- RagnetrudeExpert spécialisé
Bonjour,
plus j'avance dans la carrière, plus j'ai du mal à finir le programme. Chaque année, j'ajoute de nouvelles activités afin de varier ma pédagogie et répondre aux injonctions qui se multiplient (travailler l'oral, coopérer, faire de l'EMI...). Mon expérience me permet maintenant de mesurer à quel point les élèves RAMENT et donc qu'il faut tout expliquer, réexpliquer et encore expliquer, ce qui prend beaucoup de temps. Je veux aussi les faire rédiger ce qui est affreusement chronophage. A cela s'ajoutent les nombreuses heures perdues pour sorties/stages/jour férié/grève/interventions/maladie/enfant malade. Le fait d'être tout le temps en retard me crée de véritables angoisses. D'habitude j'arrive à relativiser, mais cette année je suis inspectée et cela m'avait déjà été reproché la dernière fois. Quelles sont vos "astuces" (?) pour gagner un peu de temps ? Je suis en collège et j'ai des 6e et des 3e.
plus j'avance dans la carrière, plus j'ai du mal à finir le programme. Chaque année, j'ajoute de nouvelles activités afin de varier ma pédagogie et répondre aux injonctions qui se multiplient (travailler l'oral, coopérer, faire de l'EMI...). Mon expérience me permet maintenant de mesurer à quel point les élèves RAMENT et donc qu'il faut tout expliquer, réexpliquer et encore expliquer, ce qui prend beaucoup de temps. Je veux aussi les faire rédiger ce qui est affreusement chronophage. A cela s'ajoutent les nombreuses heures perdues pour sorties/stages/jour férié/grève/interventions/maladie/enfant malade. Le fait d'être tout le temps en retard me crée de véritables angoisses. D'habitude j'arrive à relativiser, mais cette année je suis inspectée et cela m'avait déjà été reproché la dernière fois. Quelles sont vos "astuces" (?) pour gagner un peu de temps ? Je suis en collège et j'ai des 6e et des 3e.
- Ajonc35Sage
En histoire geo, c'est compliqué de finir un programme. Je ne vais pas t'aider.Ragnetrude a écrit:Bonjour,
plus j'avance dans la carrière, plus j'ai du mal à finir le programme. Chaque année, j'ajoute de nouvelles activités afin de varier ma pédagogie et répondre aux injonctions qui se multiplient (travailler l'oral, coopérer, faire de l'EMI...). Mon expérience me permet maintenant de mesurer à quel point les élèves RAMENT et donc qu'il faut tout expliquer, réexpliquer et encore expliquer, ce qui prend beaucoup de temps. Je veux aussi les faire rédiger ce qui est affreusement chronophage. A cela s'ajoutent les nombreuses heures perdues pour sorties/stages/jour férié/grève/interventions/maladie/enfant malade. Le fait d'être tout le temps en retard me crée de véritables angoisses. D'habitude j'arrive à relativiser, mais cette année je suis inspectée et cela m'avait déjà été reproché la dernière fois. Quelles sont vos "astuces" (?) pour gagner un peu de temps ? Je suis en collège et j'ai des 6e et des 3e.
En tant qu'enseignant, je n'ai fini aucun programme sauf 3eme et terminale, classes à examen.
En tant que parent, jamais vu non plus sauf, toujours, classe à examen. Et encore il manquait des chapitres à mon fils tout comme sa sœur ( même enseignant) l'année de son bac.
Je me souviens de la réforme du bac pro en 2009. Les 3 ou 4 premières années, j'ai fini le programme avec 8 chapitres, sans problème. Puis un chapitre a disparu et je finissais ric- rac. Au fil du temps, des élèves ayant de plus en plus de difficultés, moins de capacités à faire le travail y compris le plus simple, de vrais problèmes de vocabulaire, de rédaction.
Les programmes sont faits pour des élèves bons ou moyens qui sont de moins en moins nombreux dans certaines classes. De plus en plus nécessaire de trouver des remédiations sans vraiment avoir du temps.
J'espère que des collègues toujours en poste te donneront des solutions.
- Fesseur ProGuide spirituel
Même constat que toi dans notre matière et peu de solutions, sinon "bâcler" au détriment des élèves qui seraient demandeurs de plus.
La perte de temps que tu relèves me semble aussi venir du manque de bases des élèves, il faut ainsi tout réexpliquer et pratiquement repartir de zéro à chaque chapitre.
Et ça ne va pas en s'arrangeant...
La perte de temps que tu relèves me semble aussi venir du manque de bases des élèves, il faut ainsi tout réexpliquer et pratiquement repartir de zéro à chaque chapitre.
Et ça ne va pas en s'arrangeant...
_________________
Pourvu que ça dure...
- Isis39Enchanteur
En HGEMC il faut faire un choix. Soit on fait tout le programme, soit on fait travailler l'écrit, l'oral, l'étude de documents, etc. Sans même parler de concours comme celui de la résistance ou de projets particulier.
Les deux en même temps, c'est impossible. Quand on ajoute toutes les heures perdues pour PIX, interventions, évaluations, etc, c'est la catastrophe. Et les IPR le savent.
