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- SheldonNiveau 9
Bonjour tout le monde.
Dans notre collège, il est envisagé de semestrialiser...
J'ai beau chercher sur le net, je ne trouve pratiquement rien comme étude.
1 - Avez-vous des témoignages à apporter quand à ce fonctionnement si celui-ci est mis en place chez vous ?
2 - Quels en sont les avantages et les inconvénients ?
Moi aussi j'ai tout de suite pensé que cela ferai une série de conseils de classe en moins.
Mais il est pratiquement certain qu'il nous sera imposé des bilans de mi-trimestre (je ne sais pas sous quelle forme).
3 - Si l'on passe d'une série de 3 réunions à une série de 4, cela modifie-t-il notre ISOE en conséquence ?
4 - A quel moment cela ce décide-t-il ? Est-ce voté au CA ?
Merci !
Dans notre collège, il est envisagé de semestrialiser...
J'ai beau chercher sur le net, je ne trouve pratiquement rien comme étude.
1 - Avez-vous des témoignages à apporter quand à ce fonctionnement si celui-ci est mis en place chez vous ?
2 - Quels en sont les avantages et les inconvénients ?
Moi aussi j'ai tout de suite pensé que cela ferai une série de conseils de classe en moins.
Mais il est pratiquement certain qu'il nous sera imposé des bilans de mi-trimestre (je ne sais pas sous quelle forme).
3 - Si l'on passe d'une série de 3 réunions à une série de 4, cela modifie-t-il notre ISOE en conséquence ?
4 - A quel moment cela ce décide-t-il ? Est-ce voté au CA ?
Merci !
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" En tant que Physicien, j'ai une connaissance étendue de l'Univers et de tout ce qu'il contient." - Moi
- henrietteMédiateur
J'ai connu ça, et au final, ce n'était pas beaucoup plus léger, du fait, comme tu le pressens, des bilans de mi-semestre : au final, on se retrouvait à remplir des bulletins 4 et non plus 3 fois par an.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- User17095Érudit
Ces décisions relèvent effectivement de la compétence du CA. Je ne connais aucun cas où ça s'est fait en collège, d'ailleurs ça promet une jolie galère parce que tout est calibré sur l'idée de trois périodes et non pas deux.
Quel en serait le but ?
(et pour l'ISOE c'est un paquet global, donc non ça ne changera rien... mais tu t'en doutais déjà)
Quel en serait le but ?
(et pour l'ISOE c'est un paquet global, donc non ça ne changera rien... mais tu t'en doutais déjà)
- SheldonNiveau 9
Le but, je ne sais pas... Surement une demande de la hiérarchie.
Mais je n'y trouve absolument aucun avantage, ni pour les profs, ni pour les élèves, ni pour les familles.
Ceux qui ne suivent rien au niveau des résultats, ne suivront toujours rien.
Ceux qui suivent, suivent...
Mais je n'y trouve absolument aucun avantage, ni pour les profs, ni pour les élèves, ni pour les familles.
Ceux qui ne suivent rien au niveau des résultats, ne suivront toujours rien.
Ceux qui suivent, suivent...
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" En tant que Physicien, j'ai une connaissance étendue de l'Univers et de tout ce qu'il contient." - Moi
- pseudo-intelloSage
C'est le cas dans le collège de mon mari. Le CDE a vendu le système via l'argument, fort efficace de "deux conseils au lieu de trois".
Sauf :
-qu'il y a les bilans de mi-trimestre. Pas de conseil de classe, mais des appréciations type bulletins (en plus des notes qui doivent être dûment entrées pour la date donnée)
- que c'est la porte ouverte à l'annualisation du temps de travail, avec semestrialisation du service de l'enseignant (en 5e, le latin ne commence qu'au second semestre). Pour l'instant, c'est "light", vu que seul le latin est concerné, et que mon mari tourne donc à 18 heures le 1er semestre et à 20 le second. Mais si ça devait aller plus loin...
Dans des lycées du secteur, ça permet, un peu sur le même principe, de semestrialiser certaines disciplines (1er semestre pour une classe, 2nd pour l'autre). Imaginez le prof qui retrouve en 1ère des élèves qui n'ont pas eu de cours de sa matière entre fin janvier et début septembre...
