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Sur une échelle de 0 à 10, vous diriez que, pour vous, votre travail (élèves, conditions matérielles, administration, inspections)...
- CarmenLRNeoprof expérimenté
Pseudo a écrit:Et l'ennui ça compte ? Je préférais quand j'étais stressée à cause de ce que j'avais à faire, ou à cause d'un gamin, ou je ne sais quoi, plutôt que l'ennui.
En revanche j'ai détesté mes conflits avec mon cde. Aussi inutiles et stériles que l'ennui.
Belle question, pseudo.
Penses-tu que ce soit ton métier ou les conditions dans lesquelles tu l'exerces qui provoquent cet ennui ?
On me dit souvent que travailler en bibliothèque est très ennuyeux... alors que j'imagine plutôt un métier culturel et assez communiquant ! Est-ce que je me trompe ?
- CarmenLRNeoprof expérimenté
V.Marchais a écrit:minnie a écrit:
Et j'en ai marre de passer tout mon temps hors classe à travailler. Même
la nuit je travaille. Quand je me réveille dans la nuit je suis
surprise d'avoir toujours en tête des idées en rapport avec le boulot.
En ce moment j'ai l'impression que je vais y laisser ma peau. (j'y ai déjà laissé quelques kilos depuis septembre)
Je suis surprise que seule Minnie évoque la charge de travail. Pour moi, c'est ça qui rend ce métier si stressant. En dix ans, j'ai vu augmenter le nombre de classes que je devais prendre en charge, ainsi que la paperasse (il faut faire des dossiers pour tout et n'importe quoi), le temps consacré au suivi des élèves (aujourd'hui, il faudrait une décharge pour être PP, rien qu'à cause de l'orientation), le temps passé au collège dans diverses commissions (réunionite galopante au sein de l'institution)... Si l'on veut préparer ses cours correctement, faire plus d'un contrôle par mois et les corriger avec soin, continuer de lire des ouvrages critiques, on a toujours la tête dans le guidon. La charge de travail est colossale et la reconnaissance, qu'elle soit institutionnelle, générale ("les profs, ils foutent rien, toujours en vacances") ou financière, est très médiocre. Là, il y a un problème.
Depuis que je travaille sur les manuels, ça devient délirant. Et le facteur temps augmente ce stress : difficile de résister à la pression d'un éditeur qui veut impérativement tel chapitre pour vendredi, alors que c'est les conseils et que vous n'avez même pas fini de corriger vos rédactions et que vous êtes à la bourre dans vos propres prépas. L'impression de travailler perpétuellement dans l'urgence est usante.
Ce que je trouve très stressant, finalement, ce n'est pas le travail lui-même - car
j'aime passionnément ce que je fais - mais le fait que cela devient
envahissant et que cela a tendance à empiéter salement sur les autres domaines de l'existence.
Charge de travail excessive + manque de reconnaissance + fatigue chronique = risque de burn out, phénomène de dislocation psychique bien connu dans le monde de l'entreprise mais moins chez nous. Pourtant, quand je regarde mes collègues, je me dis que plus d'un est menacé.
J'ai exactement la même expérience que Véronique : cette semaine, 7 heures de réunion (sur temps libre, hors conseils de classe) et c'est une semaine normale chez nous. Quand j'ai commencé, j'avais mon service avec 4 classes en lycée. Il en faut désormais 7.
Je ne répète pas tout ce que dit Véronique, mais c'est exactement mon quotidien. j'ajoute à cela l'impression que les réformes sont menées au coup à coup, sans logique, sans capitaine dans le bateau, et sans vision à long terme. Ce qui fait que la fatigue, effectivement très importante, n'a pas beaucoup de sens et ça change complètement sa nature.
Rester grâce et pour les élèves, oui, c'est ce qui me tient... mais jusque quand ?
- zabriskieÉrudit
Je vois que ce topic est remonté...
Déjà, bon repos à toi, Juliet !