Une année j'avais calculé le nombre d'heure perdues en 3e quand mon chef me demandait fin avril de préparer les élèves à l'ASSR : j'avais perdu 12 heures !
Il faut mettre les IPR devant les heures perdues, le temps passé pour faire rédiger, etc. Et après leur demander comment on peut faire.
Les deux en même temps, c'est impossible. Quand on ajoute toutes les heures perdues pour PIX, interventions, évaluations, etc, c'est la catastrophe. Et les IPR le savent.
Une année j'avais calculé le nombre d'heure perdues en 3e quand mon chef me demandait fin avril de préparer les élèves à l'ASSR : j'avais perdu 12 heures !
Il faut mettre les IPR devant les heures perdues, le temps passé pour faire rédiger, etc. Et après leur demander comment on peut faire.
- HildeNiveau 6
J'ai réussi à (quasiment) finir le programme de 2nde l'an dernier ; en 1ère impossible, j'ai fait tout le programme d'histoire mais seulement la moitié de celui de géo.
Pour terminer en 2nde, mon tuteur de stage m'a fait courir à travers le programme, dès le mois de septembre.
Pour moi, il n'y a pas de secret : pour faire un chapitre dans le temps imparti par le programme, il n'y a pas d'autre solution que de tailler sévèrement dans le contenu. Pour le lycée, ça consiste en gros à quasiment se limiter aux PPO (points de passage et d'ouverture), avec un petit peu de contexte pour faire le lien entre lesdits PPO. C'est très frustrant, on survole tout. Une autre astuce utile : ne pas faire de DST d'une heure à la fin de chaque chapitre, mais plutôt un par thème (tous les 2 ou 3 chapitres). Pour les chapitres ne donnant pas lieu à un DST final, on peut mettre une note sur une activité faite en classe et ramassée (évaluation formative, comme on dit à l'INSPE).
J'ai réussi à faire ça l'an dernier sur mon année de stage, mais pour cette année c'est déjà mort, je le sais. Dans mon nouveau lycée d'affectation, on fait une progression commune, mes collègues vont beaucoup moins vite que ce que je faisais l'an dernier (et c'est un choix qui se tient, je trouve : on peut refuser de tout survoler, et dans ce cas on ne finit pas le programme...est-ce si grave ?).
Pour terminer en 2nde, mon tuteur de stage m'a fait courir à travers le programme, dès le mois de septembre.
Pour moi, il n'y a pas de secret : pour faire un chapitre dans le temps imparti par le programme, il n'y a pas d'autre solution que de tailler sévèrement dans le contenu. Pour le lycée, ça consiste en gros à quasiment se limiter aux PPO (points de passage et d'ouverture), avec un petit peu de contexte pour faire le lien entre lesdits PPO. C'est très frustrant, on survole tout. Une autre astuce utile : ne pas faire de DST d'une heure à la fin de chaque chapitre, mais plutôt un par thème (tous les 2 ou 3 chapitres). Pour les chapitres ne donnant pas lieu à un DST final, on peut mettre une note sur une activité faite en classe et ramassée (évaluation formative, comme on dit à l'INSPE).
J'ai réussi à faire ça l'an dernier sur mon année de stage, mais pour cette année c'est déjà mort, je le sais. Dans mon nouveau lycée d'affectation, on fait une progression commune, mes collègues vont beaucoup moins vite que ce que je faisais l'an dernier (et c'est un choix qui se tient, je trouve : on peut refuser de tout survoler, et dans ce cas on ne finit pas le programme...est-ce si grave ?).
- MalavitaÉrudit
Ajonc35 a écrit:En histoire geo, c'est compliqué de finir un programme. Je ne vais pas t'aider.Ragnetrude a écrit:Bonjour,
plus j'avance dans la carrière, plus j'ai du mal à finir le programme. Chaque année, j'ajoute de nouvelles activités afin de varier ma pédagogie et répondre aux injonctions qui se multiplient (travailler l'oral, coopérer, faire de l'EMI...). Mon expérience me permet maintenant de mesurer à quel point les élèves RAMENT et donc qu'il faut tout expliquer, réexpliquer et encore expliquer, ce qui prend beaucoup de temps. Je veux aussi les faire rédiger ce qui est affreusement chronophage. A cela s'ajoutent les nombreuses heures perdues pour sorties/stages/jour férié/grève/interventions/maladie/enfant malade. Le fait d'être tout le temps en retard me crée de véritables angoisses. D'habitude j'arrive à relativiser, mais cette année je suis inspectée et cela m'avait déjà été reproché la dernière fois. Quelles sont vos "astuces" (?) pour gagner un peu de temps ? Je suis en collège et j'ai des 6e et des 3e.
En tant qu'enseignant, je n'ai fini aucun programme sauf 3eme et terminale, classes à examen.
En tant que parent, jamais vu non plus sauf, toujours, classe à examen. Et encore il manquait des chapitres à mon fils tout comme sa sœur ( même enseignant) l'année de son bac.
