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- ClarianzEmpereur
J'arrive un peu tard, mais je te trouve vraiment courageuse et tellement exigente avec toi même! Tout mon soutien et des bisous passerose!!
- InvitéeHrÉrudit
Passerose, ton témoignage m'a fait tilt car je me souviens avoir lu récemment dans la presse une polémique sur le Zypreca et là je viens de trouver un lien.
http://pharmacritique.20minutes-blogs.fr/archive/2008/07/23/debut-du-proces-zyprexa-le-juge-denonce-la-faillite-des-auto.html
http://pharmacritique.20minutes-blogs.fr/archive/2008/07/23/debut-du-proces-zyprexa-le-juge-denonce-la-faillite-des-auto.html
- mel93Grand sage
Passerose, je suis de tout coeur avec toi. Doublecasquette me semble être la voix de la sagesse incarnée...Je plussoie à tout ce qu'elle a écrit plus tôt : parles-en à ton psychiatre, qui est un spécialiste et qui saura adapter ton traitement. N'hésite pas à t'arrêter si tu en ressens le besoin, vu ta situation, ce n'est pas volé !
- HopeHabitué du forum
Passerose : un des premiers risques de ce traitement est l'envie de l'arrêter, souvent parce qu'on se sent coupable de prendre ce médicament. J'ai connu ça dans ma famille. Tiens bon. Tu n'as absolument rien à te reprocher : si tu étais diabétique, tu prendrais ton insuline, point final.
Tu as un déséquilibre de neurotransmetteurs, ton traitement te permet de remettre les choses à plat et d'être toi-même. Comme tous les traitements de maladies chroniques, il met du temps à être parfaitement ajusté à toi. Prends ce temps-là. Essaie d'aller en cours quand même (à moins que tu ne sentes que tu ne PEUX pas, auquel cas va voir ton généraliste, qui t'arrêtera - et ce n'est ni grave ni définitif). Essaie d'affronter la vie quotidienne, c'est plus facile ensuite, quand le traitement se met à agir.
Ca prend du temps. C'est très dur de prendre ce temps quand on ne va pas bien, mais dis-toi juste que ça va aller, à un moment ou un autre. Aie confiance. On a beaucoup évolué dans le traitement des maladies "psychiques", on sait que ce n'est pas un problème psychologique, pas un défaut, juste quelque chose de physique auquel il faut remédier. Parle - ça aide ! Va voir un médecin au moindre doute. Et surtout, rassure-toi.
Suis dispo en mp quand tu veux.
PS : les effets secondaires ne commencent à s'estomper que lorsque le traitement se met à agir, ce qui prend longtemps. Au minimum 3-4 semaines, souvent 3 mois. Sinon, on change de molécule.
Tu as un déséquilibre de neurotransmetteurs, ton traitement te permet de remettre les choses à plat et d'être toi-même. Comme tous les traitements de maladies chroniques, il met du temps à être parfaitement ajusté à toi. Prends ce temps-là. Essaie d'aller en cours quand même (à moins que tu ne sentes que tu ne PEUX pas, auquel cas va voir ton généraliste, qui t'arrêtera - et ce n'est ni grave ni définitif). Essaie d'affronter la vie quotidienne, c'est plus facile ensuite, quand le traitement se met à agir.
Ca prend du temps. C'est très dur de prendre ce temps quand on ne va pas bien, mais dis-toi juste que ça va aller, à un moment ou un autre. Aie confiance. On a beaucoup évolué dans le traitement des maladies "psychiques", on sait que ce n'est pas un problème psychologique, pas un défaut, juste quelque chose de physique auquel il faut remédier. Parle - ça aide ! Va voir un médecin au moindre doute. Et surtout, rassure-toi.
Suis dispo en mp quand tu veux.
PS : les effets secondaires ne commencent à s'estomper que lorsque le traitement se met à agir, ce qui prend longtemps. Au minimum 3-4 semaines, souvent 3 mois. Sinon, on change de molécule.
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Omnia mutantur nihil interit (Ovide)
- PasseroseNeoprof expérimenté
Hope, j'ai admis le fait que je puisse me soigner grâce à une molécule chimique (bien que l'article de heather fasse réfléchir - mais je n'y ai pas trouvé les effets indésirables dont il était question), mais je me sens triste et déprimée, et je n'ai pas toute ma tête en ce moment. C'est comme si je ne pouvais pas compter sur moi-même. J'oublie plein de choses, j'ai l'impression d'avoir une élocution difficile, ce que je n'avais pas avant, même en étant mal.
Je ne souhaite pas retomber dans le trouble bipolaire, mais je ne me sens pas mieux maintenant !
Je ne souhaite pas retomber dans le trouble bipolaire, mais je ne me sens pas mieux maintenant !
