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Mamz'elleNiveau 7
Bonjour,
à l'approche des résultats d'admissibilité mais aussi des inscriptions pour la prochaine session... certaines questions refont surface. Peut-être pourrez-vous répondre à ms questions... A la fac, les enseignants se contredisent tous.
1) L'an prochain, rassurez-moi, il sera toujours possible de passer le concours externe en candidat libre ?! sans avoir de Master pro... Avoir un Master recherche suffira ?
2) Autre question: logiquement les candidats à la session 2011 seront ceux qui auront échoué cette année (mais qui auront été admissibles) + les quelques personnes se trouvant cette année en M1 recherche et voulant tenter leur chance... Le nombre de candidats sera bien inférieur à celui de cette année puisque les "prio-arrivants" ne seront qu'en M1...
Suis-je la seule à trouver ça étrange ?
3) Là, ça n'a rien à voir avec le concours, ou presque.... J'ai appris que cette année dans mon académie, il n'y avait que trois postes réservés aux PLC2 LM et 9 pour les LC... c'est moi, ou c'est vraiment, vraiment peu ?
Que de questions...
Mamz'elle
RuthvenGuide spirituel
1) Oui. N'importe quel master suffit.
2) A priori oui, mais le phénomène sera plus massif pour l'agrég que pour le CAPES (l'an prochain, c'est l'année ou jamais pour passer l'agrég.).
3) Ils peuvent vouloir aussi les placer sur des BMP (heures provisoires pour un an sur lesquelles les TZR sont affectés).
2) A priori oui, mais le phénomène sera plus massif pour l'agrég que pour le CAPES (l'an prochain, c'est l'année ou jamais pour passer l'agrég.).
3) Ils peuvent vouloir aussi les placer sur des BMP (heures provisoires pour un an sur lesquelles les TZR sont affectés).
- Mamz'elleNiveau 7
Il est vrai que je n'avais pas pensé à l'agrégation... C'est peut-être le bon plan !
barègesÉrudit
Des étudiants en M1 d'histoire écrivent au président de jury du CAPES, aux politiques et à la presse:
la lettre ouverte
Il faut bien avouer que les situations décrites sont ahurissantes.
la lettre ouverte
Il faut bien avouer que les situations décrites sont ahurissantes.
- InvitéInvité
La conséquence la plus grave est la perte pure et simple de mon année universitaire : je me prépare à soutenir un mémoire de M1, et, ne pouvant pas m’orienter vers les éventuelles formations de préparation aux concours de l’enseignement mises en place en M2, je me vois forcé de suivre à nouveau un M1, dont le second semestre prépare aux concours sus-cités.
Forcément.
Comment diviser encore plus les cursus universitaires...
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