- RavenNevermoreNiveau 2
Bonjour à tous,
J'entends certains collègues mentionner le fait que les enseignants du privé peuvent ne pas bénéficier d'un temps plein et voir leur salaire baisser en conséquence lorsqu'on n'arrive pas à leur placer toutes leurs heures. Est-ce que vous savez si cela arrive fréquemment dans les faits ? Un chef d'établissement m'a confié que selon lui, avec la baisse de la démographie, cette situation pouvait être amenée à se développer. Y'a-t-il des collègues ici qui ont subi cette situation ? Qu'en pensez-vous ?
Merci à tous !
J'entends certains collègues mentionner le fait que les enseignants du privé peuvent ne pas bénéficier d'un temps plein et voir leur salaire baisser en conséquence lorsqu'on n'arrive pas à leur placer toutes leurs heures. Est-ce que vous savez si cela arrive fréquemment dans les faits ? Un chef d'établissement m'a confié que selon lui, avec la baisse de la démographie, cette situation pouvait être amenée à se développer. Y'a-t-il des collègues ici qui ont subi cette situation ? Qu'en pensez-vous ?
Merci à tous !
- CzarNiveau 9
Actuellement
Le risque existe et doit dépendre des matières / régions / établissements.
Dans mon gros établissement de région parisienne je n'ai jamais entendu parler d'un titulaire ayant été confronté à ce problème.
Sur ce forum, j'ai vu passer des messages de postes en documentation qui étaient fragmentés sur plusieurs établissements privés dans le Massif Central. Des problématiques similaires doivent exister pour des LV2 de type allemand ainsi que l’Éducation Musicale et les Arts Plastiques. Cela incite à demander un temps partiel (ceci dit les mêmes problématiques existent dans le public)
Dans un futur proche, la baisse démographique est réelle mais va dépendre surtout des matières / régions / établissements. Cette baisse s'accompagnant actuellement de nombreux postes de titulaires non pourvus, je pense que cela va peu ou prou s'équilibrer.
Le risque existe et doit dépendre des matières / régions / établissements.
Dans mon gros établissement de région parisienne je n'ai jamais entendu parler d'un titulaire ayant été confronté à ce problème.
Sur ce forum, j'ai vu passer des messages de postes en documentation qui étaient fragmentés sur plusieurs établissements privés dans le Massif Central. Des problématiques similaires doivent exister pour des LV2 de type allemand ainsi que l’Éducation Musicale et les Arts Plastiques. Cela incite à demander un temps partiel (ceci dit les mêmes problématiques existent dans le public)
Dans un futur proche, la baisse démographique est réelle mais va dépendre surtout des matières / régions / établissements. Cette baisse s'accompagnant actuellement de nombreux postes de titulaires non pourvus, je pense que cela va peu ou prou s'équilibrer.
- KeaFidèle du forum
J’ai quelques collègues titulaires qui sont (ou qui ont été) dans cette situation dans mon établissement, alors même que les effectifs augmentent.
Dans certaines matières, des collègues ont des HSA (celles que l’on peut imposer) tandis qu’un autre est à temps incomplet. Mathématiquement, il serait possible de basculer les HSA des uns vers l’autre. Mais cela nécessiterait de modifier la répartition (changer de niveau et/ou avoir un niveau en plus) et de reporter les HSA sur d’autres disciplines. C’est un choix de la direction (pas de CA)...
Parfois, des collègues préfèrent rester à temps incomplet dans un établissement plutôt qu’aller compléter on ne sait où pour 2 ou 3 heures.
Parfois, c’est transitoire : on perd une classe, le collègue préfère faire une année à temps incomplet et retrouver un temps complet l’année suivante.
Pour des néo-titulaires, ce peut être un compromis : rester près de chez soi en temps incomplet plutôt qu’être envoyé loin (hors département voire hors académie) pour un temps complet.
Mais en général, les gens sont à temps complet, quitte à être sur deux voire trois établissements.
