- FrisouilleEnchanteur
Nestya a écrit: Eric...disons juste que je trouvais que l'acteur qui jouait son rôle ne correspondait pas à l'idée que je m'en faisais. Quelle hérésie d'ailleurs de lui avoir coupé les cheveux! Dans les livres, sa crinière blonde fait tout son charme. Mais bon, finalement, je m'y suis faite, l'acteur y est probablement pour quelque chose. Pour le plaisir:
En plus dénudé :
J'aime bien ...
J'suis étonnée que Philip ne soit pas encore passé ici déposer un p'tit commentaire...
- InvitéInvité
Frisouille a écrit:
J'aime bien ...
J'suis étonnée que Philip ne soit pas encore passé ici déposer un p'tit commentaire...
Mais quelle réputation tu me fais !!!
En fait cC'est parce que je n'avais pas vu ce sujet...
- FrisouilleEnchanteur
C'est pas possible, t'as une puce pour savoir quand on parle de toi !?
Comment t'as fait ça?
- FrisouilleEnchanteur
philip a écrit:
En fait cC'est parce que je n'avais pas vu ce sujet...
Ah ! Il me semblait bien !!
- InvitéInvité
Sinon pour être dans le thème, je suis en train de lire "est-ce ainsi que les femmes meurent" de didier Decoin :
Dire que c'est une histoire vraie, c'est horrible.
Dire que c'est une histoire vraie, c'est horrible.
- InvitéInvité
Frisouille a écrit:
C'est pas possible, t'as une puce pour savoir quand on parle de toi !?
Comment t'as fait ça?
le plus grand des hasards...
- InvitéInvité
Passerose a écrit:Lu rapidement pendant le brevet :
J'aime déjà l'auteur, Olivier Adam, qui écrit dans un style bref, incisif, parfois un peu trop concret (l'héroïne est caissière et il cite les marques qu'elle voit défiler à la caisse, par exemple). Les lieux sont joliment évoqués, et restent les mêmes que dans ses autres romans : villes normandes hors saison, à demi-mortes, mais la mer est vivifiante, le ciel a des nuances de nuages infinies....
L'histoire n'est pas très gaie. L'héroïne, Claire, ne peut s'habituer au départ de son frère, dont elle était si proche et à qui elle s'en remettait totalement quant à la poursuite de sa vie. Loïc s'est fâché avec leur père, elle ne saura pas pourquoi ; les non-dits, l'incapacité à dire l'amour plombe la vie des parents et des enfants.
Pourtant, l'impression d'ensemble n'est pas la tristesse, mais plutôt une douce nostalgie...
j'avais beaucoup aimé le film
- NellGuide spirituel
philip a écrit:Passerose a écrit:Lu rapidement pendant le brevet :
J'aime déjà l'auteur, Olivier Adam, qui écrit dans un style bref, incisif, parfois un peu trop concret (l'héroïne est caissière et il cite les marques qu'elle voit défiler à la caisse, par exemple). Les lieux sont joliment évoqués, et restent les mêmes que dans ses autres romans : villes normandes hors saison, à demi-mortes, mais la mer est vivifiante, le ciel a des nuances de nuages infinies....
L'histoire n'est pas très gaie. L'héroïne, Claire, ne peut s'habituer au départ de son frère, dont elle était si proche et à qui elle s'en remettait totalement quant à la poursuite de sa vie. Loïc s'est fâché avec leur père, elle ne saura pas pourquoi ; les non-dits, l'incapacité à dire l'amour plombe la vie des parents et des enfants.
Pourtant, l'impression d'ensemble n'est pas la tristesse, mais plutôt une douce nostalgie...
j'avais beaucoup aimé le film
+1, très poignant. Si j'avais su qu'il y avait un livre à la base (ça remonte), je l'aurais lu avant.