Je me souviens de la réforme du bac pro en 2009. Les 3 ou 4 premières années, j'ai fini le programme avec 8 chapitres, sans problème. Puis un chapitre a disparu et je finissais ric- rac. Au fil du temps, des élèves ayant de plus en plus de difficultés, moins de capacités à faire le travail y compris le plus simple, de vrais problèmes de vocabulaire, de rédaction.
Les programmes sont faits pour des élèves bons ou moyens qui sont de moins en moins nombreux dans certaines classes. De plus en plus nécessaire de trouver des remédiations sans vraiment avoir du temps.
J'espère que des collègues toujours en poste te donneront des solutions.
Voilà, même chose pour moi en LP, je ne finis jamais le programme sauf classe à examen et cette année, avec le bac le 12 mai, alors que je finissais le programme une semaine avant le bac de juin, à mon avis, cela ne passera pas. Pour les autres niveau, je préfère poser des bases : présenter un document, le décrire, rédiger des réponses, compléter des schémas. Sans compter que les programmes de 2009 étaient bien pensés, là, c'est du n'importe quoi, donc, à l'impossible nul n'est tenu.
- KeaFidèle du forum
Je fais le même constat...
En 3e, je donne certains chapitres à faire à la maison, sous la forme d’un dossier (documents et consignes). Puis je prends une heure pour faire un point, par exemple en partant d’un QCM, en demandant une production quelconque en s’appuyant sur le dossier (synthèse à rédiger)... Ce n’est pas idéal mais au moins les chapitres "vite vus" sont répartis sur l’année et ne se concentrent pas en mai/juin.
Je raccourcis certains chapitres, voire j'en fusionne (je fais l’organisation du monde actuel en conclusion du chapitre sur la Guerre froide).
À l’occasion, je partage l’étude de notions entre élèves : chacun approfondit un aspect du chapitre, puis on mutualise (par exemple les études de cas sur les espaces productifs)...
Parfois j’applique une idée lue sur Néo : je sabre ce que j’avais prévu de faire avant les vacances mais que je n’ai pas eu le temps de faire (cela évite aussi de sacrifier uniquement les chapitres de fin d’année). Je donne des polycopiés, et voilà, on avance... Une année d’inspection, j’éviterais.
Je ne donne pas un gros contrôle après chaque chapitre. Un contrôle peut porter sur plusieurs chapitres ; pour d’autres je fais une série d’interros brèves.
Je finis ric-rac quand même
Dans les autres niveaux, je ne finis pas. Je prends du temps sur les méthodes, surtout si celles-ci permettent de gagner du temps en 3e (rédiger, surtout).
En 3e, je donne certains chapitres à faire à la maison, sous la forme d’un dossier (documents et consignes). Puis je prends une heure pour faire un point, par exemple en partant d’un QCM, en demandant une production quelconque en s’appuyant sur le dossier (synthèse à rédiger)... Ce n’est pas idéal mais au moins les chapitres "vite vus" sont répartis sur l’année et ne se concentrent pas en mai/juin.
Je raccourcis certains chapitres, voire j'en fusionne (je fais l’organisation du monde actuel en conclusion du chapitre sur la Guerre froide).
À l’occasion, je partage l’étude de notions entre élèves : chacun approfondit un aspect du chapitre, puis on mutualise (par exemple les études de cas sur les espaces productifs)...
Parfois j’applique une idée lue sur Néo : je sabre ce que j’avais prévu de faire avant les vacances mais que je n’ai pas eu le temps de faire (cela évite aussi de sacrifier uniquement les chapitres de fin d’année). Je donne des polycopiés, et voilà, on avance... Une année d’inspection, j’éviterais.
Je ne donne pas un gros contrôle après chaque chapitre. Un contrôle peut porter sur plusieurs chapitres ; pour d’autres je fais une série d’interros brèves.
Je finis ric-rac quand même
Dans les autres niveaux, je ne finis pas. Je prends du temps sur les méthodes, surtout si celles-ci permettent de gagner du temps en 3e (rédiger, surtout).
- beaverforeverNeoprof expérimenté
Les programmes d'histoire géographie sont optimaux pour maximiser l'oubli des élèves.
Voici les éléments du programme de seconde à enseigner :
En étant généreux, cela correspond à une trentaine de minutes d'enseignement et deux à trois minutes d'évaluation sommative par élément.
Or :
1- C'est impossible à enseigner (Genre "Colbert développe une politique maritime et mercantiliste, et fonde les compagnies des Indes et du Levant. " ou "L’Édit de Nantes et sa révocation" en trente minutes, sérieusement ?);
2- Ce saucissonnage maximise l'oubli des élèves, qui vont voir plein de trucs, mais qui ne les réutiliseront pas, et donc les oublieront vite.
Donc, moi, je coupe, comme un jardiner japonais taille un arbre : fort. Je crois que j'ai coupé 60% au moins du programme.
Du coup, les élèves sont exposés à moins de connaissances, mais les cours sont conçus de telle façon qu'ils doivent retenir les connaissances jusqu'à la fin de l'année.