Sauf :
-qu'il y a les bilans de mi-trimestre. Pas de conseil de classe, mais des appréciations type bulletins (en plus des notes qui doivent être dûment entrées pour la date donnée)
- que c'est la porte ouverte à l'annualisation du temps de travail, avec semestrialisation du service de l'enseignant (en 5e, le latin ne commence qu'au second semestre). Pour l'instant, c'est "light", vu que seul le latin est concerné, et que mon mari tourne donc à 18 heures le 1er semestre et à 20 le second. Mais si ça devait aller plus loin...
Dans des lycées du secteur, ça permet, un peu sur le même principe, de semestrialiser certaines disciplines (1er semestre pour une classe, 2nd pour l'autre). Imaginez le prof qui retrouve en 1ère des élèves qui n'ont pas eu de cours de sa matière entre fin janvier et début septembre...
- SheldonNiveau 9
Merci "Pseudo-intello"
Tu peux changer de pseudo.. Najat est partie !!!
Tu es une vraie intello !
Tu peux changer de pseudo.. Najat est partie !!!
Tu es une vraie intello !
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" En tant que Physicien, j'ai une connaissance étendue de l'Univers et de tout ce qu'il contient." - Moi
- keroGrand sage
Dans mon collège, ça a été sérieusement discuté l'an dernier, et une proposition de projet allant dans ce sens a même été déposée auprès du rectorat.
Il se trouve que le rectorat (Créteil) avait répondu que c'était possible, sauf pour les troisièmes, pour des raisons technico-administratives dont je ne me souviens pas. Du coup il avait été décidé d'abandonner le projet car deux calendriers qui se superposaient, ça semblait un peu trop prise de tête.
Le projet en question d'ailleurs avait été porté par plusieurs collègues "innovants" (on a beaucoup de spécimens ici), et lorsque le projet a été présenté, j'ai surtout compris que c'était la porte ouverte à beaucoup de boulot en plus, et surtout à des expérimentations pédagogiques que je n'ai aucune envie d'expérimenter (auto-évaluation, par exemple). Du coup, je me suis battu contre. Cette année le projet a été reproposé au vote et 75% des votants ont répondu "non". Pourcentage exactement inversé par rapport à l'an dernier.
Il se trouve que le rectorat (Créteil) avait répondu que c'était possible, sauf pour les troisièmes, pour des raisons technico-administratives dont je ne me souviens pas. Du coup il avait été décidé d'abandonner le projet car deux calendriers qui se superposaient, ça semblait un peu trop prise de tête.
Le projet en question d'ailleurs avait été porté par plusieurs collègues "innovants" (on a beaucoup de spécimens ici), et lorsque le projet a été présenté, j'ai surtout compris que c'était la porte ouverte à beaucoup de boulot en plus, et surtout à des expérimentations pédagogiques que je n'ai aucune envie d'expérimenter (auto-évaluation, par exemple). Du coup, je me suis battu contre. Cette année le projet a été reproposé au vote et 75% des votants ont répondu "non". Pourcentage exactement inversé par rapport à l'an dernier.
- pseudo-intelloSage
Sheldon a écrit:Merci "Pseudo-intello"
Tu peux changer de pseudo.. Najat est partie !!!
Tu es une vraie intello !
Merci. :sourcils:
Pour mériter le compliment, j'ai rectifié les coquilles... ceci dit, "intello" ou "vraie intello", en pseudo, ça ferait vachement modeste.
Je voulais ajouter que bien évidemment, la semestrialisation de l'EDT des profs n'arrive jamais tout de suite. Évidemment, le CDE ne pense pas du touuuut à ça, hein. C'est comme d'hab : on vend le truc en expliquant que ce sera cool, la première année ça va à peu près, voire la deuxième, et c'est une fois que tout est bien mis en place que les embêtements font leur apparition.
- mytilusNiveau 5
Je l'ai vécu dans 2 collèges.
Dans un cas, le bilan de demi semestre était un simple relevé de notes, distribué lors des réunions parents-professeurs.