Dans certaines matières, des collègues ont des HSA (celles que l’on peut imposer) tandis qu’un autre est à temps incomplet. Mathématiquement, il serait possible de basculer les HSA des uns vers l’autre. Mais cela nécessiterait de modifier la répartition (changer de niveau et/ou avoir un niveau en plus) et de reporter les HSA sur d’autres disciplines. C’est un choix de la direction (pas de CA)...
Parfois, des collègues préfèrent rester à temps incomplet dans un établissement plutôt qu’aller compléter on ne sait où pour 2 ou 3 heures.
Parfois, c’est transitoire : on perd une classe, le collègue préfère faire une année à temps incomplet et retrouver un temps complet l’année suivante.
Pour des néo-titulaires, ce peut être un compromis : rester près de chez soi en temps incomplet plutôt qu’être envoyé loin (hors département voire hors académie) pour un temps complet.
Mais en général, les gens sont à temps complet, quitte à être sur deux voire trois établissements.
- GigiNeoNiveau 4
Par chez moi, je n'ai pas vu cela. La tendance est plutôt au temps complet fragmenté entre 2 ou 3 établissements, pour les disciplines problématiques surtout.
- kazamasogetsuNiveau 5
Dans le privé un poste c'est un mi temps. Pas un temps complet comme dans le public. Du coup des arnaques comme ça sont possibles. Et effectivement, dans ce cas là tu n'es payé que selon ta quotité, même si ce n'est pas un choix
- EdithWGrand sage
C'est très fréquent, selon les endroits. Mon ancienne collègue d'EPS demandait chaque année un temps partiel pour convenances personnelle car il n'y avait "que" 16 ou 17h (AS incluse) au collège et que compléter lui aurait demandé de faire 1h30 de voiture. Certains acceptent voire demandent des temps incomplets pour passer en priorité l'année suivante, mais surtout, en zone rurale, c'est très compliqué de trouver un plein temps. Dans mon collège, seule la prof de français en a un, et encore, parce qu'elle fait le latin. Sinon, personne n'est sur un seul établissement, ou alors par choix personnel. Les CDE ne sont pas très accommodants, être sur plusieurs établissements peut être un vrai challenge et un parcours du combattant. Je connais une prof de LV3 qui devait aller trois fois par semaine pour 1h à 2h30 de chez elle... Elle a fini par se mettre à temps incomplet et y a gagné en qualité de vie sans compter les économies de trajet. Et les exemples d'EDT infernaux, encore récemment 20 minutes entre deux établissements - par temps correct - 30 minutes de battement pour les faire... on oublie le passage aux toilettes, le café et les photocopies, et on prie pour qu'aucun élève ne vienne vous poser une question en fin de cours. Ce genre de choses pousse certains à accepter un temps incomplet (avec proratisation de tout, du SFT à la prime de PP, en passant par la cotisation retraite, etc). Il y a aussi des petits bidouillages pas très catholiques qui n'aident pas : le prof de physique qui, il y a déjà un paquet d'années, a, pour rendre service, accepté des heures de maths ou techno, et s'est rendu compte que c'était nettement plus confortable d'être à plein temps dans le même établissement plutôt que d'aller compléter à perpète, est resté avec son EDT bi ou trivalent, validé un peu rapidement par l'inspecteur et reste là tranquillement alors que des collègues de maths ou techno restent sur le carreau, complètent loin, voire même que des heures de physique restent vacantes à proximité.
