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- pretoriahelsinkiNiveau 7
Bonjour à tous,
Mon fils en terminale se destine à postuler en CPGE scientifiques. Ses résultats, un peu au dessus de la moyenne dans les disciplines scientifiques, limitent l'envergure de ses prétentions en matière de vœux.
Aussi, je me tourne vers vous pour solliciter votre avis : il y a une prépa modeste, sans que ce soit péjoratif, dans notre petite ville de province, de petite taille, et qui reste attractive, et une CPGE à Amiens, notre capitale régionale, à une heure de train.
Notre fils, et nous par la même occasion, hésitons a l'ordre des voeux : pensez-vous qu'il y ait vraiment une plus value à postuler pour Amiens ? Ses résultats pour l'instant modestes nous font douter de l'opportunité de placer ce vœu en premier, qu'en pensez vous ?
Merci
Mon fils en terminale se destine à postuler en CPGE scientifiques. Ses résultats, un peu au dessus de la moyenne dans les disciplines scientifiques, limitent l'envergure de ses prétentions en matière de vœux.
Aussi, je me tourne vers vous pour solliciter votre avis : il y a une prépa modeste, sans que ce soit péjoratif, dans notre petite ville de province, de petite taille, et qui reste attractive, et une CPGE à Amiens, notre capitale régionale, à une heure de train.
Notre fils, et nous par la même occasion, hésitons a l'ordre des voeux : pensez-vous qu'il y ait vraiment une plus value à postuler pour Amiens ? Ses résultats pour l'instant modestes nous font douter de l'opportunité de placer ce vœu en premier, qu'en pensez vous ?
Merci
- MelanieSLBDoyen
Il n'y a plus de classement des voeux donc tu les mets dans l'ordre que tu veux sans que cela n'ait d'impact. Il serait intéressant qu'il aille voir les 2 CPGE au moins aux portes ouvertes. Chez nous, on fait des journées d'immersion pour ceux qui hésitent.
_________________
La réforme du collège en clair : www.reformeducollege.fr .
Et pour ceux qui voudraient en comprendre quelques fondements idéologiques:
De l’école, Jean-Claude Milner, visionnaire en 1984 (ça ne s'invente pas!) de ce qui nous arrive: "On ne dira pas que les enseignants sont l'appendice inutile d'une institution dangereuse et presque criminelle; on dira seulement qu'ils doivent devenir Autres: animateurs, éducateurs, grands frères, nourrices, etc. La liste est variable. Que, par là, les enseignants cessent d’être ce qu'ils doivent être, c'est encore une fois sortir de la question. On ne dira pas que les enseignants n'ont pas à exister, mais qu'ils ont à exister Autrement. Que cette Autre existence consiste à renoncer à soi-même pour disparaître dans la nuit éducative et s'y frotter, tous corps et tous esprits confondus, avec les partenaires de l'acte éducatif - manutentionnaires, parents, élèves, etc. -, seul un méchant pourrait en prendre ombrage." (page 24)
- clo74Niveau 9
Comme l'a écrit MelanieSLB, tu mets les voeux dans l'ordre que tu veux! Et il faut vraiment aller aux portes ouvertes des CPGE, pour voir quelle est l'ambiance : mon fils, plutôt bon élève mais pas excellent en terminale, a préféré la prépa modeste, car cela correspond à son caractère, il ne veut pas subir de pression excessive, cela le décourage. Certains élèves, au contraire, aiment la pression et les défis, cela les motive.
- pretoriahelsinkiNiveau 7
Merci pour vos réponses.
Effectivement , aller aux JPO et faire une journée en immersion me semble un pré-requis indispensable, je vais encourager mon fils à le faire..
Effectivement , aller aux JPO et faire une journée en immersion me semble un pré-requis indispensable, je vais encourager mon fils à le faire..
- ProtonExpert
Quelle filière ?
Avec des résultats modestes il peut faire un très beau parcours en PTSI.
Il faut voir son aisance en mathématiques aussi car MPSI pourra être un peu difficile.
Avec des résultats modestes il peut faire un très beau parcours en PTSI.
Il faut voir son aisance en mathématiques aussi car MPSI pourra être un peu difficile.
- Calypso64Niveau 10
Bonsoir,
Si ce n'est pas indiscret, quelles sont ses moyennes de Spé à l'heure actuelle ?
