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- AhenobarbusNiveau 5
J’en ai gros pour écrire ce poste. Je précise tout de suite, j’adore enseigner et donc mon métier. Mais je constate une inflation dont tout le monde se fiche j’ai l’impression : l’explosion des PAP, PPRE…le nombre d’ULIS inclus dans les classes ordinaires, l’explosion dés pré-orientés SEGPA dans les classes. En bref, on fait de nous des enseignants spé alors que nous ne le sommes pas et que je ne souhaite pas le devenir. En bref, j’abhorre cette sensation d’être l’acteur d’une (mauvaise) comédie où l’on fait semblant de travailler. On parle souvent des salaires, mais ces conditions de travail ne sont juste pas tenables. Le niveau global est catastrophique qui plus est.
- poutouNiveau 10
Oui, tout à fait...Ça devient difficile. On attend que l'on individualise, dans des classes de 30.
- InvitéInvité
Ahenobarbus a écrit:J’en ai gros pour écrire ce poste. Je précise tout de suite, j’adore enseigner et donc mon métier. Mais je constate une inflation dont tout le monde se fiche j’ai l’impression : l’explosion des PAP, PPRE…le nombre d’ULIS inclus dans les classes ordinaires, l’explosion dés pré-orientés SEGPA dans les classes. En bref, on fait de nous des enseignants spé alors que nous ne le sommes pas et que je ne souhaite pas le devenir. En bref, j’abhorre cette sensation d’être l’acteur d’une (mauvaise) comédie où l’on fait semblant de travailler. On parle souvent des salaires, mais ces conditions de travail ne sont juste pas tenables. Le niveau global est catastrophique qui plus est.
Personnellement, en-dehors des dictées aménagées (la même pour tous les profils atypiques : PAI, dys, etc. -> une dictée à choix multiple, comme au Brevet), je ne pratique pas la pédagogie différenciée au sein de mes classes, pour les deux raisons que vous avez évoquées l'un(e) et l'autre :
1. ils sont trop nombreux dans les classes pour que ce type de pédagogie puisse se mettre en place et être efficace.
2. je n'ai pas choisi de devenir "enseignante spécialisée". C'est un vrai métier, à part, qui nécessite des compétences particulières que ne maîtrise pas l'ensemble du corps professoral.
Alors, tant pis. Ils sont là, ils avancent comme ils le peuvent ; j'essaye de rester bienveillante dans mes remarques sur leur bulletin scolaire si je vois qu'ils ont fait l'effort de travailler (participation en classe, devoirs faits et/ou rendus régulièrement, etc.). Et ça s'arrête là. Je me doute bien que ce n'est pas forcément "dans l'intérêt des élèves" que de "laisser tomber" ainsi ces différents types de profil, mais c'est dans celui de ma santé. Et elle passera toujours avant le reste.
- JennyMédiateur
Certains aménagements sont une obligation, notamment avec le contrôle continu.
- Ajonc35Sage
Je reviens de la bibliothèque. En exposition des livres sue l'école.... et celui de l'ex ministre de l'EN. J' ai feuilleté. Il y a un chapitre sur qu'est un bon professeur. Et bien, il manque une corde à ton arc :aider chaque élève à progresser ( ou quelque chose dans le genre).Lucia21 a écrit:Ahenobarbus a écrit:J’en ai gros pour écrire ce poste. Je précise tout de suite, j’adore enseigner et donc mon métier. Mais je constate une inflation dont tout le monde se fiche j’ai l’impression : l’explosion des PAP, PPRE…le nombre d’ULIS inclus dans les classes ordinaires, l’explosion dés pré-orientés SEGPA dans les classes. En bref, on fait de nous des enseignants spé alors que nous ne le sommes pas et que je ne souhaite pas le devenir. En bref, j’abhorre cette sensation d’être l’acteur d’une (mauvaise) comédie où l’on fait semblant de travailler. On parle souvent des salaires, mais ces conditions de travail ne sont juste pas tenables. Le niveau global est catastrophique qui plus est.
Personnellement, en-dehors des dictées aménagées (la même pour tous les profils atypiques : PAI, dys, etc. -> une dictée à choix multiple, comme au Brevet), je ne pratique pas la pédagogie différenciée au sein de mes classes, pour les deux raisons que vous avez évoquées l'un(e) et l'autre :
1. ils sont trop nombreux dans les classes pour que ce type de pédagogie puisse se mettre en place et être efficace.
2. je n'ai pas choisi de devenir "enseignante spécialisée". C'est un vrai métier, à part, qui nécessite des compétences particulières que ne maîtrise pas l'ensemble du corps professoral.
Alors, tant pis. Ils sont là, ils avancent comme ils le peuvent ; j'essaye de rester bienveillante dans mes remarques sur leur bulletin scolaire si je vois qu'ils ont fait l'effort de travailler (participation en classe, devoirs faits et/ou rendus régulièrement, etc.). Et ça s'arrête là. Je me doute bien que ce n'est pas forcément "dans l'intérêt des élèves" que de "laisser tomber" ainsi ces différents types de profil, mais c'est dans celui de ma santé. Et elle passera toujours avant le reste.
Il écrit comme s'il y avait un adulte, un enfant. Il oublie que les classes sont chargées et qu' un élève avec un handicap sévère ( surdité par exemple) , c'est ( helas) un.individu parmi d'autres auquel on.prete un peu plus d'attention,
Autrefois, on était confrontés à des handicaps temporaires du style bras cassé ( on phocopiait le cours d'un élève, si prise de notes légère, le voisin copiait deux fois ) et on s'adaptait sur un moment court. Mantenant, il y a bien plus de cas et bien.plus lourds et sur l'ensemble de l'année et à moyens constants sauf les AESH qui manquent aussi à l'appel ce début d'année.
- Sylvain de Saint-SylvainGrand sage
Ahenobarbus a écrit:J’en ai gros pour écrire ce poste. Je précise tout de suite, j’adore enseigner et donc mon métier. Mais je constate une inflation dont tout le monde se fiche j’ai l’impression : l’explosion des PAP, PPRE…le nombre d’ULIS inclus dans les classes ordinaires, l’explosion dés pré-orientés SEGPA dans les classes.
Pour moi le pire ce sont les élèves arrivés en France il y a parfois deux ans seulement et qu'on parachute dans les classes de collège. J'ai l'impression de les maltraiter malgré moi avec mes cours de français pas langue étrangère. Ma petite sœur, professeur de FLE, dit qu'il n'est pas normal que ces élèves soient là. Je ne sais pas ce qu'il en est légalement.
Après tout, les niveaux du collège ne correspondant plus à rien, tout le monde passant à l'ancienneté et le brevet étant d'un niveau débile, je crois que je vais finir par me lâcher et faire faire à ces élèves des choses qui n'ont rien à voir et entrer des notes qui correspondent à des évaluations sans rapport avec ce que font les autres élèves. Après tout tout le monde s'en fiche.
- Charles-MauriceNiveau 10
Le tout en diminuant les salaires de 30%en 20 ans... Donc non, ou alors avec 30 % de plus, après rattrapage, bien entendu.poutou a écrit:Oui, tout à fait...Ça devient difficile. On attend que l'on individualise, dans des classes de 30.
- MathadorEmpereur
Quand il y a de la place.Jenny a écrit:Les élèves non-francophones sont pris en charge 1 ou 2 ans en UP2A.
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- Sylvain de Saint-SylvainGrand sage
Jenny a écrit:Tu parlais d'élèves arrivés il y a deux ans ?
Je vais vérifier avant de dire des bêtises mais je suis quasi sûr que l'élève que j'ai eu en 5e puis 4e n'avait pas été en UPE2A, puisqu'il était déjà dans le collège une année après son arrivée en France, et que la direction m'avait pas dit qu'il n'avait pas besoin d'enseignement spécialisé. Pour l'élève que j'ai en ce moment je vais demander. De toute façon, je doute que deux ans d'UPE2A permettent de suivre les cours de français de 4e.
- JennyMédiateur
Oui, évidemment. Mais ce n'est pas plus de 2 ans.Mathador a écrit:Quand il y a de la place.Jenny a écrit:Les élèves non-francophones sont pris en charge 1 ou 2 ans en UP2A.
- AhenobarbusNiveau 5
J'adore mon métier mais ce point m'interroge carrément sur mon avenir au sein de l'institution...
- ElyasEsprit sacré
Sylvain de Saint-Sylvain a écrit:Ben pas chez moi.
Tu es dans le 95, la situation y est critique au niveau des UPE2A. Il y a trop de dossiers par rapport aux places possibles et la répartition des UPE2A pose souci également.
De plus, il y a le souci de langue parlée à la maison et de la langue de scolarisation antérieure, couplé au problème des formes d'écriture antérieure (quand tu reçois un élève qui vient d'un système alphabétique ou pas, et dans les systèmes alphabétiques, tu dois gérer les alphabets cyrillique, arabe, thaï (ce dernier est particulier), hébraïque etc) plus les systèmes idéogrammiques ou autres.