- GigiNeoNiveau 4
kazamasogetsu a écrit:Dans le privé un poste c'est un mi temps. Pas un temps complet comme dans le public. Du coup des arnaques comme ça sont possibles. Et effectivement, dans ce cas là tu n'es payé que selon ta quotité, même si ce n'est pas un choix
- maduNiveau 8
kazamasogetsu a écrit:Dans le privé un poste c'est un mi temps. Pas un temps complet comme dans le public. Du coup des arnaques comme ça sont possibles. Et effectivement, dans ce cas là tu n'es payé que selon ta quotité, même si ce n'est pas un choix
Étrange affirmation… Dans le privé les postes font 18h, 9h pour un mi-temps, comme dans le public en fait
- EdithWGrand sage
Plus précisément, en dessous d'un mi-temps, on perd son contrat. Nous sommes des contractuels de l'Etat, sans la garantie de l'emploi. Tous les ans, des collègues perdent le bénéfice de leur concours et leur poste suite à une fermeture d'établissement par exemple, s'ils refusent de partir loin. Et quand on dit loin, ça peut être très loin. Il suffit qu'un CDE décide, par exemple, de modifier la répartition pour le co-enseignement en LP(cas concret récemment) pour qu'un prof titulaire soit en perte de contrat. On (les syndicats qui siègent en commission) fait le maximum pour régler les situations mais ça n'est pas toujours possible, et ça remonte en CNA (Commission Nationale d'Affectation), où, sur le papier, on peut proposer un poste un peu n'importe où. Cela concerne surtout les matières rares bien sûr (récemment dans mon coin allemand, biotechnologies, notariat...), mais pas que. Une collègue doc, enseignant en bordure d'académie, a failli changer de job : son poste était supprimé et il n'y avait rien à distance raisonnable (à moins de 3h de route aller, et encore, des morceaux de postes, qu'elle aurait dû cumuler). On a pu prouver que c'était inhumain et le rectorat a forcé l'enseignement catholique, à l'origine de la suppression, à plier et à récupérer ces heures ailleurs.
- kazamasogetsuNiveau 5
madu a écrit:kazamasogetsu a écrit:Dans le privé un poste c'est un mi temps. Pas un temps complet comme dans le public. Du coup des arnaques comme ça sont possibles. Et effectivement, dans ce cas là tu n'es payé que selon ta quotité, même si ce n'est pas un choix
Étrange affirmation… Dans le privé les postes font 18h, 9h pour un mi-temps, comme dans le public en fait
Non tu parles de quotités qui sont bien les mêmes. Je parle de postes. Dans les faits le plus souvent on se débrouille pour des temps pleins.
Mais pour nous, on ne nous doit bien qu'un mi temps.
- maduNiveau 8
kazamasogetsu a écrit:madu a écrit:kazamasogetsu a écrit:Dans le privé un poste c'est un mi temps. Pas un temps complet comme dans le public. Du coup des arnaques comme ça sont possibles. Et effectivement, dans ce cas là tu n'es payé que selon ta quotité, même si ce n'est pas un choix
Étrange affirmation… Dans le privé les postes font 18h, 9h pour un mi-temps, comme dans le public en fait
Non tu parles de quotités qui sont bien les mêmes. Je parle de postes. Dans les faits le plus souvent on se débrouille pour des temps pleins.
Mais pour nous, on ne nous doit bien qu'un mi temps.
Je ne dois pas comprendre, alors. Quand j’ai muté, les postes étaient qualifiés de temps pleins, c’est-à-dire 18h, ou de temps partiels, et les heures étaient indiquées. Oui il existe des bricolages, mais c’est bien la première fois que j’entends dire que la règle c’est qu’un poste = un mi-temps.
- scratinetteNiveau 2
Dans le privé il est tout à fait possible de perdre son contrat. En effet suite à une fermeture de filière j'ai du quitter mon poste malgré 28 ans d'ancienneté. J'ai eu la chance de retrouver un temps plein mais à plus d'une heure de route aller. Sinon sans ce poste je pouvais me retrouver à temps partiel. Dans le privé il n'y a aucune garantie d'emploi. C'est assez rare mais cela risque de se produire de plus en plus souvent en raison d'une baisse des effectifs (en général) et de la fermeture de certaines filières qui ne sont plus assez demandées par les élèves. Les temps deviennent de plus en plus difficiles.
- HansNiveau 7
Je confirme, avoir son contrat c'est avoir un minimum de 9h HP.
Heureusement la majorité est à 18h.
Quand et si vous êtes en perte d'heures, lors de la campagne du mouvement, la cae vous codifié A2 pour être prioritaire pour retrouver un trouver un temps plein. Vous pouvez postuler soit un nouveau temps plein ailleurs, soit sur une quotité disponible ailleurs pour compléter votre temps plein soit de rester à temps incomplet.
Si vous restez à temps incomplet, vous serez codifiés A4 l'année suivante donc prioritaire sur les titulaires.