Si ce n'est pas indiscret, quelles sont ses moyennes de Spé à l'heure actuelle ?
- EdithWGrand sage
Ma fille, qui postule en CPGE littéraire, avec 14,7 de moyenne générale (mais en dents de scie selon les disciplines), a été convaincue par sa journée d’immersion, après un premier contact sur un salon d’orientation puis les PO l’an dernier, prépa de bon niveau mais pas dans le top 10 non plus. Rien ne remplace le contact direct. Si, en prime, il faut être interne par exemple, c’est rassurant pour les parents comme le jeune de voir à quoi ça ressemble, de discuter avec des étudiants qui sont dedans, etc. Et dans mon expérience, les équipes sont de bon conseil, sans langue de bois.
- pseudo-intelloSage
Ma sœur et moi sommes passées par la prépa également, dans notre ville (enfin, la ville la plus proche), ville de taille comparable à Amiens, mais dont la prépa est modeste. La khagne tournait entre 0 et 1 admis quoi.
On a toutes les deux apprécié de pouvoir retrouver chaque soir nos bons lits, notre univers, la bonne cuisine de maman, etc. D'ailleurs, ma sœur a intégré normale Sup du premier coup (et fait donc partie de 5% d'intégrants aux grandes écoles malgré le faible bagage parental en terme d'études), comme quoi, les bonnes prépas, ce ne sont pas forcément de meilleurs enseignant, c'est juste que les élèves qui intègrent ont un meilleur niveau d'emblée.
On a toutes les deux apprécié de pouvoir retrouver chaque soir nos bons lits, notre univers, la bonne cuisine de maman, etc. D'ailleurs, ma sœur a intégré normale Sup du premier coup (et fait donc partie de 5% d'intégrants aux grandes écoles malgré le faible bagage parental en terme d'études), comme quoi, les bonnes prépas, ce ne sont pas forcément de meilleurs enseignant, c'est juste que les élèves qui intègrent ont un meilleur niveau d'emblée.
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- pretoriahelsinkiNiveau 7
Proton a écrit:Quelle filière ?
Avec des résultats modestes il peut faire un très beau parcours en PTSI.
Il faut voir son aisance en mathématiques aussi car MPSI pourra être un peu difficile.
Il aime la physique, il aimerait travailler dans un domaine proche de l'espace ou l'aéronautique..
Pourquoi il ferait un meilleur parcours en PTSI ? Ce serait plus accessible ? Je ne connaissais pas cette différence de niveau, dans ce cas ( j'étais moi-même khâgneux)
- pretoriahelsinkiNiveau 7
Calypso64 a écrit:Bonsoir,
Si ce n'est pas indiscret, quelles sont ses moyennes de Spé à l'heure actuelle ?
Non, bien sûr, ce n'est pas indiscret.
Mon fils est plutôt un diesel, qui met du temps à se mettre en route... Il est pour l'instant vers 10-11 en maths, 12-13 en SPC, et il progresse en maths expertes, il vient de dépasser la moyenne et tend vers 12...
Il a mis un peu de temps à se mettre en place cette année, car il a changé chaque année du lycée d'établissement ( nous avons muté à chaque fois)
- pretoriahelsinkiNiveau 7
pseudo-intello a écrit:Ma sœur et moi sommes passées par la prépa également, dans notre ville (enfin, la ville la plus proche), ville de taille comparable à Amiens, mais dont la prépa est modeste. La khagne tournait entre 0 et 1 admis quoi.
On a toutes les deux apprécié de pouvoir retrouver chaque soir nos bons lits, notre univers, la bonne cuisine de maman, etc. D'ailleurs, ma sœur a intégré normale Sup du premier coup (et fait donc partie de 5% d'intégrants aux grandes écoles malgré le faible bagage parental en terme d'études), comme quoi, les bonnes prépas, ce ne sont pas forcément de meilleurs enseignant, c'est juste que les élèves qui intègrent ont un meilleur niveau d'emblée.
Merci pour votre témoignage...Je suis persuadé qu'en termes d'enseignants, il n'y a pas de différences entre "petites" CPGE et "moyennes" CPGE. Nous nous interrogeons sur le véritable intérêt de choisir un établissement à 1 km de notre domicile et un autre à une heure de train, par contre, si nous choisissions le plus proche, nous envisageons quand même, avec accord de notre fils, de l'y mettre à l'internat, pour qu'il profite d'une émulation maximale, d'un cadre profitable à l'étude, et qu'il se dirige tranquillement vers l'autonomie à son rythme. Devrions-nous lui imposer les A/R hebdomadaires ou lui faire profiter du confort de la proximité ? C'est notre interrogation.
