- PasseroseNeoprof expérimenté
J'ai souvenir - mais était-ce l'été ? - de discussions enflammées sur la grammaire, le vocabulaire, les séquences... Et je ne retrouve plus cette impression de participer à un laboratoire d'idées générales sur l'enseignement du français. Sommes-nous la tête tellement dans le guidon que nous n'avons plus que des demandes ponctuelles, nous ne prenons plus de recul ?
Je trouve aussi que la partie "collège" est assez vide : certains soirs, on n'y trouve que deux ou trois posts actifs, et si on regarde l'ensemble des posts, il n'y a qu'un nombre restreint de réponses (environ 4 à 7).
Dois-je aller fouiller avec nostalgie dans les anciennes discussions ou est-ce que ça reviendra ?
Je trouve aussi que la partie "collège" est assez vide : certains soirs, on n'y trouve que deux ou trois posts actifs, et si on regarde l'ensemble des posts, il n'y a qu'un nombre restreint de réponses (environ 4 à 7).
Dois-je aller fouiller avec nostalgie dans les anciennes discussions ou est-ce que ça reviendra ?
- kimyGrand sage
Ca devrait revenir ...
Il y a des périodes à vide.
Il y a des périodes à vide.
- IsiaSage
Je me suis fait le même constat Passerose !
Tout en me disant aussi que je n'avais pas les idées assez géniales pour augurer une super discussion ... mais en rêvant d'y pouvoir apporter un jour ma (modeste) contribution...
Je ne sais pas si je suis très claire, là ...
Tout en me disant aussi que je n'avais pas les idées assez géniales pour augurer une super discussion ... mais en rêvant d'y pouvoir apporter un jour ma (modeste) contribution...
Je ne sais pas si je suis très claire, là ...
- DwarfVénérable
1) Peut-être la période
2) Certaines discussions ayant déjà eu lieu, aucun intérêt de les répéter à l'envi.
3) L'expérience aidant, les collègues ont globalement appris les ficelles et tant qu'il n'y aura pas une grosse vague de nouveaux néotits, nul besoin de se replonger dans ce que chacun maîtrise globalement.
4) La question a déjà été posée aux alentours de la rentrée : les arguments montraient que la part des HS augmentait avec le temps car cela correspondait aux rythmes d'évolution naturels au sein de la profession depuis les débuts de néotitulaires jusqu'à l'expérience venant avec la vie de famille et les crises de couple.
2) Certaines discussions ayant déjà eu lieu, aucun intérêt de les répéter à l'envi.
3) L'expérience aidant, les collègues ont globalement appris les ficelles et tant qu'il n'y aura pas une grosse vague de nouveaux néotits, nul besoin de se replonger dans ce que chacun maîtrise globalement.
4) La question a déjà été posée aux alentours de la rentrée : les arguments montraient que la part des HS augmentait avec le temps car cela correspondait aux rythmes d'évolution naturels au sein de la profession depuis les débuts de néotitulaires jusqu'à l'expérience venant avec la vie de famille et les crises de couple.
- sandGuide spirituel
Des liens se sont créés et les néo les entretiennent.
- lulucastagnetteEmpereur
Poste des sujets Passerose !
Plus sérieusement, je pense que les raisons évoquées par les autres sont les bonnes. Rares sont les néoprofs vraiment néo, avouons-le (même si ça fait mal de se voir vieillir...)
Plus sérieusement, je pense que les raisons évoquées par les autres sont les bonnes. Rares sont les néoprofs vraiment néo, avouons-le (même si ça fait mal de se voir vieillir...)
- sandGuide spirituel
Tu rigoles ? On a la maturité. C'est beau.
- lulucastagnetteEmpereur
Tu es la sagesse incarnée, Sand !
- PasseroseNeoprof expérimenté
Je ne pensais même pas aux HS, mais vraiment à la partie "enseignement". Est-ce que c'est jamais dépassé, l'enseignement de la grammaire, ou l'organisation des cours ?
J'aime bien entrer dans le concret, les détails du travail, la mise en oeuvre, ou les interrogations essentielles, la "philosophie" de la matière. Je veux bien poster des messages, si ça peut faire qu'on y réponde et lancer quelque chose.
Je me dis aussi que c'est peut-être différent sur la partie lycée ? Je vais surtout lire ce qui concerne le collège. Peut-être que ça bouge aussi sur l'agreg ?
J'aime bien entrer dans le concret, les détails du travail, la mise en oeuvre, ou les interrogations essentielles, la "philosophie" de la matière. Je veux bien poster des messages, si ça peut faire qu'on y réponde et lancer quelque chose.
Je me dis aussi que c'est peut-être différent sur la partie lycée ? Je vais surtout lire ce qui concerne le collège. Peut-être que ça bouge aussi sur l'agreg ?
- thrasybuleDevin
Je pense qu'on est là au coeur de nos contradictions et de l'absurdité du système: ayant à gérer, parfois au jour le jour, des situations qui nous engluent dans le concret, dans une vision, nécessairement, à court terme, on en oublie le coeur même de notre enseignement: la reflexion, la nécessaire remise en cause intellectuelle,...pour ma part, je suis de plus en plus mes envies, la recherche sur les oeuvres, l'actualité de la critique sur tel auteur ou tel mouvement esthétique, quitte à en perdre presque 100 pourcents du bénéfice...ou bien, non, le millliardème qui reste est infiniment plus précieux que les stériles bavardages pseudo-inductifs(et je fais toujours du "monologue dialogué" si vous reconnaissez la référenceà
- DwarfVénérable
Oui, Thrasybule : le fond(s) plutôt que la forme!
- PasseroseNeoprof expérimenté
J'aime bien "le monologue dialogué" (même si je ne reconnais pas la référence ?)...
- melaniguizHabitué du forum
Je pense que l'été est la période de l'année où on a le plus le temps de réfléchir à nos progressions, à nos méthodes. On recherche les choses nouvelles qu'on va tester, on remet en question ce que l'on a déjà fait, d'où beaucoup plus de questions. En ce moment, on a moins de questions sur le contenu de notre enseignement et plus de questions sur les problèmes de gestion de classe, de rapports avec les parents ou avec notre direction, ça me parait logique, le quotidien n'est pas le même.
- EmeraldiaÉrudit
Le fait est que si la gestion de classe se passe mal, le contenu est perdu, non ?
- PasseroseNeoprof expérimenté
J'aimerais tant pouvoir réfléchir toute l'année, avoir du recul sur ce que je fais... Les questions des autres m'amènent souvent à me positionner par rapport à ce que je fais, ce que je veux faire, et l'écart entre les deux. Si je ne maintiens pas cette recherche en permanence, j'ai tendance à faire du remplissage d'heures de cours, à penser en premier lieu à occuper les élèves...
Je cherche désespérément à avoir une cohérence dans ce que je fais, une unité, et je trouve souvent du grain à moudre dans les discussions que j'ai évoquées plus haut. C'est pour cela qu'elles me manquent. Et en salle des profs, c'est mission impossible pour parler boulot (autre que les élèves ou un livre par-ci par-là. Les échanges sont très limités.
Je cherche désespérément à avoir une cohérence dans ce que je fais, une unité, et je trouve souvent du grain à moudre dans les discussions que j'ai évoquées plus haut. C'est pour cela qu'elles me manquent. Et en salle des profs, c'est mission impossible pour parler boulot (autre que les élèves ou un livre par-ci par-là. Les échanges sont très limités.
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