Pour répondre à EdithW, les ipr refusent quasiment toutes bivalences désormais, même celle qui avaient été accepté par le passé sont cassés, trop d'abus je pense.
Ils vont aller regarder le diplôme des enseignants avant d'accepter en tout en cas, c'est le cas en Normandie désormais. Ça a beaucoup fait parler en CAE et même en CCMA. Des collègues étant bi-disciplinaire physique ou svt avec quelques heures de math ont un 'non' ferme et définitif de l'IPR et quand il a appris en ccma que ça existait, il a répliqué que ce ne devrait pas (est ce qu'ils vont aller vérifier tous les collègues qui ne mutent pa, j'en doute)
Heureusement la majorité est à 18h.
Quand et si vous êtes en perte d'heures, lors de la campagne du mouvement, la cae vous codifié A2 pour être prioritaire pour retrouver un trouver un temps plein. Vous pouvez postuler soit un nouveau temps plein ailleurs, soit sur une quotité disponible ailleurs pour compléter votre temps plein soit de rester à temps incomplet.
Si vous restez à temps incomplet, vous serez codifiés A4 l'année suivante donc prioritaire sur les titulaires.
Pour répondre à EdithW, les ipr refusent quasiment toutes bivalences désormais, même celle qui avaient été accepté par le passé sont cassés, trop d'abus je pense.
Ils vont aller regarder le diplôme des enseignants avant d'accepter en tout en cas, c'est le cas en Normandie désormais. Ça a beaucoup fait parler en CAE et même en CCMA. Des collègues étant bi-disciplinaire physique ou svt avec quelques heures de math ont un 'non' ferme et définitif de l'IPR et quand il a appris en ccma que ça existait, il a répliqué que ce ne devrait pas (est ce qu'ils vont aller vérifier tous les collègues qui ne mutent pa, j'en doute)
- gemshornNiveau 10
Et encore, il ne s'agit pas de "postes" à proprement parler (un poste, c'est pour un fonctionnaire) mais de "services d'enseignement".
En réalité on (qui ? l'Enseignement catholique ? le Rectorat ?) ne nous doit rien, même pas un demi service.
Les CAE s'efforcent en effet de trouver au moins un demi service afin de conserver le contrat ainsi que d'éventuels compléments de service, mais en période de vaches maigre, même si les cas sont encore relativement rares, certains collègues "titulaires" d'un contrat définitif peuvent se retrouver au chômage (avec priorité de réemploi au mouvement suivant).
Priorité d'emploi ne signifie pas garantie et l'obtention d'un concours (qui octroie une échelle de rémunération, pour ce qui concerne les CAER, ou un accès à une liste d'aptitude, pour le CAFEP) ne change rien à la donne.
Beaucoup de collègues du privé qui ne se sont jamais renseignés sur leur statut, étant persuadés d'être fonctionnaires ou "assimilés fonctionnaires" (catégorie qui n'existe pas, soit dit en passant), tombent de nues en découvrant certaines subtilités qui ne sont pas des détails.
En réalité on (qui ? l'Enseignement catholique ? le Rectorat ?) ne nous doit rien, même pas un demi service.
Les CAE s'efforcent en effet de trouver au moins un demi service afin de conserver le contrat ainsi que d'éventuels compléments de service, mais en période de vaches maigre, même si les cas sont encore relativement rares, certains collègues "titulaires" d'un contrat définitif peuvent se retrouver au chômage (avec priorité de réemploi au mouvement suivant).
Priorité d'emploi ne signifie pas garantie et l'obtention d'un concours (qui octroie une échelle de rémunération, pour ce qui concerne les CAER, ou un accès à une liste d'aptitude, pour le CAFEP) ne change rien à la donne.
Beaucoup de collègues du privé qui ne se sont jamais renseignés sur leur statut, étant persuadés d'être fonctionnaires ou "assimilés fonctionnaires" (catégorie qui n'existe pas, soit dit en passant), tombent de nues en découvrant certaines subtilités qui ne sont pas des détails.
