- valleExpert spécialisé
C'est valable pour toutes les disciplines. Si quelqu'un c'est pointé sans avoir rien préparé (ou en ayant juste regarde un peu le format des épreuves), c'est parce qu'il a acquis ce qu'il fallait préalablement, dans son cursus ou librement.
- DanskaProphète
Hélips a écrit:En maths, avec le profil de Cassiopella, si, on peut. Donc oui, pour elle, une date d'inscription seulement un mois avant, ça serait parfaitement jouable. Mais je pense que ce n'est pas ça le facteur limitant, on est d'accord.
Parce qu'elle a les qualifications pour décrocher le concours sans souci, oui. Mais si ce genre de profil se détourne de l'EN c'est bien parce qu'ils ont des meilleurs salaires et des meilleures conditions de travail ailleurs, pas pour une histoire de date des concours. Ou alors c'est effectivement le critère déterminant, et alors il vaut peut-être mieux que ces gens n'entrent pas dans l'EN si une simple histoire de date d'inscription suffit à les décourager.
- JennyMédiateur
J’imagine que dans les matières littéraires, ne pas avoir lu les œuvres ou les avoir lu il y a longtemps et pas dans une option concours, doit poser problème.
A mon avis, ce n’est pas la date d’inscription qui explique les soucis de recrutement.
A mon avis, ce n’est pas la date d’inscription qui explique les soucis de recrutement.
- HélipsProphète
Je suis bien convaincue que ce n'est pas le critère déterminant, cette histoire de date. J'insiste simplement auprès de Jenny qui, elle, insiste sur 'il faut plusieurs mois de préparation" : c'est faux en maths pour une partie non négligeable des candidats reçus.Danska a écrit:Hélips a écrit:En maths, avec le profil de Cassiopella, si, on peut. Donc oui, pour elle, une date d'inscription seulement un mois avant, ça serait parfaitement jouable. Mais je pense que ce n'est pas ça le facteur limitant, on est d'accord.
Parce qu'elle a les qualifications pour décrocher le concours sans souci, oui. Mais si ce genre de profil se détourne de l'EN c'est bien parce qu'ils ont des meilleurs salaires et des meilleures conditions de travail ailleurs, pas pour une histoire de date des concours. Ou alors c'est effectivement le critère déterminant, et alors il vaut peut-être mieux que ces gens n'entrent pas dans l'EN si une simple histoire de date d'inscription suffit à les décourager.
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Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- Clecle78Bon génie
A mon époque il n'y avait pas de programme en lettres classiques. J'ai passé le concours mon année de maîtrise sans préparation spéciale, mais après 3 ans de prépa tout de même.
- DanskaProphète
Hélips a écrit:Je suis bien convaincue que ce n'est pas le critère déterminant, cette histoire de date. J'insiste simplement auprès de Jenny qui, elle, insiste sur 'il faut plusieurs mois de préparation" : c'est faux en maths pour une partie non négligeable des candidats reçus.
On est d'accord, et je me doutais bien que tu n'en faisais pas un critère déterminant toi non plus
- JennyMédiateur
La crise de recrutement est générale et concerne aussi des matières plus littéraires. A mon avis, on se trompe en individualisant le problème par matière. Et ça donne chez nos politiques ou dans l’opinion publique à des réflexions du type : il suffit de mieux payer les profs de maths.
En maths, le niveau du concours semble particulièrement bas sûrement parce que la crise est ancienne. Le programme correspond donc à ce qui est fait dans le secondaire ou en licence ?
En maths, le niveau du concours semble particulièrement bas sûrement parce que la crise est ancienne. Le programme correspond donc à ce qui est fait dans le secondaire ou en licence ?
