- choup78Habitué du forum
Voilà voilà... Bientôt je sens que ce sera la norme
https://www.ouest-france.fr/education/enseignement/face-a-la-penurie-de-professeurs-remplacants-une-academie-experimente-l-enseignement-a-distance-e62ad3e6-cac6-11ec-b8ac-24494cad7a04
https://www.ouest-france.fr/education/enseignement/face-a-la-penurie-de-professeurs-remplacants-une-academie-experimente-l-enseignement-a-distance-e62ad3e6-cac6-11ec-b8ac-24494cad7a04
- ElaïnaDevin
C'est déjà très courant dans les facs notamment : face à la pénurie d'enseignants (pas de postes, mais des besoins, et de moins en moins de gens qui acceptent au vu de la faiblesse de la rémunération), on en est à recruter des gens où on peut et comme on peut. Cette année j'ai effectué comme ça un semestre de cours à distance. C'est nul sur le plan pédagogique, mais la fac était bien contente d'avoir quelqu'un pour assurer les cours, et quant à moi eh bien ça m'arrangeait bien de faire cours sans avoir de déplacement à faire (et à financer).
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It took me forty years to realize this. But for guys like us... our lives aren't really our own. There's always someone new to help. Someone we need to protect. These past few years, I fought that fate with all I had. But I'm done fighting. It's time I accept the hand I was dealt. Too many people depend on us. Their dreams depend on us.
Kiryu Kazuma inYakuza 4 Remastered
Ma page Facebook https://www.facebook.com/Lire-le-Japon-106902051582639
- ysabelDevin
Je suis dans l'académie et j'ai appris cela il y a une paire de mois par un article sur le net... Je ne sais absolument pas sur quel critère ont pu être choisi les collègues qui vont faire cela... Nous n'avons eu aucune info du rectorat ou de nos IPR.
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- PonocratesExpert spécialisé
Au risque de choquer, étant donné l'évolution générale du métier vers une garderie améliorée, le dispositif a au moins pour mérite de dissocier la discipline et le disciplinaire: les surveillants surveillent et l'enseignant enseigne. Ce n'est pas le métier que j'ai choisi - dans ma matière, passer dans les rangs fait partie de l'enseignement pour faire du sur-mesure, le contact et la participation de la classe sont primordiaux- mais de toute façon celui-ci est en voie de disparition. Ceux qui ne voudront pas travailler, le feront bien tranquillement et les autres, j'espère, pourront grapiller des bribes: cautère sur jambe de bois, cache-misère et compagnie.choup78 a écrit:Voilà voilà... Bientôt je sens que ce sera la norme
https://www.ouest-france.fr/education/enseignement/face-a-la-penurie-de-professeurs-remplacants-une-academie-experimente-l-enseignement-a-distance-e62ad3e6-cac6-11ec-b8ac-24494cad7a04
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"If you think education is too expensive, try ignorance ! "
"As-tu donc oublié que ton libérateur,
C'est le livre ? "
- MitcindyNiveau 10
Ce "programme" ressemble fort à une dystopie, un mauvais film.
Et pourquoi pas un enseignant à distance pour toutes les classes de France ?
Et des caméras ou drones de surveillance pour détecter la moindre dissipation de l'élève ?
On peut même imaginer des drones appliquant des sanctions aux mauvais élèves... froidement et sans état d'âme.
Un seul côté positif : il n'y aura plus aucun problème de discipline en France.
Et pourquoi pas un enseignant à distance pour toutes les classes de France ?
Et des caméras ou drones de surveillance pour détecter la moindre dissipation de l'élève ?
On peut même imaginer des drones appliquant des sanctions aux mauvais élèves... froidement et sans état d'âme.
Un seul côté positif : il n'y aura plus aucun problème de discipline en France.
- mathmaxExpert spécialisé
Je relève ceci dans l’article
C’est marrant ça, pourquoi personne n’y a pensé lors du confinement, au lieu de se contenter de fustiger les enseignants ”qui ont disparu” ?
