Stagiaires 2023-2024

Bonsoir !
Je suis stagiaire cette année dans un petit collège et nouvelle sur le forum
J'aimerais beaucoup avoir quelques uns de vos conseils. En effet, je me plais dans le métier et suis assez contente d'aller au collège le matin. J'essaie de faire de mon mieux en classe en variant les activités pour éviter que cela ne devienne trop chronophage pour les élèves (récit historique, tâche complexe, vidéo, questions sur documents...) et je tiens à les faire écrire assez régulièrement pour qu'ils progressent (quand bien même, ils ne cessent de râler ).
Malheureusement, j'ai quelques difficultés en ce qui concerne la gestion de classe... J'ai des classes très bavardes et à vrai dire, je ne sais plus vraiment comment m'y prendre. Ils bavardent, ils m'interpellent sans lever la main malgré mes nombreux rappels, ils font des remarques à voix haute à chaque fois qu'un élève me pose une question... Ce qui m'embête le plus c'est lorsque je passe pour aider un élève dans son travail et que le reste en profite pour parler, ce qui génère un gros brouahah. Je me sens parfois dépassée. J'ai fait un plan de classe, je mets des croix, je donne des punitions et parfois je colle lorsque cela est nécessaire. Aujourd'hui, c'était le cri à l'injustice : "vous m'avez mis une croix mais d'autres barvardaient également". Malheureusement, j'ai du mal à me couper en 12...Les fins de journées sont rudes sans compter la charge de travail qui n'arrange rien .
Je sais également que physiquement, je fais assez jeune et que cela me dessert.
Si vous avez des conseils, je suis preneuse bien que j'ai déjà parcouru quelques fils de discussions concernant la gestion de classe sur le forum

Bonjour Mme Histoire,
As-tu appelé quelques parents ? Généralement, cela en calme beaucoup. Au moins le temps de reprendre la main sur la classe. Bon courage à toi !

+1.
Pour les remarques, du type "les autres le font aussi", tu les renvoies à leur propre responsabilité : ils parlent alors que tu leur as demandé de se taire, ils sont donc en tort.
Pour essayer d'être le plus juste possible, tu peux faire mettre les carnets sur la table, une remarque tu prends le carnet, une 2e, tu ouvres à la page des punitions, la 3e, tu punis. Evidemment, s'ils n'ont plus de carnet, c'est moins pratique.

Attention aux flottements lors des changements d'activité.

Une de mes amies prof d’histoire me faisait marrer quand j’allais dans ses cours
Quand il y avait trop de bruit que personne n’écoutait rien elle ne disait pas un mot, s’asseyait à son bureau et ouvrait pronote,  rubrique observation, sur son ordinateur ( écran déjà projeté au tableau pour montrer des documents )
« Machin fait ceci ou cela en cours au lieu de travailler »
Un clic sur envoyer, deux ou trois « Madame ça se fait trop pas » plus tard, le calme revenait comme par magie  

Flo, pour ma culture perso, qu'est-ce-qu'un "contournement de ban" stp ? J'ai bien ma petite idée mais je ne l'émets pas, par correction, surtout si je me fourvoie ;-)

Quelqu'un de banni qui revient sous un autre pseudo.

Bonjour tout le monde -^^-

Je reviens donner des petites nouvelles de moi. Contre toute attente, j'ai tenu cette première période. Lorsque j'ai compris que ma répartition n'était pas modifiable (20h/semaines avec deux classes de 3PM, 2nd, 1ere et Terminale), je craignais de me laisser manger par le travail. Mon lycée a fait en sorte que ce ne soit pas le cas en me libérant mon Mardi (officiellement pour suivre l'INSPE qui ne représente que 4j dans l'année) et mon Vendredi aprem. J'ai réussi à trouver un équilibre de travail ou je travaille et j'ai une vie à côté, même si je suis encore un peu la tête sous l'eau sur mes classes.

Côté INSPE ... Ben c'est la même formation que l'année dernière. L'inspecteur.ice m'a autorisé à me positionner que sur des demi-journées vu que je l'ai déjà suivi en quasi-intégralité. Ca m'arrange bien, d'autant que le lieu de formation à changer.