Le problème aussi qu'on rencontre est qu'on refuse souvent en UPE2A les élèves qui viennent d'un pays où la langue de scolarisation est le français (vous voyez l'astuce pour gérer la pénurie de places). Donc, un enfant qui parle peul mais qui vient du Sénégal (langue de scolarisation : français) n'ira pas en UPE2A s'il faut choisir entre plusieurs profils différents (alors qu'un enfant japonais ira en UPE2A, je connais des cas dans le 95). Autre détail, il y a les classes UPE2A avec des élèves ET les unités UPE2A où un enseignant UPE2A a un secteur et va dans les écoles une fois par semaine pour enseigner aux élèves repérés UPE2A. Ces élèves auront donc 1 jour sur 4 des cours d'UPE2A.
Après, derrière, il y a aussi le souci des parents non-francophones.
Ce dossier, dans le 95, est explosif. Ce n'est pas pour rien que c'est le département où il y a le plus de gens qui tentent la certification UPE2A pour devenir ressources dans leur école/collège.
EDIT : pour ton élève, s'il vient d'un pays où la langue de scolarisation était le français, ça doit expliquer la remarque que tu as eue sur l'absence de besoin pour lui (oui, c'est inique).
- *Ombre*Grand sage
La situation est sans doute critique pour les UPE2A en Indre-et-Loire aussi, car nous aussi, régulièrement, on reçoit en classe ordinaire des élèves parlant à peine français.
On n'a plus de place en ITEP non plus.
Ni en SEGPA.
Un des gamins fous furieux de ma 5e mémorable de l'an dernier a fini par avoir, en fin d'année, un diagnostic et une orientation demandée par le psychiatre qui a bien insisté sur le fait que l'élève "ne peut pas être scolarisé en milieu ordinaire". Ben y peut pas, mais il y est quand même, parce qu'il n'y a pas de place en ITEP, et comme on ne peut pas le laisser chez lui, on se le garde, malgré la décision notifiée en ESS. Et ça restera vraisemblablement comme ça jusqu'à la fin de sa scolarité au collège.
La réalité, c'est que l'État se désengage, surtout des structures coûteuses pour s'occuper de sans-dents qui de toute façon ne seront jamais rentables. Fourguez-moi tout ça dans les classes, les profs, gueux parmi les gueux, géreront la misère, et ceux qui attendent autre chose de l'école n'ont qu'à payer.
On n'a plus de place en ITEP non plus.
Ni en SEGPA.
Un des gamins fous furieux de ma 5e mémorable de l'an dernier a fini par avoir, en fin d'année, un diagnostic et une orientation demandée par le psychiatre qui a bien insisté sur le fait que l'élève "ne peut pas être scolarisé en milieu ordinaire". Ben y peut pas, mais il y est quand même, parce qu'il n'y a pas de place en ITEP, et comme on ne peut pas le laisser chez lui, on se le garde, malgré la décision notifiée en ESS. Et ça restera vraisemblablement comme ça jusqu'à la fin de sa scolarité au collège.
La réalité, c'est que l'État se désengage, surtout des structures coûteuses pour s'occuper de sans-dents qui de toute façon ne seront jamais rentables. Fourguez-moi tout ça dans les classes, les profs, gueux parmi les gueux, géreront la misère, et ceux qui attendent autre chose de l'école n'ont qu'à payer.
- maikreeeesseGrand sage
De toute façon UPE2A c'est quelques heures par ci par là, non ? En élémentaire si on est une école un peu loin de la grande ville, ou s'il y a une seule famille concernée, c'est mort, en maternelle c'est inexistant. Parfois on a la chance d'avoir quelqu'un 2 h par semaine sur 24H. Alors on fait sans depuis des années.
- TangledingGrand Maître
Un de mes élèves de 5e est aussi théoriquement admis en itep depuis décembre dernier. J'ai déjà un rapport d'incident à taper ce soir, pour un incident à l'entrée du cours, dont il s'avère que ce n'est pas une simple chamaillerie.
Un élève manifestement quasi pas francophone dans une de mes 6e. Un 5e avec notification AESH sans AESH.
Et plusieurs élèves sans notification mais manifestement incapables de noter le cours à vitesse normale.
Souvent ils ne sont pas très dérangeant, c'est juste que je ne peux pas faire grand chose pour les aider en traitant le programme réel auquel les autres élèves ont aussi le droit.