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Impose ta chance, sers ton bonheur et va vers ton risque. A te regarder, ils s'habitueront. (R. Char)
- NestyaEsprit sacré
Frisouille a écrit:Nestya a écrit: Eric...disons juste que je trouvais que l'acteur qui jouait son rôle ne correspondait pas à l'idée que je m'en faisais. Quelle hérésie d'ailleurs de lui avoir coupé les cheveux! Dans les livres, sa crinière blonde fait tout son charme. Mais bon, finalement, je m'y suis faite, l'acteur y est probablement pour quelque chose. Pour le plaisir:
En plus dénudé :
J'aime bien ...
J'suis étonnée que Philip ne soit pas encore passé ici déposer un p'tit commentaire...
Le livre ou l'acteur à moitié nu?
_________________
"Attendre et espérer."
Alexandre Dumas
- FrisouilleEnchanteur
Pas lu, et suivi les deux 1ères saisons avec un immmmmmmense intérêt pour Alexander Skarsgard...
- PasseroseNeoprof expérimenté
doctor who a écrit:Passerose a écrit:Je lis les Mythes grecs de Robert Graves en livre sérieux.
Ca vaut le coup ? C'est exhaustif et précis, non ?
C'est spécial : les mythes sont évoqués de manière détaillée, mais j'ai plus de mal avec les commentaires :
- D'une part, ils ne sont pas toujours lié au mythe qui vient d'être raconté.
- D'autre part, ils sont assez "hallucinés"... L'auteur évoque la consommation par les adorateurs de Dionysos de champignons hallucinogènes, fait le parallèle avec les Indiens pré-colombiens, avant de dire qu'il a déjà pris d'un de ces champignons chez des Indiens.
- Il faut certainement des connaissances anthropologiques plus que je n'en ai. Il est très féru des théories sur la Déesse-Mère, compare les différents mythes mésopotamiens, africains... A vrai dire, je m'y perds pour l'instant.
- PasseroseNeoprof expérimenté
Nell a écrit:philip a écrit:Passerose a écrit:Lu rapidement pendant le brevet :
J'aime déjà l'auteur, Olivier Adam, qui écrit dans un style bref, incisif, parfois un peu trop concret (l'héroïne est caissière et il cite les marques qu'elle voit défiler à la caisse, par exemple). Les lieux sont joliment évoqués, et restent les mêmes que dans ses autres romans : villes normandes hors saison, à demi-mortes, mais la mer est vivifiante, le ciel a des nuances de nuages infinies....
L'histoire n'est pas très gaie. L'héroïne, Claire, ne peut s'habituer au départ de son frère, dont elle était si proche et à qui elle s'en remettait totalement quant à la poursuite de sa vie. Loïc s'est fâché avec leur père, elle ne saura pas pourquoi ; les non-dits, l'incapacité à dire l'amour plombe la vie des parents et des enfants.
Pourtant, l'impression d'ensemble n'est pas la tristesse, mais plutôt une douce nostalgie...
j'avais beaucoup aimé le film
+1, très poignant. Si j'avais su qu'il y avait un livre à la base (ça remonte), je l'aurais lu avant.
Le film, je pourrai le voir maintenant. L'actrice est celle de Inglorious basterds, Mélanie Laurent. Je me demande si les paysages sont rendus aussi bien que dans le livre. De même que la bête petite vie quotidienne des gens, ce qui est daté, les habitudes qu'on a eues.
Nell, je rate en général les livres au moment de leur sortie, je ne me rattrape que très longtemps après. Mais comme j'ai bonne mémoire, je vis avec une liste de livres à lire dont je n'ouvrirai les premiers que trois ans plus tard.
- InvitéInvité
En train de lire "Quand souffle le vent du Nord", poussée par des critiques de presse élogieuses. C'est vrai que c'est agréable à lire, l'histoire d'amour naissante est souvent touchante et drôle , mais cela reste une lecture "estivale"...
En tout cas la forme épistolaire par mail est originale !
Je vous en dirai plus quand j'aurai lu la fin...
[img][/img]
En tout cas la forme épistolaire par mail est originale !