De mon côté, j'avoue honteusement (et cette honte est bien réelle), que je fais le minimum syndical depuis quelques mois, parce que ma tête est trop occupée par mes soucis personnels. Le minimum, ça veut dire bricoler ses cours au jour le jour à partir des manuels et autres séquences de la BDD, corriger ses copies à l'arrach', donner moins de devoirs aussi, n'accepter aucune HSE. Et s'impliquer le moins possible dans les projets de l'établissement (j'ai parlé à ma CDE de mon "état nerveux", et elle a compris. J'ai beaucoup de chance). Certes, je suis PP 3ème, et là, j'ai dû assurer.
Cette économie, ça a été la condition pour que je garde l'énergie nécessaire pour aller travailler tous les matins. C'est dans cette optique que je suis allée en parler à ma CDE, d'ailleurs.
Pour autant, je suis très mal avec ça. J'ai l'impression de ne pas mériter mon salaire, et ce malaise ne me lâche pas, de sorte que je ne m'économise peut-être pas tant que ça au final.
Malgré ça, je n'ai pas pu aller au collège les quelques jours qui ont précédés les vacances (ou plutôt le voyage scolaire que j'ai accompagné), parce que même en réduisant drastiquement le travail à la maison, la présence devant les élèves demande une énergie incompressible. Je n'ai pas de gros problèmes dans mes classes, mais des élèves unanimement reconnus comme très "dynamiques", dont le niveau est très faible. "Tenir sa classe", comme on dit, est réellement épuisant.
Alors voilà, je ne me suis pas sentie d'y aller, parce que je n'étais pas disponible dans ma tête, parce que j'étais fragilisée par mes soucis du moment, et que je sentais bien que je me serai mise à pleurer au premier incident (qui est toujours le premier d'une longue série).
C'est cet aspect du métier qui génère du stress selon moi, cette exposition permanente de soi-même, pas désagréable quand on a le péchon, mais qui confine à l'insurmontable quand on ne va pas bien. Aucun des métiers que j'ai exercés auparavant n'aurait été impraticable pour moi dans la période que je traverse.
Déjà, bon repos à toi, Juliet !
De mon côté, j'avoue honteusement (et cette honte est bien réelle), que je fais le minimum syndical depuis quelques mois, parce que ma tête est trop occupée par mes soucis personnels. Le minimum, ça veut dire bricoler ses cours au jour le jour à partir des manuels et autres séquences de la BDD, corriger ses copies à l'arrach', donner moins de devoirs aussi, n'accepter aucune HSE. Et s'impliquer le moins possible dans les projets de l'établissement (j'ai parlé à ma CDE de mon "état nerveux", et elle a compris. J'ai beaucoup de chance). Certes, je suis PP 3ème, et là, j'ai dû assurer.
Cette économie, ça a été la condition pour que je garde l'énergie nécessaire pour aller travailler tous les matins. C'est dans cette optique que je suis allée en parler à ma CDE, d'ailleurs.
Pour autant, je suis très mal avec ça. J'ai l'impression de ne pas mériter mon salaire, et ce malaise ne me lâche pas, de sorte que je ne m'économise peut-être pas tant que ça au final.
Malgré ça, je n'ai pas pu aller au collège les quelques jours qui ont précédés les vacances (ou plutôt le voyage scolaire que j'ai accompagné), parce que même en réduisant drastiquement le travail à la maison, la présence devant les élèves demande une énergie incompressible. Je n'ai pas de gros problèmes dans mes classes, mais des élèves unanimement reconnus comme très "dynamiques", dont le niveau est très faible. "Tenir sa classe", comme on dit, est réellement épuisant.
Alors voilà, je ne me suis pas sentie d'y aller, parce que je n'étais pas disponible dans ma tête, parce que j'étais fragilisée par mes soucis du moment, et que je sentais bien que je me serai mise à pleurer au premier incident (qui est toujours le premier d'une longue série).
C'est cet aspect du métier qui génère du stress selon moi, cette exposition permanente de soi-même, pas désagréable quand on a le péchon, mais qui confine à l'insurmontable quand on ne va pas bien. Aucun des métiers que j'ai exercés auparavant n'aurait été impraticable pour moi dans la période que je traverse.
- bellaciaoFidèle du forum
J'ai voté la 7 : stress parfois excessif. C'est par périodes, lorsque je dois honorer des engagements, tenir des délais et qu'il me faut pour cela veiller tard.