Côté stress ... Ca ne s'améliore pas pour le moment. Le CDE adjoint a demandé à faire une visite dans mes classes à la rentrée. Ca m'angoisse un peu, je le reconnais. Je ne sais pas comment cela peut se dérouler, d'autant qu'il viendrait avec les 3PM (une classe avec laquelle je m'entends bien mais c'est pas les élèves les plus vifs). J'ai jusqu'ici un bon contact avec lui (c'est généralement vers lui que je me tourne) mais je ne sais pas comment il peut se positionner.
En parallèle, on reste dans le flou concernant la première visite conseil de l'inspecteur.ice. Aux réunions de rentrée, on nous a dit que les formateurs INSPE (étant aussi chargée de mission à l'inspection) ferait la première visite, au nom de l'inspection. Ce n'est pas le discours qui a été tenu quelques semaines plus tard aux tuteurs. Cette semaine, le discours était toujours à l'incertitude : l'inspecteur.ice souhaiterait que nous faisions la première visite mais le budget ... En tout cas, ce sera avant Noël. Le flou me stress d'autant que je ne pense pas pouvoir encaisser d'autres entretiens mauvais et dégradant comme l'année dernière. Si je repasse en niveau 1, avec l'obligation de suivre la formation systématiquement et faire des visios en plus de mes 20h, ce sera mon signal de départ.

Bonjour Mme Histoire.
Il n'est pas facile d'aider un élève tout en surveillant le reste de la classe, surtout lorsqu'on débute.
Dans un premier temps il faut privilégier ta posture et être vigilant afin d'instaurer une bonne ambiance de travail. Pour moi l'aide individuelle vient après.
En as-tu parlé à ton tuteur ?

Merci Jenny ;-)

MmeHistoire a écrit:Bonsoir !
Je suis stagiaire cette année dans un petit collège et nouvelle sur le forum
J'aimerais beaucoup avoir quelques uns de vos conseils. En effet, je me plais dans le métier et suis assez contente d'aller au collège le matin. J'essaie de faire de mon mieux en classe en variant les activités pour éviter que cela ne devienne trop chronophage pour les élèves (récit historique, tâche complexe, vidéo, questions sur documents...) et je tiens à les faire écrire assez régulièrement pour qu'ils progressent (quand bien même, ils ne cessent de râler ).
Malheureusement, j'ai quelques difficultés en ce qui concerne la gestion de classe... J'ai des classes très bavardes et à vrai dire, je ne sais plus vraiment comment m'y prendre. Ils bavardent, ils m'interpellent sans lever la main malgré mes nombreux rappels, ils font des remarques à voix haute à chaque fois qu'un élève me pose une question... Ce qui m'embête le plus c'est lorsque je passe pour aider un élève dans son travail et que le reste en profite pour parler, ce qui génère un gros brouahah. Je me sens parfois dépassée. J'ai fait un plan de classe, je mets des croix, je donne des punitions et parfois je colle lorsque cela est nécessaire. Aujourd'hui, c'était le cri à l'injustice : "vous m'avez mis une croix mais d'autres barvardaient également". Malheureusement, j'ai du mal à me couper en 12...Les fins de journées sont rudes sans compter la charge de travail qui n'arrange rien .
Je sais également que physiquement, je fais assez jeune et que cela me dessert.
Si vous avez des conseils, je suis preneuse bien que j'ai déjà parcouru quelques fils de discussions concernant la gestion de classe sur le forum

Quelque chose d'important à garder en tête, c'est de désacraliser les bavardages. Non pas qu'il faille les autoriser, ce n'est pas ce que je dis, mais disons qu'ils sont moins gênants à certains moments que d'autres. Et parfois, on a l'impression d'être un mauvais professeur parce-qu'il y'a du bavardage alors qu'en réalité, ça n'entrave pas le bon déroulement du cours.

