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Blondie
Blondie
Habitué du forum

bal le ravissement de Lol V. Stein Empty bal le ravissement de Lol V. Stein

par Blondie Sam 6 Mar 2010 - 11:48
Je vais étudier la scène de bal en texte complémentaire. J'ai préparé l'analyse. Il y a juste un passage du texte que je ne comprends pas bien dans la description de Anne-Mari Stretter: "Une audace pénétrée d'elle-même, semblait-il , seule, la faisait tenir debout. Mais comme celle-ci était gracieuse, de la même façon qu'elle. Leur marche de prairie à toutes les deux les menait de pair où qu'elles aillent." je ne comprend bien les deux dernières phrases. S'agit-il d'Anne -Marie et sa fille? Que signifie" marche de prairie"?
Merci pour vos lumières.


Dernière édition par Blondie le Sam 6 Mar 2010 - 22:46, édité 1 fois
nuages
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Grand sage

bal le ravissement de Lol V. Stein Empty Re: bal le ravissement de Lol V. Stein

par nuages Sam 6 Mar 2010 - 22:42
Pleine de bonne volonté j'ai relu le passage dans le roman en question pour vérifier la phrase . Il faut lire" ...comme celle-ci était gracieuse, de la même façon qu'elle. Leur marche de prairie à toutes les deux les menaient de pair où qu'elles aillent" mais malgré mes efforts intellectuels je suis désolée, je ne comprends rien à cette "marche de prairie" ! bal le ravissement de Lol V. Stein 52353 Si mes souvenirs lointains sont exacts , les deux femmes en présence sont Lol V Stein et Anne-Marie Stretter dans le récit fait par Tatiana Karl, qui observait le bal. L'apparition d'AMS se confond avec celle de la Mort (elle semble décharnée, elle est vêtue de noir )
henriette
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Médiateur

bal le ravissement de Lol V. Stein Empty Re: bal le ravissement de Lol V. Stein

par henriette Dim 7 Mar 2010 - 2:00
Les deux femmes sont en effet Anne-Marie Stretter et sa fille, présentée très semblable dès le début de la scène :

La femme la plus âgée s’était attardée un instant à regarder l’assistance pis elle s’était retournée en souriant vers la jeune fille qui l’accompagnait. Sans aucun doute possible celle-ci était sa fille. Elles étaient grandes toutes les deux, bâties de même manière. Mais si la jeune fille s’accommodait gauchement encore de cette taille haute, de cette charpente un peu dure, sa mère, elle, portait ces inconvénients comme les emblèmes d’une obscure négation de la nature. Son élégance et dans le repos, et dans le mouvement, raconte Tatiana, inquiétait.
Quant à la "marche de prairie", je la comprends en lien avec

cette grâce abandonnée, ployante,
décrite un peu plus haut.
Cette image m'évoque une prairie de hautes herbes ondulants parallèlement dans le vent. Mais ce n'est que mon impression.
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