Dans l'autre, cela prenait la forme d'une réunion informelle chef - PP et 1 ou 2 profs de l'équipe pour faire le point et cibler certains élèves.
Personnellement, je préfère le rythme du semestre, plus équilibré, notamment pour les évaluations. Il n'y a pas la course aux notes comme on peut parfois le ressentir pour des trimestres trop courts
Dans un cas, le bilan de demi semestre était un simple relevé de notes, distribué lors des réunions parents-professeurs.
Dans l'autre, cela prenait la forme d'une réunion informelle chef - PP et 1 ou 2 profs de l'équipe pour faire le point et cibler certains élèves.
Personnellement, je préfère le rythme du semestre, plus équilibré, notamment pour les évaluations. Il n'y a pas la course aux notes comme on peut parfois le ressentir pour des trimestres trop courts
- keroGrand sage
Je n'aurais pas été contre la semestrialisation si elle n'avait pas été une excuse pour nous redoubler le travail (un comble, quand même).
- Ephraïm EmmaNiveau 7
La question se pose dans mon établissement, certains collègues le souhaitent car il y aurait moins de conseils et de périodes hyper chargées... C'est vrai que vu comme ça c'est plutôt tentant. Mais ce que vous indiquez fait réfléchir. Il faut donc bien savoir à quoi ça engage selon les décisions prises.
- User17095Érudit
Oui enfin en même temps les CdE n'ont pas d'intérêt particulier à semestrialiser les emplois du temps...
- pseudo-intelloSage
Manifestement, tu ne ressemble pas au CDE de mon mari.pogonophile a écrit:Oui enfin en même temps les CdE n'ont pas d'intérêt particulier à semestrialiser les emplois du temps...
(en l'occurrence, c'est un compliment)
- User17095Érudit
Merci... je suppose ?
Mais concrètement, quel intérêt y trouve-t-il, quels sont les embêtements que tu évoquais ?
Mais concrètement, quel intérêt y trouve-t-il, quels sont les embêtements que tu évoquais ?
- pseudo-intelloSage
Quand tu coupes l'année en deux et pas en trois, ça te permet, par exemple, de ne faire démarrer le latin que début février (ou fin janvier), avec une cohérence de calendrier (le latin commence au 2nd semestre, pas au milieu du 2e trimestre). Au premier semestre, à la place, c'est EPI (c'est le chef qui a décidé).
Ça permet de ne pas rajouter une heure de latin (pourtant promise) au prof qui argue que la cadence d'une heure par semaine, pour apprendre une langue, ce n'est pas suffisant (parce qu'il y a deux heures / semaine... la moitié de l'année).
En l'occurrence, le CDE a également imposé à ses équipes de corriger le brevet blanc vraiment super vite parce qu'il voulait caser les notes pour ses conseils de janvier.
Je parle du latin au collège, parce que c'est l'exemple que je connais dans ma discipline et au collège, et que comme mon mari est concerné, je suis à peu près au courant (mais je ne suis pas aux affaires en ce moment, donc un peu déconnectée).
Au syndicat, j'ai entendu que dans les lycées du département, certains profs se retrouvaient, depuis la semestrialisation avec des semestres surchargés (grosse dissymétrie horaire entre le 1er et le 2e semestre).
Le CDE s'est fait un peu mousser, parce que comme la semestrialisation est tendance dans les lycées (pour des questions de semestrialisation d'option, a priori), il était très fier d'être le premier principal à conduire le changement tendance dans un collège du département. C'est un peu comme les hommes politiques qui aiment avoir une loi à leur nom, parce que ça leur fait croire qu'ils ont fait quelque chose.
Bon, en tout cas, j'ai déjà eu l'occasion de croiser le monsieur, sans savoir qui il était (ni lui, qui j'étais) dans un premier temps, je n'ai d'ailleurs pas pigé tout de suite qu'il était perdir, mais je l'ai trouvé très imbu de sa personne, donc j'espère que tu ne lui ressembles pas trop.
