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- Invité31Sage
Lornet a écrit:
Le jour où les couloirs seront surveillés, ça changera peut-être.
Tout à fait...
Encore que, parfois, je vois bien un surveillant ici ou là, mais tous ne sont pas réactifs/formés à leur mission/mûrs pour l'exercer.
- Invité31Sage
morgane9513 a écrit:J'ai eu "salope" (gage de qualité comme le disait un humoriste), et l'élève a eu un mercredi matin d'exclusion. Sinon pas d'insultes mais des réflexions désobligeantes "vous ne savez pas vous faire respecter", "notre ancienne prof était mieux", j'en passe et des meilleures.
Par contre, un collègue juif en avait pris plein la figure. Mais les collègues ont jugé qu'il était limite en tort car il avait un pendentif en forme d'étoile de David. Attristant.....
Affligeant en effet...
Et j'hallucine sur la légèreté de la sanction concernant ton élève...
- Invité31Sage
moon a écrit:Oui Lynette, ça arrive beaucoup plus souvent qu'on ne le pense et qu'on ne le dit. Moi ça m'est déjà arrivé dans des couloirs, dans la rue quand je rentrais à pied (et ça c'est chaud à gérer, parce que l'insulte balancée de loin d'une fenêtre d'un immeuble par un morveux qui n'a même pas le cran de le faire en face ça m'énerve), et au téléphone. Pas mal de mes collègues l'ont vécu aussi. On est en ZEP, mais ça n'est pas une raison. Bref.
Ne le prends pas personnellement - effectivement s....c'est un gage de qualité - mais par contre, il ne faut surtout pas laisser cet état d'esprit gangrener le collège. Ca va très vite et c'est extrêmement malsain. Ce qui me mine le plus dans ces cas là ce n'est pas forcément l'attaque mais ce qui peut se propager derrière. Si votre CDE ne réagit pas d'autres essaieront, forcément. Parles-en avec les collègues, et si tu ne peux pas résoudre le problème en interne à l'établissement, tu peux éventuellement déposer une main courante, alternative à la plainte (c'est un premier signalement sans enjeu, sauf s'il y a récidive et plainte derrière, cela alourdit le dossier). L'idéal serait que ton CDE fasse la même chose au nom de l'établissement en vertu de la "protection juridique de l'enseignant". Mais bon en général ils rechignent fortement. Ca c'est pour l'option lourde.
L'autre option, disons optimiste, c'est une grosse sanction disciplinaire si vous trouvez les coupables, et que ça se sache dans l'établissement! Surtout qu'il s'agit d'une insulte raciste. Peu importe que tu sois juive ou pas, noire, arabe, blanche ou ...etc.
Dans tous les cas dis-toi bien que ce n'est pas toi qui est visée personnellement, mais ce que tu représentes. Et malheureusement il y a une première à tout. Surtout vu le contexte dans lequel tu travailles.
Et pour relativiser, un petit exercice qu'on m'a fait faire après les insultes au téléphone : ça fait six ans que j'enseigne en ZEP et que je ne suis pas sur liste rouge. Avec un nom tellement peu fréquent pour le coin que si on me cherche, on me trouve du premier coup. A raison de cent élèves par an, je tiens la moyenne d'une insulte pour six cent gamins. Finalement, c'est peu...
Merci beaucoup de ton long message et merci encore à vous tous
Tu vois, c'est l'option optimiste qui l'a emporté, je suis contente. Sinon j'aurais effectivement déposé plainte je pense.
D'accord avec toi sur le fait qu'il fallait réagir pour que ça ne se reproduise pas.
- KikiHabitué du forum
A la réunion dont je parle sur un autre message, Le chef a dit que si un adulte se faisait insulter, cela était de sa faute car il manquait d'autorité. On n'a donc plus le droit de renvoyer un élève qui nous a insultés. Il ne sera pas puni. C'est à nous de gérer ce qu'il appelle un "incident". Pareil, si un élève insulte un élève ou un autre adulte pendant notre cours, c'est nous que vise l'élève (cela signifie qu'il ne nous respecte pas). C'est encore de notre faute. Son conseil : nous devons faire en sorte d'éviter les conflits avec les élèves. Il n'a pas dit comment. A nous de trouver la solution miracle ... Des idées ?