- CarmenLRNeoprof expérimenté
Je comprends tout à fait Zabriskie et j'ai régulièrement cette impression quant à l'exposition incessante de soi-même ! (Sublime pseudo !!!)
- zabriskieÉrudit
CarmenLR a écrit:Je comprends tout à fait Zabriskie et j'ai régulièrement cette impression quant à l'exposition incessante de soi-même ! (Sublime pseudo !!!)
Cette exposition, je l'ai choisie. Ça fait aussi partie des aspects du métier qui me plaisent : parler beaucoup, amuser la galerie, parfois. Ça m'a permis d'acquérir une assurance que je n'avais pas. Mais il y a le revers de la médaille, les jours sans que les élèves ne vous accordent pas...
... et merci pour le pseudo ! C'est bête, mais j'y suis attachée
- AlbertineNiveau 9
J'ai voté 6, mais c'est plus un ras-le-bol que du stress, marre des élèves insolents, de la violence quasi-permanente, du manque de soutien du chef...
L'année dernière, je pense que j'aurais voté : aucun stress, ça dépend en fait du collège où l'on enseigne !
L'année dernière, je pense que j'aurais voté : aucun stress, ça dépend en fait du collège où l'on enseigne !
- Erlandur61Niveau 5
Moi j'ai voté "stress parfois excessif" et comme vous, je me sens régulièrement "exposée", même si je vais bien et tout, mais on est vraiment exposés dans ce métier, face aux élèves, au fait qu'on ne peut s'attendre à tout, qu'ils réagissent tous différemment, qu'on gère de l'humain.
Après, tout ce qui est préparation de cours, j'adore sauf que je trouve qu'on nous demande de préparer plein de papiers pour montrer ce qu'on fait en classe, et c'est un vrai "mange-temps". Et quand on nous dit de ne pas utiliser de manuels, ou le moins possible, qu'il faut tout faire soi-même, trouver des docs intéressants sur le net...là, parfois, je ne sais plus où trouver le temps. Ca aussi c'est stressant. Car avoir des cours qui tiennent la route ça ne peut se faire en une seule année, ou deux, ou trois...
Après, tout ce qui est préparation de cours, j'adore sauf que je trouve qu'on nous demande de préparer plein de papiers pour montrer ce qu'on fait en classe, et c'est un vrai "mange-temps". Et quand on nous dit de ne pas utiliser de manuels, ou le moins possible, qu'il faut tout faire soi-même, trouver des docs intéressants sur le net...là, parfois, je ne sais plus où trouver le temps. Ca aussi c'est stressant. Car avoir des cours qui tiennent la route ça ne peut se faire en une seule année, ou deux, ou trois...
- Marcelle DuchampExpert spécialisé
J'ai voté 8.
Le stress me fatigue.
Même petite j'étais incapable de faire la sieste, maintenant, si je peux, je dors une ou deux heures en plein milieu de la journée.
Je mange très peu en période de stress donc je fonds...
Avant, j'étais une grosse fêtarde, je sortais jusqu'à pas d'heure et pouvais assurer derrière. Aujourd'hui, à 22h, je suis morte. Il faut m'occuper pour que je ne sombre pas le sommeil donc mes amis me parlent, me font danser et veillent à ne pas me laisser plus de 5min assise dans un coin.
Je ne peux plus "boire" en soirée sinon c'est dodo assuré.
J'estime que ma fatigue chronique date de Décembre 2009 et comme je suis incapable de décompresser...
Les insolences, les incivilités, les rapports de force, le non respect de l'administration, le manque de moyens sont autant de sources de stress pour moi.
De plus, je me fous une pression énorme. Je déteste ne pas assurer et faire les choses à l'arrache. Je bosse plusieurs heures par soirs et 6 à 7 les mercredis après-midi.
Le stress est aussi causé par l'éloignement avec ma famille, mes proches et mon fiancé.
Bref, je suis over sur les nerfs!
Le stress me fatigue.
Même petite j'étais incapable de faire la sieste, maintenant, si je peux, je dors une ou deux heures en plein milieu de la journée.
Je mange très peu en période de stress donc je fonds...
Avant, j'étais une grosse fêtarde, je sortais jusqu'à pas d'heure et pouvais assurer derrière. Aujourd'hui, à 22h, je suis morte. Il faut m'occuper pour que je ne sombre pas le sommeil donc mes amis me parlent, me font danser et veillent à ne pas me laisser plus de 5min assise dans un coin.