Je vous en dirai plus quand j'aurai lu la fin...
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- CarabasVénérable
Ce qui m'a étonnée, c'est de voir qu'un texte de cet auteur a fait l'objet du commentaire littéraire en Polynésie en S/ES.Passerose a écrit:Lu rapidement pendant le brevet :
J'aime déjà l'auteur, Olivier Adam, qui écrit dans un style bref, incisif, parfois un peu trop concret (l'héroïne est caissière et il cite les marques qu'elle voit défiler à la caisse, par exemple). Les lieux sont joliment évoqués, et restent les mêmes que dans ses autres romans : villes normandes hors saison, à demi-mortes, mais la mer est vivifiante, le ciel a des nuances de nuages infinies....
L'histoire n'est pas très gaie. L'héroïne, Claire, ne peut s'habituer au départ de son frère, dont elle était si proche et à qui elle s'en remettait totalement quant à la poursuite de sa vie. Loïc s'est fâché avec leur père, elle ne saura pas pourquoi ; les non-dits, l'incapacité à dire l'amour plombe la vie des parents et des enfants.
Pourtant, l'impression d'ensemble n'est pas la tristesse, mais plutôt une douce nostalgie...
http://www.site-magister.com/sujets22.htm#SPol
Je ne juge pas de la qualité de son écriture (j'avoue n'avoir rien lu d'O. Adam) mais n'est-ce pas un peu tôt pour qu'un extrait soit l'objet d'un commentaire?
_________________
Les chances uniques sur un million se réalisent neuf fois sur dix.
Terry Pratchett
- lamelimeloÉrudit
Voilà le livre que j'ai avalé en 2 soirées à peine.....
Une île sauvage du Sud de l’Alaska, accessible uniquement par bateau ou par hydravion, tout en forêts humides et montagnes escarpées. C’est dans ce décor que Jim décide d’emmener son fils de treize ans pour y vivre dans une cabane isolée, une année durant. Après une succession d’échecs personnels, il voit là l’occasion de prendre un nouveau départ et de renouer avec ce garçon qu’il connaît si mal. La rigueur de cette vie et les défaillances du père ne tardent pas à transformer ce séjour en cauchemar, et la situation devient vite incontrôlable. Jusqu’au drame violent et imprévisible qui scellera leur destin.
Voilà. Tout est dit. C'est un peu La route de Mc Carthy mélangé à Into the wild...... Texte très bien écrit mais qui n'est pas d'une gaieté folle!!!! J'ai beaucoup aimé la 1ère partie,un peu moins la seconde. Je recommande ce livre à ceux et celles qui n'ont pas le moral en berne et qui aiment les grands espaces.....
Une île sauvage du Sud de l’Alaska, accessible uniquement par bateau ou par hydravion, tout en forêts humides et montagnes escarpées. C’est dans ce décor que Jim décide d’emmener son fils de treize ans pour y vivre dans une cabane isolée, une année durant. Après une succession d’échecs personnels, il voit là l’occasion de prendre un nouveau départ et de renouer avec ce garçon qu’il connaît si mal. La rigueur de cette vie et les défaillances du père ne tardent pas à transformer ce séjour en cauchemar, et la situation devient vite incontrôlable. Jusqu’au drame violent et imprévisible qui scellera leur destin.
Sukkwan Island est une histoire au suspense insoutenable. Avec ce roman qui nous entraîne au cœur des ténèbres de l’âme humaine, David Vann s’installe d’emblée parmi les jeunes auteurs américains de tout premier plan.
Voilà. Tout est dit. C'est un peu La route de Mc Carthy mélangé à Into the wild...... Texte très bien écrit mais qui n'est pas d'une gaieté folle!!!! J'ai beaucoup aimé la 1ère partie,un peu moins la seconde. Je recommande ce livre à ceux et celles qui n'ont pas le moral en berne et qui aiment les grands espaces.....