Voici les éléments du programme de seconde à enseigner :
- Spoiler:
- 1 Identifier et nommer les périodes historiques, les continuités et ruptures chronologiques.
2 Identifier et expliciter les dates et acteurs clés des grands événements.
3 Nommer et localiser les grands repères géographiques ainsi que les principaux processus et phénomènes étudiés.
4 Utiliser l’échelle appropriée pour étudier un phénomène.
5 Mettre un événement ou une figure en perspective.
6 Mettre en œuvre le changement d’échelles, ou l’analyse à différentes échelles (multiscalaire), en géographie.
7 Identifier les contraintes et les ressources d’un événement, d’un contexte historique, d’une situation géographique.
8 Mettre en relation des faits ou événements de natures, de périodes, de localisations différentes.
9 Confronter le savoir acquis en histoire et en géographie avec ce qui est entendu, lu et vécu.
10 Employer les notions et le lexique acquis en histoire et en géographie à bon escient.
11 Transposer un texte en croquis.
12 Réaliser des productions graphiques et cartographiques dans le cadre d’une analyse.
13 Savoir lire, comprendre et apprécier une carte, un croquis, un document iconographique, une série statistique…
14 S’approprier un questionnement historique et géographique.
15 Construire et vérifier des hypothèses sur une situation historique ou géographique.
16 Justifier des choix, une interprétation, une production.
17 Procéder à l’analyse critique d’un document selon une approche historique ou géographique.
18 Utiliser une approche historique ou géographique pour mener une analyse ou construire une argumentation.
19 Utiliser le numérique pour réaliser des cartes, des graphiques, des présentations.
20 Identifier et évaluer les ressources pertinentes en histoire-géographie.
21 L’Antiquité méditerranéenne est le creuset de l’Europe.
22 distinguer des temps, des figures et des constructions politiques ayant servi de référence dans les périodes ultérieures ;
23 montrer comment Athènes associe régime démocratique et établissement d’un empire maritime ;
24 montrer comment Rome développe un empire territorial immense où s’opère un brassage des différents héritages culturels et religieux méditerranéens.
25 Périclès et la démocratie athénienne.
26 Le principat d’Auguste et la naissance de l’empire romain.
27 Constantin, empereur d’un empire qui se christianise et se réorganise territorialement
28 Comment des civilisations entrent en contact, nouent des relations et connaissent des conflits dans un espace marqué par les monothéismes juif, chrétien et musulman.
29 l’émergence de grands ensembles de civilisation ;
30 les contacts et les heurts entre Chrétienté et Islam ;
31 l’hétérogénéité religieuse et politique entre Rome et Byzance et au sein du monde musulman ;
32 la persistance de la circulation de biens, d’hommes et d’idées dans cet espace méditerranéen relié à l’Europe du Nord, à l’Asie et l’Afrique.
33 Bernard de Clairvaux et la deuxième croisade.
34 Venise, grande puissance maritime et commerciale.
35 Le basculement des échanges de la Méditerranée vers l’Atlantique après 1453 et 1492, ainsi que le début d’une forme de mondialisation.
36 On peut mettre en avant les conséquences suivantes en Europe et dans les territoires conquis :
37 la constitution d’empires coloniaux (conquistadores, marchands, missionnaires…) ;
38 une circulation économique entre les Amériques, l’Afrique, l’Asie et l’Europe ;
39 l’esclavage avant et après la conquête des Amériques ;
40 les progrès de la connaissance du monde ;
41 le devenir des populations des Amériques (conquête et affrontements, évolution du peuplement amérindien, peuplement européen, métissage, choc microbien).
42 L’or et l’argent, des Amériques à l’Europe.
43 Bartolomé de Las Casas et la controverse de Valladolid.
44 Le développement de l’économie « sucrière » et de l’esclavage dans les îles portugaises et au Brésil.
45 Comment l’effervescence intellectuelle et artistique de l’époque aboutit à la volonté de rompre avec le « Moyen Âge » et de faire retour à l’Antiquité.
46 l’imprimerie et les conséquences de sa diffusion ;
47 un nouveau rapport aux textes de la tradition ;
48 une vision renouvelée de l’homme qui se traduit dans les lettres, arts et sciences ;
49 les réformes protestante et catholique qui s’inscrivent dans ce contexte.
50 1508 – Michel-Ange entreprend la réalisation de la fresque de la Chapelle Sixtine.
51 Érasme, prince des humanistes.
52 1517 – Luther ouvre le temps des réformes.
53 L’affirmation de l’État en France dans ses multiples dimensions ainsi qu’à caractériser la monarchie française.
54 le rôle de la guerre dans l’affirmation du pouvoir monarchique ;
55 l’extension du territoire soumis à l’autorité royale ;
56 le pouvoir monarchique et les conflits religieux ;
57 le développement de l’administration royale, la collecte de l’impôt et le contrôle de la vie économique ;
58 la volonté du pouvoir royal de soumettre la noblesse ; les limites de l’autorité royale.
59 1539 – L’ordonnance de Villers-Cotterêts et la construction administrative française.