Ça permet de ne pas rajouter une heure de latin (pourtant promise) au prof qui argue que la cadence d'une heure par semaine, pour apprendre une langue, ce n'est pas suffisant (parce qu'il y a deux heures / semaine... la moitié de l'année).
En l'occurrence, le CDE a également imposé à ses équipes de corriger le brevet blanc vraiment super vite parce qu'il voulait caser les notes pour ses conseils de janvier.
Je parle du latin au collège, parce que c'est l'exemple que je connais dans ma discipline et au collège, et que comme mon mari est concerné, je suis à peu près au courant (mais je ne suis pas aux affaires en ce moment, donc un peu déconnectée).
Au syndicat, j'ai entendu que dans les lycées du département, certains profs se retrouvaient, depuis la semestrialisation avec des semestres surchargés (grosse dissymétrie horaire entre le 1er et le 2e semestre).
Le CDE s'est fait un peu mousser, parce que comme la semestrialisation est tendance dans les lycées (pour des questions de semestrialisation d'option, a priori), il était très fier d'être le premier principal à conduire le changement tendance dans un collège du département. C'est un peu comme les hommes politiques qui aiment avoir une loi à leur nom, parce que ça leur fait croire qu'ils ont fait quelque chose.
Bon, en tout cas, j'ai déjà eu l'occasion de croiser le monsieur, sans savoir qui il était (ni lui, qui j'étais) dans un premier temps, je n'ai d'ailleurs pas pigé tout de suite qu'il était perdir, mais je l'ai trouvé très imbu de sa personne, donc j'espère que tu ne lui ressembles pas trop.
- User17095Érudit
Disons que lui et moi avons en commun d'avoir organisé certains enseignements en semestre, par exemple les EPI jusqu'à cette année : les classes en faisaient deux différents, pendant que l'une faisait EPI A au premier semestre EPI B au second, l'autre faisait l'inverse. Le but était justement d'éviter de déséquilibrer les emplois du temps, tout le monde est donc content.
Si j'avais su que je pouvais me faire mousser avec ce qui relève simplement de l'astuce d'organisation, j'aurais en passant inventé l'eau chaude et contacté le Parisien
Si j'avais su que je pouvais me faire mousser avec ce qui relève simplement de l'astuce d'organisation, j'aurais en passant inventé l'eau chaude et contacté le Parisien
- ElyasEsprit sacré
pogonophile a écrit:Disons que lui et moi avons en commun d'avoir organisé certains enseignements en semestre, par exemple les EPI jusqu'à cette année : les classes en faisaient deux différents, pendant que l'une faisait EPI A au premier semestre EPI B au second, l'autre faisait l'inverse. Le but était justement d'éviter de déséquilibrer les emplois du temps, tout le monde est donc content.
Si j'avais su que je pouvais me faire mousser avec ce qui relève simplement de l'astuce d'organisation, j'aurais en passant inventé l'eau chaude et contacté le Parisien
Tu as fléché les EPI... Quelle horreur ! Je sais bien que ça permet d'être certain qu'ils soient accomplis mais les EPI doivent être faits au sein des disciplines et de leurs programmes et flécher des EPI est le meilleur moyen pour sortir des programmes, les décontextualiser et au final avoir peu d'apprentissage (enfin de ce que j'ai vu). J'ai toujours plaidé pour la souplesse et la confiance envers les équipes.
Enfin bon, l'institution a valorisé ce type de fléchage aussi.
Cela donne de bons résultats chez toi, Pogonophile ?
- User17095Érudit
Il s'agit d'un compromis élaboré en concertation pendant toute une année de travail, donc c'est fléché mais pas par autoritarisme.
Les enseignants ont admis la nécessité de les marquer comme tels à l'emploi du temps, d'une part pour que les élèves les prennent au sérieux, d'autre part pour que eux-mêmes les fassent effectivement, en co-intervention par blocs de deux heures.
Ils ont vraiment fait un travail intéressant, avec des progressions spécifiques qui incluent effectivement les programmes (en râlant bien sûr parce que les temps de concertation étaient pour leur pomme), et qui surtout peuvent être réinvesties d'une année sur l'autre.