- kazamasogetsuNiveau 5
Effectivement. Sur nos i-professionnel il est même précisé "vous n'êtes pas bénéficiaire de l'obligation d'emploi "
- Une passanteEsprit éclairé
kazamasogetsu a écrit:Effectivement. Sur nos i-professionnel il est même précisé "vous n'êtes pas bénéficiaire de l'obligation d'emploi "
L'obligation d'emploi concerne les travailleurs handicapés, cela n'a rien à voir.
- Dadoo33Grand sage
Une passante a écrit:kazamasogetsu a écrit:Effectivement. Sur nos i-professionnel il est même précisé "vous n'êtes pas bénéficiaire de l'obligation d'emploi "
L'obligation d'emploi concerne les travailleurs handicapés, cela n'a rien à voir.
+1 je confirme. Ce sont les boe.
- EdithWGrand sage
Hans a écrit:Je confirme, avoir son contrat c'est avoir un minimum de 9h HP.
Heureusement la majorité est à 18h.
Quand et si vous êtes en perte d'heures, lors de la campagne du mouvement, la cae vous codifié A2 pour être prioritaire pour retrouver un trouver un temps plein. Vous pouvez postuler soit un nouveau temps plein ailleurs, soit sur une quotité disponible ailleurs pour compléter votre temps plein soit de rester à temps incomplet.
Si vous restez à temps incomplet, vous serez codifiés A4 l'année suivante donc prioritaire sur les titulaires.
Pour répondre à EdithW, les ipr refusent quasiment toutes bivalences désormais, même celle qui avaient été accepté par le passé sont cassés, trop d'abus je pense.
Ils vont aller regarder le diplôme des enseignants avant d'accepter en tout en cas, c'est le cas en Normandie désormais. Ça a beaucoup fait parler en CAE et même en CCMA. Des collègues étant bi-disciplinaire physique ou svt avec quelques heures de math ont un 'non' ferme et définitif de l'IPR et quand il a appris en ccma que ça existait, il a répliqué que ce ne devrait pas (est ce qu'ils vont aller vérifier tous les collègues qui ne mutent pa, j'en doute)
Dans mon académie, beaucoup de compléments de service sont encore acceptés, la dernière mode c’est de valider en documentation les directeurs qui n’ont pas un service disponible dans leur discipline (indispensable dans les collèges de taille modeste, jusqu’à 2 classes par niveau), quand il n’y a pas de documentaliste titulaire bien sûr. Deux cas sur un département à la rentrée. Les services de doc sont réduits comme peau de chagrin, jusqu’à 7h seulement dans un collège que je connais. Du coup personne ne les demande et ça arrange tout le monde qu’un directeur ou prof d’une autre discipline prenne le service pour compléter sur place
- Spoiler:
- les témoignages des collègues ayant fait ça à un moment de leur carrière sont quasiment tous les mêmes : ils profitaient de ce temps pour préparer leurs cours ou corriger des copies, en surveillant les élèves… comment leur reprocher d’ailleurs, se retrouver dans un CDI sous doté voire quasi inexistant, où jamais aucun titulaire n’a exercé, sans aucune formation bien sûr, ni certitude de conserver les heures au-delà d’une année, c’est un peu compliqué de se lancer dans le métier
- ProflambdadaHabitué du forum
Et maintenant (je ne savais pas que cela était possible) des profs PLP viennent enseigner en collège (quand pas de titulaires capes se proposant). Chez nous, c'est la première fois que cela arrive mais peut-être est-ce devenu courant ? Je suppose que c'est pareil dans le public ?
- JennyMédiateur
Depuis 2022 : https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000045940484
Notice : le décret ouvre la possibilité aux professeurs des écoles d'exercer leurs fonctions dans un établissement d'enseignement supérieur ; il permet aux professeurs de lycée professionnel d'exercer leurs fonctions en lycée d'enseignement général et technologique et en collège ainsi que d'assurer certains enseignements dans des établissements d'enseignement supérieur.
- ProflambdadaHabitué du forum
Ah ok ! Merci Jenny
- MathadorEmpereur
Cela existait déjà à la marge dans certaines académies.
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
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