- AëmielExpert
Nestya a écrit:Frisouille a écrit:Nestya a écrit: Eric...disons juste que je trouvais que l'acteur qui jouait son rôle ne correspondait pas à l'idée que je m'en faisais. Quelle hérésie d'ailleurs de lui avoir coupé les cheveux! Dans les livres, sa crinière blonde fait tout son charme. Mais bon, finalement, je m'y suis faite, l'acteur y est probablement pour quelque chose. Pour le plaisir:
En plus dénudé :
J'aime bien ...
J'suis étonnée que Philip ne soit pas encore passé ici déposer un p'tit commentaire...
Le livre ou l'acteur à moitié nu?
J'ai tenté la série en streaming, mais Sookie m'a vraiment agacée, j'ai donc laissé tomber. Mais les photos sont tout de même... appétissantes, même si je n'imaginais pas du tout Eric comme ça.
Je lis en ce moment les naufragés de l'île Tromelin, d'Irène Frain, et je n'arrive pas du tout à rentrer dedans.
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Auteur
- adlidiHabitué du forum
philip a écrit:Sinon pour être dans le thème, je suis en train de lire "est-ce ainsi que les femmes meurent" de didier Decoin :
Dire que c'est une histoire vraie, c'est horrible.
Merci. J'avais entendu une chronique au sujet de ce livre et je ne retrouvais pas le titre!!
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"La vie c'est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber."
- adlidiHabitué du forum
philip a écrit:Passerose a écrit:Lu rapidement pendant le brevet :
J'aime déjà l'auteur, Olivier Adam, qui écrit dans un style bref, incisif, parfois un peu trop concret (l'héroïne est caissière et il cite les marques qu'elle voit défiler à la caisse, par exemple). Les lieux sont joliment évoqués, et restent les mêmes que dans ses autres romans : villes normandes hors saison, à demi-mortes, mais la mer est vivifiante, le ciel a des nuances de nuages infinies....
L'histoire n'est pas très gaie. L'héroïne, Claire, ne peut s'habituer au départ de son frère, dont elle était si proche et à qui elle s'en remettait totalement quant à la poursuite de sa vie. Loïc s'est fâché avec leur père, elle ne saura pas pourquoi ; les non-dits, l'incapacité à dire l'amour plombe la vie des parents et des enfants.
Pourtant, l'impression d'ensemble n'est pas la tristesse, mais plutôt une douce nostalgie...
j'avais beaucoup aimé le film
Je n'ai pas vu le film mais ce livre m'a vraiment marqué!!
Dans un autre genre je crois que je vais me laisser tenter par le 1er tome de True Blood...
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"La vie c'est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber."
- lulucastagnetteEmpereur
Je viens de finir Hiver arctique d'Arnaldur Indridason, c'est la 4è histoire du commissaire Erlendur que je lis.
Le livre m'a été offert par une collègue, et comme d'habitude, j'ai beaucoup aimé.
La seule chose qui m'énerve, c'est que, comme je les ai lus dans le désordre, tous les éléments d'ordre privé (sur Eva Lind, sa fille ; sur Sigurdur Oli, son collègue ; sur la mort de son petit frère Bergur) m'arrivent n'importe comment.
Le livre m'a été offert par une collègue, et comme d'habitude, j'ai beaucoup aimé.
La seule chose qui m'énerve, c'est que, comme je les ai lus dans le désordre, tous les éléments d'ordre privé (sur Eva Lind, sa fille ; sur Sigurdur Oli, son collègue ; sur la mort de son petit frère Bergur) m'arrivent n'importe comment.
- zabriskieÉrudit
Relu ça hier :
Comme la première fois, ce petit roman à cinq voix qui entrecroise les monologues intérieurs m'a soufflée.