...les professeurs (titulaires sur zone de remplacement dans le jargon de l’Éducation nationale) seront rattachés au lycée le plus proche de leur domicile. Ils pourront ainsi travailler au sein d’une équipe pédagogique », avoir accès au centre de documentation et d’information (CDI) et seront bien sûr dotés de leur propre équipement informatique (ordinateur portable, connexion 4G de secours, etc
C’est marrant ça, pourquoi personne n’y a pensé lors du confinement, au lieu de se contenter de fustiger les enseignants ”qui ont disparu” ?
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« Les machines un jour pourront résoudre tous les problèmes, mais jamais aucune d'entre elles ne pourra en poser un ! »
Albert Einstein
- tAoKHabitué du forum
mathmax a écrit:Je relève ceci dans l’article
...les professeurs (titulaires sur zone de remplacement dans le jargon de l’Éducation nationale) seront rattachés au lycée le plus proche de leur domicile. Ils pourront ainsi travailler au sein d’une équipe pédagogique », avoir accès au centre de documentation et d’information (CDI) et seront bien sûr dotés de leur propre équipement informatique (ordinateur portable, connexion 4G de secours, etc
C’est marrant ça, pourquoi personne n’y a pensé lors du confinement, au lieu de se contenter de fustiger les enseignants ”qui ont disparu” ?
Parce que c'était plus drôle de les fustiger justement. Ne pose pas de question dont tout le monde connait la réponse, hein !
- ZetitcheurHabitué du forum
Si on veut creuser encore le côté dystopique, on peut imaginer des cours low-cost avec une main-d’œuvre bon marché (en Inde ?) !
Blague (pas drôle) à part, de mon côté c’est inimaginable pour des cours de langue vivante, où j’ai clairement vu la différence entre mes 8 mois de distanciel (Covid oblige), que j’ai très mal vécus à part pour le côté transport, et ma pratique normale au milieu des étudiants.
Il y a une tendance qui se dessine depuis deux ans, c’est certain. Même après le retour en présentiel, nous nous retrouvons à regoûter ponctuellement au distanciel lorsque nous avons le Covid nous mêmes par exemple. Et les salles équipées pour le “co-modal” se multiplient (c’est encore autre chose).
Pas ma conception du métier : je vois mes groupes de TD comme un “corps” dont les élèves et moi-même sommes les membres, et leur participation active est le souffle. On a besoin d’être réellement ensemble, sinon ce n’est plus le même métier.
Blague (pas drôle) à part, de mon côté c’est inimaginable pour des cours de langue vivante, où j’ai clairement vu la différence entre mes 8 mois de distanciel (Covid oblige), que j’ai très mal vécus à part pour le côté transport, et ma pratique normale au milieu des étudiants.
Il y a une tendance qui se dessine depuis deux ans, c’est certain. Même après le retour en présentiel, nous nous retrouvons à regoûter ponctuellement au distanciel lorsque nous avons le Covid nous mêmes par exemple. Et les salles équipées pour le “co-modal” se multiplient (c’est encore autre chose).
Pas ma conception du métier : je vois mes groupes de TD comme un “corps” dont les élèves et moi-même sommes les membres, et leur participation active est le souffle. On a besoin d’être réellement ensemble, sinon ce n’est plus le même métier.
- zigmag17Guide spirituel
On nous demande d'animer et d'occuper, plus d'enseigner. C'est fini tout ça. La culture et la transmission pour quoi faire??
Tant que l'on pourra proposer des cours interchangeables et dispensables par n'importe quel individu capable de lire trois lignes et des consignes, ce sera bien suffisant.
Et ces liseurs de consignes seront limogeables à l'envi, remplacés par d'autres. Et entre-temps ils seront surveillés, c'est à ça que serviront les cours à distance, pas à surveiller les élèves ( si on voulait que les classes travaillent tranquillement avec des élèves rappelés à l'ordre ou sanctionnés quand ils ne respectent pas le règlement intérieur d'un établissement scolaire, ça se saurait)
Je parle pour les publics du secondaire.
Le tout assaisonné du bon petit vocabulaire du management avec du tout-english pour américaniser la chose et la rendre plus "fun", plus "aware", plus " monde d'après ".
Les profs seront "school managers", les élèves seront de futurs " "Bachelors of excellence" et les diplômes délivrés à ces "performers for a better future" dans des '" Top Formation Schools".
Tchin.
Tant que l'on pourra proposer des cours interchangeables et dispensables par n'importe quel individu capable de lire trois lignes et des consignes, ce sera bien suffisant.
Et ces liseurs de consignes seront limogeables à l'envi, remplacés par d'autres. Et entre-temps ils seront surveillés, c'est à ça que serviront les cours à distance, pas à surveiller les élèves ( si on voulait que les classes travaillent tranquillement avec des élèves rappelés à l'ordre ou sanctionnés quand ils ne respectent pas le règlement intérieur d'un établissement scolaire, ça se saurait)
Je parle pour les publics du secondaire.
Le tout assaisonné du bon petit vocabulaire du management avec du tout-english pour américaniser la chose et la rendre plus "fun", plus "aware", plus " monde d'après ".
Les profs seront "school managers", les élèves seront de futurs " "Bachelors of excellence" et les diplômes délivrés à ces "performers for a better future" dans des '" Top Formation Schools".
Tchin.
- ZetitcheurHabitué du forum
Tristement envisageable …
D’aucuns diront qu’on ne fait que geindre, que c’est toujours mieux que zéro enseignant. C’est bien là le problème : tant que le métier ne sera pas envisagé à sa juste valeur, au vu de son rôle pour le pays, la pénurie s’accentuera et les exigences baisseront, à tous les niveaux.
D’aucuns diront qu’on ne fait que geindre, que c’est toujours mieux que zéro enseignant. C’est bien là le problème : tant que le métier ne sera pas envisagé à sa juste valeur, au vu de son rôle pour le pays, la pénurie s’accentuera et les exigences baisseront, à tous les niveaux.
- zigmag17Guide spirituel
Oui et cela est à relier je crois au fait que chacun pense qu'il peut enseigner à notre place, de ce fait la valeur intrinsèque de notre métier n'existe pas.Zetitcheur a écrit:Tristement envisageable …
D’aucuns diront qu’on ne fait que geindre, que c’est toujours mieux que zéro enseignant. C’est bien là le problème : tant que le métier ne sera pas envisagé à sa juste valeur, au vu de son rôle pour le pays, la pénurie s’accentuera et les exigences baisseront, à tous les niveaux.
Confer la haute considération (antiphrase évidemment) en laquelle nous sommes tenus en général par la population et ceux qui nous gouvernent.
N'ayons crainte: dans les vraies écoles avec de vraies gens pour la vraie élite, les cours seront dispensés par de vraies personnes en chair et en os, en face à face, qui expliqueront, dissèqueront, analyseront, transmettront... Tandis que la plèbe se contentera des miettes.
Y a-t-il vraiment autre chose à attendre que Macron et consorts?
Je ne me fais aucune illusion sur ses intentions, ce n'est même pas la peine qu'il ouvre la bouche, tout ce qu'il dit recouvre la même idée: destruction (pour les autres), profit (pour lui). C'est extrèmement binaire, néanmoins c'est ce qui me paraît sous-tendre toutes ses décisions.
- AsclépiosNiveau 7
Etant en situation de handicap (évolutif) je trouve l'idée plutôt intéressante pour la fin de ma carrière (en faite moins pire), car je ne pourrai probablement plus être dans une salle de classe.
Je sais que ce ne sera pas la panacée et que ce sera comme un changement de métier mais si cela me permet de retarder mon inaptitude c'est toujours ça de gagné.
Mais ce sont sûrement des postes à profils et je me demande si ma situation est en adéquation avec le profil recherché ?
Je sais que ce ne sera pas la panacée et que ce sera comme un changement de métier mais si cela me permet de retarder mon inaptitude c'est toujours ça de gagné.