- PasseroseNeoprof expérimenté
Surtout, pour en revenir au sujet de départ, je culpabilise de bosser déprimée parce que je me dis que les élèves le sentent, et j'ai peur qu'ils en profitent. Mais j'ai peur aussi de m'arrêter et de reprendre le boulot après, là où il en était (genre encore Molière au mois de janvier, parce que je me serais arrêtée trois semaines) !
J'ai peur de moi-même, je pense encore au suicide et pourtant, j'ai deux petites filles ! Je ne devrais pas...
J'ai peur de moi-même, je pense encore au suicide et pourtant, j'ai deux petites filles ! Je ne devrais pas...
- papillonbleuEsprit éclairé
Moi, je pense qu'il faudrait que tu t'arrêtes parce que tu as vraiment l'air à bout.
Et puis il devrait tout de même être possible de te trouver un remplaçant !
Et puis il devrait tout de même être possible de te trouver un remplaçant !
- PasseroseNeoprof expérimenté
Tu crois qu'un remplaçant peut faire au pied levé la suite de mes études d'oeuvres ? Et puis, ça met parfois deux semaines pour en trouver un ; je risque de n'être arrêtée que trois semaines, si je le suis. Mais effectivement, je ne suis pas loin du bout, usée jusqu'à la corde.
- MamzelleBoopHabitué du forum
Passerose a écrit:Tu crois qu'un remplaçant peut faire au pied levé la suite de mes études d'oeuvres ?
au pire, tu lu prêtes tes cours, comme ça t'es sûre qu'il fera ce que tu avais prévu!
- LodyNiveau 10
Bonjour Passerose.
Pour commencer, je dois t'avouer que je souffre du même mal que toi... et que j'ai encore beaucoup de mal à l'accepter.
Concernant le traitement, le thymo-régulateur m'aide beaucoup et je n'ai plus ces douloureuses périodes néfastes. Enfin, j'attends de voir, mais je me sens déjà mieux. Et l'anti-psychotique, eh bien, je ne vais pas t'aider et les autres vont peut être m'en vouloir, mais il m'a complètement assomé et au bout de trois jours, je l'ai arrêté. Mon médecin m'a dit qu'on verra s'il y a une nouvelle "crise".
Pour en revenir à tes coups de blues, il arrive parfois qu'on diagnostique des troubles bi-polaires chez quelqu'un qui fait des dépressions à répétitions (c'est arrivé à un de mes amis), et le thymo-régulateur ne l'a pas aidé, au contraire ça l'avait assomé, et les gros coups de blues persistaient. Peut être faut-il aussi revoir ton traitement ? Parles-en à ton psy.
Et pour les cours... J'en sais rien... Il est bon tout de même d'y aller, car ça évite de s'enterrer (ce qui peut mener au pire). Mais, il est vrai que faire face dans ses périodes-là demande une énergie incroyable. N'y a-t-il pas qqn au boulot avec qui tu peux partager ce lourd fardeau ? Qui voit quand ça va pas, et est simplement là ?
Je t'envoie plein de courage !!! (à charge de revanche, hein ?)
Pour commencer, je dois t'avouer que je souffre du même mal que toi... et que j'ai encore beaucoup de mal à l'accepter.
Concernant le traitement, le thymo-régulateur m'aide beaucoup et je n'ai plus ces douloureuses périodes néfastes. Enfin, j'attends de voir, mais je me sens déjà mieux. Et l'anti-psychotique, eh bien, je ne vais pas t'aider et les autres vont peut être m'en vouloir, mais il m'a complètement assomé et au bout de trois jours, je l'ai arrêté. Mon médecin m'a dit qu'on verra s'il y a une nouvelle "crise".
Pour en revenir à tes coups de blues, il arrive parfois qu'on diagnostique des troubles bi-polaires chez quelqu'un qui fait des dépressions à répétitions (c'est arrivé à un de mes amis), et le thymo-régulateur ne l'a pas aidé, au contraire ça l'avait assomé, et les gros coups de blues persistaient. Peut être faut-il aussi revoir ton traitement ? Parles-en à ton psy.
Et pour les cours... J'en sais rien... Il est bon tout de même d'y aller, car ça évite de s'enterrer (ce qui peut mener au pire). Mais, il est vrai que faire face dans ses périodes-là demande une énergie incroyable. N'y a-t-il pas qqn au boulot avec qui tu peux partager ce lourd fardeau ? Qui voit quand ça va pas, et est simplement là ?
Je t'envoie plein de courage !!! (à charge de revanche, hein ?)
- PasseroseNeoprof expérimenté
tite prof a écrit:Passerose a écrit:Tu crois qu'un remplaçant peut faire au pied levé la suite de mes études d'oeuvres ?
au pire, tu lu prêtes tes cours, comme ça t'es sûre qu'il fera ce que tu avais prévu!