60 Colbert développe une politique maritime et mercantiliste, et fonde les compagnies des Indes et du Levant.
61 Versailles, le « roi-soleil » et la société de cour.
62 L’Édit de Nantes et sa révocation.
63 L’ébauche d’un gouvernement représentatif ainsi que la définition de grands principes et de droits fondamentaux inspirent les philosophes au cours du XVIIIe siècle, et aboutit à la fondation d’un nouveau régime politique doté d’une constitution écrite avec la naissance des États-Unis d’Amérique.
64 l’évolution politique et sociale anglaise à la fin du XVIIe siècle ;
65 l’affirmation des droits du Parlement face à la couronne anglaise, autour de la révolution de 1688 ;
66 l’influence du régime britannique sur des philosophes des Lumières ;
67 le retournement par les colons américains des valeurs anglaises contre leur métropole ;
68 la rédaction d’une constitution et ses enjeux ;
69 les limites de l’application des principes démocratiques (esclaves, Indiens d’Amérique…) ;
70 l’influence de l’intervention française sur les esprits et la situation financière du royaume de France.
71 1679 et 1689 – L’Habeas Corpus et le Bill of Rights, le refus de l’arbitraire royal.
72 Voltaire, l’Angleterre et la publication des Lettres philosophiques ou Lettres anglaises : 1726 -1733.
73 Washington, premier président des États-Unis d’Amérique.
74 Le rôle capital de l’esprit scientifique dans l’Europe des XVIIe et XVIIIe siècles.
75 l’essor de l’esprit scientifique au XVIIe siècle ;
76 sa diffusion et l’extension de ses champs d’application au XVIIIe siècle (par exemple par L’Encyclopédie) ;
77 le rôle des physiocrates en France ;
78 l’essor et l’application de nouvelles techniques aux origines de la « révolution industrielle » ;
79 le rôle de femmes dans la vie scientifique et culturelle.
80 Galilée, symbole de la rupture scientifique du XVIIe siècle.
81 1712 – Thomas Newcomen met au point une machine à vapeur pour pomper l’eau dans les mines.
82 Émilie du Châtelet, femme de science.
83 La complexité de la société d’ordres.
84 le poids de la fiscalité et des droits féodaux sur le monde paysan ;
85 une amélioration progressive de la condition des paysans au XVIIIe siècle ;
86 le monde urbain comme lieu où se côtoient hiérarchies traditionnelles (juridiques) et hiérarchies nouvelles (économiques) ;
87 le maintien de l’influence de la noblesse ;
88 les femmes d’influence dans le monde politique, littéraire, religieux…
89 1639 - La révolte des Va Nu-pieds et la condition paysanne.
90 Riches et pauvres à Paris.
91 Un salon au XVIIIe siècle (le salon de madame de Tencin par exemple).
92 Les ports français et le développement de l’économie de plantation et de la traite.
93 Les sociétés face aux risques.
94 Des ressources majeures sous pression : tensions, gestion.
95 La France : des milieux métropolitains et ultramarins entre valorisation et protection.
96 Des trajectoires démographiques différenciées : les défis du nombre et du vieillissement.
97 Développement et inégalités.
98 La France : dynamiques démographiques, inégalités socio-économiques.
99 Les migrations internationales.
100 Les mobilités touristiques internationales.
101 La France : mobilités, transports et enjeux d’aménagement.
102 Des milieux à valoriser et à ménager.
103 Les défis de la transition et du développement pour des pays inégalement développés.
104 Des territoires traversés et remodelés par des mobilités complexes.
105 Acteur
106 mondialisation
107 territoire
108 transition
109 Changement climatique
110 Environnement
111 Milieu
112 Ressources
113 risques
114 Croissance
115 Développement
116 développement durable
117 émergence
118 inégalité
119 population
120 peuplement
121 Migration
122 Mobilité
123 tourisme
124 la périodisation
En étant généreux, cela correspond à une trentaine de minutes d'enseignement et deux à trois minutes d'évaluation sommative par élément.
Or :
1- C'est impossible à enseigner (Genre "Colbert développe une politique maritime et mercantiliste, et fonde les compagnies des Indes et du Levant. " ou "L’Édit de Nantes et sa révocation" en trente minutes, sérieusement ?);
2- Ce saucissonnage maximise l'oubli des élèves, qui vont voir plein de trucs, mais qui ne les réutiliseront pas, et donc les oublieront vite.
Donc, moi, je coupe, comme un jardiner japonais taille un arbre : fort. Je crois que j'ai coupé 60% au moins du programme.
Du coup, les élèves sont exposés à moins de connaissances, mais les cours sont conçus de telle façon qu'ils doivent retenir les connaissances jusqu'à la fin de l'année.
- JennyMédiateur
Isis39 a écrit:En HGEMC il faut faire un choix. Soit on fait tout le programme, soit on fait travailler l'écrit, l'oral, l'étude de documents, etc. Sans même parler de concours comme celui de la résistance ou de projets particulier.
Les deux en même temps, c'est impossible. Quand on ajoute toutes les heures perdues pour PIX, interventions, évaluations, etc, c'est la catastrophe. Et les IPR le savent.