- zabriskieÉrudit
Kiki a écrit:A la réunion dont je parle sur un autre message, Le chef a dit que si un adulte se faisait insulter, cela était de sa faute car il manquait d'autorité. On n'a donc plus le droit de renvoyer un élève qui nous a insultés. Il ne sera pas puni. C'est à nous de gérer ce qu'il appelle un "incident". Pareil, si un élève insulte un élève ou un autre adulte pendant notre cours, c'est nous que vise l'élève (cela signifie qu'il ne nous respecte pas). C'est encore de notre faute. Son conseil : nous devons faire en sorte d'éviter les conflits avec les élèves. Il n'a pas dit comment. A nous de trouver la solution miracle ... Des idées ?
Waouh...
- RuthvenGuide spirituel
Kiki a écrit:A la réunion dont je parle sur un autre message, Le chef a dit que si un adulte se faisait insulter, cela était de sa faute car il manquait d'autorité. On n'a donc plus le droit de renvoyer un élève qui nous a insultés. Il ne sera pas puni. C'est à nous de gérer ce qu'il appelle un "incident". Pareil, si un élève insulte un élève ou un autre adulte pendant notre cours, c'est nous que vise l'élève (cela signifie qu'il ne nous respecte pas). C'est encore de notre faute. Son conseil : nous devons faire en sorte d'éviter les conflits avec les élèves. Il n'a pas dit comment. A nous de trouver la solution miracle ... Des idées ?
En traitant le principal de sale connard pour voir le modèle de comportement qu'il propose pour gérer la situation ... Et en reproduisant avec les élèves la manière dont il aura réglé le conflit.
- eowynNiveau 7
Lynette a écrit:Eowynn, dis donc, se faire insulter par un parent en plus...
oui, du coup on comprend mieux pourquoi le gamin est comme ça avec une mère pareille... devant témoin en plus (une autre mère d'élève qui attendait son tour...) ça m'avait bien retourné aussi. Mais j'ai été soutenu par mes collègues et la direction (je pense que c'est LE truc pour surmonter et passer outre ce genre de chose)
- eowynNiveau 7
Kiki a écrit:A la réunion dont je parle sur un autre message, Le chef a dit que si un adulte se faisait insulter, cela était de sa faute car il manquait d'autorité. On n'a donc plus le droit de renvoyer un élève qui nous a insultés. Il ne sera pas puni. C'est à nous de gérer ce qu'il appelle un "incident". Pareil, si un élève insulte un élève ou un autre adulte pendant notre cours, c'est nous que vise l'élève (cela signifie qu'il ne nous respecte pas). C'est encore de notre faute. Son conseil : nous devons faire en sorte d'éviter les conflits avec les élèves. Il n'a pas dit comment. A nous de trouver la solution miracle ... Des idées ?
Et si ce chef se fait insulter, il se passe quoi?
- pallasNiveau 9
Moi j'ai déjà eu "madame____c'est une vraie salop*, une grosse p*" repris par les parents "non mais franchement madame on a tous traités notre prof un jour de put* enfin, surtout la prof de français" (ne me demandez pas pourquoi elle ajouté ça) ?! L'élève, qu'-a-t-il eu ? ah oui faire une lettre d'excuses. Hum ! C'était mon année de stage. Cette année, euh pas d'insultes encore, que des "incivilités" comme on dit "menteuse"(je raconte n'importe quoi sur les rapports selon Kevin) "elle se prend pour qui l'ôtre ?" "vous allez pas encore me soûler, putain".
Cette année, un parent d'un 6e en parlant à une collègue : "des p* comme ça maintenant c'est prof, ça se croit je sais pas où, retourne faire le ménage, grosse c*, salop* bip, bip, chez moi vos conner* ça se règle à coups de boule, alors venez pas m'emm*" parce que la collègue avait mis pour la première fois de l'année une heure de retenue à monchéri moncoeur qui n'avait pas fait son travail.
"Sale bâtard" est aussi très courant pour nos collègues masculins et aussi un 6e hier qui dit à sa soeur en train de faire un exo de maths au tableau "ben alors tu fais quoi ? t'es en train de sucer la b*du prof" avec bien sûr mon collègue de maths juste à côté.
