- AugcJe viens de m'inscrire !
Bonjour,
Je suis étudiant en philo, AED dans un lycée et je donne des cours de français pour la MLDS (faute d'élèves en demande de cours de philosophie dans mon établissement). Je prépare un unique élève, candidat libre, aux épreuves anticipées de français.
Ma question est :
Puis-je intégrer des textes traduits d'auteurs non francophones parmi les textes à étudier dans le cadre du parcours associé à une œuvre ? Je souhaite par exemple associer un texte de Virginia Woolf à l'étude sur Colette.
En vous souhaitant une très bonne année,
Cordialement,
AC
Je suis étudiant en philo, AED dans un lycée et je donne des cours de français pour la MLDS (faute d'élèves en demande de cours de philosophie dans mon établissement). Je prépare un unique élève, candidat libre, aux épreuves anticipées de français.
Ma question est :
Puis-je intégrer des textes traduits d'auteurs non francophones parmi les textes à étudier dans le cadre du parcours associé à une œuvre ? Je souhaite par exemple associer un texte de Virginia Woolf à l'étude sur Colette.
En vous souhaitant une très bonne année,
Cordialement,
AC
- trompettemarineMonarque
Non pour l'explication linéaire (je ne l'ai fait que pour Italo Calvino, car j'avais lu qu'il était très pointilleux sur la traduction en français. )
En revanche, il me semble que ce peut être possible en lecture cursive (il faut relire le B.O. que j'oublie un peu.).
En revanche, il me semble que ce peut être possible en lecture cursive (il faut relire le B.O. que j'oublie un peu.).
- NLM76Grand Maître
Tout à fait, @trompettemarine et @Clecle78. On évite en "parcours associé" — à moins de considérer la traduction elle-même comme une œuvre de qualité, et on est libre en "lecture cursive", qui, d'ailleurs, rappelons-le, ne fait pas règlementairement partie du "parcours associé".
P.S. : Pourriez-vous corriger la coquille dans le titre du fil ? Oculī dolent !
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- http://instruire.fr
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«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- DorineHabitué du forum
Il y a eu beaucoup de rappels de ta part mais nous sommes têtus.NLM76 a écrit:Tout à fait, @trompettemarine et @Clecle78. On évite en "parcours associé" — à moins de considérer la traduction elle-même comme une œuvre de qualité, et on est libre en "lecture cursive", qui, d'ailleurs, rappelons-le, ne fait pas règlementairement partie du "parcours associé".
P.S. : Pourriez-vous corriger la coquille dans le titre du fil ? Oculī dolent !
- AugcJe viens de m'inscrire !
Merci beaucoup pour vos réponses. En définitive, je peux proposer une lecture cursive traduite qui pourra faire l'objet du dialogue avec l'examinateur, ou servir d'appui lors de l'écrit. En revanche si je lui donne en analyse, disons, du Dostoïevski par Markowicz (qui ne se rattache à aucun parcours cette année, mais que je cite ici comme exemple d'une traduction de très grande qualité littéraire), l'examinateur ne sélectionnera certainement jamais ce texte, mais est-ce préjudiciable à l'élève ? Voire formellement interdit ?
- gregforeverGrand sage
Quel intérêt de lui faire travailler un texte qui ne lui servira à rien; surtout pour les candidats libres, qui ont certainement d'autres choses à faire à côté et où à aller à l'essentiel semble indispensable?
- AugcJe viens de m'inscrire !
gregforever a écrit:Quel intérêt de lui faire travailler un texte qui ne lui servira à rien; surtout pour les candidats libres, qui ont certainement d'autres choses à faire à côté et où à aller à l'essentiel semble indispensable?
En effet je suis parfaitement d'accord ! Si l'examinateur ne choisira pas ce texte pour l'explication linéaire alors je n'ai aucune raison de le lui proposer.
En revanche en lecture cursive pourquoi pas, mais cela tombe sous votre seconde objection concernant la priorisation. Cependant, ayant moi même été candidat libre isolé (hors CNED, etc.), j'ai trouvé très profitable d'étendre mes lectures à des auteurs anglophones ou russes traduits. Je pense que le rapport temps / bénéfice de l'étude d'un texte à seule fin d'être employé comme référence lors de l'écrit ou du dialogue est assez bon. A voir selon l'engagement du candidat !
En tout cas mon questionnement pratique initial est clos : pas de texte traduit aux EAF.
- DorineHabitué du forum
"Servir d'appui à l'écrit", en théorie seulement car très souvent, le sujet ne mentionne que l'oeuvre intégrale.Augc a écrit:Merci beaucoup pour vos réponses. En définitive, je peux proposer une lecture cursive traduite qui pourra faire l'objet du dialogue avec l'examinateur, ou servir d'appui lors de l'écrit. En revanche si je lui donne en analyse, disons, du Dostoïevski par Markowicz (qui ne se rattache à aucun parcours cette année, mais que je cite ici comme exemple d'une traduction de très grande qualité littéraire), l'examinateur ne sélectionnera certainement jamais ce texte, mais est-ce préjudiciable à l'élève ? Voire formellement interdit ?
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