- ZybulkaHabitué du forum
Je crois que tout est dans le "si" : il ne faut pas partir du principe que c'est le cas ! La situation actuelle n'est pas due à une mauvaise gestion, mais à une volonté politique. Le fait qu'il y ait peu de profs titulaires convient bien en haut lieu : cela permet moins de masse salariale et plus de recours aux contractuel·les (donc moins cher, plus flexible, et permet la concurrence des statuts), soit exactement l'objectif de CAP22...Hélips a écrit: si on veut des profs (de maths en l'occurrence, mais le débat sur payer en fonction de la matière a déjà eu lieu), faut les payer.
- HélipsProphète
Oui : à l'écrit, jusqu'en L3 officiellement, et rien que du classique terminale/L1 en fait et à l'oral, collège, lycée, STS.Jenny a écrit:La crise de recrutement est générale et concerne aussi des matières plus littéraires. A mon avis, on se trompe en individualisant le problème par matière. Et ça donne chez nos politiques ou dans l’opinion publique à des réflexions du type : il suffit de mieux payer les profs de maths.
En maths, le niveau du concours semble particulièrement bas sûrement parce que la crise est ancienne. Le programme correspond donc à ce qui est fait dans le secondaire ou en licence ?
Et je ne dis pas que la crise du recrutement ne concerne que les maths, je dis que du point de vue de Cassiopella, je peux comprendre qu'elle trouve que plusieurs mois à l'avance, c'est tôt. En revanche, je maintiens aussi que ce n'est pas la date mais la proposition plus alléchante qui l'a fait changer d'avis.
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Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- JennyMédiateur
Merci pour ta réponse. Ce n’est pas du tout le cas en HG, c’est pour ça que je te demandais. (D’ailleurs, on peut être titulaire d’un M2 en ayant quasiment pas fait de géo ou d’histoire à la fac).
- MathadorEmpereur
Cela a changé: pour le premier écrit il y a un programme spécifique ( https://media.devenirenseignant.gouv.fr/file/Capes_externe/13/7/p2022_capes_ext_mathematiques_1404137.pdf ) qui me semblerait bien léger pour baser une licence dessus alors que d'autres licences s'alignent sur le programme de l'agrégation.Hélips a écrit:Oui : à l'écrit, jusqu'en L3 officiellement, et rien que du classique terminale/L1 en fait et à l'oral, collège, lycée, STS.
Pour les autres épreuves on ne prend que les programmes du secondaire, à l'exclusion du BTS (qui, dans les faits, a disparu de l'oral depuis pas loin de 10 ans maintenant).
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- MalagaModérateur
Jenny a écrit:Enfin, des tzr non affectés, ça doit être rare ces derniers temps. En 6 ans, pas une seule journée sans remplacement et rarement à moins de 20/21h par semaine.
Non, il y a des classes sans prof parce qu’il n y a plus de prof.
Mais parfois, c'est aussi parce que la gestion des TZR est mauvaise, très mauvaise. Chez nous, des élèves sont restés pendant de longues semaines sans cours d'HG alors même qu'un collègue TZR habitant tout près était sans affectation. Il a été affecté chez nous au bout de plusieurs mois...
Jenny a écrit:Merci pour ta réponse. Ce n’est pas du tout le cas en HG, c’est pour ça que je te demandais. (D’ailleurs, on peut être titulaire d’un M2 en ayant quasiment pas fait de géo ou d’histoire à la fac).
Tout à fait d'accord.
Clairement, en HG, je ne suis pas certaine qu'il soit possible de passer le concours sans avoir travaillé sur les questions spécifiques du concours juste avant. "Economie et société dans l'Empire byzantin du VIIIe siècle à 1204", même en ayant fait des études d'histoire, ce n'est pas un sujet qu'on maîtrise parfaitement sans le travailler spécifiquement.
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J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- ZybulkaHabitué du forum
C'est surtout que la compression de personnels touche aussi les rectorats, ce qui ne permet plus aux gens de faire correctement leur boulotMalaga a écrit:Mais parfois, c'est aussi parce que la gestion des TZR est mauvaise, très mauvaise.
