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- PasseroseNeoprof expérimenté
Je lis les questions au début puis ils ont droit de poser des questions. Mais les 3ème l'an dernier m'ont demandé de ne plus lire oralement les questions, parce qu'ils perdaient du temps su l'heure de devoir.
Je réserve le début du devoir pour les questions collectives, puis je leur dis que je ne répondrai qu'aux questions pour savoir comment faire, et je suis quand même obligée de circuler un peu. J'ai quand même trouvé un bon truc : je reste au bureau et, soit ils posent leur question de leur place, soit ils viennent me la poser au bureau.
Je réserve le début du devoir pour les questions collectives, puis je leur dis que je ne répondrai qu'aux questions pour savoir comment faire, et je suis quand même obligée de circuler un peu. J'ai quand même trouvé un bon truc : je reste au bureau et, soit ils posent leur question de leur place, soit ils viennent me la poser au bureau.
- AbraxasDoyen
Je marche sans arrêt, pendant les DS (six heures !), et je jette un œil sur ce qu'ils écrivent. Et du doigt, sans rien dire, je pointe un mot mal orthographié — c'est tout. Je préfère les corriger pendant que m'énerver dessus après.
- Singing in The RainHabitué du forum
J'ai trouvé une technique qui me convient parfaitement : je ne réponds à aucune question orale mais aux questions écrites auxquelles je réponds par écrit.
Si la question est superflue, les élèves ne perdent pas de temps pour la noter.
Si elle est essentielle, ils l'écrivent, lèvent la main en silence, je viens, je note la réponse. Le tout se fait dans le calme et permet d'éviter les blocages complets de certains.
C'est très efficace et très juste !
Si la question est superflue, les élèves ne perdent pas de temps pour la noter.
Si elle est essentielle, ils l'écrivent, lèvent la main en silence, je viens, je note la réponse. Le tout se fait dans le calme et permet d'éviter les blocages complets de certains.
C'est très efficace et très juste !
- MSFidèle du forum
Je n'aide pas, comme cela a été dit, je lis les questions, explique les points délicats, et leur interdis absolument d'intervenir pendant le contrôle. Cela étant, il m'arrive souvent de leur redonner le contrôle pour qu'ils recommencent une ou deux questions si je me rends compte que la majorité n'a rien compris, je reformule alors la question, ils refont et je rajoute quelques petits points.
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Pas de deuxième année d'IUFM!
- DwarfVénérable
Abraxas a écrit:Je marche sans arrêt, pendant les DS (six heures !), et je jette un œil sur ce qu'ils écrivent. Et du doigt, sans rien dire, je pointe un mot mal orthographié — c'est tout. Je préfère les corriger pendant que m'énerver dessus après.
Ah oui, j'oubliais ce détail-là - que je pratique aussi -, effectivement. Mais bon, cela ne rentrait pas dans le cadre du sujet, pensais-je (à tort, j'imagine).
- MirkoNiveau 8
Abraxas a écrit:Je marche sans arrêt, pendant les DS (six heures !), et je jette un œil sur ce qu'ils écrivent. Et du doigt, sans rien dire, je pointe un mot mal orthographié — c'est tout. Je préfère les corriger pendant que m'énerver dessus après.
+1 ou mon regard expressif fait comprendre à certains qu'il vaut mieux vérifier ce qui est écrit.
- PoupsSage
J'ai eu une fois une classe très, très faible avec quelques bons éléménts...( 5).
Je les ai aidés....
Je me comportais comme Mirko pour les élèves qui étaient bons ....
Pour ceux qui étaient faibles et plus, je me penchais davantage sur leur cas...
Je faisais aussi comme Abraxas....Je me balladais dans les rangs et regardais.........
J'avais une classe avec plusieurs niveaux.....
Difficille d' appliquer la pédagogie différenciée.....
La classe était difficile aussi ....
Je les ai aidés....
Je me comportais comme Mirko pour les élèves qui étaient bons ....
Pour ceux qui étaient faibles et plus, je me penchais davantage sur leur cas...
Je faisais aussi comme Abraxas....Je me balladais dans les rangs et regardais.........
J'avais une classe avec plusieurs niveaux.....
Difficille d' appliquer la pédagogie différenciée.....
La classe était difficile aussi ....
- AloysaNiveau 8
Je ne réponds à aucune question sauf s'il y a un gros pb manifeste qui gene une majorité d'élèves. Je prépare mes éval de façon à ce que ce soit clair et je préfère les habituer à se débrouiller seuls, parfois ils doivent trancher quand ils hésitent, eh bien ils le font, parfois se plantent, pas toujours heureusement. (je suis en lycée).
Je passe aussi dans les rangs une à deux fois pour vérifier qu'il n'y a pas de souci majeur.
Mais arpenter la salle en continu je ne le fais jamais, en tant qu'élève j'ai tjs trouvé cela insupportable.
Je passe aussi dans les rangs une à deux fois pour vérifier qu'il n'y a pas de souci majeur.
Mais arpenter la salle en continu je ne le fais jamais, en tant qu'élève j'ai tjs trouvé cela insupportable.
- SW5 n roos' valleyNiveau 5
ça m'arrive quelquefois.
ça m'est arrivé avant-hier.
En 6ème, un gamin avait écrit "tree" dans son éval. Sachant qu'il savait, je lui ai donné une ardoise et lui ai discrètement demandé d'écrire 3 - il écrivit THREE. Tout était réglé.
Chaque élève aura droit à sa chance comme ça dans l'année.
Quelquefois, c'est le jour de la remise des éval. Si je sais que l'élève X sait mais qu'il a écrit n'importe quoi, avant de lui rendre sa copie, je lui repose la q° à laquelle il a eu tout faux: S'il s'auto-corrige, là, immédiatement je remonte la note. (en partant du principe que c'est stressant et qu'il doit mobiliser le savoir dans l'urgence)
ça m'est arrivé avant-hier.
En 6ème, un gamin avait écrit "tree" dans son éval. Sachant qu'il savait, je lui ai donné une ardoise et lui ai discrètement demandé d'écrire 3 - il écrivit THREE. Tout était réglé.
Chaque élève aura droit à sa chance comme ça dans l'année.
Quelquefois, c'est le jour de la remise des éval. Si je sais que l'élève X sait mais qu'il a écrit n'importe quoi, avant de lui rendre sa copie, je lui repose la q° à laquelle il a eu tout faux: S'il s'auto-corrige, là, immédiatement je remonte la note. (en partant du principe que c'est stressant et qu'il doit mobiliser le savoir dans l'urgence)
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