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- valleExpert spécialisé
La personne qui te donne des ordres (dans un contexte de lien de "travail") : quelles missions tu dois effectuer à quel moment, notamment.Rauqelaure a écrit:Balthazaard a écrit:Rauqelaure a écrit:Clecle78 a écrit:Bof ! Je ne suis pas là pour faire progresser le candidat mais pour l'évaluer, donc pas d'annotation c'est déjà assez chronophage et désagréable de corriger sur ordinateur. D'ailleurs je ne conn6 aucun élève qui ait demandé sa copie pour " progresser". C'était en général pour contester !
Pour ce qui est des intentions des élèves, je me garderais bien de spéculer.
Pour ce qui est de la progression, ben je me contente de répondre aux demandes de mes supérieurs. Quand on me demande d'annoter, j'annote, point.
Sauf que les membres de l'inspection ne font pas partie de "nos supérieurs" et que donc le devoir d'obéissance ne s'applique pas.
Ah bon ? J'ai toujours cru que mon supérieur hiérarchique était mon IA-IPR de SVT...
Qui est mon supérieur hiérarchique, alors ?
(Indice : c'est le CDE et, en remontant la chaîne hiérarchique, l'IA-DASEN, le recteur, le ministre).
Si tu regardes l'organigramme de ton académie, tu verras que le corps des IA-IPR est sous l'autorité du recteur et qu'ils n'ont personne "
Mais on s'éloigne un peu du sujet, je trouve.
- RauqelaureNiveau 5
valle a écrit:La personne qui te donne des ordres (dans un contexte de lien de "travail") : quelles missions tu dois effectuer à quel moment, notamment.Rauqelaure a écrit:Balthazaard a écrit:Rauqelaure a écrit:
Pour ce qui est des intentions des élèves, je me garderais bien de spéculer.
Pour ce qui est de la progression, ben je me contente de répondre aux demandes de mes supérieurs. Quand on me demande d'annoter, j'annote, point.
Sauf que les membres de l'inspection ne font pas partie de "nos supérieurs" et que donc le devoir d'obéissance ne s'applique pas.
Ah bon ? J'ai toujours cru que mon supérieur hiérarchique était mon IA-IPR de SVT...
Qui est mon supérieur hiérarchique, alors ?
(Indice : c'est le CDE et, en remontant la chaîne hiérarchique, l'IA-DASEN, le recteur, le ministre).
Si tu regardes l'organigramme de ton académie, tu verras que le corps des IA-IPR est sous l'autorité du recteur et qu'ils n'ont personne "au-dessus", ce qui est logique au vu de leur mission de conseil auprès du recteur. C'est pareil pour les IG et le ministre. Les inspecteurs (sauf DASEN) sont plutôt un corps "technique" et non exécutif.
Mais on s'éloigne un peu du sujet, je trouve.
Ce qui est bien à rebours des informations qu'on trouve cà et là : j'ai toujours entendu que le CDE n'était justement pas notre supérieur hiérarchique.
Oui on s'éloigne du sujet dont on a déjà fait 3 fois le tour, je trouve.
- valleExpert spécialisé
C'est où, çà et là ? Si le sujet t'intéresse, je pense (ce n'est que mon avis) que tu pourrais ouvrir un fil ad hoc ou en chercher un en lien avec le sujet.Rauqelaure a écrit:valle a écrit:La personne qui te donne des ordres (dans un contexte de lien de "travail") : quelles missions tu dois effectuer à quel moment, notamment.Rauqelaure a écrit:Balthazaard a écrit:
Sauf que les membres de l'inspection ne font pas partie de "nos supérieurs" et que donc le devoir d'obéissance ne s'applique pas.
Ah bon ? J'ai toujours cru que mon supérieur hiérarchique était mon IA-IPR de SVT...
Qui est mon supérieur hiérarchique, alors ?
(Indice : c'est le CDE et, en remontant la chaîne hiérarchique, l'IA-DASEN, le recteur, le ministre).