- JennyMédiateur
C’est sûr qu’avec des suppressions de personnel partout, ça devient compliqué.
Faut-il qu’il reste des TZR en suppléance ? Dans ma matière et mon académie, on est quasiment tous en AFA. Dans les matières technologiques, j’ai l’impression que les tzr et les contractuels sont affectés à l’année. A chaque fois, c’est la pénurie dès la rentrée…
Faut-il qu’il reste des TZR en suppléance ? Dans ma matière et mon académie, on est quasiment tous en AFA. Dans les matières technologiques, j’ai l’impression que les tzr et les contractuels sont affectés à l’année. A chaque fois, c’est la pénurie dès la rentrée…
- User20159Esprit éclairé
Malaga a écrit:"Economie et société dans l'Empire byzantin du VIIIe siècle à 1204", même en ayant fait des études d'histoire, ce n'est pas un sujet qu'on maîtrise parfaitement sans le travailler spécifiquement.
Si tu tombes dessus à l'écrit sans l'avoir bossé spécifiquement, il serait miraculeux de s'en sortir. Si tu tombes dessus à l'oral sans l'avoir bossé spécifiquement, tu risques de passer une sale heure. Et d'avoir moins de 5.
Et je ne parle même pas de la géo, hein...
- ZybulkaHabitué du forum
Souvenir ému d'un oral d'agreg où j'avais eu la chance à l'écrit de tomber sur la seule oeuvre que j'avais travaillée. A l'oral, j'avais essayé de bosser un peu mais il me restait pas mal d'impasses : j'ai fait de mon mieux pour pondre une leçon sur je ne sais plus quelle pièce de théâtre du XVIe siècle que j'ai découverte en entrant dans la salle, mais naturellement c'était un carnage. En plus le président du jury, qui apparemment passait voir un oral de temps en temps pour venir voir comment ça se passait, était présent (et un peu estomaqué, le pauvre, quand j'ai fini par avouer pendant l'entretien que je n'avais pas lu la pièce). La plus grande honte de ma vie !Ha@_x a écrit:Malaga a écrit:"Economie et société dans l'Empire byzantin du VIIIe siècle à 1204", même en ayant fait des études d'histoire, ce n'est pas un sujet qu'on maîtrise parfaitement sans le travailler spécifiquement.
Si tu tombes dessus à l'écrit sans l'avoir bossé spécifiquement, il serait miraculeux de s'en sortir. Si tu tombes dessus à l'oral sans l'avoir bossé spécifiquement, tu risques de passer une sale heure. Et d'avoir moins de 5.
- Graisse-BoulonsNiveau 10
pseudo-intello a écrit:Atome a écrit:Tangleding a écrit:Et tu en fais quoi des élèves turbulents ? Tu les envoies faire de la manutention à la sortie du cm2 ? Porter des sacs de ciment sur les chantiers ?
Un début serait de les confier en priorité à des profs expérimentés plutôt que d'envoyer des jeunes au front.Atome a écrit:Forcer, c'est exactement ce qui arrive aux nouveaux pour leur première année. Ça te fais aussi frémirCaspar a écrit:J'en pense qu'il n'y a pas de solution miracle, mais quand je lis "au pire en forcer quelques uns" je frémis un peu.
Le mythe du prof expérimenté dans des zones difficiles a bon dos.
Sérieusement, vous pensez réellement qu'au bot de 15 ans de service on saura mieux faire ? Personnellement, il y a quinze ans :
- j'avais quinze ans de moins, tout bêtement. Donc, une meilleure résistance à la fatigue, celle du travail, mais aussi celle des trajets les week-ends où je souhaitais rentrer dans ma région pour voir mes procdonc donc j'avais ne vie extérieure moins fatigante ET les soirs où c'était rude, je pouvais juste m'affaler dans mon canapé le temps d'émerger. Maintenant, non
- n'ayant pas d'enfants, j'avais une charge mentale et une fatigue domestique bien moindre, qui me permettait d'avoir plus de "réserves" pour encaisser les journées usantes au travail.
