- clarzy1Je viens de m'inscrire !
Bonjour,
J’ai débuté dans le métier il y a quelques mois en tant que contractuelle, suite à l’ouverture d’un dispositif d’accueil « d’urgence » pour EANA-NSA dans un LP.
La fin d’année approche et les vœux d’affectations pour les élèves ont été rendu. Je vis assez mal cette situation car un seul élève de la classe a pu émettre des vœux (pour les autres, il a été décidé conjointement avec une autre enseignante et la principal du lycée qu’ils·elles seraient à nouveau affecté·es dans une classe UPE2A similaire (avec ou sans inclusion en classe ordinaire, je ne sais pas) Ces élèves ont tous 17 ans et font pression, avec l’aide de leurs éducateurs, pour obtenir le document leur permettant de faire des vœux pour l’année prochaine.
Certain·es ne sont réellement pas prêt.es du tout, mais d’autres sont assez proches du but, et en travaillant d’arrache pied, pourrait (je le crois) suivre une scolarité en CAP.
J’ai essayé d’avancer l’argument qu’ils étaient motivé·es et pouvaient s’accrocher mais faute de projet professionnel bien établi, la principale a décrété d’emblée qu’il·elles n’iraient pas en formation pro, car cela prend des places pour des élèves qui ont plus de chance de réussir.
Je précise que ces élèves ont déjà 17 ans et seront livré·es à eux même, sans aucune formation donc, dans très peu de temps. Je vis la situation comme un échec. Je n’ai pas réussi à les accompagner correctement et ils·elles m’en veulent (forcément ) car c’est ma collègue et moi même qui avons statué sur leurs niveaux.
En tant que professeur·e en UPE2A comment gérer le contact avec ces élèves qui ont la sensation de vivre de véritables injustices ?
Les élèves me tiennent pour responsable car je suis leur interlocutrice directe, pas la principale du lycée, qui est bien cachée derrière son bureau…
Ces situations humaines sont difficiles à vivre.
Je ne sais pas si des personnes sur ce forum ont déjà vécu une expérience similaire avec des EANA ?
J’ai débuté dans le métier il y a quelques mois en tant que contractuelle, suite à l’ouverture d’un dispositif d’accueil « d’urgence » pour EANA-NSA dans un LP.
La fin d’année approche et les vœux d’affectations pour les élèves ont été rendu. Je vis assez mal cette situation car un seul élève de la classe a pu émettre des vœux (pour les autres, il a été décidé conjointement avec une autre enseignante et la principal du lycée qu’ils·elles seraient à nouveau affecté·es dans une classe UPE2A similaire (avec ou sans inclusion en classe ordinaire, je ne sais pas) Ces élèves ont tous 17 ans et font pression, avec l’aide de leurs éducateurs, pour obtenir le document leur permettant de faire des vœux pour l’année prochaine.
Certain·es ne sont réellement pas prêt.es du tout, mais d’autres sont assez proches du but, et en travaillant d’arrache pied, pourrait (je le crois) suivre une scolarité en CAP.
J’ai essayé d’avancer l’argument qu’ils étaient motivé·es et pouvaient s’accrocher mais faute de projet professionnel bien établi, la principale a décrété d’emblée qu’il·elles n’iraient pas en formation pro, car cela prend des places pour des élèves qui ont plus de chance de réussir.
Je précise que ces élèves ont déjà 17 ans et seront livré·es à eux même, sans aucune formation donc, dans très peu de temps. Je vis la situation comme un échec. Je n’ai pas réussi à les accompagner correctement et ils·elles m’en veulent (forcément ) car c’est ma collègue et moi même qui avons statué sur leurs niveaux.
En tant que professeur·e en UPE2A comment gérer le contact avec ces élèves qui ont la sensation de vivre de véritables injustices ?
Les élèves me tiennent pour responsable car je suis leur interlocutrice directe, pas la principale du lycée, qui est bien cachée derrière son bureau…
Ces situations humaines sont difficiles à vivre.
Je ne sais pas si des personnes sur ce forum ont déjà vécu une expérience similaire avec des EANA ?
- AnguaGrand sage
Je connais bien (hélas) ce genre de situation : je viens de t'envoyer mon mail par MP, ce sera plus simple et discret (il y a peu de NSA dans certaines zones, j'ignore ce qu'il en est pour l'Isère...)
Juste un conseil en attendant : écris au CASNAV pour leur présenter la situation, ce n'est pas normal !
Juste un conseil en attendant : écris au CASNAV pour leur présenter la situation, ce n'est pas normal !
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