Mais ce sont sûrement des postes à profils et je me demande si ma situation est en adéquation avec le profil recherché ?
- zigmag17Guide spirituel
Ta situation est très différente. Un handicap évolutif nécessite des aménagements de droit, et si tu peux enseigner à distance pendant un certain temps dans ce cadre, au contraire ce n'est que justice je trouve.Asclépios a écrit:Etant en situation de handicap (évolutif) je trouve l'idée plutôt intéressante pour la fin de ma carrière (en faite moins pire), car je ne pourrai probablement plus être dans une salle de classe.
Je sais que ce ne sera pas la panacée et que ce sera comme un changement de métier mais si cela me permet de retarder mon inaptitude c'est toujours ça de gagné.
Mais ce sont sûrement des postes à profils et je me demande si ma situation est en adéquation avec le profil recherché ?
Là ce qui est posé (IMposé), c'est un enseignement qui se ferait à distance pour économiser et rogner sur l'humain ( moins de profs sur le terrain), comme d'habitude, au détriment de ce qui fait l'enseignement au départ: présence et interactions en direct et en face à face réel.
Il s'agit encore d'un vil calcul des Hautes Sphères du Pouvoir. C'est ça qui me fait enrager.
- Ajonc35Sage
Au delà des problème évoques, je n'ai pas bien compris le fonctionnement. S'agit- il de mettre un prof devant 2, 3 classes en même temps car on manque de profs, mais quid de l'edt des dites classes? On n'est pas sous la IIIeme république quand tous les instituteurs de France avaient le même edt dans les classes.
Ou un prof à raison d'une heure ou 2 par semaine, en fonction des disponibilités des uns et des autres? Histoire de dire qu'il y a bien un prof devant la classe, donc on est dans la communication. Ou encore mettre toutes les classes concernées par l'absence d'un enseignant dans un amphi, une salle assez grande pour ce cours.
Du côté AVS, y aura-t'il assez de personnels pour, en plus des activités habituelles , seront- ils disponibles pour ce nouveau travail en dehors de compatibilité avec leur edt habituel?
Quoiqu'il en soit encore un projet décidé dans des hautes sphères par des personne qui ont perdu ( n' ont jamais eu ) de contact avec le terrain.
Et je n'ose envisager 2 classes de 3eme en même temps sous la surveillance d'un avs pour suivre un cours de 55 minutes.
Quid des corrections des devoirs, de la mise en place de ces devoirs?
En fait du cned mais low cost.
Ou alors je n'ai rien compris.
Ou un prof à raison d'une heure ou 2 par semaine, en fonction des disponibilités des uns et des autres? Histoire de dire qu'il y a bien un prof devant la classe, donc on est dans la communication. Ou encore mettre toutes les classes concernées par l'absence d'un enseignant dans un amphi, une salle assez grande pour ce cours.
Du côté AVS, y aura-t'il assez de personnels pour, en plus des activités habituelles , seront- ils disponibles pour ce nouveau travail en dehors de compatibilité avec leur edt habituel?
Quoiqu'il en soit encore un projet décidé dans des hautes sphères par des personne qui ont perdu ( n' ont jamais eu ) de contact avec le terrain.
Et je n'ose envisager 2 classes de 3eme en même temps sous la surveillance d'un avs pour suivre un cours de 55 minutes.
Quid des corrections des devoirs, de la mise en place de ces devoirs?
En fait du cned mais low cost.
Ou alors je n'ai rien compris.
- MitcindyNiveau 10
Ajonc35
Les surveillants classiques peuvent très bien être remplacés par des caméras de surveillance.
Il paraît que l'expérience est déjà menée en Chine. La pupille des élèves est analysée pour voir s'il est bien concentré.
Il est pas chouette, le monde d'après ?
Enfin bien sûr, les gens de l'élite auront de l'humain en face d'eux... La même chose se profile d'ailleurs dans tous les autres secteurs...
Si on n'y fait pas gaffe !
https://www.courrierinternational.com/revue-de-presse/surveillance-en-chine-la-reconnaissance-faciale-sinvite-dans-les-salles-de-classe
Les surveillants classiques peuvent très bien être remplacés par des caméras de surveillance.