- pseudo-intelloSage
Clairement, ici, on penche pour le confort.
Habiter à la maison, outre de meilleurs repas, un meilleur confort de nuit, c'est aussi moins de charge mentale : pas de valise, pas à se demander quelles affaires on prend, quelles affaires on laisse, pas de chambre à fermer à clé ou que sais-je si on a des objets de valeur, etc.
Ma sœur a dit que si elle a obtenu l'ENS en carré, dans une prépa où personne n'avait intégré en carré depuis des années et malgré des statistiques sociales en sa défaveur (fille de "petits employée n'ayant jamais fréquenté le lycée général), c'est aussi parce que ma mère la déchargeait complètement, et que quand il y a fallu donner un coup de collier sur les études, elle n'avait pas à se poser d’autres questions que celles de son travail scolaire.
Moi, je n'ai pas intégré, mais retrouver chaque soir le confort de ma maison m'a permis de mieux tenir dans les moments scolairement déprimants.
Habiter à la maison, outre de meilleurs repas, un meilleur confort de nuit, c'est aussi moins de charge mentale : pas de valise, pas à se demander quelles affaires on prend, quelles affaires on laisse, pas de chambre à fermer à clé ou que sais-je si on a des objets de valeur, etc.
Ma sœur a dit que si elle a obtenu l'ENS en carré, dans une prépa où personne n'avait intégré en carré depuis des années et malgré des statistiques sociales en sa défaveur (fille de "petits employée n'ayant jamais fréquenté le lycée général), c'est aussi parce que ma mère la déchargeait complètement, et que quand il y a fallu donner un coup de collier sur les études, elle n'avait pas à se poser d’autres questions que celles de son travail scolaire.
Moi, je n'ai pas intégré, mais retrouver chaque soir le confort de ma maison m'a permis de mieux tenir dans les moments scolairement déprimants.
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- denis_neoprofsNiveau 5
Pour l'internat, renseignez-vous bien sur la logistique. J'ai été interne en sup/spé dans les années 90. 4 par chambre, des sports études pour voisin, bref tout le contraire d'un cadre profitable.pretoriahelsinki a écrit:pseudo-intello a écrit:Ma sœur et moi sommes passées par la prépa également, dans notre ville (enfin, la ville la plus proche), ville de taille comparable à Amiens, mais dont la prépa est modeste. La khagne tournait entre 0 et 1 admis quoi.
On a toutes les deux apprécié de pouvoir retrouver chaque soir nos bons lits, notre univers, la bonne cuisine de maman, etc. D'ailleurs, ma sœur a intégré normale Sup du premier coup (et fait donc partie de 5% d'intégrants aux grandes écoles malgré le faible bagage parental en terme d'études), comme quoi, les bonnes prépas, ce ne sont pas forcément de meilleurs enseignant, c'est juste que les élèves qui intègrent ont un meilleur niveau d'emblée.
Merci pour votre témoignage...Je suis persuadé qu'en termes d'enseignants, il n'y a pas de différences entre "petites" CPGE et "moyennes" CPGE. Nous nous interrogeons sur le véritable intérêt de choisir un établissement à 1 km de notre domicile et un autre à une heure de train, par contre, si nous choisissions le plus proche, nous envisageons quand même, avec accord de notre fils, de l'y mettre à l'internat, pour qu'il profite d'une émulation maximale, d'un cadre profitable à l'étude, et qu'il se dirige tranquillement vers l'autonomie à son rythme. Devrions-nous lui imposer les A/R hebdomadaires ou lui faire profiter du confort de la proximité ? C'est notre interrogation.
De manière générale, j'aurais tendance à privilégier tout "le confort" possible.
- DesolationRowEmpereur
pseudo-intello a écrit:Clairement, ici, on penche pour le confort.
Habiter à la maison, outre de meilleurs repas, un meilleur confort de nuit, c'est aussi moins de charge mentale : pas de valise, pas à se demander quelles affaires on prend, quelles affaires on laisse, pas de chambre à fermer à clé ou que sais-je si on a des objets de valeur, etc.