Je ne peux plus "boire" en soirée sinon c'est dodo assuré.
J'estime que ma fatigue chronique date de Décembre 2009 et comme je suis incapable de décompresser...
Les insolences, les incivilités, les rapports de force, le non respect de l'administration, le manque de moyens sont autant de sources de stress pour moi.
De plus, je me fous une pression énorme. Je déteste ne pas assurer et faire les choses à l'arrache. Je bosse plusieurs heures par soirs et 6 à 7 les mercredis après-midi.
Le stress est aussi causé par l'éloignement avec ma famille, mes proches et mon fiancé.
Bref, je suis over sur les nerfs!
_________________
Je m’excuse par avance des fautes d’accord, de grammaire, de syntaxe et de conjugaison que je peux laisser passer dans mes écrits. Je suis aphasique suite à un AVC et je réapprends à écrire depuis presque 5 ans. J'ai un grand problème avec le subjonctif et le genre des mots!
- bellaciaoFidèle du forum
Oui, je crois que c'est l'éloignement qui cause cela, car lorsqu'on est avec ceux qu'on aime, on dégage du temps pour eux en priorité, et cela permet de prendre du champ (si je peux me permettre, avec ton pseudo... ) par rapport au travail.
Je te souhaite de retrouver les tiens bien vite et de te sentir plus entourée.
Je te souhaite de retrouver les tiens bien vite et de te sentir plus entourée.
- Marcelle DuchampExpert spécialisé
J'espère que ma vie changera dès que je pourrais rentrer chez moi. Là, mon stress est très très élevé.
J'ai un mal de dos chronique en plus qui m'use et le soir, je souffre énormément.
J'ai un mal de dos chronique en plus qui m'use et le soir, je souffre énormément.
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Je m’excuse par avance des fautes d’accord, de grammaire, de syntaxe et de conjugaison que je peux laisser passer dans mes écrits. Je suis aphasique suite à un AVC et je réapprends à écrire depuis presque 5 ans. J'ai un grand problème avec le subjonctif et le genre des mots!
- Erlandur61Niveau 5
C'est clair que le fait d'être loin de la famille n'aide pas à se libérer du temps; moi depuis que je suis avec mon fiancé (ça fait presque 5 ans), je m'oblige à ne pas travailler le soir après 19h30/20h maxi, et me libérer le dimanche après-midi (il bosse dans le commerce, alors c'est le seul moment de la semaine qu'on a en commun car il bosse le samedi). Bonne chance à toi, Marcelle! Penses-tu avoir ta mut' près de ta famille ?
Juliet: un gros, bros bizou à toi!!!!!
Juliet: un gros, bros bizou à toi!!!!!
- Marcelle DuchampExpert spécialisé
Peut être l'année prochaine voire dans deux ans... Ca fait déjà deux ans que je suis éloignée de mon fiancé et de ma famille.
4 ans sur une vie c'est beaucoup je trouve...
4 ans sur une vie c'est beaucoup je trouve...
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Je m’excuse par avance des fautes d’accord, de grammaire, de syntaxe et de conjugaison que je peux laisser passer dans mes écrits. Je suis aphasique suite à un AVC et je réapprends à écrire depuis presque 5 ans. J'ai un grand problème avec le subjonctif et le genre des mots!
- Invité5Expert
Marcelle Duchamp a écrit:J'ai voté 8.
Le stress me fatigue.
Même petite j'étais incapable de faire la sieste, maintenant, si je peux, je dors une ou deux heures en plein milieu de la journée.
Je mange très peu en période de stress donc je fonds...
Avant, j'étais une grosse fêtarde, je sortais jusqu'à pas d'heure et pouvais assurer derrière. Aujourd'hui, à 22h, je suis morte. Il faut m'occuper pour que je ne sombre pas le sommeil donc mes amis me parlent, me font danser et veillent à ne pas me laisser plus de 5min assise dans un coin.
Je ne peux plus "boire" en soirée sinon c'est dodo assuré.
J'estime que ma fatigue chronique date de Décembre 2009 et comme je suis incapable de décompresser...