- je n'étais pas propriétaire de mon logement en passant le concours (j'avais 22 ans, quoi), donc c'était moins dramatique de me déraciner
- j'étais plus au courant de tas de petites choses de la vie de me élèves : leurs références, leur vocabulaire, leurs code (pas pour les observer, mais pour comprendre plus facilement ce qui se joue dans un tchip ou que sais-je). Les enseignants plus vieux qui n'ont jamais trop quitté le milieu REP6 sont sans doute encore au courant, mais un enseignant qui y débarque après plusieurs années dans des bahuts lambdas, non.
Et surtout, surtout, il y a 15 ans, je système de points favorable à l'ancienneté me permettait de me dire que ça irait globalement d mieux en mieux. Si on m'avait dit "entre, au début on va te "choyer" un peu, et puis au bout de 10 ans, avec deux enfants de moins de trois ans et un projet de .e, on va te faire vendre ta maison pour aller t'envoyer à 500 bornes en REP+ bien balèze", j'aurais choisi un autre métier, tout simplement.
Notez que l'administration aurait fait un tas d'économies, car entre les titulaires démissionnaire au bout de 10 ans (avant le mauvais moment) et les seconde carrières qui commencent à un petit échelon, la masse salariale aurait fondu.
En attenant, pour les nouveaux envoyés dans des zones difficiles, l’État devrait y garantir de meilleures conditions d’exercices (davantage d'effectifs qualifié en vie scolaire, des effectifs réduits, des créneaux d'aide aux devoirs obligatoires pour les élèves qui ne font pas leurs devoirs...).
C'est tellement vrai...cette idée de prof expérimentés aux pires endroits est tellement mauvaise, elle signe tellement une méconnaissance totale de ce qu'est le métier, de la pénétration profonde de la vie privée, du niveau de résistance nécessaire, du besoin absolu de penser que " ça ira mieux après"...j'ai connu ça, et encore, pas aux pire endroits je suppose, et ce qui est écrit correspond exactement.
- BalthazaardVénérable
Surtout ne pas être rapiat sur les avantages...prime rep 144 euros/mois....pour moi, prof expérimenté 1hs dans un bahut tranquille 200 euros/mois....ouarf!
Je vois déjà des syndicats qui vont dire...."injuste, faut baisser le taux des hs"...pour 144 euros, j'irais quand même pas!
Je vois déjà des syndicats qui vont dire...."injuste, faut baisser le taux des hs"...pour 144 euros, j'irais quand même pas!
- BalthazaardVénérable
Les profs expérimentés....les bureaux pour les profs....les services "tout compris"....ce sont les mêmes tartes à la crème depuis 40 ans...les idées, ou plutôt le manque d'idée de ceux qui parlent sans connaître et qui inventent les problèmes destinés à coller aux solutions qu'ils ont à priori!
- LeclochardEmpereur
Zybulka a écrit:Je crois que tout est dans le "si" : il ne faut pas partir du principe que c'est le cas ! La situation actuelle n'est pas due à une mauvaise gestion, mais à une volonté politique. Le fait qu'il y ait peu de profs titulaires convient bien en haut lieu : cela permet moins de masse salariale et plus de recours aux contractuel·les (donc moins cher, plus flexible, et permet la concurrence des statuts), soit exactement l'objectif de CAP22...Hélips a écrit: si on veut des profs (de maths en l'occurrence, mais le débat sur payer en fonction de la matière a déjà eu lieu), faut les payer.
Je pense la même chose. La différence avec les années antérieures, c’est qu’en 2022, à cause de plusieurs facteurs (qui restent à comprendre : je crois qu’officiellement, c’est un problème de diplôme qui provoque la chute..) le phénomène s’est emballé et le ministère n’avait pas anticipé. En quelque sorte, c’est allé trop loin, trop vite. D’où les jobs dating. Ça va faire mal, très mal à la rentrée.