Au final, quand j'ai évoqué la possibilité d'assouplissement de juin 17 (parce que ça coûte une fortune en heures air de rien...), la réponse a été unanime et instantanée : "pas touche, on a beaucoup bossé, maintenant on veut en profiter". J'en déduis qu'ils y ont trouvé leur compte
Les enseignants ont admis la nécessité de les marquer comme tels à l'emploi du temps, d'une part pour que les élèves les prennent au sérieux, d'autre part pour que eux-mêmes les fassent effectivement, en co-intervention par blocs de deux heures.
Ils ont vraiment fait un travail intéressant, avec des progressions spécifiques qui incluent effectivement les programmes (en râlant bien sûr parce que les temps de concertation étaient pour leur pomme), et qui surtout peuvent être réinvesties d'une année sur l'autre.
Au final, quand j'ai évoqué la possibilité d'assouplissement de juin 17 (parce que ça coûte une fortune en heures air de rien...), la réponse a été unanime et instantanée : "pas touche, on a beaucoup bossé, maintenant on veut en profiter". J'en déduis qu'ils y ont trouvé leur compte
- ElyasEsprit sacré
pogonophile a écrit:Il s'agit d'un compromis élaboré en concertation pendant toute une année de travail, donc c'est fléché mais pas par autoritarisme.
Les enseignants ont admis la nécessité de les marquer comme tels à l'emploi du temps, d'une part pour que les élèves les prennent au sérieux, d'autre part pour que eux-mêmes les fassent effectivement, en co-intervention par blocs de deux heures.
Ils ont vraiment fait un travail intéressant, avec des progressions spécifiques qui incluent effectivement les programmes (en râlant bien sûr parce que les temps de concertation étaient pour leur pomme), et qui surtout peuvent être réinvesties d'une année sur l'autre.
Au final, quand j'ai évoqué la possibilité d'assouplissement de juin 17 (parce que ça coûte une fortune en heures air de rien...), la réponse a été unanime et instantanée : "pas touche, on a beaucoup bossé, maintenant on veut en profiter". J'en déduis qu'ils y ont trouvé leur compte
Apparemment. Tu me rappelleras de ne jamais demander ce bahut pour une mutation si d'aventure l'idée inattendue de muter sur Paris me passait par l'esprit ! (ça foutrait en l'air tout mon travail de fond ce type de démarche).
- FenrirFidèle du forum
Quand j'étais élève au collège, au milieu des années 90, on suivait les cours de technologie en semestre.
Premier semestre, la première moitié de la classe. deuxième semestre l'autre moitié. Ca permettait aux collègues de n'avoir que des demis groupes toute l'année, ce qui était assez pratique à une époque où on soudait encore des trucs.
L'avantage pour des matières moins spécifiques me parait plus flou, en plus des craintes (fondées) dont il a déjà été question ici.
Premier semestre, la première moitié de la classe. deuxième semestre l'autre moitié. Ca permettait aux collègues de n'avoir que des demis groupes toute l'année, ce qui était assez pratique à une époque où on soudait encore des trucs.
L'avantage pour des matières moins spécifiques me parait plus flou, en plus des craintes (fondées) dont il a déjà été question ici.
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À quoi bon mettre son pédigrée, on est partis pour 40 ans*. ████ ████. * 42, il faut lire 42.
- AdrenFidèle du forum
Bonjour,
le collège où je suis arrivée cette année fonctionne en semestres. Nous avons bien sûr fait les 3 conseils de classe réglementaires, mais pas plus. Une première réunion avant les vacances de la Toussaint avec relevé de notes transmis aux parents, pas d'appréciations à remplir, donc, et un conseil en janvier et le suivant en juin. Je ne crois pas qu'il y ait eu de modifs d'emplois du temps.
le collège où je suis arrivée cette année fonctionne en semestres. Nous avons bien sûr fait les 3 conseils de classe réglementaires, mais pas plus. Une première réunion avant les vacances de la Toussaint avec relevé de notes transmis aux parents, pas d'appréciations à remplir, donc, et un conseil en janvier et le suivant en juin. Je ne crois pas qu'il y ait eu de modifs d'emplois du temps.