Au début, j'étais très rigide sur la question du bavardage que je ne tolérais pas du tout, pas même pendant les petits moments de flottement. Puis je me suis aperçu qu'avec certaines classes, le contrat tacite élèves-profs était de toute façon rempli (globalement les élèves bossaient...) alors je me suis mis à infléchir ma position : le bavardage (plutôt le bruit diffus) devient toléré pendant les moments de flottement et les moments où je m'occupe d'un élève pour peu que le niveau sonore ne soit pas trop élevé.
De toute façon que loupent-ils dans ces moments-là ? Pas grand chose... alors bon, moi je suis devenu un peu plus permissif là-dessus. Parce-qu'avant, j'exigeais le silence même dans ces moments-là, alors qu'il n'y avait rien d'important, c'était légèrement psychorigide : le silence, pourquoi faire ? pourquoi en ai-je besoin alors même que le niveau sonore n'était pas dérangeant ? alors même que je ne transmettais aucune info ? La seule réponse que j'aie trouvée : j'en avais besoin uniquement parce-que ça me donnait l'impression d'être un bon professeur qui maîtrisait ses classes.

Le plus important, surtout quand on est stagiaire, c'est d'avoir le silence quand il y'en a réellement besoin : les temps de réflexion collectifs et les temps où tu transmets une explication.
En gros exiger le silence, partout, tout le temps, ça peut être contreproductif, et ça je ne l'ai compris qu'après !

J’ai évolué comme toi. Mais ça suppose que les élèves arrivent à comprendre les moments de tolérance, et aussi que le retour au calme se fasse rapidement.
Maintenant je leur mets explicitement le contrat en mains : ok pour échanger deux trois minutes avec le voisin pendant qu’on distribue, colle un document par contre quand je demande le silence pour reprendre le boulot ça doit se faire immédiatement. Si ce n’est pas le cas c’est retour à la dictature du silence. Ça marche très bien dans un de mes deux collèges, c’est un joli fiasco dans l’autre. Donc dans l’autre c’est affrontement permanent ou presque puisque qu’évidemment la dictature du silence leur est difficile. Mais c’est ça où je deviens zinzin.

mafalda16 a écrit:J’ai évolué comme toi. Mais ça suppose que les élèves arrivent à comprendre les moments de tolérance, et aussi que le retour au calme se fasse rapidement.

Ca implique de déjà bien gérer la classe. Il y a des classes en effet avec lesquelles ça ne marche pas une bonne partie de l'année voire la totalité.

MmeHistoire a écrit:Bonsoir !
Je suis stagiaire cette année dans un petit collège et nouvelle sur le forum
J'aimerais beaucoup avoir quelques uns de vos conseils. En effet, je me plais dans le métier et suis assez contente d'aller au collège le matin. J'essaie de faire de mon mieux en classe en variant les activités pour éviter que cela ne devienne trop chronophage pour les élèves (récit historique, tâche complexe, vidéo, questions sur documents...) et je tiens à les faire écrire assez régulièrement pour qu'ils progressent (quand bien même, ils ne cessent de râler ).
Malheureusement, j'ai quelques difficultés en ce qui concerne la gestion de classe... J'ai des classes très bavardes et à vrai dire, je ne sais plus vraiment comment m'y prendre. Ils bavardent, ils m'interpellent sans lever la main malgré mes nombreux rappels, ils font des remarques à voix haute à chaque fois qu'un élève me pose une question... Ce qui m'embête le plus c'est lorsque je passe pour aider un élève dans son travail et que le reste en profite pour parler, ce qui génère un gros brouahah. Je me sens parfois dépassée. J'ai fait un plan de classe, je mets des croix, je donne des punitions et parfois je colle lorsque cela est nécessaire. Aujourd'hui, c'était le cri à l'injustice : "vous m'avez mis une croix mais d'autres barvardaient également". Malheureusement, j'ai du mal à me couper en 12...Les fins de journées sont rudes sans compter la charge de travail qui n'arrange rien .
Je sais également que physiquement, je fais assez jeune et que cela me dessert.
Si vous avez des conseils, je suis preneuse bien que j'ai déjà parcouru quelques fils de discussions concernant la gestion de classe sur le forum