Je continue ?!
Lynette, courage, ça fait toujours quelque chose sur le coup, par contre je sais que contrairement à mon année de stage, je crois que je porterai plainte (main courante) si ça se reproduisait.
Cette année, un parent d'un 6e en parlant à une collègue : "des p* comme ça maintenant c'est prof, ça se croit je sais pas où, retourne faire le ménage, grosse c*, salop* bip, bip, chez moi vos conner* ça se règle à coups de boule, alors venez pas m'emm*" parce que la collègue avait mis pour la première fois de l'année une heure de retenue à monchéri moncoeur qui n'avait pas fait son travail.
"Sale bâtard" est aussi très courant pour nos collègues masculins et aussi un 6e hier qui dit à sa soeur en train de faire un exo de maths au tableau "ben alors tu fais quoi ? t'es en train de sucer la b*du prof" avec bien sûr mon collègue de maths juste à côté.
Je continue ?!
Lynette, courage, ça fait toujours quelque chose sur le coup, par contre je sais que contrairement à mon année de stage, je crois que je porterai plainte (main courante) si ça se reproduisait.
- zabouFidèle du forum
Insultée et menacée par un élève il est passé au conseil de discipline et il a été viré.
Quand j'ai été voir le principal, à l'entendre j'avais l'impression qu'il y avait une gradation dans les insultes et dans le préjudice "moral".
Une collègue a été insultée en pleine rue, elle a porté plainte. Ce n'est pas normal d'en arriver là, ça se règle avec des exclusions donc d'accord il y a sanction mais j'ai l'impression que ça devient "courant", que cela fait partie des risques du métier.
Tout mon soutien Lynette
Quand j'ai été voir le principal, à l'entendre j'avais l'impression qu'il y avait une gradation dans les insultes et dans le préjudice "moral".
Une collègue a été insultée en pleine rue, elle a porté plainte. Ce n'est pas normal d'en arriver là, ça se règle avec des exclusions donc d'accord il y a sanction mais j'ai l'impression que ça devient "courant", que cela fait partie des risques du métier.
Tout mon soutien Lynette
- Libé-RationGuide spirituel
Lynette, je suis choquée de ce qui t'arrive. Je crois que c'est malheureusement fréquent, et j'espère que tu seras soutenue par ton administration.
C'est quand même incroyable que des adolescents puissent errer dans les couloirs en faisant ce genre de raffut, sans être repérés et arrêtés ! Et qu'on ne puisse pas faire cours dans des conditions correctes.
Se faire insulter pendant qu'on travaille ? Non, mais, on n'avait pas prévu ça en planchant sur nos épreuves de concours !
C'est quand même incroyable que des adolescents puissent errer dans les couloirs en faisant ce genre de raffut, sans être repérés et arrêtés ! Et qu'on ne puisse pas faire cours dans des conditions correctes.
Se faire insulter pendant qu'on travaille ? Non, mais, on n'avait pas prévu ça en planchant sur nos épreuves de concours !
- InvitéInvité
lunelaure a écrit:
C'est quand même incroyable que des adolescents puissent errer dans les couloirs en faisant ce genre de raffut, sans être repérés et arrêtés ! Et qu'on ne puisse pas faire cours dans des conditions correctes.
Se faire insulter pendant qu'on travaille ? Non, mais, on n'avait pas prévu ça en planchant sur nos épreuves de concours !
Tu l'as dit ! Je n'ai pas encore connu les insultes d'élèves non identifiés, mais cette année, c'est plus les élèves inconnus du couloir que mes élèves qui m'ont posé problème. Quand on se retrouve face à trois loustics dont on ignore tout (sont-ils même de l'établissement ?) qui entrent, demandent des joints, font leur show, on fait quoi ? Si on attend un surveillant, on peut attendre longtemps. J'ai eu la chance que les délégués de la classe soient allés à ma demande chez le CPE avec leurs suppléants pour signaler l'incident, mais ils auraient pu ne pas vouloir se lever ou être de connivence avec les loustics, et même si ça s'est arrêté à de la provocation sans insulte, c'est surtout l'abandon de toute surveillance dans les couloirs, aucune ronde, aucune personne pour vérifier ce qui s'y passe alors que chaque jour au moins un enseignant du bahut est dérangé en plein cours, qui est inquiétant. Les rapports contre X, ça ne fait rien. On a fait remonter, mais ni le conseil régional, ni personne ne se bouge. On attend le drame.