Ma sœur a dit que si elle a obtenu l'ENS en carré, dans une prépa où personne n'avait intégré en carré depuis des années et malgré des statistiques sociales en sa défaveur (fille de "petits employée n'ayant jamais fréquenté le lycée général), c'est aussi parce que ma mère la déchargeait complètement, et que quand il y a fallu donner un coup de collier sur les études, elle n'avait pas à se poser d’autres questions que celles de son travail scolaire.
Moi, je n'ai pas intégré, mais retrouver chaque soir le confort de ma maison m'a permis de mieux tenir dans les moments scolairement déprimants.
C'est amusant, parce que je suis à peu près sûr que si j'ai intégré, c'est que justement j'étais dans un foyer (très confortable par ailleurs), et qu'il a fallu qu'avec mes brave seize ans je grandisse un peu plus vite que si j'étais resté chez mes parents - encore une fois, tout est relatif, c'est quand même pas bien compliqué de faire sa valise pour les vacances, de fermer sa chambre à clef, d'apprendre à se faire à dîner les samedis et dimanches. La vraie difficulté n'est pas pratique, elle est de se retrouver seul, le soir, face à ses versions, ses dissertations et ses mauvaises notes - je ne rentrais pas chez moi les week-end (quatre heures de train aller, puis quatre heures retour, ce n'était pas envisageable), je travaillais dans ma chambre. Si j'étais resté confortablement dans ma prépa de province, où j'aurais sans aucun doute été dès le début en tête de classe au lieu de ramer, si j'étais resté dans le même environnement familial qu'au lycée, il est absolument certain que je n'aurais pas fait les mêmes études. Mais cela dépend sans doute du caractère de chacun.
- bénouNiveau 10
DesolationRow a écrit:pseudo-intello a écrit:Clairement, ici, on penche pour le confort.
Habiter à la maison, outre de meilleurs repas, un meilleur confort de nuit, c'est aussi moins de charge mentale : pas de valise, pas à se demander quelles affaires on prend, quelles affaires on laisse, pas de chambre à fermer à clé ou que sais-je si on a des objets de valeur, etc.
Ma sœur a dit que si elle a obtenu l'ENS en carré, dans une prépa où personne n'avait intégré en carré depuis des années et malgré des statistiques sociales en sa défaveur (fille de "petits employée n'ayant jamais fréquenté le lycée général), c'est aussi parce que ma mère la déchargeait complètement, et que quand il y a fallu donner un coup de collier sur les études, elle n'avait pas à se poser d’autres questions que celles de son travail scolaire.
Moi, je n'ai pas intégré, mais retrouver chaque soir le confort de ma maison m'a permis de mieux tenir dans les moments scolairement déprimants.
C'est amusant, parce que je suis à peu près sûr que si j'ai intégré, c'est que justement j'étais dans un foyer (très confortable par ailleurs), et qu'il a fallu qu'avec mes brave seize ans je grandisse un peu plus vite que si j'étais resté chez mes parents - encore une fois, tout est relatif, c'est quand même pas bien compliqué de faire sa valise pour les vacances, de fermer sa chambre à clef, d'apprendre à se faire à dîner les samedis et dimanches. La vraie difficulté n'est pas pratique, elle est de se retrouver seul, le soir, face à ses versions, ses dissertations et ses mauvaises notes - je ne rentrais pas chez moi les week-end (quatre heures de train aller, puis quatre heures retour, ce n'était pas envisageable), je travaillais dans ma chambre. Si j'étais resté confortablement dans ma prépa de province, où j'aurais sans aucun doute été dès le début en tête de classe au lieu de ramer, si j'étais resté dans le même environnement familial qu'au lycée, il est absolument certain que je n'aurais pas fait les mêmes études. Mais cela dépend sans doute du caractère de chacun.
Mais tu penses que ta réussite est liée au fait d'être interne plutôt que logé chez tes parents ? Elle n'est pas plutôt liée à la prépa elle-même (grande prépa parisienne vs prépa de province) ?
Mon fils a fait le choix inverse (rester chez nous) et ça ne l'a pas desservi, bien au contraire. Mais effectivement je pense que cela dépend du caractère, de l'environnement familial... Tout le monde n'apprécie pas de bosser à plusieurs, par exemple.