De stagiaire qui fait jeune à une autre ... J'ai développé une technique l'année dernière que je continue d'utiliser. Lorsque la classe est trop bavarde et que je sens que le silence va tarder à venir, je lève ma main bien haut et je fais un compte à rebours de 5 à 1 en abaissant mes doigts, dans le silence. C'est la même technique que les parents lorsqu'ils disent "je te préviens, je compte jusqu'à 3" donc je n'ai jamais eu besoin d'expliquer aux élèves ce qui se passerait si je n'avais plus de doigts à baisser : ils savent déjà que ce n'est pas synonyme d'une bonne nouvelle pour eux. Je ne m'énerve pas, je ne tire pas sur ma voix, les élèves voient mes doigts et finissent pas se taire tout seul. Ca rétablit le silence en quelques secondes et je n'ai jamais eu à baisser l'intégralité de mes doigts (bien que je garde toujours un petit exercice noté sur ma clé USB si jamais).

Cependant, c'est une technique que j'ai "inventée". Je porte pas forcément la maternité du truc, juste cela ne vient ni de l'INSPE, ni d'un tuteur, ni de formateur ou d'un quelconque manuel. J'avais une classe particulièrement difficile l'année dernière et l'idée m'a simplement traversé l'esprit durant un cours donc j'ai testé et ça a fonctionné. Pour te donner une idée, c'est la seule technique qui a véritablement fonctionné sur la longueur avec mes Secondes infernaux l'année dernière pour rétablir le silence. J'ai des Terminal particulièrement bavard cette année et lorsque j'utilise la technique, ils se mettent à faire le compte à rebours. Généralement à trois, la classe entière fait le compte à rebours donc je baisse juste ma main. Ils ont leurs yeux sur moi et plus rien à dire, je profite de l'occasion pour lancer le cours.

En espérant que cela pourra t'aider ! Pense aussi à toi et prends du temps pour souffler !

mafalda16 a écrit:J’ai évolué comme toi. Mais ça suppose que les élèves arrivent à comprendre les moments de tolérance, et aussi que le retour au calme se fasse rapidement.
Maintenant je leur mets explicitement le contrat en mains : ok pour échanger deux trois minutes avec le voisin pendant qu’on distribue, colle un document par contre quand je demande le silence pour reprendre le boulot ça doit se faire immédiatement. Si ce n’est pas le cas c’est retour à la dictature du silence. Ça marche très bien dans un de mes deux collèges, c’est un joli fiasco dans l’autre. Donc dans l’autre c’est affrontement permanent ou presque puisque qu’évidemment la dictature du silence leur est difficile. Mais c’est ça où je deviens zinzin.

Oui évidemment, cela ne marche qu'avec les classes dans lesquelles le contrat tacite prof-élève est respecté comme je l'avais précisé. Avec les autres classes, ben c'est comme tu le dis, dictature du silence. S'ils ne sont pas capables de se montrer dignes de confiance, ma foi...

Bonsoir !

Certains sont ils passés par le 3ème concours parmi vous ? Je suis à la recherche de quelques informations pour aider une amie qui aimerait passer le concours l'an prochain, mais je suis dans le flou ! J'ai passé le concours en 2019, et je ne m'y retrouve plus, tout a changé ! Je ne comprends plus le déroulement de la formation et du suivi INSPE pour les lauréats du 3ème concours. Si une âme charitable avait quelques minutes à me consacrer, ce serait super

Bonjour Kihya,
Je passe le 3e concours cette année (en mars 2024). Il n'y a pas de suivi INSPE pour le 3e concours. Le mieux est de joindre l'EN ou de contacter un syndicat pour savoir s'il y a du nouveau.
Ton amie passe quelle matière ?
Bonne continuation

@Kihya
Bien sûr qu'il y a un suivi INSPÉ, comme pour les autres lauréats (selon expérience préalable supérieure à 18 mois ou non : à mi temps ou juste quelques journées dans l'année).
Le déroulement de la formation dépend des matières et des académies, impossible de savoir à l'avance, d'autant plus avec les mutations des stagiaires depuis un an ou deux.

Ton amie passe quelle matière ?

CRPE c'est sûr (prof des écoles) et je crois un autre concours (CAPES ? CAPLP ?) mais je en sais plus lequel.