- InvitéInvité
Ruthven a écrit:Kiki a écrit:A la réunion dont je parle sur un autre message, Le chef a dit que si un adulte se faisait insulter, cela était de sa faute car il manquait d'autorité. On n'a donc plus le droit de renvoyer un élève qui nous a insultés. Il ne sera pas puni. C'est à nous de gérer ce qu'il appelle un "incident". Pareil, si un élève insulte un élève ou un autre adulte pendant notre cours, c'est nous que vise l'élève (cela signifie qu'il ne nous respecte pas). C'est encore de notre faute. Son conseil : nous devons faire en sorte d'éviter les conflits avec les élèves. Il n'a pas dit comment. A nous de trouver la solution miracle ... Des idées ?
En traitant le principal de sale connard pour voir le modèle de comportement qu'il propose pour gérer la situation ... Et en reproduisant avec les élèves la manière dont il aura réglé le conflit.
Un principal traité de connard par tous les enseignants à l'unisson ? Il faudrait tenter, mais généralement, la solidarité entre les enseignants d'un même bahut n'est pas assez forte.
- lene75Prophète
Kiki a écrit:A la réunion dont je parle sur un autre message, Le chef a dit que si un adulte se faisait insulter, cela était de sa faute car il manquait d'autorité. On n'a donc plus le droit de renvoyer un élève qui nous a insultés. Il ne sera pas puni. C'est à nous de gérer ce qu'il appelle un "incident". Pareil, si un élève insulte un élève ou un autre adulte pendant notre cours, c'est nous que vise l'élève (cela signifie qu'il ne nous respecte pas). C'est encore de notre faute. Son conseil : nous devons faire en sorte d'éviter les conflits avec les élèves. Il n'a pas dit comment. A nous de trouver la solution miracle ... Des idées ?
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Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- Invité31Sage
Pareil que toi Lornet: plus de problèmes avec des élèves qui ne sont pas les miens qu'avec les autres.
- miss teriousDoyen
Moi, j'ai eu droit à sal*pe. Sauf que la ppale nous avait dit peu de temps avant qu'il fallait que l'élève le répète pour qu'on puisse porter plainte. Alors, l'air de rien, j'ai demandé à l'élève s'il pouvait répéter... Il m'a dit : "ben quoi ? Je chantait à ça alors..." J'en ai quand même référé à ma CDE et l'élève a eu trois jours (je crois) d'exclusion. (Ce même élève, l'année d'ap. m'a demandé de son "amie" sur fesse de bouc !)
Dans mon etb, les insultes sont continues. Les élèves entre eux se traitent de tous les noms. La CPE se fait insulter ; le CDE se fait insulter. Il ne se passe rien !
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"Ni ange, ni démon, juste sans nom." (Barbey d'AUREVILLY, in. Une histoire sans nom)
"Bien des choses ne sont impossibles que parce qu'on s'est accoutumé à les regarder comme telles." DUCLOS
- zabouFidèle du forum
miss terious a écrit:Moi, j'ai eu droit à sal*pe. Sauf que la ppale nous avait dit peu de temps avant qu'il fallait que l'élève le répète pour qu'on puisse porter plainte. Alors, l'air de rien, j'ai demandé à l'élève s'il pouvait répéter... Il m'a dit : "ben quoi ? Je chantait à ça alors..." J'en ai quand même référé à ma CDE et l'élève a eu trois jours (je crois) d'exclusion. (Ce même élève, l'année d'ap. m'a demandé de son "amie" sur fesse de bouc !)Dans mon etb, les insultes sont continues. Les élèves entre eux se traitent de tous les noms. La CPE se fait insulter ; le CDE se fait insulter. Il ne se passe rien !
Je ne sais pas comment tu le vis mais j'ai connu ça l'an dernier dans un établissement: la politique de l'autruche. ça me rend malade et folle de rage cette inertie et impuissance
- miss teriousDoyen
Oui, c'est aussi comme cela que je le vis. Et nbx sont les collègues blasés, qui se contentent de souffler ou lever les yeux au ciel... Moi, je passe pour la chi*use de service à ne rien laisser passer.