Mais il ne sont pas prêts, mes cours... Je navigue à vue en ce moment. Je prends de vieux cours à moi d'il y a longtemps, et je les refais, mais au jour le jour. Je ne peux pas les donner tels quels à un prof. Ca date de l'époque où je faisais des études littéraire en guise de cours. Et pour les 6ème, je travaille sur de nouveaux livres, là aussi, je crée tout au fur et à mesure.
- PasseroseNeoprof expérimenté
Lody a écrit:Bonjour Passerose.
Pour commencer, je dois t'avouer que je souffre du même mal que toi... et que j'ai encore beaucoup de mal à l'accepter.
Concernant le traitement, le thymo-régulateur m'aide beaucoup et je n'ai plus ces douloureuses périodes néfastes. Enfin, j'attends de voir, mais je me sens déjà mieux. Et l'anti-psychotique, eh bien, je ne vais pas t'aider et les autres vont peut être m'en vouloir, mais il m'a complètement assomé et au bout de trois jours, je l'ai arrêté. Mon médecin m'a dit qu'on verra s'il y a une nouvelle "crise".
Pour en revenir à tes coups de blues, il arrive parfois qu'on diagnostique des troubles bi-polaires chez quelqu'un qui fait des dépressions à répétitions (c'est arrivé à un de mes amis), et le thymo-régulateur ne l'a pas aidé, au contraire ça l'avait assomé, et les gros coups de blues persistaient. Peut être faut-il aussi revoir ton traitement ? Parles-en à ton psy.
En fait, avant que je ne passe de moi-même à l'hôpital, le psychiâtre que je voyais parfois pensait à une dépression saisonnière et me prescrivait un anti-dépresseur que je supportais bien. J'ai été deux ans comme ça, et puis cet été j'ai plongé quand j'ai voulu l'arrêter (j'ai pourtant diminué très progressivement les doses). Le thymo-régulateur, apparemment je ne peux pas parce que je suis hypo-thyroïdienne. Mais il est possible aussi que ce soit ma thyroïde qui débloque. Seulement, je n'ai pu avoir de RV avec un endocrino qu'en janvier !
Sinon, je n'ai pas de psy fixe, je vais en voir un nouveau demain.
Et pour les cours... J'en sais rien... Il est bon tout de même d'y aller, car ça évite de s'enterrer (ce qui peut mener au pire). Mais, il est vrai que faire face dans ses périodes-là demande une énergie incroyable. N'y a-t-il pas qqn au boulot avec qui tu peux partager ce lourd fardeau ? Qui voit quand ça va pas, et est simplement là ?
Bien sûr, j'ai des amis au boulot, mais tu sais, quand je suis au plus bas, personne ne peut m'aider. Je peux avoir l'air ici de parler facilement, mais en fait, au boulot je m'écrase. J'en ai parlé à quelques collègues, elles ont de la sollicitude, mais chacun a sa vie aussi. Et quand tu parles de tes difficultés au travail, chacun a plus à coeur de se protéger que d'être sincère.
Je t'envoie plein de courage !!! (à charge de revanche, hein ?)
Merci, et bien sûr, à charge de revanche !
- papillonbleuEsprit éclairé
Peut-être aura-t-il étudié la même oeuvre que toi par le passé. Et puis sinon, il laissera la chose en plan et commencera une nouvelle séquence. Est-ce si grave? Je crois que tu devrais davantage penser à toi. Et qui te dit que tu ne seras arrêtée que 3 semaines?Tu crois qu'un remplaçant peut faire au pied levé la suite de mes études d'oeuvres ?
- LodyNiveau 10
Passerose a écrit:
Bien sûr, j'ai des amis au boulot, mais tu sais, quand je suis au plus bas, personne ne peut m'aider. Je peux avoir l'air ici de parler facilement, mais en fait, au boulot je m'écrase. J'en ai parlé à quelques collègues, elles ont de la sollicitude, mais chacun a sa vie aussi. Et quand tu parles de tes difficultés au travail, chacun a plus à coeur de se protéger que d'être sincère.
C'est vrai... Les années précédentes, je me planquais durant les périodes néfastes et j'affichais un sourire de façade. J'ai l'immense chance de travailler cette année dans le même établissement que mon homme (qui est bien souvent ma bouée de sauvetage !).
J'espère que tu pourras te trouver un médecin fixe, qui te connaîtra et qui pourra t'aider à traverser tout ça... Quand mon psy a appris que j'étais prof, il m'a demandé comment j'avais fait jusqu'à maintenant pour continuer de travailler...
Donc c'est à toi de voir. Tu sais que tu peux, LEGITIMEMENT, t'arrêter quelques jours pour souffler (et tant pis pour les gamins, il ne mourront pas de ne pas te voir pendant trois jours !), si le fait de rester seule chez toi t'aide à aller mieux.