Bien sûr qu'il y a un suivi INSPÉ, comme pour les autres lauréats (selon expérience préalable supérieure à 18 mois ou non : à mi temps ou juste quelques journées dans l'année).

Merci ! Elle n'a pas d'expérience significative, j'espère pour elle qu'elle aura au moins un mi-temps INSPE. C'était mon cas et sincèrement, même si la charge de travail était effroyable, c'était nécessaire.

Le mieux est de joindre l'EN ou de contacter un syndicat pour savoir s'il y a du nouveau.

Que ce soit l'un ou l'autre, je ne leur fait pas confiance Le rectorat m'a dit qu'il était impossible que je devienne enseignante vu mon parcours, et que ma candidature ne pouvait pas êtes acceptée Je ne les ai pas écouté, je suis titulaire depuis 2020. Les syndicats ... je leur ai fait part d'une réelle problématique urgente début septembre, ils ne me donnent plus signe de vie (menace d'un parent, je voulais me renseigner pour une protection fonctionnelle -> zéro réponse).


"A mon époque" (2019 ), j'étais payée à temps plein alors que j'effectuais un mi-temps INSPE / mi-temps stage en responsabilité (comme tous les autres de ma promo M2 : le concours étant fin de M1 j'avais intégré la promo M2), est-ce toujours le cas pour ceux qui sont en alternance classe / INSPE ?

Les stagiaires 9h sont toujours payés à temps plein.

Jenny a écrit:Les stagiaires 9h sont toujours payés à temps plein.

Super, merci pour cette confirmation

Pour être plus précise :
- rémunération pour les PE : https://www.education.gouv.fr/media/157428/download
- rémunération pour les certifiés et PLP : https://www.education.gouv.fr/media/157425/download
Les stagiaires 9h gagnent légèrement moins que les stagiaires 18h.

@Kihya
Pour être plus précise on est 3 jours en établissement et 2 jours à l'INSPÉ chaque semaine. Le rythme est intense et les cours pas toujours adaptés à nos besoins du moment... Mais il faut y être sous peine de ne pas être payé. On gagne un chouilla moins que les stagiaires 100% en établissement mais la différence n'est pas énorme.

Je parle du 3e concours 2nd degré (CAPES) je précise, c'est celui que j'ai passé en 2023.

Merci à tous pour vos retours et vos conseils !

Pour répondre à Punky, je compte en effet appeler quelques parents concernant le comportement en classe qui impacte évidemment les notes de certains élèves...
J'en ai, en effet, parlé à mon tuteur qui m'a conseillé de leur laisser un temps de travail durant lequel je voulais un calme plat, sans questions. Je dois dire que cela m'a permise d'avoir le silence pendant qu'ils se concentraient mais j'ai tout de même des élèves qui, lorsque je ne réponds pas à leurs questions, cessent de travailler car "je comprends pas/ c'est trop dur madame".
Je sais aussi que c'est très dur pour les élèves (ou n'importe quel être humain d'ailleurs) de rester une heure complète, sans discuter. J'aimerais les laisser davantage travailler en groupe ou en binôme mais ils ne savent pas chuchoter quand bien même je leur ai fait des petits exercices pour leur apprendre... Lorsqu'ils travaillent seuls j'ai déjà du mal à obtenir le silence et j'ai peur d' être vite débordée par la suite.
Hina : je vais essayer cette technique à la rentrée, merci pour le conseil !

Hello,

En prévision de ma titularisation et de ma mutation en région parisienne je pense demander à être TZR mais problème : je n'ai pas le permis !
J'ai entendu dire qu'on pouvait le financer via le CPF (j'ai 34h de dispo) mais au secrétariat de mon lycée ils n'ont pas vraiment su m'aider. J'ai posé la question à une auto école : "il faut voir avec les ressources humaines, demander à l'organisme financeur un dossier de financement auquel ajouter un devis de l'auto école, et voir pour la valeur de l'heure". Cela reste assez vague, je ne sais pas trop vers qui me tourner, des idées ?

Tu demandes quelle académie ? Si tu ne peux pas le financer tout de suite, demande un poste fixe sur une ligne de transport…