Page 2 sur 2 • 1, 2
- KamolNiveau 9
J'en ai parlé avec mes collègues qui avaient l'air de dire que le problème n'était pas tant que ce n'était pas des contes mais que ce n'était pas "philosophique"...
Je pensais que ça pouvait coller comme lecture cursive ans une séquence sur l'apologue, peut-être en posant la question " En quoi ces romans de science-fiction sont-ils des contre-utopie?" ?
Je pensais que ça pouvait coller comme lecture cursive ans une séquence sur l'apologue, peut-être en posant la question " En quoi ces romans de science-fiction sont-ils des contre-utopie?" ?
- doctor whoDoyen
Ils ont "philosophiques", ces romans de SF ! Et la philosophie, ne serait-elle pas un peu "science-fictive", parfois ?
_________________
Mon blog sur Tintin (entre autres) : http://popanalyse.over-blog.com/
Blog pédagogique : http://pedagoj.eklablog.com
- KamolNiveau 9
Oui, il me semble aussi... Je pense qu'elles voulaient dire qu'ils ne s'appuient pas sur une philosophie clairement identifiée (comme celle de Leibniz dans Candide) mais en même temps, est-ce le cas de tous les contes du philosophiques du XVIII?
Donc à ton avis, Doctor Who, est-il pertinent de leur faire lire Huxley, Orwell et Bradbury en LC pour la séquence sur Les Lumières + l'argumentation directe et indirecte, peut-être en leur demandant justement dans quelle mesure on peut parler de contes philosophiques (qu'est-ce qui en relève et qu'est-ce qui n'en relève pas?)?
Donc à ton avis, Doctor Who, est-il pertinent de leur faire lire Huxley, Orwell et Bradbury en LC pour la séquence sur Les Lumières + l'argumentation directe et indirecte, peut-être en leur demandant justement dans quelle mesure on peut parler de contes philosophiques (qu'est-ce qui en relève et qu'est-ce qui n'en relève pas?)?
- miss sophieExpert spécialisé
Kamol a écrit:J'en ai parlé avec mes collègues qui avaient l'air de dire que le problème n'était pas tant que ce n'était pas des contes mais que ce n'était pas "philosophique"...
Je pensais que ça pouvait coller comme lecture cursive ans une séquence sur l'apologue, peut-être en posant la question " En quoi ces romans de science-fiction sont-ils des contre-utopie?" ?
Alors là par contre, je ne suis pas d'accord avec tes collègues. La science-fiction et les contes philosophiques sont deux choses différentes, mais la dimension "philosophique" ou du moins réflexive de la science-fiction (de qualité, s'entend) me paraît assez évidente. Ton choix d'en donner en lecture cursive dans ta séquence sur l'apologue me paraît donc tout à fait recevable.
- doctor whoDoyen
Kamol a écrit:Oui, il me semble aussi... Je pense qu'elles voulaient dire qu'ils ne s'appuient pas sur une philosophie clairement identifiée (comme celle de Leibniz dans Candide) mais en même temps, est-ce le cas de tous les contes du philosophiques du XVIII?
Donc à ton avis, Doctor Who, est-il pertinent de leur faire lire Huxley, Orwell et Bradbury en LC pour la séquence sur Les Lumières + l'argumentation directe et indirecte, peut-être en leur demandant justement dans quelle mesure on peut parler de contes philosophiques (qu'est-ce qui en relève et qu'est-ce qui n'en relève pas?)?
Aucun problème. Ce ne sont pas des contes "philosophiques", mais les héritiers directs de ce genre du XVIIIème. C'est comme si tu faisais un cours sur un tragique grec et faisant lire Sénèque.
_________________
Mon blog sur Tintin (entre autres) : http://popanalyse.over-blog.com/
Blog pédagogique : http://pedagoj.eklablog.com
- ysabelDevin
Kamol a écrit:Oui, il me semble aussi... Je pense qu'elles voulaient dire qu'ils ne s'appuient pas sur une philosophie clairement identifiée (comme celle de Leibniz dans Candide) mais en même temps, est-ce le cas de tous les contes du philosophiques du XVIII?
Donc à ton avis, Doctor Who, est-il pertinent de leur faire lire Huxley, Orwell et Bradbury en LC pour la séquence sur Les Lumières + l'argumentation directe et indirecte, peut-être en leur demandant justement dans quelle mesure on peut parler de contes philosophiques (qu'est-ce qui en relève et qu'est-ce qui n'en relève pas?)?
Je le fais ! Et je ne vois pas pourquoi on ne le ferait pas. Peu importe qu'il s'agisse de contes philosophiques ou pas
_________________
« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- KamolNiveau 9
Mais est-ce que ça te paraît intéressant de les amener à s'interroger sur ce qui fait justement que dans une certaine mesure ç'en sont (et Dalila, hahaha) et que dans une autre, ce n'en sont pas?
- AnacycliqueÉrudit
A Tuin a écrit:Nellen a écrit:Personne n'a tenté La Princesse de Babylone ?
Pas d'avis éclairé ?
Je t'ai écrit un MP !
Vu et envoyé
Page 2 sur 2 • 1, 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum