- slynopHabitué du forum
Bonjour à tous,
Nous allons sans doute partir à Taiwan pendant les prochaines vacances d'hiver et il y a un décalage horaire de +8 heures avec la France, ainsi quand il est midi ici il est 20h00 là-bas. Deux jours pour se remettre du décalage horaire vous semble-t-il suffisant ?
Merci à vous d'avance,
Slynop
Nous allons sans doute partir à Taiwan pendant les prochaines vacances d'hiver et il y a un décalage horaire de +8 heures avec la France, ainsi quand il est midi ici il est 20h00 là-bas. Deux jours pour se remettre du décalage horaire vous semble-t-il suffisant ?
Merci à vous d'avance,
Slynop
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"C'est pas moi qu'explique mal, c'est les autres qui sont cons !", Perceval dans Kaamelot.
- JennyMédiateur
Largement. La première journée est en général difficile.
- CasparProphète
Je suis allé à Taïwan il y a quelques années et je n'ai pas trop souffert du décalage horaire: à l'aller il m'a fallu 24 à 48 heures maximum et au retour c'est encore plus rapide.
- FeynNiveau 7
Parti à Los Angeles (9h de décalage), en 2 jours j'étais bien adapté (dans les deux sens A/R). Le premier jour est cela dit plutôt rude, il est conseillé de se caler sur l'horaire de l'endroit où on atterrit tout de suite (et pas de penser en terme d'heure du lieu du départ, ce qui retarde la prise en compte du décalage).
- floisaNiveau 9
Pareil, pour Taïwan, remis en 24-48h. Par contre, plus facilement à l'aller: l'envie de se balader aidant!
Il n'y a que 7h de décalage horaire en hiver, 6h en ce moment avec notre heure d'été.
Nous on y retourne à Noël.
Il n'y a que 7h de décalage horaire en hiver, 6h en ce moment avec notre heure d'été.
Nous on y retourne à Noël.
- dandelionVénérable
Cela dépend de ton âge et de ta forme de départ, et du sens du voyage. C’est plus difficile en allant vers l’est, et plus facile dans l’autre sens. Les ados récupèrent en une journée, les gens plus âgés peuvent galérer un peu.
- Flo44Érudit
Je suis allée une fois au Canada. J'ai mis 2 jours pour me remettre en arrivant, mais bien 4-5 pour le retour, avec migraines à la clé. J'avais pas encore 40 ans, je pense que si c'était maintenant ce serait nettement pire (j'étais déjà très sensible aux changements de rythme, maintenant c'est bien pire, je mets bien 15 jours à me remettre du changement d'heure)
Ce qui m'a aidée (surtout à l'aller) : être dehors le plus possible.
Ce qui m'a aidée (surtout à l'aller) : être dehors le plus possible.
- CasparProphète
J'étais parti aussi pendant les vacances d'hiver, c'est le meilleur moment: il fait beau mais pas trop chaud.
- JennyMédiateur
Flo44 : c’est toujours compliqué pour les migraineux. Entre la déshydratation à bord et le décalage horaire, ce n’est pas simple.
- ZetitcheurHabitué du forum
Partis au Japon il y a quelque temps, j’ai été étonnée d’avoir si peu été affectée, car j’avais gardé le souvenir d’un décalage pénible après un retour de New York alors que j’avais 25 ans de moins ! À l’époque il m’avait fallu une bonne semaine pour me recaler.
Là j’ai bien fait attention de me mettre de suite au fuseau du pays en arrivant, et je prenais un peu de melatonine dans la soirée. Il faut dire qu’on marchait tellement dans la journée que j’étais totalement claquée au moment de me coucher !!
De retour en France en moins d’une semaine toute fatigue avait disparu. Et aucun problème de sommeil du début à la fin, contrairement à mon voyage new-yorkais alors que j’étais bien plus jeune.
Là j’ai bien fait attention de me mettre de suite au fuseau du pays en arrivant, et je prenais un peu de melatonine dans la soirée. Il faut dire qu’on marchait tellement dans la journée que j’étais totalement claquée au moment de me coucher !!
De retour en France en moins d’une semaine toute fatigue avait disparu. Et aucun problème de sommeil du début à la fin, contrairement à mon voyage new-yorkais alors que j’étais bien plus jeune.
- SlaNiveau 6
Théoriquement, il faut un jour par heure de décalage horaire. Mais plusieurs choses peuvent aider : arriver le soir pour partir au lit vite, ce qui permet de récupérer et être d'attaque dès le lendemain. Prendre de la mélanine le soir. Essayer de se mettre tout de suite à l'heure locale. Et effectivement, beaucoup se dépenser dans la journée pour ne pas avoir besoin de berceuse le soir. Bon voyage !
- slynopHabitué du forum
Merci à vous tous pour vos conseils.
Je note bien pour la mélatonine et arriver le soir.
Encore merci !
Je note bien pour la mélatonine et arriver le soir.
Encore merci !
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"C'est pas moi qu'explique mal, c'est les autres qui sont cons !", Perceval dans Kaamelot.
- NLM76Grand Maître
Je me mets à l'heure d'arrivée dès que je suis à l'aéroport de départ. La dernière fois, (4h30 vers l'est), je n'ai rien senti du tout ni dans un sens, ni dans l'autre, alors que je ne suis resté que quatre ou cinq jours, et suis arrivé très tôt le matin. Peut-être que l'escale à Istanbul m'a aidé.
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«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- LaugarithmeFidèle du forum
J'ai eu la même expérience que toi et pourtant, j'étais plus jeune. C'était en plus pendant les vacances de Noël.Flo44 a écrit:Je suis allée une fois au Canada. J'ai mis 2 jours pour me remettre en arrivant, mais bien 4-5 pour le retour, avec migraines à la clé. J'avais pas encore 40 ans, je pense que si c'était maintenant ce serait nettement pire (j'étais déjà très sensible aux changements de rythme, maintenant c'est bien pire, je mets bien 15 jours à me remettre du changement d'heure)
Ce qui m'a aidée (surtout à l'aller) : être dehors le plus possible.
Je me souviens avoir eu faim, les premiers jours, aux horaires Français et Canadiens
C'était peut être aussi à cause du froid.
- CisilHabitué du forum
Je pars à Montréal bientôt, je vous raconterai
Si j'ai bien compris, il faut :
- se caler immédiatement sur l'heure locale
- faire en sorte d'être bien fatigué(e) le soir pour tomber de sommeil
- éventuellement prendre de la melatonine
Il y a six heures de décalage, sept heures de vol (départ de Paris à 14h, arrivée à 15h), je dois donc faire plein de choses dès l'arrivée et résister au besoin de sommeil.
Si j'ai bien compris, il faut :
- se caler immédiatement sur l'heure locale
- faire en sorte d'être bien fatigué(e) le soir pour tomber de sommeil
- éventuellement prendre de la melatonine
Il y a six heures de décalage, sept heures de vol (départ de Paris à 14h, arrivée à 15h), je dois donc faire plein de choses dès l'arrivée et résister au besoin de sommeil.
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"Si haut que l’on soit placé, on n’est jamais assis que sur son cul." Montaigne.
"When I went to school, they asked me what I wanted to be when I grew up. I wrote down ‘happy’. They told me I didn’t understand the assignment, and I told them they didn’t understand life.” John Lennon
- TailleventFidèle du forum
Je ne suis pas sûr qu'on puisse aisément généraliser : ça dépend vraiment des gens. Disons que "en moyenne" avec deux jours ça devrait aller.
Je partage totalement les conseils donnés, en particulier le fait de s'adapter immédiatement aux horaires locaux et de bien se fatiguer. (Pour ces deux raisons, éviter à tout prix les siestes durant les premiers jours.)
Je partage totalement les conseils donnés, en particulier le fait de s'adapter immédiatement aux horaires locaux et de bien se fatiguer. (Pour ces deux raisons, éviter à tout prix les siestes durant les premiers jours.)
- sookieGrand sage
Cisil a écrit:Je pars à Montréal bientôt, je vous raconterai
Si j'ai bien compris, il faut :
- se caler immédiatement sur l'heure locale
- faire en sorte d'être bien fatigué(e) le soir pour tomber de sommeil
- éventuellement prendre de la melatonine
Il y a six heures de décalage, sept heures de vol (départ de Paris à 14h, arrivée à 15h), je dois donc faire plein de choses dès l'arrivée et résister au besoin de sommeil.
Je rejoins tous les conseils mais ça dépend aussi de l’heure du vol. Quand je suis allée à New York, je suis partie en soirée et arrivée à 6h du matin heure française mais minuit heure locale, je n’ai eu aucun mal à faire une première nuit tout de suite car je n’avais pas fermé l’œil dans l’avion.
Pour le retour, avion pris en soirée, atterrissage vers midi à Paris, ça a été aussi, j’ai dormi plus d’une heure dans la navette jusque chez moi, puis dormi sans problème la nuit. Aucun problème de sommeil ensuite.
J’ai pris de la melatonine la veille du vol du retour et pendant deux jours après.
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On est belle et on ne se tait pas, on n'est jamais trop vieille pour quoique ce soit
- MehitabelVénérable
Taillevent a écrit:Je ne suis pas sûr qu'on puisse aisément généraliser : ça dépend vraiment des gens. Disons que "en moyenne" avec deux jours ça devrait aller.
Je partage totalement les conseils donnés, en particulier le fait de s'adapter immédiatement aux horaires locaux et de bien se fatiguer. (Pour ces deux raisons, éviter à tout prix les siestes durant les premiers jours.)
A chaque fois que j'ai fait des Nouméa-Paris, je me suis "interdite" de dormir durant le voyage, malgré la longueur du voyage. Je regarde des films, mais je ne dors pas. Quand j'arrive, dans un sens comme dans l'autre, je suis crevée, le soir à Nouméa, je me couche tôt, l'arrivée à Paris à 4h15 est plus rude, je me recouche, mais je mets un réveil pour un lever à 10h maxi.
- ElaïnaDevin
ça dépend de plein de choses en fait. Parfois le décalage ne pose pas de problème de sommeil mais le long trajet en pose d'autres.
Il y a quelques années nous sommes partis au Japon avec deux enfants de 5 et 7 ans. Départ de Paris à 21h, arrivée à Séoul en milieu de journée, arrivée à Tokyo - Narita le soir vers 20h donc encore une bonne heure de train. On a un peu dormi dans l'avion, puis bougé un peu dans l'aéroport de Séoul, par contre les enfants étaient cuits à l'arrivée à Tokyo. Mon mari voulait les empêcher de dormir dans le train (impossible). On les a couchés sans trop de souci à l'hôtel vers minuit. Par la suite le lendemain on était bien calés mais le petit a été malade = a vomi tripes et boyaux dans un Konbini où on achetait un pique nique, puis devant les temples d'Asakusa, puis encore plusieurs fois jusqu'à ce qu'on lui achète un litre de coca avec lequel il s'est baladé le reste de la journée. Ma petite soeur a commenté d'un laconique "ha oui moi aussi quand je prends un long courrier, je vomis". OK. Par contre le lendemain on était tous décalés (réveil 11h au lieu des 8h prévu...).
Au retour par contre aucun problème : avion à Fukuoka à 10h du matin, puis à Séoul en début d'après-midi, arrivée en France en début d'après-midi avec juste l'impression d'avoir eu une assez longue journée. Et quasi aucun vomi du petit.
Ma soeur aînée faisait à un moment beaucoup de longs vols pour le travail, elle faisait comme Mehitabel : ne pas dormir, enquiller sur la journée et se coucher à l'heure normale locale. Apparemment c'est la moins mauvaise solution.
Il y a quelques années nous sommes partis au Japon avec deux enfants de 5 et 7 ans. Départ de Paris à 21h, arrivée à Séoul en milieu de journée, arrivée à Tokyo - Narita le soir vers 20h donc encore une bonne heure de train. On a un peu dormi dans l'avion, puis bougé un peu dans l'aéroport de Séoul, par contre les enfants étaient cuits à l'arrivée à Tokyo. Mon mari voulait les empêcher de dormir dans le train (impossible). On les a couchés sans trop de souci à l'hôtel vers minuit. Par la suite le lendemain on était bien calés mais le petit a été malade = a vomi tripes et boyaux dans un Konbini où on achetait un pique nique, puis devant les temples d'Asakusa, puis encore plusieurs fois jusqu'à ce qu'on lui achète un litre de coca avec lequel il s'est baladé le reste de la journée. Ma petite soeur a commenté d'un laconique "ha oui moi aussi quand je prends un long courrier, je vomis". OK. Par contre le lendemain on était tous décalés (réveil 11h au lieu des 8h prévu...).
Au retour par contre aucun problème : avion à Fukuoka à 10h du matin, puis à Séoul en début d'après-midi, arrivée en France en début d'après-midi avec juste l'impression d'avoir eu une assez longue journée. Et quasi aucun vomi du petit.
Ma soeur aînée faisait à un moment beaucoup de longs vols pour le travail, elle faisait comme Mehitabel : ne pas dormir, enquiller sur la journée et se coucher à l'heure normale locale. Apparemment c'est la moins mauvaise solution.
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It took me forty years to realize this. But for guys like us... our lives aren't really our own. There's always someone new to help. Someone we need to protect. These past few years, I fought that fate with all I had. But I'm done fighting. It's time I accept the hand I was dealt. Too many people depend on us. Their dreams depend on us.
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- lisa81Habitué du forum
Cela dépend effectivement de plein de choses dont les conditions du séjour à l'arrivée. Il est plus facile de se remettre du décalage horaire quand on bénéficie d'un endroit calme pour dormir les premiers jours. J'ai le souvenir de Jakarta avec l'appel à la prière vers 4-5 h ( heure locale ) alors qu'on venait à peine de s'endormir
- dandelionVénérable
Si tes enfants vomissent pendant tout le voyage, c’est plus dur de s’en remettre en effet, très mauvais souvenir d’un retour en France où mes deux filles avaient été malades tout le trajet et où nous avions attendu notre voiture de loc pendant deux heures, mes filles épuisées allongées sur le trottoir avec nos sacs à dos pour oreiller devant l’agence pleine à craquer (heureusement que je transporte toujours des sacs poubelle à cet effet mais depuis j’ai toujours des comprimés anti-nausées quand on voyage).
Dans le sens Paris-Amérique du Nord on voyage dans la journée, mais dans l’autre sens les vols sont surnommés ‘red eye’ pour une bonne raison. Il faut essayer de dormir un maximum sinon on doit récupérer une nuit de sommeil en plus du décalage horaire (jamais je n’ai eu de problème vers l’ouest, au pire on se lève un peu plus tôt pendant quelques jours, par contre vers l’est ça a vraiment dépendu des conditions de voyage). J’avais entendu qu’il fallait s’exposer à la lumière de soleil le matin pour que le cerveau se ‘recale’.
Après, si on est un peu fragile (migraineux, estomac fragile, etc), ça n’aide pas non plus, donc c’est bien d’anticiper et d’avoir ses médicaments sur soi et ce qui peut soulager (compresses auto-chauffantes, bouchons d’oreille ou casque, masque pour les yeux, aliments adaptés) pour passer un bon vol et arriver moins fatigué sur place.
Dans le sens Paris-Amérique du Nord on voyage dans la journée, mais dans l’autre sens les vols sont surnommés ‘red eye’ pour une bonne raison. Il faut essayer de dormir un maximum sinon on doit récupérer une nuit de sommeil en plus du décalage horaire (jamais je n’ai eu de problème vers l’ouest, au pire on se lève un peu plus tôt pendant quelques jours, par contre vers l’est ça a vraiment dépendu des conditions de voyage). J’avais entendu qu’il fallait s’exposer à la lumière de soleil le matin pour que le cerveau se ‘recale’.
Après, si on est un peu fragile (migraineux, estomac fragile, etc), ça n’aide pas non plus, donc c’est bien d’anticiper et d’avoir ses médicaments sur soi et ce qui peut soulager (compresses auto-chauffantes, bouchons d’oreille ou casque, masque pour les yeux, aliments adaptés) pour passer un bon vol et arriver moins fatigué sur place.
- CasparProphète
Pour mon récent voyage à New York: au moins deux heures d'attente à la douane. Après le trajet en avion ce fut rude. Ensuite il m'a fallu rejoindre l'hôtel où on m'a annove que j'avais réservé deux chambres au lieu d'une (c'était faux et c'est mieux que zéro chambre mais il a quand même fallu parlementer, appeler l'agence de réservation en France etc...).
J'ai des amis qui vont régulièrement voir leur fille au Canada. Ils disent aussi que ça dépend des fois: parfois ils se remettent très vite, d'autres fois c'est plus difficile, sans forcément qu'il y ait une raison identifiable.
J'ai des amis qui vont régulièrement voir leur fille au Canada. Ils disent aussi que ça dépend des fois: parfois ils se remettent très vite, d'autres fois c'est plus difficile, sans forcément qu'il y ait une raison identifiable.
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