Direction
des Ressources Humaines de nommer un stagiaire à temps complet
(c'est-à-dire, pour lui, 16 heures) sur notre collège pour la rentrée
prochaine, et de par ce fait de me donner un service partagé sur deux
établissements. De plus, il paraît que je serais alors la tutrice du
stagiaire nommé. Quel comble! Je tiens à préciser, pour info, que
c'est _uniquement grâce à ma principale_ que je suis au courant de ce
qui se trame, et que personnellement le Rectorat n'a pas eu la
courtoisie de me contacter à ce sujet. C'est à peine croyable, j'ai
vraiment l'impression d'être devenue un pion sur un échiquier.
/
/Apparemment, je ne suis pas la seule dans ce cas. Dans mon académie,
un autre cas se présente, où là il s'agit d'un enseignant en SVT avec 25
ans d'ancienneté à qui l'on va demander « gentiment » d'aller se balader
l'an prochain."
"Voici la situation incroyable dans laquelle je me trouve, et dans
laquelle vous risquez de vous retrouver vous aussi. Moi qui n'ai pas
pour habitude de me plaindre, j'ai décidé d'en informer le plus de
collègues possible, quelle que soit l'académie où ils travaillent. Merci
de faire passer le message à qui vous voudrez.
/J'enseigne depuis 22 ans l'anglais dans un petit collège rural de
l'académie de Clermont-Ferrand où je suis officiellement nommée « à
titre définitif » (en tout cas c'est ce qui est noté sur i-prof) depuis
septembre 1988. Ce collège étant de petite taille, il n'y a que deux
postes d'anglais: le mien (à temps complet) et un autre, qui est partagé
avec un autre collège de la région. Mon collègue venant d'obtenir le
concours de chef d'établissement, son poste est donc vacant pour la
rentrée prochaine, sans toutefois être passé au mouvement . Et voilà que
vendredi dernier, j'ai été informée par mon chef d'établissement, qui me
soutient activement dans mes démarches, de la décision de la Direction
des Ressources Humaines de nommer un stagiaire à temps complet
(c'est-à-dire, pour lui, 16 heures) sur notre collège pour la rentrée
prochaine, et de par ce fait de me donner un service partagé sur deux
établissements. De plus, il paraît que je serais alors la tutrice du
stagiaire nommé. Quel comble! Je tiens à préciser, pour info, que
c'est _uniquement grâce à ma principale_ que je suis au courant de ce
qui se trame, et que personnellement le Rectorat n'a pas eu la
courtoisie de me contacter à ce sujet. C'est à peine croyable, j'ai
vraiment l'impression d'être devenue un pion sur un échiquier.
/
/Apparemment, je ne suis pas la seule dans ce cas. Dans mon académie,
un autre cas se présente, où là il s'agit d'un enseignant en SVT avec 25
ans d'ancienneté à qui l'on va demander « gentiment » d'aller se balader
l'an prochain."
- NestyaEsprit sacré
Il me semble que Thalie avait déjà posté cette histoire il y a quelques jours.caperucita a écrit:Je ne sais pas si je poste au bon endroit puisqu'il y a plusieurs fils ouverts sur ce sujet, mais je vous copie colle ici un mail d'une collègue que j'ai reçu d'une liste de diffusion à laquelle je suis abonnée, c'est tout bonnement aberrant !!
"Voici la situation incroyable dans laquelle je me trouve, et dans
laquelle vous risquez de vous retrouver vous aussi. Moi qui n'ai pas
pour habitude de me plaindre, j'ai décidé d'en informer le plus de
collègues possible, quelle que soit l'académie où ils travaillent. Merci
de faire passer le message à qui vous voudrez.
/J'enseigne depuis 22 ans l'anglais dans un petit collège rural de
l'académie de Clermont-Ferrand où je suis officiellement nommée « à
titre définitif » (en tout cas c'est ce qui est noté sur i-prof) depuis
septembre 1988. Ce collège étant de petite taille, il n'y a que deux
postes d'anglais: le mien (à temps complet) et un autre, qui est partagé
avec un autre collège de la région. Mon collègue venant d'obtenir le
concours de chef d'établissement, son poste est donc vacant pour la
rentrée prochaine, sans toutefois être passé au mouvement . Et voilà que
vendredi dernier, j'ai été informée par mon chef d'établissement, qui me
soutient activement dans mes démarches, de la décision de la Direction
des Ressources Humaines de nommer un stagiaire à temps complet
(c'est-à-dire, pour lui, 16 heures) sur notre collège pour la rentrée
prochaine, et de par ce fait de me donner un service partagé sur deux
établissements. De plus, il paraît que je serais alors la tutrice du
stagiaire nommé. Quel comble! Je tiens à préciser, pour info, que
c'est _uniquement grâce à ma principale_ que je suis au courant de ce
qui se trame, et que personnellement le Rectorat n'a pas eu la
courtoisie de me contacter à ce sujet. C'est à peine croyable, j'ai
vraiment l'impression d'être devenue un pion sur un échiquier.
/
/Apparemment, je ne suis pas la seule dans ce cas. Dans mon académie,
un autre cas se présente, où là il s'agit d'un enseignant en SVT avec 25
ans d'ancienneté à qui l'on va demander « gentiment » d'aller se balader
l'an prochain."
_________________
"Attendre et espérer."
Alexandre Dumas
- seb93Niveau 2
Dans l'acad de Créteil, les stagiaires seront accueillis dès le 25 et 26 aout par le rectorat, le 27 par leur bahut et le 30 et 31 par leur IPR... Est-ce que 2 jours de week end seront suffisant pour préparer les premiers cours ?
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