Une année j'avais calculé le nombre d'heure perdues en 3e quand mon chef me demandait fin avril de préparer les élèves à l'ASSR : j'avais perdu 12 heures !
Il faut mettre les IPR devant les heures perdues, le temps passé pour faire rédiger, etc. Et après leur demander comment on peut faire.
J'ai de la chance, on ne m'a pas encore reproché un retard, mais c'est quasiment impossible de boucler un programme. J'y arrive en série techno, mais en série générale, c'est démentiel.
Les projets et concours n'aident peut être pas non plus.
- EsméraldaGrand sage
beaverforever a écrit:Les programmes d'histoire géographie sont optimaux pour maximiser l'oubli des élèves.
Voici les éléments du programme de seconde à enseigner :
- Spoiler:
1 Identifier et nommer les périodes historiques, les continuités et ruptures chronologiques.
2 Identifier et expliciter les dates et acteurs clés des grands événements.
3 Nommer et localiser les grands repères géographiques ainsi que les principaux processus et phénomènes étudiés.
4 Utiliser l’échelle appropriée pour étudier un phénomène.
5 Mettre un événement ou une figure en perspective.
6 Mettre en œuvre le changement d’échelles, ou l’analyse à différentes échelles (multiscalaire), en géographie.
7 Identifier les contraintes et les ressources d’un événement, d’un contexte historique, d’une situation géographique.
8 Mettre en relation des faits ou événements de natures, de périodes, de localisations différentes.
9 Confronter le savoir acquis en histoire et en géographie avec ce qui est entendu, lu et vécu.
10 Employer les notions et le lexique acquis en histoire et en géographie à bon escient.
11 Transposer un texte en croquis.
12 Réaliser des productions graphiques et cartographiques dans le cadre d’une analyse.
13 Savoir lire, comprendre et apprécier une carte, un croquis, un document iconographique, une série statistique…
14 S’approprier un questionnement historique et géographique.
15 Construire et vérifier des hypothèses sur une situation historique ou géographique.
16 Justifier des choix, une interprétation, une production.
17 Procéder à l’analyse critique d’un document selon une approche historique ou géographique.
18 Utiliser une approche historique ou géographique pour mener une analyse ou construire une argumentation.
19 Utiliser le numérique pour réaliser des cartes, des graphiques, des présentations.
20 Identifier et évaluer les ressources pertinentes en histoire-géographie.
21 L’Antiquité méditerranéenne est le creuset de l’Europe.
22 distinguer des temps, des figures et des constructions politiques ayant servi de référence dans les périodes ultérieures ;
23 montrer comment Athènes associe régime démocratique et établissement d’un empire maritime ;
24 montrer comment Rome développe un empire territorial immense où s’opère un brassage des différents héritages culturels et religieux méditerranéens.
25 Périclès et la démocratie athénienne.
26 Le principat d’Auguste et la naissance de l’empire romain.
27 Constantin, empereur d’un empire qui se christianise et se réorganise territorialement
28 Comment des civilisations entrent en contact, nouent des relations et connaissent des conflits dans un espace marqué par les monothéismes juif, chrétien et musulman.
29 l’émergence de grands ensembles de civilisation ;
30 les contacts et les heurts entre Chrétienté et Islam ;
31 l’hétérogénéité religieuse et politique entre Rome et Byzance et au sein du monde musulman ;
32 la persistance de la circulation de biens, d’hommes et d’idées dans cet espace méditerranéen relié à l’Europe du Nord, à l’Asie et l’Afrique.
33 Bernard de Clairvaux et la deuxième croisade.
34 Venise, grande puissance maritime et commerciale.
35 Le basculement des échanges de la Méditerranée vers l’Atlantique après 1453 et 1492, ainsi que le début d’une forme de mondialisation.
36 On peut mettre en avant les conséquences suivantes en Europe et dans les territoires conquis :
37 la constitution d’empires coloniaux (conquistadores, marchands, missionnaires…) ;
38 une circulation économique entre les Amériques, l’Afrique, l’Asie et l’Europe ;
39 l’esclavage avant et après la conquête des Amériques ;
40 les progrès de la connaissance du monde ;
41 le devenir des populations des Amériques (conquête et affrontements, évolution du peuplement amérindien, peuplement européen, métissage, choc microbien).
42 L’or et l’argent, des Amériques à l’Europe.
43 Bartolomé de Las Casas et la controverse de Valladolid.
44 Le développement de l’économie « sucrière » et de l’esclavage dans les îles portugaises et au Brésil.
45 Comment l’effervescence intellectuelle et artistique de l’époque aboutit à la volonté de rompre avec le « Moyen Âge » et de faire retour à l’Antiquité.
46 l’imprimerie et les conséquences de sa diffusion ;
47 un nouveau rapport aux textes de la tradition ;
48 une vision renouvelée de l’homme qui se traduit dans les lettres, arts et sciences ;
49 les réformes protestante et catholique qui s’inscrivent dans ce contexte.
50 1508 – Michel-Ange entreprend la réalisation de la fresque de la Chapelle Sixtine.
