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- DodelineNiveau 5
Bonjour,
Je me permets de poster ce nouveau sujet pour recueillir vos avis et conseils concernant une situation que nous sommes, hélas, peut-être nombre à connaitre : un chef d'établissement toxique utilisant des méthodes de gestion des personnels plus que douteuses.
Pour ceux qui auraient suivi mes déboires : je suis tombé sur un chef d'établissement n'hésitant pas à imposer certaines de ses lubies passagères au mépris des textes, employant un ton se rapprochant furieusement de l'intimidation, tenant un discours éthiquement douteux avec le sourire, me reprenant sur ma façon de m'exprimer alors que mon langage est parfaitement adapté à la situation, divulgue ma situation administrative aux autres professeurs.
Voilà pour le florilège non exhaustif.
J'aimerais simplement trouver des astuces et des conseils pour mieux me prémunir des entretiens que je pourrais avoir dans son bureau avec lui. L'année va s'annoncer longue si je m'échine à accorder de l'importance à chacune de ses attaques et j'aimerais élaborer une stratégie lorsque je serai amené à interagir avec lui.
Comment gérez-vous ce type de rapports au quotidien ?
Merci d'avance,
Je me permets de poster ce nouveau sujet pour recueillir vos avis et conseils concernant une situation que nous sommes, hélas, peut-être nombre à connaitre : un chef d'établissement toxique utilisant des méthodes de gestion des personnels plus que douteuses.
Pour ceux qui auraient suivi mes déboires : je suis tombé sur un chef d'établissement n'hésitant pas à imposer certaines de ses lubies passagères au mépris des textes, employant un ton se rapprochant furieusement de l'intimidation, tenant un discours éthiquement douteux avec le sourire, me reprenant sur ma façon de m'exprimer alors que mon langage est parfaitement adapté à la situation, divulgue ma situation administrative aux autres professeurs.
Voilà pour le florilège non exhaustif.
J'aimerais simplement trouver des astuces et des conseils pour mieux me prémunir des entretiens que je pourrais avoir dans son bureau avec lui. L'année va s'annoncer longue si je m'échine à accorder de l'importance à chacune de ses attaques et j'aimerais élaborer une stratégie lorsque je serai amené à interagir avec lui.
Comment gérez-vous ce type de rapports au quotidien ?
Merci d'avance,
- AsarteLilithBon génie
Aïe.... je n'aurais pas vraiment de conseils, sauf se rapprocher de ton syndicat.
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Chuis comme les plantes sans eau : sans grec ni latin, j'me dessèche.
ON DIT CHOCOLATINE, PHILISTINS !
- DodelineNiveau 5
J'ai déjà contacté mon syndicat, pour l'instant il est encore trop tôt pour amorcer quoi que ce soit de ce côté là, nous ne sommes que le 4 septembre, mais je sens déjà poindre le personnage odieux.
Je préfère déjà avoir quelques conseils histoire de tempérer le personnage avant de recourir aux syndicats si besoin
Je préfère déjà avoir quelques conseils histoire de tempérer le personnage avant de recourir aux syndicats si besoin
- valleExpert spécialisé
Passer par l'écrit, ne jamais le rencontrer seule, c'est tout.
Il vaut mieux être clair : tu peux lui envoyer un mail en lui signifiant que tu crains qu'il y ait des malentendus et que, afin d'assurer la correcte poursuite de votre lien professionnel, tu ne souhaites pas le rencontrer seule.
À quoi fais-tu référence quand tu dis qu'il a divulgué ta situation administrative ?
Sinon, attention : l'adjectif "toxique" rapporte tout immédiatement à un contexte personnel. Le fait que quelqu'un soit un mal professionnel n'implique pas nécessairement que ce soit un individu "toxique". Si tu nous parles de "toxicité" je dirais que la bonne solution passe pour un psychologue (afin de te donner des outils pour faire face à la situation, ce que tu envisages toi-même quand tu parles de ne pas accorder de l'importance à chaque attaque, etc.). Si tu parles de lien chef-employé, tu peux en effet te rapprocher d'un syndicat.
Il vaut mieux être clair : tu peux lui envoyer un mail en lui signifiant que tu crains qu'il y ait des malentendus et que, afin d'assurer la correcte poursuite de votre lien professionnel, tu ne souhaites pas le rencontrer seule.
À quoi fais-tu référence quand tu dis qu'il a divulgué ta situation administrative ?
Sinon, attention : l'adjectif "toxique" rapporte tout immédiatement à un contexte personnel. Le fait que quelqu'un soit un mal professionnel n'implique pas nécessairement que ce soit un individu "toxique". Si tu nous parles de "toxicité" je dirais que la bonne solution passe pour un psychologue (afin de te donner des outils pour faire face à la situation, ce que tu envisages toi-même quand tu parles de ne pas accorder de l'importance à chaque attaque, etc.). Si tu parles de lien chef-employé, tu peux en effet te rapprocher d'un syndicat.
- scot69Modérateur
Juste un conseil: si un jour il te prend au dépourvu du genre "je peux vous voir 5 minutes?" et que ça se transforme en entretien "procès", tu te casses de son bureau sur le champ et tu lui dis qu'il t'envoie une convocation suffisamment tôt pour que tu puisses prévenir un délégué syndical.
- Pourquoi 3,14159Expert
Ignorance et mépris, tu continues ton chemin droit dans tes bottes. Et petite remise en place sèche en cas d'attaque, mais sans s'attarder à écouter la suite. Il faut fuir ces profils.
Bon courage.
Bon courage.
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"Placez votre main sur un poêle une minute et ça vous semble durer une heure. Asseyez vous auprès d'une jolie fille une heure et ça vous semble durer une minute. C'est ça la relativité. " (Albert Einstein).
- NestyaEsprit sacré
Seul, c'est compliqué. Nous avons réussi à venir à bout d'un chef identique en nous unissant, en communiquant entre nous (il faut à tout prix éviter l'isolement de certains personnels et informer les autres dès qu'il se passe quelque chose) et en suivant les conseils des syndicats. Il faut aussi demander aux syndicats si ce chef est déjà connu pour des faits similaires. C'est plus facile d'obtenir des résultats quand il est déjà connu (défavorablement) de sa hiérarchie.
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"Attendre et espérer."
Alexandre Dumas
- Philomène87Grand sage
C'est une situation délicate à gérer. Ce genre de chef peut vraiment pourrir (légalement) le quotidien de ceux qu'il a dans le pif.
Je rejoins les autres : à part se rapprocher d'un syndicat, ne jamais le rencontrer seul et faire front avec les collègues, il n'y a hélas pas beaucoup d'autres solutions. Surtout que ce genre de chef peut aussi jouer des divisions, il peut "séduire" certains collègues trop heureux d'échapper à sa toxicité.
Bon courage.
Je rejoins les autres : à part se rapprocher d'un syndicat, ne jamais le rencontrer seul et faire front avec les collègues, il n'y a hélas pas beaucoup d'autres solutions. Surtout que ce genre de chef peut aussi jouer des divisions, il peut "séduire" certains collègues trop heureux d'échapper à sa toxicité.
Bon courage.
- menerveOracle
Il faudrait savoir plus en détails quels sont les agissements reprochés... En effet j'ai bien l'impression que depuis quelques années la façon de gérer le personnel et donc les enseignants, a beaucoup changé... Et ce n'est pas à notre avantage... J'ai l'impression que les chefs imposent moult projets, tâches, missions supplémentaires et qu' il est très difficile de dire non.
- DodelineNiveau 5
valle a écrit:Passer par l'écrit, ne jamais le rencontrer seule, c'est tout.
Il vaut mieux être clair : tu peux lui envoyer un mail en lui signifiant que tu crains qu'il y ait des malentendus et que, afin d'assurer la correcte poursuite de votre lien professionnel, tu ne souhaites pas le rencontrer seule.
À quoi fais-tu référence quand tu dis qu'il a divulgué ta situation administrative ?
Sinon, attention : l'adjectif "toxique" rapporte tout immédiatement à un contexte personnel. Le fait que quelqu'un soit un mal professionnel n'implique pas nécessairement que ce soit un individu "toxique". Si tu nous parles de "toxicité" je dirais que la bonne solution passe pour un psychologue (afin de te donner des outils pour faire face à la situation, ce que tu envisages toi-même quand tu parles de ne pas accorder de l'importance à chaque attaque, etc.). Si tu parles de lien chef-employé, tu peux en effet te rapprocher d'un syndicat.