Les insolences, les incivilités, les rapports de force, le non respect de l'administration, le manque de moyens sont autant de sources de stress pour moi.
De plus, je me fous une pression énorme. Je déteste ne pas assurer et faire les choses à l'arrache. Je bosse plusieurs heures par soirs et 6 à 7 les mercredis après-midi.
Le stress est aussi causé par l'éloignement avec ma famille, mes proches et mon fiancé.
Bref, je suis over sur les nerfs!
Je suis un peu comme toi sauf que ça me fait l'effet inverse ! Du jour où j'ai quitté mon Nord et mes proches : incapable dormir. Je dors en moyenne 4h30 par nuit. Je suis fatiguée mais impossible de me coucher plus tôt.
Je tiens lundi mardi mercredi et le mercredi aprem je dors car je tombe de fatigue.
Du coup j'ai beaucoup de mal à m'organiser dans mon travail...Et c'est ça qui me stresse le plus !
Je pense que ma qualité de vie va s'améliorer (et mon travail aussi) dès que je rentrerai chez moi.
Juliet j'espère que tu vas mieux. Donne-nous de tes nouvelles quand tu auras un peu de temps
- InvitéInvité
Merci à tous pour vos messages! Ca peut aller, le moral est meilleur, j'attends avec angoisse les résultats de tous les tests. Je sais d'avance que ce ne sera pas génial, mais si au moins on pouvait trouver la cause de ces déréglements et surtout le remède, ce serait vraiment bien. J'ai tellement de sommeil en retard qu'avec toutes les émotions de ces derniers jours, je dors beaucoup, moi qui avais oublié à quel point c'était réparateur. Je fais des nuits de 8h (plus arrivé depuis... je sais même pas!) et je me surprends à même faire de petites siestes (1 à 2h) l'après-midi! Je recharge mes batteries à plat depuis trop longtemps, et je ne pensais pas y arriver, donc je suis assez contente (contente d'arriver à se reposer, on aura tout vu, mais j'en étais vraiment à ce point, à culpabiliser lorsque je me posais). Par contre, dur dur de ne pas travailler, je ne peux m'empêcher de faire de petites choses (mais tranquillement), on se refait pas! Mais globalement ça va quand même mieux, je me sens moins dépassée et fais le plein de vitamines et minéraux, je pense que j'avais besoin de craquer un bon coup pour mieux pouvoir repartir. Merci à tous pour votre soutien!
- Erlandur61Niveau 5
Tant mieux! Même si ça prend du temps...Profite et relaxe-toi un maximum!!!!
Ce que je trouve aussi un peu stressant dans ce métier c'est quand on fait une séquence et qu'on peut la faire et refaire et peaufiner à l'infini, et parfois quand je ne suis pas super contente de moi, je n'arrive pas à dormir ou quand je suis en demi-sommeil, mon cerveau continue à y réfléchir et bloque, ressasse tout ça en rond et je me repose pas...Surtout qu'avec mes tutrices, ça ne l'a pas trop fait et elles m'ont pas mal sapé la confiance que j'avais en mon propre travail.
- KrokoEsprit éclairé
je sais pas vous, mais moi j'ai toujours peur de pas y arriver. pas réussir à finir ma séquence à temps ...
- derouteÉrudit
Ce qui me stresse le plus c'est de ne pas avoir le temps de faire tout le programme et surtout les points de latin en grammaire. Je passe énormément de temps sur chaque parce qu'ils ont beaucoup beaucoup de mal et j'ai peur de pas réussir à tout faire!
J'ai aussi peur de ne pas réussir à faire ce que j'avais prévu au niveau sortie etc (ça prend tellement de temps!)
J'ai aussi peur de ne pas réussir à faire ce que j'avais prévu au niveau sortie etc (ça prend tellement de temps!)
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- Groupes de travail "Directeurs d'école" (1) et "Rased" (2) : Le Mammouth déchaîné met en ligne les documents de travail ministériels.
- Travail de recherche sur une longue durée par les élèves (travail de maturité)
- Propositions de travail théâtral et de travail sur l'oral en classe entière
- Travail du dimanche, travail féminin et modes de garde
- Contre la réforme : notre travail, tout notre travail, que notre travail.
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