- DesolationRowEmpereur
bénou a écrit:
Mais tu penses que ta réussite est liée au fait d'être interne plutôt que logé chez tes parents ? Elle n'est pas plutôt liée à la prépa elle-même (grande prépa parisienne vs prépa de province) ?
En fait, je pense que oui , en bonne partie (l'émulation dans la prépa parisienne a évidemment joué aussi) mais ça tient sans doute à mon caractère, assez fainéant et dilettante, je suis à peu près certain que le confort m'aurait desservi.
- LemmyKHabitué du forum
Il va falloir qu'il mette un sacré coup de collier. Si les élèves de mon lycée avaient ces moyennes, on ne leur conseillerait certainement pas une prépa(mais je ne dis pas que c'est impossible qu'il réussisse en prépa).pretoriahelsinki a écrit:Calypso64 a écrit:Bonsoir,
Si ce n'est pas indiscret, quelles sont ses moyennes de Spé à l'heure actuelle ?
Non, bien sûr, ce n'est pas indiscret.
Mon fils est plutôt un diesel, qui met du temps à se mettre en route... Il est pour l'instant vers 10-11 en maths, 12-13 en SPC, et il progresse en maths expertes, il vient de dépasser la moyenne et tend vers 12...
Il a mis un peu de temps à se mettre en place cette année, car il a changé chaque année du lycée d'établissement ( nous avons muté à chaque fois)
- pretoriahelsinkiNiveau 7
LemmyK a écrit:Il va falloir qu'il mette un sacré coup de collier. Si les élèves de mon lycée avaient ces moyennes, on ne leur conseillerait certainement pas une prépa(mais je ne dis pas que c'est impossible qu'il réussisse en prépa).pretoriahelsinki a écrit:Calypso64 a écrit:Bonsoir,
Si ce n'est pas indiscret, quelles sont ses moyennes de Spé à l'heure actuelle ?
Non, bien sûr, ce n'est pas indiscret.
Mon fils est plutôt un diesel, qui met du temps à se mettre en route... Il est pour l'instant vers 10-11 en maths, 12-13 en SPC, et il progresse en maths expertes, il vient de dépasser la moyenne et tend vers 12...
Il a mis un peu de temps à se mettre en place cette année, car il a changé chaque année du lycée d'établissement ( nous avons muté à chaque fois)
Oui, c'est vrai, nous en sommes bien conscients, lui un peu moins.
- pretoriahelsinkiNiveau 7
LemmyK a écrit:Il va falloir qu'il mette un sacré coup de collier. Si les élèves de mon lycée avaient ces moyennes, on ne leur conseillerait certainement pas une prépa(mais je ne dis pas que c'est impossible qu'il réussisse en prépa).pretoriahelsinki a écrit:Calypso64 a écrit:Bonsoir,
Si ce n'est pas indiscret, quelles sont ses moyennes de Spé à l'heure actuelle ?
Non, bien sûr, ce n'est pas indiscret.
Mon fils est plutôt un diesel, qui met du temps à se mettre en route... Il est pour l'instant vers 10-11 en maths, 12-13 en SPC, et il progresse en maths expertes, il vient de dépasser la moyenne et tend vers 12...
Il a mis un peu de temps à se mettre en place cette année, car il a changé chaque année du lycée d'établissement ( nous avons muté à chaque fois)
Mais sinon, vous leur conseilleriez quoi ? Un BUT ? + Il ne nous semble pas du tout avoir la maturité suffisante pour une licence..
- LemmyKHabitué du forum
Je pencherais vers un BUT, même si je ne connais pas trop depuis la réforme.
- pretoriahelsinkiNiveau 7
Merci beaucoup pour ta réponse. Nous allons nous rendre aux jpo des prépas avec les bulletins de mon fils et nous allons, avec lui, envisager un BUT.
Concernant une prépa intégrée, qu'en pensez vous ? C'est aussi ce qu'a suggéré sa professeur de mathématiques, en indiquant qu'il aurait moins de pression, plus de temps pour travailler et aussi pour s'intégrer au groupe.
Merci pour votre réponse
Concernant une prépa intégrée, qu'en pensez vous ? C'est aussi ce qu'a suggéré sa professeur de mathématiques, en indiquant qu'il aurait moins de pression, plus de temps pour travailler et aussi pour s'intégrer au groupe.