Extrait :
"Et c’est tant mieux qu’elles existent, ces réponses, ces
conversations avec lesquelles, comme avec le vin, on peut tranquillement
s’éloigner des autres et ne jamais les abandonner (…) tous ces mots pour ne rien dire qui me laissent seul devant eux, mes parents, quand je les vois comme des enfants, heureux et
stupéfaits devant une image de perfection où rien ne se joue que la soumission
au monde comme il est (…)"
Comme la première fois, ce petit roman à cinq voix qui entrecroise les monologues intérieurs m'a soufflée.
Extrait :
"Et c’est tant mieux qu’elles existent, ces réponses, ces
conversations avec lesquelles, comme avec le vin, on peut tranquillement
s’éloigner des autres et ne jamais les abandonner (…) tous ces mots pour ne rien dire qui me laissent seul devant eux, mes parents, quand je les vois comme des enfants, heureux et
stupéfaits devant une image de perfection où rien ne se joue que la soumission
au monde comme il est (…)"
- marininhaHabitué du forum
Lu le recueil de nouvelles L'Antarctique de Claire Keegan, et c'est très poignant, elle a un style superbe, on est facilement emporté dans chacune des histoires. Je recommande.
Lu aussi la pentalogie de Shimazaki (Le Poids des secrets), un régal !
Lu aussi la pentalogie de Shimazaki (Le Poids des secrets), un régal !
- lulucastagnetteEmpereur
Lu Le Rapport de Brodeck de Philippe Claudel.
"Je m'appelle Brodeck et je n'y suis pour rien. Je tiens à le dire. Il faut que tout le monde le sache. Moi je n'ai rien fait, et lorsque j'ai su ce qui venait de se passer, j'aurais aimé ne jamais en parler, ligoter ma mémoire, la tenir bien serrée dans ses liens de façon à ce qu'elle demeure tranquille comme une fouine dans une nasse de fer.
Mais les autres m'ont forcé : "toi, tu sais écrire, m'ont-ils dit, tu as fait des études". J'ai répondu que c'étaient de toutes petites études, des études même pas terminées d'ailleurs, et qui ne m'ont pas laissé un grand souvenir. Ils n'ont rien voulu savoir : "tu sais écrire, tu sais les mots, et comment on les utilise, et comment aussi ils peuvent dire les choses. Ca suffira. Nous on ne sait pas faire cela. On s'embrouillerait, mais toi, tu diras, et alors ils te croiront."
J'ai mis quelques chapitres à me laisser emporter et au final j'ai été séduite par le style et la narration particulière, cette histoire qu'on recompose au fur et à mesure.
Ce roman a obtenu le Prix Goncourt des Lycéens en 2007.
"Je m'appelle Brodeck et je n'y suis pour rien. Je tiens à le dire. Il faut que tout le monde le sache. Moi je n'ai rien fait, et lorsque j'ai su ce qui venait de se passer, j'aurais aimé ne jamais en parler, ligoter ma mémoire, la tenir bien serrée dans ses liens de façon à ce qu'elle demeure tranquille comme une fouine dans une nasse de fer.
Mais les autres m'ont forcé : "toi, tu sais écrire, m'ont-ils dit, tu as fait des études". J'ai répondu que c'étaient de toutes petites études, des études même pas terminées d'ailleurs, et qui ne m'ont pas laissé un grand souvenir. Ils n'ont rien voulu savoir : "tu sais écrire, tu sais les mots, et comment on les utilise, et comment aussi ils peuvent dire les choses. Ca suffira. Nous on ne sait pas faire cela. On s'embrouillerait, mais toi, tu diras, et alors ils te croiront."
J'ai mis quelques chapitres à me laisser emporter et au final j'ai été séduite par le style et la narration particulière, cette histoire qu'on recompose au fur et à mesure.
Ce roman a obtenu le Prix Goncourt des Lycéens en 2007.
- lamelimeloÉrudit
J'avais été bouleversée par Le rapport de Brodeck, par son style.....Je suis restée quelques jours sans pouvoir attaquer une autre lecture tellement j'étais habitée par ce roman !pffffffffff!