51 Érasme, prince des humanistes.
52 1517 – Luther ouvre le temps des réformes.
53 L’affirmation de l’État en France dans ses multiples dimensions ainsi qu’à caractériser la monarchie française.
54 le rôle de la guerre dans l’affirmation du pouvoir monarchique ;
55 l’extension du territoire soumis à l’autorité royale ;
56 le pouvoir monarchique et les conflits religieux ;
57 le développement de l’administration royale, la collecte de l’impôt et le contrôle de la vie économique ;
58 la volonté du pouvoir royal de soumettre la noblesse ; les limites de l’autorité royale.
59 1539 – L’ordonnance de Villers-Cotterêts et la construction administrative française.
60 Colbert développe une politique maritime et mercantiliste, et fonde les compagnies des Indes et du Levant.
61 Versailles, le « roi-soleil » et la société de cour.
62 L’Édit de Nantes et sa révocation.
63 L’ébauche d’un gouvernement représentatif ainsi que la définition de grands principes et de droits fondamentaux inspirent les philosophes au cours du XVIIIe siècle, et aboutit à la fondation d’un nouveau régime politique doté d’une constitution écrite avec la naissance des États-Unis d’Amérique.
64 l’évolution politique et sociale anglaise à la fin du XVIIe siècle ;
65 l’affirmation des droits du Parlement face à la couronne anglaise, autour de la révolution de 1688 ;
66 l’influence du régime britannique sur des philosophes des Lumières ;
67 le retournement par les colons américains des valeurs anglaises contre leur métropole ;
68 la rédaction d’une constitution et ses enjeux ;
69 les limites de l’application des principes démocratiques (esclaves, Indiens d’Amérique…) ;
70 l’influence de l’intervention française sur les esprits et la situation financière du royaume de France.
71 1679 et 1689 – L’Habeas Corpus et le Bill of Rights, le refus de l’arbitraire royal.
72 Voltaire, l’Angleterre et la publication des Lettres philosophiques ou Lettres anglaises : 1726 -1733.
73 Washington, premier président des États-Unis d’Amérique.
74 Le rôle capital de l’esprit scientifique dans l’Europe des XVIIe et XVIIIe siècles.
75 l’essor de l’esprit scientifique au XVIIe siècle ;
76 sa diffusion et l’extension de ses champs d’application au XVIIIe siècle (par exemple par L’Encyclopédie) ;
77 le rôle des physiocrates en France ;
78 l’essor et l’application de nouvelles techniques aux origines de la « révolution industrielle » ;
79 le rôle de femmes dans la vie scientifique et culturelle.
80 Galilée, symbole de la rupture scientifique du XVIIe siècle.
81 1712 – Thomas Newcomen met au point une machine à vapeur pour pomper l’eau dans les mines.
82 Émilie du Châtelet, femme de science.
83 La complexité de la société d’ordres.
84 le poids de la fiscalité et des droits féodaux sur le monde paysan ;
85 une amélioration progressive de la condition des paysans au XVIIIe siècle ;
86 le monde urbain comme lieu où se côtoient hiérarchies traditionnelles (juridiques) et hiérarchies nouvelles (économiques) ;
87 le maintien de l’influence de la noblesse ;
88 les femmes d’influence dans le monde politique, littéraire, religieux…
89 1639 - La révolte des Va Nu-pieds et la condition paysanne.
90 Riches et pauvres à Paris.
91 Un salon au XVIIIe siècle (le salon de madame de Tencin par exemple).
92 Les ports français et le développement de l’économie de plantation et de la traite.
93 Les sociétés face aux risques.
94 Des ressources majeures sous pression : tensions, gestion.
95 La France : des milieux métropolitains et ultramarins entre valorisation et protection.
96 Des trajectoires démographiques différenciées : les défis du nombre et du vieillissement.
97 Développement et inégalités.
98 La France : dynamiques démographiques, inégalités socio-économiques.
99 Les migrations internationales.
100 Les mobilités touristiques internationales.
101 La France : mobilités, transports et enjeux d’aménagement.
102 Des milieux à valoriser et à ménager.
103 Les défis de la transition et du développement pour des pays inégalement développés.
104 Des territoires traversés et remodelés par des mobilités complexes.
105 Acteur
106 mondialisation
107 territoire
108 transition
109 Changement climatique
110 Environnement
111 Milieu
112 Ressources
113 risques
114 Croissance
115 Développement
116 développement durable
117 émergence
118 inégalité
119 population
120 peuplement
121 Migration
122 Mobilité
123 tourisme
124 la périodisation
En étant généreux, cela correspond à une trentaine de minutes d'enseignement et deux à trois minutes d'évaluation sommative par élément.
Or :
1- C'est impossible à enseigner (Genre "Colbert développe une politique maritime et mercantiliste, et fonde les compagnies des Indes et du Levant. " ou "L’Édit de Nantes et sa révocation" en trente minutes, sérieusement ?);
2- Ce saucissonnage maximise l'oubli des élèves, qui vont voir plein de trucs, mais qui ne les réutiliseront pas, et donc les oublieront vite.
