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Bonjour à toutes et à tous !
Si j’ai plus ou moins bien compris cette phrase «toute conscience positionnelle d’objet est en même temps conscience non positionnelle d’elle-même ». Pourriez -vous me dire si mon interprétation est correcte ?
Voici celle-ci : la conscience qui pose, vise son objet( une personne regardant une autre personne) est en même temps conscience qui ne poser pas elle-même. Cela veut dire que la conscience ne peut pas à la fois fixer un objet et fixer elle-même en tant que fixant cet objet. C’est comme si elle lisait un journal en apprenant sur son propre activité et se disait : Oh moi, je vois cette personne ou je suis en train de compter. Dans ce cas-là, la conscience positionnelle serait incapable d’exercier son acivité, elle porterait un jugement en quelque sorte sur son activité sans pouvoir continuer à la faire.
Pourriez-vous m’expliquer s’il vous plaît le sens de cette phrase : « ainsi n’y a-t-il aucune espèce de primat de la réflexion sur la conscience réfléchie -ce n’est pas celle-là qui révèle celle-ci à elle-même. Tout au contraire, c’est la conscience non réflexive qui rend la la réflexion possible -il y a un cogito préréflexive qui est la condition du cogito cartésien »
Est-ce que la conscience réfléchie est la même chose que la conscience non réflexive et un cogito préréflexive ?
Si j’ai plus ou moins bien compris cette phrase «toute conscience positionnelle d’objet est en même temps conscience non positionnelle d’elle-même ». Pourriez -vous me dire si mon interprétation est correcte ?
Voici celle-ci : la conscience qui pose, vise son objet( une personne regardant une autre personne) est en même temps conscience qui ne poser pas elle-même. Cela veut dire que la conscience ne peut pas à la fois fixer un objet et fixer elle-même en tant que fixant cet objet. C’est comme si elle lisait un journal en apprenant sur son propre activité et se disait : Oh moi, je vois cette personne ou je suis en train de compter. Dans ce cas-là, la conscience positionnelle serait incapable d’exercier son acivité, elle porterait un jugement en quelque sorte sur son activité sans pouvoir continuer à la faire.
Pourriez-vous m’expliquer s’il vous plaît le sens de cette phrase : « ainsi n’y a-t-il aucune espèce de primat de la réflexion sur la conscience réfléchie -ce n’est pas celle-là qui révèle celle-ci à elle-même. Tout au contraire, c’est la conscience non réflexive qui rend la la réflexion possible -il y a un cogito préréflexive qui est la condition du cogito cartésien »
Est-ce que la conscience réfléchie est la même chose que la conscience non réflexive et un cogito préréflexive ?
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