Quand cette personne sort du cadre professionnel pour émettre des attaques sur le plan personnel, on peut bien parler de toxicité.
Quant à la divulgation de ma situation professionnelle : il raconte à tout le monde que je suis en sous-service et qu'il allait mettre au boulot ces agrégés
scot69 a écrit:Juste un conseil: si un jour il te prend au dépourvu du genre "je peux vous voir 5 minutes?" et que ça se transforme en entretien "procès", tu te casses de son bureau sur le champ et tu lui dis qu'il t'envoie une convocation suffisamment tôt pour que tu puisses prévenir un délégué syndical.
Je pense refuser l'entretien s'il me prend au dépourvu, en prétextant que je suis pressé et que j'ai des rdv. Je ne suis pas tenu d'être dans l'établissement en dehors de mes heures de cours, et comme cela m'étonnerait qu'il me convoque pendant mes cours (pourquoi pas après tout ?), s'il a quelque chose à me dire, il passera par mail.
Philomène87 a écrit:C'est une situation délicate à gérer. Ce genre de chef peut vraiment pourrir (légalement) le quotidien de ceux qu'il a dans le pif.
Je rejoins les autres : à part se rapprocher d'un syndicat, ne jamais le rencontrer seul et faire front avec les collègues, il n'y a hélas pas beaucoup d'autres solutions. Surtout que ce genre de chef peut aussi jouer des divisions, il peut "séduire" certains collègues trop heureux d'échapper à sa toxicité.
Bon courage.
De quelle façon exactement ? Une fois que les edt sont bouclés, que peut-il faire ?
Je précise que je suis TZR, sa marge de manoeuvre me semble limitée...
- NestyaEsprit sacré
menerve a écrit:Il faudrait savoir plus en détails quels sont les agissements reprochés... En effet j'ai bien l'impression que depuis quelques années la façon de gérer le personnel et donc les enseignants, a beaucoup changé... Et ce n'est pas à notre avantage... J'ai l'impression que les chefs imposent moult projets, tâches, missions supplémentaires et qu' il est très difficile de dire non.
Personnellement, ce n'est pas à ce genre d'agissements auxquels je pense. ça allait beaucoup plus loin et c'était bien plus destructeur: pressions, harcèlement moral, mensonges, manipulation, refus de communiquer...
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"Attendre et espérer."
Alexandre Dumas
- DodelineNiveau 5
Nestya a écrit:menerve a écrit:Il faudrait savoir plus en détails quels sont les agissements reprochés... En effet j'ai bien l'impression que depuis quelques années la façon de gérer le personnel et donc les enseignants, a beaucoup changé... Et ce n'est pas à notre avantage... J'ai l'impression que les chefs imposent moult projets, tâches, missions supplémentaires et qu' il est très difficile de dire non.
Personnellement, ce n'est pas à ce genre d'agissements auxquels je pense. ça allait beaucoup plus loin et c'était bien plus destructeur: pressions, harcèlement moral, mensonges, manipulation, refus de communiquer...
Je ne pense pas qu'on en soit encore là, nous ne sommes que le 4 septembre après tout, il n'a pas encore eu le loisir de faire étalage de sa capacité de nuisance.
Pour l'instant, ses agissements se bornent à : des petites réflexions subtiles mais douteuses, des lubies qu'il tente d'imposer (que j'ai déjà contrecarrés avec les textes juridiques), me reproche ma façon de parler qui est pourtant bien plus adaptée que la sienne.
- valleExpert spécialisé
Dodeline a écrit:scot69 a écrit:Juste un conseil: si un jour il te prend au dépourvu du genre "je peux vous voir 5 minutes?" et que ça se transforme en entretien "procès", tu te casses de son bureau sur le champ et tu lui dis qu'il t'envoie une convocation suffisamment tôt pour que tu puisses prévenir un délégué syndical.
Je pense refuser l'entretien s'il me prend au dépourvu, en prétextant que je suis pressé et que j'ai des rdv. Je ne suis pas tenu d'être dans l'établissement en dehors de mes heures de cours, et comme cela m'étonnerait qu'il me convoque pendant mes cours (pourquoi pas après tout ?), s'il a quelque chose à me dire, il passera par mail.
Chacun a son avis, mais je pense qu'il vaut mieux être clair. Comme tu le dis, cette stratégie d'évasion te met en situation d'angoisse : tu devrais inventer des excuses, justifier de ton refus, etc. J'ai trouvé plusieurs enseignants qui pensent qu'exprimer clairement qu'on souhaite être accompagné fait état d'une certaine "faiblesse" et qui ne le font donc pas. Je pense, au contraire, que cela fait que chacun se situe plus facilement à sa place. Dire au chef "Je peux vous voir 5 minutes, mais je souhaiterais que vous me préveniez avec un temps suffisant pour que je puisse demander à être accompagné, est-ce que cela vous convient ?" est finalement beaucoup plus sain que prétexter quoi que ce soit.
Un dernier détail : tu n'est pas tenu d'être dans ton établissement hors tes cours, mais tu es en revanche tenu d'assister à une réunion avec ton chef s'il te le demande (d'une façon générale).
- Philomène87Grand sage
Dodeline a écrit:
De quelle façon exactement ? Une fois que les edt sont bouclés, que peut-il faire ?
Je précise que je suis TZR, sa marge de manoeuvre me semble limitée...
Je ne sais pas, "oublier" de déclarer tes HSE par exemple, après lesquelles tu serais obligé de courir pendant des mois pour finalement ne jamais les avoir.
Monter une partie de l'équipe contre toi (j'ai eu ça moi après une prise de bec, quasiment plus personne ne me parlait ni me disait bonjour, c'est très dur psychologiquement).
Tu es en sous-service ? Te le combler avec du travail qui ne relève pas de tes missions ?
Tu es TZR, peut-être a-t-il le bras assez long pour te faire mettre sur 3 établissements l'an prochain. Je ne sais pas, étant dans le privé, je ne connais pas grand chose au TZRiat.
Après si tu es syndiqué, son pouvoir de nuisance semble en effet assez limité.
- chmarmottineGuide spirituel
Dodeline a écrit:Bonjour,
Je me permets de poster ce nouveau sujet pour recueillir vos avis et conseils concernant une situation que nous sommes, hélas, peut-être nombre à connaitre : un chef d'établissement toxique utilisant des méthodes de gestion des personnels plus que douteuses.
Pour ceux qui auraient suivi mes déboires : je suis tombé sur un chef d'établissement n'hésitant pas à imposer certaines de ses lubies passagères au mépris des textes, employant un ton se rapprochant furieusement de l'intimidation, tenant un discours éthiquement douteux avec le sourire, me reprenant sur ma façon de m'exprimer alors que mon langage est parfaitement adapté à la situation, divulgue ma situation administrative aux autres professeurs.
Voilà pour le florilège non exhaustif.
J'aimerais simplement trouver des astuces et des conseils pour mieux me prémunir des entretiens que je pourrais avoir dans son bureau avec lui. L'année va s'annoncer longue si je m'échine à accorder de l'importance à chacune de ses attaques et j'aimerais élaborer une stratégie lorsque je serai amené à interagir avec lui.
Comment gérez-vous ce type de rapports au quotidien ?
Merci d'avance,
Ne pas se retrouver seul en entretien et toujours prendre des notes ou faire semblant d'en pendre ...
En dire le moins possible, se contenter de réponses évasives. Selon les situations, ne pas hésiter à dire "je consulterai mes collègues et/ou les syndicats et/ou mon IPR ..."
- Une passanteEsprit éclairé
Dodeline a écrit:
Je pense refuser l'entretien s'il me prend au dépourvu, en prétextant que je suis pressé et que j'ai des rdv. Je ne suis pas tenu d'être dans l'établissement en dehors de mes heures de cours, et comme cela m'étonnerait qu'il me convoque pendant mes cours (pourquoi pas après tout ?), s'il a quelque chose à me dire, il passera par mail.
Attention, tu n'es pas tenu d'être dans l'établissement mais tu peux parfaitement être convoqué à une heure différente d'une heure de cours. Tu es censé pouvoir être disponible de 8 heures lundi matin à 18 heures vendredi.
Le prétexte du rv est donc efficace lorsque le CDE te le demande au débotté, mais pas s'il y a convocation (bien qu'un véritable rv médical, justifié, puisse aider à modifier l'horaire).
Face à un chef toxique, la première chose à faire est d'être absolument irréprochable et de maîtriser tous les aspects juridiques de notre métier afin de ne pouvoir jamais être pris en faute.
- Ajonc35Sage
En effet, ne jamais le rencontrer seule, refuser, garder une trace. Si, d'aventure, il te propose 5 minutes de discussion dans son bureau et que tu déclines ( la raison, peu importe. La seule valable est qu'il te prend au dépourvu) , tu lui adresses un mail assez vite non pas pour expliquer ou justifier, mais garder une trace. Tu peux ainsi lui demander le sujet de sa discussion et un eventuel rdv ( ulterieument tu precuseras que tu viens accompagnee) Aujourd'hui quelle que soit la situation personnelle ou professionnelle, toujours garder une trace et en cela le mail est bien pratique car en plus tu peux y mettre un accusé de réception.
Es tu la seule à vivre cette situation?
Ce genre de personnage en effet se multiplie.
Es tu la seule à vivre cette situation?
Ce genre de personnage en effet se multiplie.
- DodelineNiveau 5
valle a écrit:Un dernier détail : tu n'est pas tenu d'être dans ton établissement hors tes cours, mais tu es en revanche tenu d'assister à une réunion avec ton chef s'il te le demande (d'une façon générale).
Mais une réunion organisée avec un chef doit être prévue à l'avance. Je ne suis pas tenu de poireauter une heure le jour-j si le chef me demande de l'attendre pour lui parler.
Parce-que clairement on en est là : le chef me prévient toujours 5 min avant qu'il souhaite me voir et je dois attendre devant son bureau qu'il termine ses coups de fils. Si réunion il y'a, elle doit être prévue à l'avance. J'ai aussi le droit d'avoir des empêchements et de ne pas chambouler mes plans 5 minutes avant.
- DodelineNiveau 5
Philomène87 a écrit:Dodeline a écrit:
De quelle façon exactement ? Une fois que les edt sont bouclés, que peut-il faire ?
Je précise que je suis TZR, sa marge de manoeuvre me semble limitée...
Je ne sais pas, "oublier" de déclarer tes HSE par exemple, après lesquelles tu serais obligé de courir pendant des mois pour finalement ne jamais les avoir.
Monter une partie de l'équipe contre toi (j'ai eu ça moi après une prise de bec, quasiment plus personne ne me parlait ni me disait bonjour, c'est très dur psychologiquement).
Tu es en sous-service ? Te le combler avec du travail qui ne relève pas de tes missions ?
Tu es TZR, peut-être a-t-il le bras assez long pour te faire mettre sur 3 établissements l'an prochain. Je ne sais pas, étant dans le privé, je ne connais pas grand chose au TZRiat.
Après si tu es syndiqué, son pouvoir de nuisance semble en effet assez limité.
ça j'en doute fort... De toute façon je changerai (normalement d'académie), ça m'étonnerait qu'il connaisse autant de monde...
- DodelineNiveau 5
Une passante a écrit:Dodeline a écrit:
Je pense refuser l'entretien s'il me prend au dépourvu, en prétextant que je suis pressé et que j'ai des rdv. Je ne suis pas tenu d'être dans l'établissement en dehors de mes heures de cours, et comme cela m'étonnerait qu'il me convoque pendant mes cours (pourquoi pas après tout ?), s'il a quelque chose à me dire, il passera par mail.
Attention, tu n'es pas tenu d'être dans l'établissement mais tu peux parfaitement être convoqué à une heure différente d'une heure de cours. Tu es censé pouvoir être disponible de 8 heures lundi matin à 18 heures vendredi..
Oui mais si convocation il y'a, c'est que c'est quand même prévu à l'avance. Si c'est une convocation qui tombe le jour-même de la réunion, j'ai le droit de décliner, quand même ? Et puis si je trouve personne pour m'accompagner pendant la réunion, j'ai également le droit de refuser ?
- DodelineNiveau 5
Ajonc35 a écrit:En effet, ne jamais le rencontrer seule, refuser, garder une trace. Si, d'aventure, il te propose 5 minutes de discussion dans son bureau et que tu déclines ( la raison, peu importe. La seule valable est qu'il te prend au dépourvu) , tu lui adresses un mail assez vite non pas pour expliquer ou justifier, mais garder une trace. Tu peux ainsi lui demander le sujet de sa discussion et un eventuel rdv ( ulterieument tu precuseras que tu viens accompagnee) Aujourd'hui quelle que soit la situation personnelle ou professionnelle, toujours garder une trace et en cela le mail est bien pratique car en plus tu peux y mettre un accusé de réception.
Es tu la seule à vivre cette situation?
Ce genre de personnage en effet se multiplie.
Je ne connais pas trop bien mes collègues, difficile à dire. Mais je pense être seul à vivre ça. Pour le moment ce n'est pas trop méchant.
- valleExpert spécialisé
Dodeline a écrit:valle a écrit:Un dernier détail : tu n'est pas tenu d'être dans ton établissement hors tes cours, mais tu es en revanche tenu d'assister à une réunion avec ton chef s'il te le demande (d'une façon générale).
Mais une réunion organisée avec un chef doit être prévue à l'avance. Je ne suis pas tenu de poireauter une heure le jour-j si le chef me demande de l'attendre pour lui parler.
Parce-que clairement on en est là : le chef me prévient toujours 5 min avant qu'il souhaite me voir et je dois attendre devant son bureau qu'il termine ses coups de fils. Si réunion il y'a, elle doit être prévue à l'avance. J'ai aussi le droit d'avoir des empêchements et de ne pas chambouler mes plans 5 minutes avant.
@Dodeline, je n'ai pas dit le contraire. Je t'ai en revanche précisément conseillé de refuser des réunions programmées à la va-vite.
- DodelineNiveau 5
valle a écrit:Dodeline a écrit:valle a écrit:Un dernier détail : tu n'est pas tenu d'être dans ton établissement hors tes cours, mais tu es en revanche tenu d'assister à une réunion avec ton chef s'il te le demande (d'une façon générale).
Mais une réunion organisée avec un chef doit être prévue à l'avance. Je ne suis pas tenu de poireauter une heure le jour-j si le chef me demande de l'attendre pour lui parler.
Parce-que clairement on en est là : le chef me prévient toujours 5 min avant qu'il souhaite me voir et je dois attendre devant son bureau qu'il termine ses coups de fils. Si réunion il y'a, elle doit être prévue à l'avance. J'ai aussi le droit d'avoir des empêchements et de ne pas chambouler mes plans 5 minutes avant.
@Dodeline, je n'ai pas dit le contraire. Je t'ai en revanche précisément conseillé de refuser des réunions programmées à la va-vite.
Oui, j'avais bien lu.
Mais j'ai le droit de refuser des réunions programmées à la va-vite sans avoir à me justifier autrement que précisément parce-que c'est à la va-vite ?
- valleExpert spécialisé
Je ne le pense pas. Pourquoi aurais-tu ce droit ? Tu peux refuser si tu as une excuse (tu souhaites être accompagné, la réunion porte sur un sujet que tu dois te préparer, tu as quelque chose de personnel à faire...).Dodeline a écrit:valle a écrit:Dodeline a écrit:valle a écrit:Un dernier détail : tu n'est pas tenu d'être dans ton établissement hors tes cours, mais tu es en revanche tenu d'assister à une réunion avec ton chef s'il te le demande (d'une façon générale).
Mais une réunion organisée avec un chef doit être prévue à l'avance. Je ne suis pas tenu de poireauter une heure le jour-j si le chef me demande de l'attendre pour lui parler.
Parce-que clairement on en est là : le chef me prévient toujours 5 min avant qu'il souhaite me voir et je dois attendre devant son bureau qu'il termine ses coups de fils. Si réunion il y'a, elle doit être prévue à l'avance. J'ai aussi le droit d'avoir des empêchements et de ne pas chambouler mes plans 5 minutes avant.
@Dodeline, je n'ai pas dit le contraire. Je t'ai en revanche précisément conseillé de refuser des réunions programmées à la va-vite.
Oui, j'avais bien lu.
Mais j'ai le droit de refuser des réunions programmées à la va-vite sans avoir à me justifier autrement que précisément parce-que c'est à la va-vite ?
- scot69Modérateur
A la limite, si c'est une réunion, tu risques beaucoup moins. Par contre, refuse les entretiens individuels improvisés.
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