- User17095Érudit
@Elyas
Blague à part (je veux croire qu'il y a un trait d'humour dans ce que tu dis), l'autonomie des établissements et les spécificités d'organisation seront un jour un paramètre à intégrer dans les voeux de mutation - mais c'est un vaste débat à conduire ailleurs.
@Fenrir
Effectivement, il y a des matières qui s'y prêtent moins que d'autres. Les langues par exemple, qui nécessitent un contact fréquent et régulier, seraient en complet décalage ; à l'inverse, quand on parle projet, ça peut marcher.
C'est tout un équilibre à trouver entre cohérence pédagogique et faisabilité organisationnelle, à discuter longuement en conseil pédagogique.
Blague à part (je veux croire qu'il y a un trait d'humour dans ce que tu dis), l'autonomie des établissements et les spécificités d'organisation seront un jour un paramètre à intégrer dans les voeux de mutation - mais c'est un vaste débat à conduire ailleurs.
@Fenrir
Effectivement, il y a des matières qui s'y prêtent moins que d'autres. Les langues par exemple, qui nécessitent un contact fréquent et régulier, seraient en complet décalage ; à l'inverse, quand on parle projet, ça peut marcher.
C'est tout un équilibre à trouver entre cohérence pédagogique et faisabilité organisationnelle, à discuter longuement en conseil pédagogique.
- maduNiveau 8
J’ai l’expérience des semestres en tant que parent uniquement et, de ce point de vue, ça ne change pas grand chose : quatre relevés de notes par an et deux bulletins avec appréciations. Pas de changement d’emploi du temps au second trimestre et pas de contre-indication liée au niveau (ma fille est en troisième).
J’y vois donc un unique avantage, celui de ne pas courir après les notes.
Je me dis aussi que pour les parents qui suivent leur enfant « de loin », il est déjà tard quand arrivent les premières appréciations.
J’y vois donc un unique avantage, celui de ne pas courir après les notes.
Je me dis aussi que pour les parents qui suivent leur enfant « de loin », il est déjà tard quand arrivent les premières appréciations.
- Isis39Enchanteur
Elyas a écrit:pogonophile a écrit:Disons que lui et moi avons en commun d'avoir organisé certains enseignements en semestre, par exemple les EPI jusqu'à cette année : les classes en faisaient deux différents, pendant que l'une faisait EPI A au premier semestre EPI B au second, l'autre faisait l'inverse. Le but était justement d'éviter de déséquilibrer les emplois du temps, tout le monde est donc content.
Si j'avais su que je pouvais me faire mousser avec ce qui relève simplement de l'astuce d'organisation, j'aurais en passant inventé l'eau chaude et contacté le Parisien
Tu as fléché les EPI... Quelle horreur ! Je sais bien que ça permet d'être certain qu'ils soient accomplis mais les EPI doivent être faits au sein des disciplines et de leurs programmes et flécher des EPI est le meilleur moyen pour sortir des programmes, les décontextualiser et au final avoir peu d'apprentissage (enfin de ce que j'ai vu). J'ai toujours plaidé pour la souplesse et la confiance envers les équipes.
Enfin bon, l'institution a valorisé ce type de fléchage aussi.
Cela donne de bons résultats chez toi, Pogonophile ?
Le fléchage des EPI pour les profs d'HG c'est juste impossible. Je ne comprends pas comment on peut intégrer ça dans une progression si c'est en dehors des cours. En tout cas c'est le meilleur moyen de ne jamais terminer ces fichus programmes.
- PetraPortoNiveau 10
Je l'ai vécu l'an dernier et c'était bien. J'étais dans une réponse. On avait des conseils de mon trimestre que deux entre midi et deux. On évoquait que les élèves qui présentaient des cas difficiles pour leur proposer une aide ou d'adapter des dispositifs. Et on avait que deux conseils de classe. Les profs n'avaient pas le stress des notes et des bulletins à remplir en catastrophe. Les élèves étaient moins stressés. L'inconvénient c'est qu'il y avait parfois une période de flottement pour les élèves durant les conseils de mi semestre.
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