Si tu regardes l'organigramme de ton académie, tu verras que le corps des IA-IPR est sous l'autorité du recteur et qu'ils n'ont personne "au-dessus", ce qui est logique au vu de leur mission de conseil auprès du recteur. C'est pareil pour les IG et le ministre. Les inspecteurs (sauf DASEN) sont plutôt un corps "technique" et non exécutif.
Mais on s'éloigne un peu du sujet, je trouve.
Ce qui est bien à rebours des informations qu'on trouve cà et là : j'ai toujours entendu que le CDE n'était justement pas notre supérieur hiérarchique.
Oui on s'éloigne du sujet dont on a déjà fait 3 fois le tour, je trouve.
- ElaïnaDevin
Matteo a écrit:Quel intérêt ils ont à mentir de la sorte ? A moins que ce soit de l'ignorance ?
Plusieurs interprétations possibles mais deux en particulier :
- bêtise et ignorance du droit.
- obsession de "faire bosser les feignasses de profs" en exigeant du travail supplémentaire.
_________________
It took me forty years to realize this. But for guys like us... our lives aren't really our own. There's always someone new to help. Someone we need to protect. These past few years, I fought that fate with all I had. But I'm done fighting. It's time I accept the hand I was dealt. Too many people depend on us. Their dreams depend on us.
Kiryu Kazuma inYakuza 4 Remastered
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- uneodysséeNeoprof expérimenté
Rauqelaure a écrit:Elaïna a écrit:Rauqelaure a écrit:
Nous, une année, nous avions reçu la consigne inverse : annotation pour bien prouver qu'il n’y a pas eu d’erreurs et que la note inscrite sur la copie reflétait bien le contenu de la copie…et ce, pour éviter les recours justement !
C’est tellement facile d’user d’un recours quand on ne comprend justement pas sa note et qu’on pense qu'il y’a eu une erreur.
C'est bien pour ça qu'on nous demande de mettre une note et une appréciation générale. Annoter la copie tout au long n'a aucun sens (encore une fois, le principe des annotations, c'est de faire progresser l'élève, ce qui n'est plus l'objectif dans une copie de bac).
Les recours sont de plus en plus nombreux (mais pas non plus envahissants, il faut quand même se défaire de l'idée que les élèves contestent massivement leurs notes, généralement beaucoup se dégonflent par flemme de devoir suivre la procédure). Et dans ce contexte on demande une copie, avec donc note et appréciation, on peut demander l'avis à un professeur extérieur, et... c'est tout. A titre personnel, du reste, j'ai toujours confirmé la note d'examen quand on m'a demandé de donner un avis (et souvent en disant "et je trouve même que le correcteur a été plutôt sympa").
Pour les copies de concours c'est pareil sauf qu'on n'annote pas sur les copies à cause de la double correction (encore que maintenant les copies en pdf à télécharger règlent le problème). On doit être en mesure de justifier sa note en cas de réclamation, mais on n'a pas à annoter tout au long.
Une appréciation générale souvent lapidaire ne permet pas de récuser l'argument des IPR qui nous demandent d'annoter la copie pour que la note de la copie soit conforme au contenu. L'idée étant de faire comprendre de façon claire au candidat l'origine de sa note. Une appréciation lapidaire laissera indubitablement le candidat sur sa faim : il sera donc tenté de faire un recours.
En tout cas, c'est comme cela que ça nous a été présenté. Cela ne manque pas de bon sens, selon moi.
Ensuite, l'évaluation certificative n'a pas pour but de faire progresser l'élève, soit. Mais là on parle d'un but institutionnel. C'est l'institution qui n'a pas cette ambition.
Moi quand j'écris que "des annotations permettent au candidat de progresser" je parle du point de vue des ambitions du candidat. Parce-que oui, des indications supplémentaires permettent de progresser, même si ce n'était pas l'objectif voulu par l'EN.
Qui a parlé de lapider quelque copie que ce soit ?
Blague à part, les appréciations générales, en lettres en tout cas, sont rarement lapidaires. En spécialité par exemple je m’appuie sur quatre éléments, ce qui donne quatre phrases, et je ne trouve pas ça lapidaire.
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