Un élève manifestement quasi pas francophone dans une de mes 6e. Un 5e avec notification AESH sans AESH.
Et plusieurs élèves sans notification mais manifestement incapables de noter le cours à vitesse normale.
Souvent ils ne sont pas très dérangeant, c'est juste que je ne peux pas faire grand chose pour les aider en traitant le programme réel auquel les autres élèves ont aussi le droit.
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"Never complain, just fight."
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- wilfried12Habitué du forum
J'ai eu 3 élèves non francophones qui étaient directement intégrés dans des classes "normales", donc l'upe2a ne me semble clairement pas systématique. (A noter que l'un des trois était le meilleur élément de ma classe à la fin de l'année et était même dans les premiers en français!).
- JennyMédiateur
maikreeeesse a écrit:De toute façon UPE2A c'est quelques heures par ci par là, non ? En élémentaire si on est une école un peu loin de la grande ville, ou s'il y a une seule famille concernée, c'est mort, en maternelle c'est inexistant. Parfois on a la chance d'avoir quelqu'un 2 h par semaine sur 24H. Alors on fait sans depuis des années.
Pas forcément. Il me semble que les collègues d’UP2A et d’ULIS font 24 h.
- poutouNiveau 10
*Ombre* a écrit:La situation est sans doute critique pour les UPE2A en Indre-et-Loire aussi, car nous aussi, régulièrement, on reçoit en classe ordinaire des élèves parlant à peine français.
On n'a plus de place en ITEP non plus.
Ni en SEGPA.
Un des gamins fous furieux de ma 5e mémorable de l'an dernier a fini par avoir, en fin d'année, un diagnostic et une orientation demandée par le psychiatre qui a bien insisté sur le fait que l'élève "ne peut pas être scolarisé en milieu ordinaire". Ben y peut pas, mais il y est quand même, parce qu'il n'y a pas de place en ITEP, et comme on ne peut pas le laisser chez lui, on se le garde, malgré la décision notifiée en ESS. Et ça restera vraisemblablement comme ça jusqu'à la fin de sa scolarité au collège.
La réalité, c'est que l'État se désengage, surtout des structures coûteuses pour s'occuper de sans-dents qui de toute façon ne seront jamais rentables. Fourguez-moi tout ça dans les classes, les profs, gueux parmi les gueux, géreront la misère, et ceux qui attendent autre chose de l'école n'ont qu'à payer.
C'est ce que je constate aussi de plus en plus. Mon collège public de campagne, plutôt "tranquille", voit de plus en plus d'élèves à besoins particuliers (diagnostiqués, rarement, et surtout complètement à côté des codes normaux du "vivre ensemble" ) arriver et se vide des bons éléments qui fuient vers le collège privé d'à côté. C'est effarant et ceci m'interroge vraiment depuis 2 ou 3 ans.
J'aime mon métier, c'est ma 20ème rentrée mais cela nous pose de plus en plus souci.
- maikreeeesseGrand sage
Oui mais sur un vaste territoire, donc une heure au mieux par école.Jenny a écrit:maikreeeesse a écrit:De toute façon UPE2A c'est quelques heures par ci par là, non ? En élémentaire si on est une école un peu loin de la grande ville, ou s'il y a une seule famille concernée, c'est mort, en maternelle c'est inexistant. Parfois on a la chance d'avoir quelqu'un 2 h par semaine sur 24H. Alors on fait sans depuis des années.
Pas forcément. Il me semble que les collègues d’UP2A et d’ULIS font 24 h.
- mafalda16Modérateur
Jenny a écrit:Les élèves non-francophones sont pris en charge 1 ou 2 ans en UP2A.
Pas partout et loin de là.
Il y a deux ans, élève arrivant de Chine, en cours normal. L'an dernier élève arrivant de Finlande, en cours avec les autres. Cette année, élève arrivé cet été d'Espagne, en cours dès septembre.
UP2A il n'y en a pas partout. En dehors de région parisienne, il y en a seulement dans les grandes villes.
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"Si no luchas, al menos ten la decencia de respetar a quienes lo hacen", José Martí.
- mgb35Érudit
Pas d'UP2A dans mon collège de campagne.
Les rares élèves qui arrivent non francophones sont directement et intégralement scolarisé en classe classique.
Les rares élèves qui arrivent non francophones sont directement et intégralement scolarisé en classe classique.
- mgb35Érudit
Sinon dans l'Académie de Normandie, c'est 15-16 élèves en ulis avec un seul AESH mutualisé. Les élèves en inclusion sont seuls 80% du temps...
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