- LodyNiveau 10
myfarenier a écrit:Peut-être aura-t-il étudié la même oeuvre que toi par le passé. Et puis sinon, il laissera la chose en plan et commencera une nouvelle séquence. Est-ce si grave? Je crois que tu devrais davantage penser à toi. Et qui te dit que tu ne seras arrêtée que 3 semaines?Tu crois qu'un remplaçant peut faire au pied levé la suite de mes études d'oeuvres ?
Et en tant qu'ancienne TZR, je peux te dire qu'il y a beaucoup de remplaçant très compétents !!! Alors ne te fais pas de bile pour ça.
- PasseroseNeoprof expérimenté
Je reviens de chez mon généraliste qui m'a dit d'arrêter le Zyprexa, souvent mal toléré (j'ai quand même beaucoup d'effets secondaires classés comme indésirables - je dirais carrément flippants !). Et comme il me connaît bien (il suit toute la famille, mon mari, mes filles et moi), il m'a dit "comme vous êtes avec votre haute idée de la performance, ça a dû être dur pour vous !" Il était tout à fait conscient des difficultés que j'ai eues et n'en était pas surpris. Lui n'était pas d'accord, en fait, avec ce traitement, mais ne me l'avait pas trop dit.
Je vais de toute façon demain chez le psychiatre du CMP, comme prévu. Il existe des thymo-régulateurs plus doux et, mon médecin a vérifié, pas gênants pour la thyroïde. On verra. L'idée de ne plus avoir ces effets me rassure déjà nettement !
Je vais de toute façon demain chez le psychiatre du CMP, comme prévu. Il existe des thymo-régulateurs plus doux et, mon médecin a vérifié, pas gênants pour la thyroïde. On verra. L'idée de ne plus avoir ces effets me rassure déjà nettement !
- LodyNiveau 10
En voilà une bonne nouvelle !!! C'est déjà ça. Tu verras, il y a plein de traitements différents et il ne faut pas hésiter à dire que qqc ne va pas.
Bises.
Bises.
- PasseroseNeoprof expérimenté
Merci. Je regrette de ne pas être allée le voir plus tôt. Je sentais bien que quelque chose n'allait pas avec ce médicament. Je suis une malade trop docile !
- doublecasquetteEnchanteur
Ce n'est pas facile d'être indocile et ça peut même être dangereux, pour soi ou pour les autres. Avec un peu de patience, on peut trouver le bon traitement, le plus léger. C'est un travail entre thérapeutes et patient.Passerose a écrit:Merci. Je regrette de ne pas être allée le voir plus tôt. Je sentais bien que quelque chose n'allait pas avec ce médicament. Je suis une malade trop docile !
Moi, ce qui me soigne le mieux, c'est de soigner une . Allez comprendre !
- HopeHabitué du forum
Passerose... Tu penses au suicide, c'est normal. Que tu aies des enfants ou non, tu vois que ça ne va pas, tu as la tête sous l'eau et tu cherches une porte de sortie.
Bon, évidemment, ce n'est pas la bonne Mais tu le sais.
Tu vas aller mieux. Le seul problème, c'est quand (et mon Dieu, c'est un énorme problème quand on plonge). Tu vas aller mieux.
Ne reste pas seule chez toi.
Si tu sens que tu dérapes, appelle directement les urgences. Il n'y a aucune honte à être malade, que ça touche les poumons ou les synapses. Parle. Mets-toi en sécurité.
mp
Bon, évidemment, ce n'est pas la bonne Mais tu le sais.
Tu vas aller mieux. Le seul problème, c'est quand (et mon Dieu, c'est un énorme problème quand on plonge). Tu vas aller mieux.
Ne reste pas seule chez toi.
Si tu sens que tu dérapes, appelle directement les urgences. Il n'y a aucune honte à être malade, que ça touche les poumons ou les synapses. Parle. Mets-toi en sécurité.
mp
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Omnia mutantur nihil interit (Ovide)
- PasseroseNeoprof expérimenté
Merci, Lody, double casquette et Hope. Vous m'avez été d'une aide formidable. Je cite les trois dernières en date, mais je n'oublie pas toutes les personnes qui m'ont répondu sur ce post et par mp. Je me suis sentie vraiment soutenue, plus que dans ma salle des profs (mais ce n'est pas entièrement de la faute de mes collègues, c'est moi aussi qui ai du mal à parler). L'essentiel est que j'avance, même à petits pas.
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- Premier cours, je me sens nulle
- Donner des cours particuliers à une étudiante que j'ai en cours
- Au bout de combien d'heures de cours, d'affilée ou non, vous écroulez-vous à la fin d'une journée de cours ?
- Cours individuel avec des élèves ayant déjà suivi des cours de FLE
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