Il paraît que l'expérience est déjà menée en Chine. La pupille des élèves est analysée pour voir s'il est bien concentré.
Il est pas chouette, le monde d'après ?
Enfin bien sûr, les gens de l'élite auront de l'humain en face d'eux... La même chose se profile d'ailleurs dans tous les autres secteurs...
Si on n'y fait pas gaffe !
https://www.courrierinternational.com/revue-de-presse/surveillance-en-chine-la-reconnaissance-faciale-sinvite-dans-les-salles-de-classe
- Lisak40Expert spécialisé
zigmag17 a écrit:Oui et cela est à relier je crois au fait que chacun pense qu'il peut enseigner à notre place, de ce fait la valeur intrinsèque de notre métier n'existe pas.Zetitcheur a écrit:Tristement envisageable …
D’aucuns diront qu’on ne fait que geindre, que c’est toujours mieux que zéro enseignant. C’est bien là le problème : tant que le métier ne sera pas envisagé à sa juste valeur, au vu de son rôle pour le pays, la pénurie s’accentuera et les exigences baisseront, à tous les niveaux.
Confer la haute considération (antiphrase évidemment) en laquelle nous sommes tenus en général par la population et ceux qui nous gouvernent.
N'ayons crainte: dans les vraies écoles avec de vraies gens pour la vraie élite, les cours seront dispensés par de vraies personnes en chair et en os, en face à face, qui expliqueront, dissèqueront, analyseront, transmettront... Tandis que la plèbe se contentera des miettes.
Y a-t-il vraiment autre chose à attendre que Macron et consorts?
Je ne me fais aucune illusion sur ses intentions, ce n'est même pas la peine qu'il ouvre la bouche, tout ce qu'il dit recouvre la même idée: destruction (pour les autres), profit (pour lui). C'est extrèmement binaire, néanmoins c'est ce qui me paraît sous-tendre toutes ses décisions.
- AsclépiosNiveau 7
zigmag17 a écrit:Ta situation est très différente. Un handicap évolutif nécessite des aménagements de droit, et si tu peux enseigner à distance pendant un certain temps dans ce cadre, au contraire ce n'est que justice je trouve.Asclépios a écrit:Etant en situation de handicap (évolutif) je trouve l'idée plutôt intéressante pour la fin de ma carrière (en faite moins pire), car je ne pourrai probablement plus être dans une salle de classe.
Je sais que ce ne sera pas la panacée et que ce sera comme un changement de métier mais si cela me permet de retarder mon inaptitude c'est toujours ça de gagné.
Mais ce sont sûrement des postes à profils et je me demande si ma situation est en adéquation avec le profil recherché ?
Là ce qui est posé (IMposé), c'est un enseignement qui se ferait à distance pour économiser et rogner sur l'humain ( moins de profs sur le terrain), comme d'habitude, au détriment de ce qui fait l'enseignement au départ: présence et interactions en direct et en face à face réel.
Il s'agit encore d'un vil calcul des Hautes Sphères du Pouvoir. C'est ça qui me fait enrager.
Je me doute que cette idée n'avait pas pour but d'aider les handicapés, mais je me demandais si je pourrais transformée cette idée
Je vais donc me renseigner et je verrai la réponse...
Sur le fait que le but soit d'économiser... je n'en ai aucun doute.
- ZetitcheurHabitué du forum
Cet article du Républicain Lorrain précise que chaque période de “e-remplacement” (ô doux néologisme) couvrirait 7 semaines max. Pour le reste de l’article malheureusement je ne suis pas abonnée.
https://www.republicain-lorrain.fr/education/2022/03/12/academie-nancy-metz-une-brigade-numerique-de-remplacement-experimentee-a-la-rentree-2022
https://www.republicain-lorrain.fr/education/2022/03/12/academie-nancy-metz-une-brigade-numerique-de-remplacement-experimentee-a-la-rentree-2022
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