Merci pour votre réponse
- chmarmottineGuide spirituel
Ton fils a-t-il un projet précis ?
Il faut de toute façon multiplier et diversifier les voeux.
A-t-il regardé aussi les prépa PCSI ?
De quelle prépa intégrée parles-tu ? Les prépas intégrées ne sont pas toujours plus simples à vivre qu'une CPGE classique car il faut y réussir pendant deux ans alors qu'en CPGE, on peut se planter aux DS mais ce sont les concours qui comptent.
Il y a beaucoup de places aux concours et des banques d'écoles de niveaux graduels. Ne pas négliger le français et l'anglais.
Les BUT sont aussi des filières sélectives pour y entrer et pour y rester ! Il ne faut pas se contenter de voeux proches du domicile.
Et les INSA ?
Il y aussi les CUPGE en université.
Il faut de toute façon multiplier et diversifier les voeux.
A-t-il regardé aussi les prépa PCSI ?
De quelle prépa intégrée parles-tu ? Les prépas intégrées ne sont pas toujours plus simples à vivre qu'une CPGE classique car il faut y réussir pendant deux ans alors qu'en CPGE, on peut se planter aux DS mais ce sont les concours qui comptent.
Il y a beaucoup de places aux concours et des banques d'écoles de niveaux graduels. Ne pas négliger le français et l'anglais.
Les BUT sont aussi des filières sélectives pour y entrer et pour y rester ! Il ne faut pas se contenter de voeux proches du domicile.
Et les INSA ?
Il y aussi les CUPGE en université.
- pretoriahelsinkiNiveau 7
chmarmottine a écrit:Ton fils a-t-il un projet précis ?
Il faut de toute façon multiplier et diversifier les voeux.
A-t-il regardé aussi les prépa PCSI ?
De quelle prépa intégrée parles-tu ? Les prépas intégrées ne sont pas toujours plus simples à vivre qu'une CPGE classique car il faut y réussir pendant deux ans alors qu'en CPGE, on peut se planter aux DS mais ce sont les concours qui comptent.
Il y a beaucoup de places aux concours et des banques d'écoles de niveaux graduels. Ne pas négliger le français et l'anglais.
Les BUT sont aussi des filières sélectives pour y entrer et pour y rester ! Il ne faut pas se contenter de voeux proches du domicile.
Et les INSA ?
Il y aussi les CUPGE en université.
Eh bien, il aimerait travailler dans l'aérospatial, l'aéronautique.
C'est pourquoi, comme sa matière de prédilection, c'est la SPC, une prépa PCSI semblait tout indiquée. Mais à la réunion parents-profs, le collègue de SPC décrivait les résultats de mon fils comme "fragile" et la prof de maths partait quand même du principe qu'il serait "malheureux" en prépa, si ses résultats ne suivaient pas, et qu'il vivait mal la pression afférente...
Elle lui a conseillé, éventuellement, de se tourner vers les prépas intégrées, qui ne mettraient pas autant l'étudiant sous pression. "En prépa intégrée, il faut réussir pendant deux ans": qu'est-ce que tu veux dire ? ( en plus la prépa intégrée a un coût non négligeable. Merci pour le conseil de pas négliger le français et l'anglais, je lui répète aussi.
On se renseigne donc aussi sur les BUT , je vais voir les files du forum qui en traitent, ça nous semble aussi intéressant, même si un cran au-dessous de la prépa, et puis il y a des passerelles vers les écoles d'ingé, ou encore la possibilité de poursuivre en master.. J'ai identifié 3 BUT dans son domaine : chimie /mesures physiques/génie physique.. On tendrait plutôt à éliminer le génie physique, qui semble moins généraliste que le mesures physiques ( après je me méprends peut-être...). Nous allons nous rendre aux JPO de ces 3 BUT.
Merci beaucoup pour les conseils, et très joyeuses fêtes de fin d'année !
- MimicracraFidèle du forum
chmarmottine a écrit:Ton fils a-t-il un projet précis ?
Il faut de toute façon multiplier et diversifier les voeux.
A-t-il regardé aussi les prépa PCSI ?
Il y aussi les CUPGE en université.
Salut, je suis à la recherche de retours d'expérience sur les CUPGE.
Ma fille voudrait tenter MPSI mais je crains qu'elle galère.