- lulucastagnetteEmpereur
Lu Et si on dansait ? d'Erik Orsenna qui continue sa défense de la grammaire à travers les aventures de Jeanne en s'attaquant cette fois-ci au problème de la ponctuation...
Je n'avais pas totalement adhéré à La grammaire est une chanson douce et j'ai emprunté ce livre par erreur (j'avais trouvé la couverture très belle). J'ai bien aimé les illustrations mais au final, je trouve ça vraiment trop gnan gnan...
Je n'avais pas totalement adhéré à La grammaire est une chanson douce et j'ai emprunté ce livre par erreur (j'avais trouvé la couverture très belle). J'ai bien aimé les illustrations mais au final, je trouve ça vraiment trop gnan gnan...
- zabriskieÉrudit
Je viens de finir ça :
C'est difficile d'en parler, parce que c'est, comme dans le précédent que j'ai lu de Mauvignier - et dans tous ses romans je crois - un entrecroisement de monologues intérieurs. Du coup, on n'a pas l'impression d'avoir à faire à un récit.
En tous cas, c'est une lecture que je recommande à ceux qui ne l'ont pas encore ouvert... le genre de bouquins qui empêche un peu d'enchaîner sur une autre lecture.
L. Mauvignier y raconte de l'intérieur le traumatisme de la guerre l'Algérie, en particulier le contraste entre les séquelles qu'elle a pu laisser chez les hommes partis au combat et la représentation que la population française avait de cette guerre ("c'est pas Verdun"). On pense beaucoup à nos guerres modernes en lisant ça, ces guerres où les soldats ont l'impression de ne pas avoir d'ennemis, ce qui n'empêche pas qu'ils soient confrontés à des horreurs... On sent combien le manque de sens donné au combat ajoute au traumatisme.
C'est difficile d'en parler, parce que c'est, comme dans le précédent que j'ai lu de Mauvignier - et dans tous ses romans je crois - un entrecroisement de monologues intérieurs. Du coup, on n'a pas l'impression d'avoir à faire à un récit.
En tous cas, c'est une lecture que je recommande à ceux qui ne l'ont pas encore ouvert... le genre de bouquins qui empêche un peu d'enchaîner sur une autre lecture.
L. Mauvignier y raconte de l'intérieur le traumatisme de la guerre l'Algérie, en particulier le contraste entre les séquelles qu'elle a pu laisser chez les hommes partis au combat et la représentation que la population française avait de cette guerre ("c'est pas Verdun"). On pense beaucoup à nos guerres modernes en lisant ça, ces guerres où les soldats ont l'impression de ne pas avoir d'ennemis, ce qui n'empêche pas qu'ils soient confrontés à des horreurs... On sent combien le manque de sens donné au combat ajoute au traumatisme.
- lulucastagnetteEmpereur
Lu Chaleur du sang d'Irène Nemirovsky.
Dans un hameau du centre de la France, au début des années 1930, un vieil homme se souvient. Après avoir beaucoup voyagé dans sa jeunesse, Silvio se tient à l'écart, observant la comédie humaine des campagnes, le cours tranquille des vies paysannes brusquement secoué par la mort et les passions amoureuses.
J'ai beaucoup aimé cette lecture, cette réflexion du narrateur vieillissant sur les passions de la jeunesse.
J'en profite pour conseiller à ceux qui n'ont pas lu Suite française du même auteur de se jeter sur le livre ! Il est extra !
Dans un hameau du centre de la France, au début des années 1930, un vieil homme se souvient. Après avoir beaucoup voyagé dans sa jeunesse, Silvio se tient à l'écart, observant la comédie humaine des campagnes, le cours tranquille des vies paysannes brusquement secoué par la mort et les passions amoureuses.
J'ai beaucoup aimé cette lecture, cette réflexion du narrateur vieillissant sur les passions de la jeunesse.
J'en profite pour conseiller à ceux qui n'ont pas lu Suite française du même auteur de se jeter sur le livre ! Il est extra !
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