J’ai hâte de voir quelle excuse on va nous donner en 2023 quand ça va se confirmer. Lorsqu’on voit le nombre d’articles qui traitent du sujet, il n’est plus possible de cacher le problème.
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Quelqu'un s'assoit à l'ombre aujourd'hui parce que quelqu'un d'autre a planté un arbre il y a longtemps. (W.B)
- Graisse-BoulonsNiveau 10
Zetitcheur a écrit: Très bonne émission sur Inter pas plus tard qu’hier, sur “l’envie de travailler” : https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/le-debat-de-midi/le-debat-de-midi-du-mercredi-27-juillet-2022-5323547
La crise des services publics y est évoquée.
" Évoquée" c'est le mot! Je reste sur ma faim. 1 heure d'écoute pour apprendre qu'on est passé d'une société capitaliste de production ou l'on versait de gros salaires aux emplois de production de biens, à une société capitaliste d'actionnariat ou l'on verse des dividendes. S'en suit une perte de sens pour les travailleurs et une forte baisse des rémunérations des fonctionnaires.
- LeclochardEmpereur
Graisse-Boulons a écrit:" Évoquée" c'est le mot! Je reste sur ma faim. 1 heure d'écoute pour apprendre qu'on est passé d'une société capitaliste de production ou l'on versait de gros salaires aux emplois de production de biens, à une société capitaliste d'actionnariat ou l'on verse des dividendes. S'en suit une perte de sens pour les travailleurs et une forte baisse des rémunérations des fonctionnaires.Zetitcheur a écrit:Très bonne émission sur Inter pas plus tard qu’hier, sur “l’envie de travailler” : https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/le-debat-de-midi/le-debat-de-midi-du-mercredi-27-juillet-2022-5323547
La crise des services publics y est évoquée.
C’est à dire qu’en France, la part des salariés qui travaillent dans la production est très réduite : on vit dans un pays où les emplois sont dans les services principalement (des cadres, des techniciens, des employés.. ) c’est un choix regrettable car l’industrie paye bien justement les personnes sans qu’elles aient une qualification très élevée.
Sinon je ne vois pas le rapport avec les actionnaires. Vous croyez qu’en Suisse ou au Luxembourg ou en Allemagne, il n’y en a pas et que les fonctionnaires sont automatiquement mal payés ?
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Quelqu'un s'assoit à l'ombre aujourd'hui parce que quelqu'un d'autre a planté un arbre il y a longtemps. (W.B)
- piescoModérateur
@Graisse-Boulons Serait-il possible d'éditer tes messages pour corriger les citations qu'ils contiennent ? Dans l'état l'ensemble est illisible.
- Graisse-BoulonsNiveau 10
Je vois bien, mais ça ne fonctionne pas. J'arrête d'utiliser le forum avec mon téléphone, je ne vois que ça.
- Graisse-BoulonsNiveau 10
" Évoquée" c'est le mot! Je reste sur ma faim. 1 heure d'écoute pour apprendre qu'on est passé d'une société capitaliste de production ou l'on versait de gros salaires aux emplois de production de biens, à une société capitaliste d'actionnariat ou l'on verse des dividendes. S'en suit une perte de sens pour les travailleurs et une forte baisse des rémunérations des fonctionnaires.Graisse-Boulons a écrit:Zetitcheur a écrit:Très bonne émission sur Inter pas plus tard qu’hier, sur “l’envie de travailler” : https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/le-debat-de-midi/le-debat-de-midi-du-mercredi-27-juillet-2022-5323547
La crise des services publics y est évoquée.
- Graisse-BoulonsNiveau 10
C'est bon j'ai trouvé, désoléGraisse-Boulons a écrit:Je vois bien, mais ça ne fonctionne pas. J'arrête d'utiliser le forum avec mon téléphone, je ne vois que ça.
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