- RiancooNiveau 3
Bonjour,
Je suis TZR et dans l’établissement où j’exerce mais mon arrêté de prolongation portait jusqu’à hier, jour de rentrée. J’ai envoyé un mail pour prévenir l’établissement hier pour demander s’ils avaient reçu un renouvellement, pas de réponse. Visiblement secrétariat absent. J'ai appelé et l’adjoint essaie d’avoir le rectorat. Cependant, est-ce que je dois m’y rendre s'ils n'ont pas retour ? Suis-je protégée en cas d’accident ? Merci beaucoup
Je suis TZR et dans l’établissement où j’exerce mais mon arrêté de prolongation portait jusqu’à hier, jour de rentrée. J’ai envoyé un mail pour prévenir l’établissement hier pour demander s’ils avaient reçu un renouvellement, pas de réponse. Visiblement secrétariat absent. J'ai appelé et l’adjoint essaie d’avoir le rectorat. Cependant, est-ce que je dois m’y rendre s'ils n'ont pas retour ? Suis-je protégée en cas d’accident ? Merci beaucoup
- JennyMédiateur
Techniquement, tu n’y es plus affecté. Consulte un syndicat.
- RiancooNiveau 3
La permanence de mon syndicat n’est ouverte que l’après-midi le mercredi, et on me demande de venir faire cours dans 40 min, d’où ma demande ici…
- JennyMédiateur
Que dit ta direction ? Dans un cas similaire, j’avais attendu l’arrêté avec l’accord du proviseur. L’arrêté avait été fait rapidement.
- InvitéInvité
Bonjour,
En l'absence d'arrêté, si tu as un accident, tu ne seras pas couvert.
J'ai été TZR et j'ai toujours refusé d'aller travailler sans arrêté pour cette raison.
Bon courage !
En l'absence d'arrêté, si tu as un accident, tu ne seras pas couvert.
J'ai été TZR et j'ai toujours refusé d'aller travailler sans arrêté pour cette raison.
Bon courage !
- DhatturaHabitué du forum
Comment ça va Riancoo? Où en est la situation ?
- Flo44Érudit
Bon j'espère que tu n'es pas allé dans ton établissement...
Sinon ce qu'il faut faire : te rendre dans ton établissement de rattachement, après avoir prévenu l'établissement où tu remplaces. Tu verras la situation se débloquera très très vite.
Sinon ce qu'il faut faire : te rendre dans ton établissement de rattachement, après avoir prévenu l'établissement où tu remplaces. Tu verras la situation se débloquera très très vite.
- RiancooNiveau 3
J'ai fini par y aller car l'adjoint m'a dit avoir le renouvellement, que c'était en cours. A mon arrivée, en fait rien. Il n'avait rien à part une promesse orale et il m'a remonté les bretelles en me disant que ce n'était pas à moi de décider si je dispensais ou non mon cours car j'étais toujours à la disposition à la disposition de l'établissement malgré la fin de mon arrêté. Je me sens très mal... Et au final, j'ai été enseigner sans arrêté aujourd'hui, je ne sais pas quoi faire demain... Je vais peut être tenter de joindre mon gestionnaire avant mon cours de 9h30...
- DanskaProphète
Riancoo a écrit:J'ai fini par y aller car l'adjoint m'a dit avoir le renouvellement, que c'était en cours. A mon arrivée, en fait rien. Il n'avait rien à part une promesse orale et il m'a remonté les bretelles en me disant que ce n'était pas à moi de décider si je dispensais ou non mon cours car j'étais toujours à la disposition à la disposition de l'établissement malgré la fin de mon arrêté. Je me sens très mal... Et au final, j'ai été enseigner sans arrêté aujourd'hui, je ne sais pas quoi faire demain... Je vais peut être tenter de joindre mon gestionnaire avant mon cours de 9h30...
Ben voyons ! Rien que pour ça, pour demain tu n'y vas pas, faut pas déconner. Si l'adjoint est si sûr de lui il n'a qu'à contacter le gestionnaire lui-même, il verra bien ce qu'on lui répond.
- InvitéInvité
Je te souhaite de ne pas avoir de problème en te rendant à ton établissement, ni d'avoir de problème en classe, car en réalité tu n'es officiellemenrt affecté nul.part. en cas de problème tu n'auras aucun soutien...
Les paroles s'envolent et seuls les écrits restent.
Et des écrits, tu n'en as pas.
C'est un abus de pouvoir du chef d'établissement.
Ton syndicat te le confirmerai !
Ne jamais aller travailler sans arrêté !
Les paroles s'envolent et seuls les écrits restent.
Et des écrits, tu n'en as pas.
C'est un abus de pouvoir du chef d'établissement.
Ton syndicat te le confirmerai !
Ne jamais aller travailler sans arrêté !
- RiancooNiveau 3
Le chef m’a volontairement trompé en sous entendant qu’il avait un papier et au final, rien.. vraiment l’impression d’être un pion. Mon syndicat m’a redirigé vers mon gestionnaire pour des conseils..
- ceciledeVolangesNiveau 6
Riancoo a écrit:J'ai fini par y aller car l'adjoint m'a dit avoir le renouvellement, que c'était en cours. A mon arrivée, en fait rien. Il n'avait rien à part une promesse orale et il m'a remonté les bretelles en me disant que ce n'était pas à moi de décider si je dispensais ou non mon cours car j'étais toujours à la disposition à la disposition de l'établissement malgré la fin de mon arrêté. Je me sens très mal... Et au final, j'ai été enseigner sans arrêté aujourd'hui, je ne sais pas quoi faire demain... Je vais peut être tenter de joindre mon gestionnaire avant mon cours de 9h30...
C'est absolument honteux ce genre de pratiques et assez grave comme le soulignent les collègues. Je suis d'accord avec ce qu'on t'a dit ici.
A l'époque où j'étais TZR, j'ai aussi connu un épisode de pressions/harcèlement par un chef dans un cas qui ressemble fort au tien. Je n'avais plus d'arrêté. J'en avais parlé plusieurs fois de vive voix à l'adjoint, ça n'avait affolé personne. Mon arrêté allait jusqu'au 31. Le lendemain, le 1er, je ne suis donc pas allée travailler et je n'ai pas non plus envoyé de mail (à l'époque je ne pensais pas à ce genre de choses, aujourd'hui avec le recul j'enverrais un mail deux jours avant dans la même situation.)
Je me suis fait pourrir, incendier par le chef au téléphone. Je lui avais expliqué que j'avais pourtant signalé le problème plusieurs fois. Il était dans une fureur noire. L'arrêté était arrivé dans la journée du 1er, bizarrement...
Et j'avais eu une inspection qui se voulait une punition (il m'a prévenue au dernier moment et la secrétaire m'avait fait suivre le mail de l'inspecteur dont le ton laissait entendre la teneur des échanges qu'il avait eus avec le chef...)
Finalement, cette inspection s'était très bien passée et n'avait en rien constitué une punition. Mais voilà. Ce genre de pressions, c'est très courant.
Nous avons des devoirs mais aussi des droits et ils n'ont pas à s'asseoir dessus.
Ne te laisse pas faire car c'est assez grave. Plein de courage à toi.
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