Elle a 17 en maths / 14,5 en expertes mais seulement 12 en physique et 11 en anglais
- Javier70Niveau 5
Bonjour,
Et quand il était petit il voulait être pompier, non ?
Car ce genre de considération et réponse ne veut rien dire du tout ! Il veut être stewart ? technicien en bout de piste ?
Dans l'aéro, il y a 15000 métiers différentes ! de pilote à technicien en passant par l'ingé systèmes embarqués responsable du tableau de bord de l'A 350...
Pour info, et pour ne pas les citer, les prépas intégrées des INSA sont pire qu'un grand nombre de cpge classiques, du point de vue travail et autre. Donc faut se méfier...
carte DUT carte pas à jour avec les nouvelles dénominations, mais les variations doivent être minimes...
pretoriahelsinki a écrit:
Eh bien, il aimerait travailler dans l'aérospatial, l'aéronautique.
Et quand il était petit il voulait être pompier, non ?
Car ce genre de considération et réponse ne veut rien dire du tout ! Il veut être stewart ? technicien en bout de piste ?
Dans l'aéro, il y a 15000 métiers différentes ! de pilote à technicien en passant par l'ingé systèmes embarqués responsable du tableau de bord de l'A 350...
Normalement les collègues ont l'habitude donc il peut être bon de se référer à leur jugement. Faut demander justement à ces collègues où ils envoient des élèves en cpge, quelle filière, ville, etc.pretoriahelsinki a écrit:
Mais à la réunion parents-profs, le collègue de SPC décrivait les résultats de mon fils comme "fragile" et la prof de maths partait quand même du principe qu'il serait "malheureux" en prépa, si ses résultats ne suivaient pas, et qu'il vivait mal la pression afférente...
Surtout pas les prépas intégrées ! il est enferré dans un système et si ça lui convient pas, ça peut être pire.pretoriahelsinki a écrit:
Elle lui a conseillé, éventuellement, de se tourner vers les prépas intégrées, qui ne mettraient pas autant l'étudiant sous pression. "En prépa intégrée, il faut réussir pendant deux ans": qu'est-ce que tu veux dire ?
Pour info, et pour ne pas les citer, les prépas intégrées des INSA sont pire qu'un grand nombre de cpge classiques, du point de vue travail et autre. Donc faut se méfier...
Ben c'est surtout que s'il veut être ingé, il aura au minimum le TOEIC à valider - 785 à ce jour mais ça va encore augmenter et certaines écoles sont au dessus, et également le Voltaire qui se met en place de plus en plus en école d'ingénieur.pretoriahelsinki a écrit:
Merci pour le conseil de pas négliger le français et l'anglais, je lui répète aussi.
que de préjugés ! vaut p'être mieux qu'il réussie en BUT que de se faire vider et être dégoûté au bout d'un nan, non ? au moins il aura un diplôme au bout des 2 ans s'il a validé, car oui le DUT existe toujours, et ensuite, il pourra continuer en BUT3 ou postuler en école d'ingé ou aller en ATS, classe passerelle entre le DUT et école d'ingé.pretoriahelsinki a écrit:
On se renseigne donc aussi sur les BUT , je vais voir les files du forum qui en traitent, ça nous semble aussi intéressant, même si un cran au-dessous de la prépa
Oui s'il est dans les meilleurs ou sinon passer par une ATS.pretoriahelsinki a écrit:
et puis il y a des passerelles vers les écoles d'ingé
Alors là, pas convaincu. A voir.pretoriahelsinki a écrit:
ou encore la possibilité de poursuivre en master.
Attention aux choix :pretoriahelsinki a écrit:
J'ai identifié 3 BUT dans son domaine : chimie /mesures physiques/génie physique.. On tendrait plutôt à éliminer le génie physique, qui semble moins généraliste que le mesures physiques ( après je me méprends peut-être...).
- chimie : il est enfermé dans un domaine très particulier : la chimie comme son nom l'indique
- Mesures Physiques : très, voir trop, généraliste : ils font de tout et rien. Une école d'ingé de méca préférera un DUT GMP qu'un mesures physiques, une école d'elec préférera un GEII qu'un MP. Bien y réfléchir.
- But Génie physique : ça n’existe pas
carte DUT carte pas à jour avec les nouvelles dénominations, mais les variations doivent être minimes...
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