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"Ni ange, ni démon, juste sans nom." (Barbey d'AUREVILLY, in. Une histoire sans nom)
"Bien des choses ne sont impossibles que parce qu'on s'est accoutumé à les regarder comme telles." DUCLOS
- Hermione0908Modérateur
L'année dernière, un élève, connu comme le loup blanc dans l'établissement, que j'étais en train d'exclure de cours (ne me demandez plus pourquoi, avec lui, il y avait tellement de motifs d'exclusion que je ne me souviens pas de tout...) m'a dit au moment de passer la porte : "Je vais revenir, je vais f*** le b*** au tableau, le français y en aura plus, et vous dans une semaine vous êtes plus là !" le tout accompagné d'une attitude pour le moins menaçante. J'ai terminé de le sortir de la classe en lui disant que l'espoir faisait vivre, mais considérant cela comme des menaces (je suis parfois un peu émotive, je sais ), je me suis empressée d'en parler au chef qui m'a dit textuellement : "Ne vous inquiétez pas, il sera dehors bien avant vous." et le môme a pris une semaine d'exclusion sans même repasser par ma classe.
- Invité31Sage
Ça continue... Sans doute pour venger leurs camarades, d'autres élèves de la même classe s'y mettent. Impossible de savoir qui c'est.
Toujours est-il que je n'ai pas pu faire cours aujourd'hui.
J'ai décidé de tout faire pour les piéger et de porter plainte.
Et aussi de faire cours comme si de rien n'était, coûte que coûte.
La direction est allée passer un savon à la classe concernée, mais je sais d'avance que c'est peine perdue.
Que feriez-vous à ma place ?
Encore une fois, ce ne sont pas mes élèves...
Toujours est-il que je n'ai pas pu faire cours aujourd'hui.
J'ai décidé de tout faire pour les piéger et de porter plainte.
Et aussi de faire cours comme si de rien n'était, coûte que coûte.
La direction est allée passer un savon à la classe concernée, mais je sais d'avance que c'est peine perdue.
Que feriez-vous à ma place ?
Encore une fois, ce ne sont pas mes élèves...
- EmeraldiaÉrudit
Bonsoir,
On m'a déjà insultée pls fois :
"Ta g..." alors q je demandais le silence
"Va te faire e... sale p..."
Mon nom + "Sale p..." écrit sur une porte.
"Pétasse". etc.
Des élèves avaient fait circuler aussi ce genre de compliments sur des billets...
Les joies d'être remplaçant, en ZEP ds l'Académie de Lille.
On m'a déjà insultée pls fois :
"Ta g..." alors q je demandais le silence
"Va te faire e... sale p..."
Mon nom + "Sale p..." écrit sur une porte.
"Pétasse". etc.
Des élèves avaient fait circuler aussi ce genre de compliments sur des billets...
Les joies d'être remplaçant, en ZEP ds l'Académie de Lille.
- Libé-RationGuide spirituel
Lynette, c'est hallucinant, ta situation.
La meilleure chose à faire c'est effectivement de tenir bon, de demander à la direction de jouer son rôle, ainsi qu'au PP qui peut en remettre une couche, et aussi de dire à tes élèves que tu ne peux plus faire cours dans ses circonstances, leur expliquer les conséquences légales, etc... que ça leur serve aussi de contre-modèle !
Tout mon soutien!!!
La meilleure chose à faire c'est effectivement de tenir bon, de demander à la direction de jouer son rôle, ainsi qu'au PP qui peut en remettre une couche, et aussi de dire à tes élèves que tu ne peux plus faire cours dans ses circonstances, leur expliquer les conséquences légales, etc... que ça leur serve aussi de contre-modèle !
Tout mon soutien!!!
- lulucastagnetteEmpereur
Quelle honte !!!
Et j'imagine ton sentiment d'impuissance, c'est si difficile de les prendre sur le fait !!
Courage Lynette !
Et j'imagine ton sentiment d'impuissance, c'est si difficile de les prendre sur le fait !!
Courage Lynette !
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