Donc, moi, je coupe, comme un jardiner japonais taille un arbre : fort. Je crois que j'ai coupé 60% au moins du programme.
Du coup, les élèves sont exposés à moins de connaissances, mais les cours sont conçus de telle façon qu'ils doivent retenir les connaissances jusqu'à la fin de l'année.
Purée mais c'est démentiel !!!
En lettres, en collège, je n'ai jamais fini le programme, quel que soit le niveau. J'ai l'impression que l'on n'en a jamais fini en français tant les domaines brassés sont vastes.
- RagnetrudeExpert spécialisé
Ça me rassure un peu de voir qu'on galère tous. Merci pour tes propositions Kea. Je crois que la culpabilité de ne pas parvenir à répondre à ces injonctions contradictoires me gâche de plus en plus le boulot. Il faut que je me détende ! Beaverforever, c'est démentiel en effet. Et au collège il faut ajouter les compétences d'emc, qui donnent juste envie de chialer !
- MalagaModérateur
Je suis chaque année en retard dans les programmes, cela m'a été reproché par des IPR et honnêtement, je m'en moque. Quand la solution donnée par l'IPR, c'est étudier chaque chapitre en 4 ou 5h (évaluation comprise) puisqu'on a, en 3e, 21 chapitres et une toute petite centaine d'heures de cours, c'est idiot. Et ça m'insupporte qu'on demande aux enseignants de faire des choix, de couper dans le vif dans les chapitres quand les concepteurs des programmes sont incapables de faire le même travail.
En 6e, 5e, et 4e, des chapitres passent à l'as. En 3e, certains chapitres sont vus sous la forme de devoir maison ou de photocopies ; c'est nul mais ça permet juste de dire que les élèves auront bien tout vu avant d'arriver au brevet.
En 6e, 5e, et 4e, des chapitres passent à l'as. En 3e, certains chapitres sont vus sous la forme de devoir maison ou de photocopies ; c'est nul mais ça permet juste de dire que les élèves auront bien tout vu avant d'arriver au brevet.
_________________
J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- Fesseur ProGuide spirituel
@ Churchillpirouette a écrit:No sport …
Sinon ?
_________________
Pourvu que ça dure...
- Mat1309Je viens de m'inscrire !
Hello @ragnetrude
Pour t'aider à relativiser, l'an dernier je me suis completement troué concernant le chapitre sur la place de l'Europe et de la France dans le monde (j'avais ouvert un sujet à ce propos il y a quelques semaines) et evidemment il tombe au DNB. Pas même l'idée d'en faire l'impasse, juste une énorme négligence qui fait que, enfoncé dans une forme de "certitude" je l'ai pas traité et ça me fait encore culpabiliser 4 mois apres quand bien même ça a été, dans l'absolu, sans conséquence ... Même les derniers chapitres si tu dois les donner sous forme de fiches ils seront quand même traités !
Pour t'aider à relativiser, l'an dernier je me suis completement troué concernant le chapitre sur la place de l'Europe et de la France dans le monde (j'avais ouvert un sujet à ce propos il y a quelques semaines) et evidemment il tombe au DNB. Pas même l'idée d'en faire l'impasse, juste une énorme négligence qui fait que, enfoncé dans une forme de "certitude" je l'ai pas traité et ça me fait encore culpabiliser 4 mois apres quand bien même ça a été, dans l'absolu, sans conséquence ... Même les derniers chapitres si tu dois les donner sous forme de fiches ils seront quand même traités !
- Theo81Niveau 1
Pour répondre à la question malgré mon expérience de seulement 3ans. Je boucle les programmes en 6e, le dernier chap de géo est fait en salle info avec des exposés et cartes mentales - celui sur la Chine des Han même démarche avec les inventions chinoises.
En 5e, les derniers chapitres sur les rois de France sont des travaux de groupe avec un tableau récapitulatif - et parfois une étude de Versailles.
Le dernier thème de géo est bien souvent mélangé avec l'EMC - il consiste à travailler sur la série Chernobyl ou celle sur Fukushima pour faire aussi un peu d'EMI.
En 4e, je suis un peu à la bourre cette année - le dernier thème de géo va se réduire à portion congrue.
En 5e, les derniers chapitres sur les rois de France sont des travaux de groupe avec un tableau récapitulatif - et parfois une étude de Versailles.
Le dernier thème de géo est bien souvent mélangé avec l'EMC - il consiste à travailler sur la série Chernobyl ou celle sur Fukushima pour faire aussi un peu d'EMI.
En 4e, je suis un peu à la bourre cette année - le dernier thème de géo va se réduire à portion congrue.
- Impression de courir après le temps et d'être déjà en retard en septembre
- [HG Programmes 2016] Le programme de 3e
- Manuels de français 4ème : premier bilan après un an (programme 2011)
- [Réforme / Programme] Programme de français / spé LCA / spé Humanités (compte-rendu de l'AFEF)
- Programme de 3e : quelles adaptations d'oeuvres littéraires en lien avec le programme ?
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum