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- User2264Niveau 5
Non à l’ubérisation, non au lumpen professorat.
Si vous partez, c’est pour du mieux (et y a quand même le choix au niveau mondial) pas pour du moins. Sauf tendances masochistes assumées évidemment.
Si vous partez, c’est pour du mieux (et y a quand même le choix au niveau mondial) pas pour du moins. Sauf tendances masochistes assumées évidemment.
- User2264Niveau 5
Non à l’ubérisation, non au lumpen professorat.
Si vous partez, c’est pour du mieux (et y a quand même le choix au niveau mondial) pas pour du moins. Sauf tendances masochistes assumées évidemment.
Si vous partez, c’est pour du mieux (et y a quand même le choix au niveau mondial) pas pour du moins. Sauf tendances masochistes assumées évidemment.
- RaspaillouNiveau 3
jaimelekiri a écrit:Non à l’ubérisation, non au lumpen professorat.
Si vous partez, c’est pour du mieux (et y a quand même le choix au niveau mondial) pas pour du moins. Sauf tendances masochistes assumées évidemment.
Je suis d'accord mais la question est plutôt celle du niveau de vie que du salaire lui même en fait. Comment savoir si on aura mieux en partant? On est au courant du salaire qu'on va avoir, pas nécessairement de ce qu'on va pouvoir faire avec.
- User2264Niveau 5
Une chose est sûre: avec 800€/mois, tu pourras jamais économiser 3000€/mois.Raspaillou a écrit:jaimelekiri a écrit:Non à l’ubérisation, non au lumpen professorat.
Si vous partez, c’est pour du mieux (et y a quand même le choix au niveau mondial) pas pour du moins. Sauf tendances masochistes assumées évidemment.
Je suis d'accord mais la question est plutôt celle du niveau de vie que du salaire lui même en fait. Comment savoir si on aura mieux en partant? On est au courant du salaire qu'on va avoir, pas nécessairement de ce qu'on va pouvoir faire avec.
Si tu vis correctement, à ton goût, dans un pays pauvre avec à peine plus que la moitié d’un smic, le jour où t’as un imprévu grave, une dépense conséquente, ou simplement l’envie de changer d’air, de voyager, de rentrer en France pour les vacances , ou encore juste de préparer ta retraite (CFE, immobilier, placements), et que tu peux pas, t’es limité, et ta « qualité » de vie, tu la sens passer.
Certains se rendent compte, sur le tard, que la qualité de vie, ce n’est pas que le pouvoir d’achat dans le pays d’expatriation mais aussi assurer ses arrières.
- frecheGrand sage
Ha@_x a écrit:Raspaillou a écrit:Alors je me posais la question, à votre avis pourquoi? Pourquoi, même pour un poste à l'étranger il faut jouer le martyr républicain?
T'as oublié un truc je crois. Ce sont des établissements scolaires privés. Le prof du privé ne doit pas être un martyr républicain, le prof du privé doit être :
- Servile
- Serviable
- Corvéable
- Faire des heures et des projets non payés
D'ailleurs ça m'a toujours étonné, les profs du privé en France : ils bossent plus que ceux du public et sont moins bien payés.
Alors à l'étranger et en contrat local...ça doit se lâcher...
Ce n'est plus vrai
- RaspaillouNiveau 3
J'en profite pour compléter ce forum par deux offres que j'ai reçu pour l'Europe de l'Est, histoire de donner des idées de salaire à ceux qui viendront ici dans le futur :
-Dans la première offre -grande capitale d'Europe de l'Est (plutôt dans le sud), Lycée français AEFE, on me propose 1600 euros par moi pour dix huit heures et divers avantages (frais de scolarité offert, un voyage aller-retour en France, prime d'arrivée...)
-Pour la deuxième offre, également en Europe de l'Est mais plus au nord, 1750e pour dix huit heures, mais frais de scolarité couverts à 60% pour chacun de mes enfants, qq avantages aussi : un aller-retour et si j'avais été seul on m'aurait prêté un studio.
-Dans la première offre -grande capitale d'Europe de l'Est (plutôt dans le sud), Lycée français AEFE, on me propose 1600 euros par moi pour dix huit heures et divers avantages (frais de scolarité offert, un voyage aller-retour en France, prime d'arrivée...)
-Pour la deuxième offre, également en Europe de l'Est mais plus au nord, 1750e pour dix huit heures, mais frais de scolarité couverts à 60% pour chacun de mes enfants, qq avantages aussi : un aller-retour et si j'avais été seul on m'aurait prêté un studio.
- Akia95Niveau 1
La fourchette d'offres qu'on a pu me proposer, ça va de 1000-1200 euros (petites écoles) à 3500-4000 euros (dans le Golfe).
- Lowpow29Neoprof expérimenté
Vous parlez en nets à chaque fois on est d'accord.. ?
_________________
La vie est courte, l'art est long, l'occasion fugitive, l'expérience trompeuse, le jugement difficile. Hippocrate
- Akia95Niveau 1
Oui, il s'agit de salaires nets. Même si le paiement des impôts dépend là encore grandement des écoles et des pays. Ca peut être prélevé à la source, ou payé directement dans le pays. J'ai même eu un cas où les profs ne payaient pas d'impôts du tout (l'école était dans une sorte de flou juridique qui lui permettait d'y échapper).
- RaspaillouNiveau 3
Lowpow29 a écrit:Vous parlez en nets à chaque fois on est d'accord.. ?
Oui bien sûr, en tout cas les chiffres que j'ai donné sont en nets.
- sconesNiveau 3
Tonio Kröger a écrit:Raspaillou a écrit:
A ce que je vois c'est vraiment pas terrible le Japon, dans un autre topic on disait déjà que ça payait très mal. Même à 3 ou 4 000 euros par mois, est ce qu'on peut vivre correctement au Qatar ou aux Emirats ?
Oui largement, dans la mesure où c’est salaire net et sans avoir à débourser un loyer. Même les dépensiers ici mettent des sous de côté. Après cela dépend du mode de vie. Les cours particuliers sont très demandés ici, donc on peut vite parvenir à ne vivre qu’avec ça et à mettre tout le salaire de côté. Mais encore une fois, c’est un choix.
Bonjour cher collègue, quelle matière est recherchée en cours particulier? Merci
- Tonio KrögerNiveau 8
scones a écrit:Tonio Kröger a écrit:Raspaillou a écrit:
A ce que je vois c'est vraiment pas terrible le Japon, dans un autre topic on disait déjà que ça payait très mal. Même à 3 ou 4 000 euros par mois, est ce qu'on peut vivre correctement au Qatar ou aux Emirats ?
Oui largement, dans la mesure où c’est salaire net et sans avoir à débourser un loyer. Même les dépensiers ici mettent des sous de côté. Après cela dépend du mode de vie. Les cours particuliers sont très demandés ici, donc on peut vite parvenir à ne vivre qu’avec ça et à mettre tout le salaire de côté. Mais encore une fois, c’est un choix.
Bonjour cher collègue, quelle matière est recherchée en cours particulier? Merci
Bonjour,
À peu près toutes les matières, sauf options de niche (art... ).
- Arthur RamboNiveau 1
Bonjour,
Suite à un entretien ce jour, il existe une petite chance pour que je puisse enseigner à l'étranger, plus particulièrement à Doha. Etant contractuel, en France, depuis maintenant une dizaine d'années, j'aimerais faire le grand saut. Le directeur, lors de l'entretien, m'a donné une rémunération mensuelle comprise entre 4500 et 5000 euros, bien que je ne sois pas titulaire. Ne me rendant pas compte du coût de la vie sur place, pensez-vous que cela serait suffisant, sachant que je suis célibataire ? Aussi, qu'en est-il des impôts ?
Vous remerciant par avance !
Julien
Suite à un entretien ce jour, il existe une petite chance pour que je puisse enseigner à l'étranger, plus particulièrement à Doha. Etant contractuel, en France, depuis maintenant une dizaine d'années, j'aimerais faire le grand saut. Le directeur, lors de l'entretien, m'a donné une rémunération mensuelle comprise entre 4500 et 5000 euros, bien que je ne sois pas titulaire. Ne me rendant pas compte du coût de la vie sur place, pensez-vous que cela serait suffisant, sachant que je suis célibataire ? Aussi, qu'en est-il des impôts ?
Vous remerciant par avance !
Julien
- RaspaillouNiveau 3
Arthur Rambo a écrit:Bonjour,
Suite à un entretien ce jour, il existe une petite chance pour que je puisse enseigner à l'étranger, plus particulièrement à Doha. Etant contractuel, en France, depuis maintenant une dizaine d'années, j'aimerais faire le grand saut. Le directeur, lors de l'entretien, m'a donné une rémunération mensuelle comprise entre 4500 et 5000 euros, bien que je ne sois pas titulaire. Ne me rendant pas compte du coût de la vie sur place, pensez-vous que cela serait suffisant, sachant que je suis célibataire ? Aussi, qu'en est-il des impôts ?
Vous remerciant par avance !
Julien
Bonjour Julien,
Je n'ai jamais été en expat à Doha mais à ce que j'ai compris sur ce topic et sur d'autres, oui tu arriveras à vivre correctement mais surtout la question est : est ce que tu auras quelque chose en plus de ton salaire? Appartement compris, HSA, possibilité de cours particuliers avec des élèves riches etc. Pour les impôts c'est une question de résidence fiscale.
Je me permets de t'alpaguer sur la question de tes motivations pour partir, j'ai crée un topic sur ça, si tu as quelques minutes tu pourrais laisser un post pour expliquer les raisons de ton départ : https://www.neoprofs.org/t136918-vos-motivations-pour-partir-enseigner-a-l-etranger
- Akia95Niveau 1
Je n'ai jamais vécu à Doha non plus, mais j'ai déjà eu des offres du Qatar. Entre 4500 et 5000 euros ça me parait top ! On ne m'a jamais proposé plus de 4000 euros (offre la plus basse, 3000 euros).Arthur Rambo a écrit:Bonjour,
Suite à un entretien ce jour, il existe une petite chance pour que je puisse enseigner à l'étranger, plus particulièrement à Doha. Etant contractuel, en France, depuis maintenant une dizaine d'années, j'aimerais faire le grand saut. Le directeur, lors de l'entretien, m'a donné une rémunération mensuelle comprise entre 4500 et 5000 euros, bien que je ne sois pas titulaire. Ne me rendant pas compte du coût de la vie sur place, pensez-vous que cela serait suffisant, sachant que je suis célibataire ? Aussi, qu'en est-il des impôts ?
Vous remerciant par avance !
Julien
- Arthur RamboNiveau 1
Merci pour cette réponse !
En effet, la rémunération me semble correcte, mais, je crains de m'ennuyer au Qatar, et de trouver une vie trop monotone.
En effet, la rémunération me semble correcte, mais, je crains de m'ennuyer au Qatar, et de trouver une vie trop monotone.
- User2264Niveau 5
Arthur Rambo a écrit:Bonjour,
Suite à un entretien ce jour, il existe une petite chance pour que je puisse enseigner à l'étranger, plus particulièrement à Doha. Etant contractuel, en France, depuis maintenant une dizaine d'années, j'aimerais faire le grand saut. Le directeur, lors de l'entretien, m'a donné une rémunération mensuelle comprise entre 4500 et 5000 euros, bien que je ne sois pas titulaire. Ne me rendant pas compte du coût de la vie sur place, pensez-vous que cela serait suffisant, sachant que je suis célibataire ? Aussi, qu'en est-il des impôts ?
Vous remerciant par avance !
Julien
Je pense que c’est une très bonne rémunération, surtout pour un non titulaire. Je trouve même un peu exagéré pour un contractuel. En tous cas je suis surprise. Les titulaires ont pour leur part plutôt autour de 3500 et 4000€. Donc payer plus plus pour quelqu’un de non titulaire, ça me semble l’inverse de ce qui se pratique dans toutes les grilles de salaires des lycées français à l’étranger.
Et le logement fourni est une obligation légale au Qatar il me semble.
- SolovieïNiveau 10
Il est impossible d'émettre un constat généralisé sur la rémunération des contrats locaux. Bien que titulaire, je suis en contrat local : mon salaire net est non seulement plus élevé qu'en France (ça c'est facile !), mais aussi plus élevé qu'en tant que résident dans l'EGD du coin. J'ai aussi plus de responsabilités, plus de missions, plus de reconnaissance. Peu ou prou, je vais le même boulot qu'un EEMCP2, mais dans un réseau d'établissements partenaires de l'AEFE.
Chaque année, pour l'aventure, je candidate dans plusieurs pays du monde (contrats locaux, résident ou expatrié). J'ai réellement tout vu : de 350 euros (Vietnam) à 6000 euros (Qatar) en passant par 1200 euros (Colombie). Chacun mettra sa barre où il souhaite. Cela dit, le salaire net n'a de sens qu'en tenant compte du coût de la vie locale et de vos projets. Comme l'a déjà écrit un autre membre, on peut très bien vivre avec 1200€, mais on ne pourra pas épargner pour acheter un bien en Europe, par exemple.
À l'inverse, des salaires a priori élevés peuvent cacher de dures réalités. Je pense spécialement aux USA.
Chaque année, pour l'aventure, je candidate dans plusieurs pays du monde (contrats locaux, résident ou expatrié). J'ai réellement tout vu : de 350 euros (Vietnam) à 6000 euros (Qatar) en passant par 1200 euros (Colombie). Chacun mettra sa barre où il souhaite. Cela dit, le salaire net n'a de sens qu'en tenant compte du coût de la vie locale et de vos projets. Comme l'a déjà écrit un autre membre, on peut très bien vivre avec 1200€, mais on ne pourra pas épargner pour acheter un bien en Europe, par exemple.
À l'inverse, des salaires a priori élevés peuvent cacher de dures réalités. Je pense spécialement aux USA.
- Arthur RamboNiveau 1
Je ne sais si la somme est trop élevée, ou non, pour un contractuel. Pour le coup, je suis remplaçant depuis onze ans, et, je ne leur ai pas mis une arme sur la tempe pour qu'ils me proposent ce niveau de rémunération. J'en déduis donc qu'un prof remplaçant est moins performant, suivant le message.
Quoi qu'il en soit, mon choix est fait, et je vais partir, donc, je verrai bien !
Quoi qu'il en soit, mon choix est fait, et je vais partir, donc, je verrai bien !
- User2264Niveau 5
Solovieï a écrit:Il est impossible d'émettre un constat généralisé sur la rémunération des contrats locaux. Bien que titulaire, je suis en contrat local : mon salaire net est non seulement plus élevé qu'en France (ça c'est facile !), mais aussi plus élevé qu'en tant que résident dans l'EGD du coin. J'ai aussi plus de responsabilités, plus de missions, plus de reconnaissance. Peu ou prou, je vais le même boulot qu'un EEMCP2, mais dans un réseau d'établissements partenaires de l'AEFE.
Chaque année, pour l'aventure, je candidate dans plusieurs pays du monde (contrats locaux, résident ou expatrié). J'ai réellement tout vu : de 350 euros (Vietnam) à 6000 euros (Qatar) en passant par 1200 euros (Colombie). Chacun mettra sa barre où il souhaite. Cela dit, le salaire net n'a de sens qu'en tenant compte du coût de la vie locale et de vos projets. Comme l'a déjà écrit un autre membre, on peut très bien vivre avec 1200€, mais on ne pourra pas épargner pour acheter un bien en Europe, par exemple.
À l'inverse, des salaires a priori élevés peuvent cacher de dures réalités. Je pense spécialement aux USA.
Ah ben si, sur les grilles il y a quasiment tout le temps la différence entre titulaires du MEN et non titulaires. Et les titulaires sont mieux payés. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle certains contractuels passent parfois le concours puis reviennent après le stage dans leur bahut.
- SolovieïNiveau 10
@jaimelekiri : Euh... je n'ai jamais dit le contraire. Bien sûr qu'un titulaire est mieux rémuneré, mais ce n'est pas une règle. D'abord, tous les établissements n'ont pas une grille salariale. Ensuite, quelques établissements ignorent ou font mine d'ignorer ce qu'est un titulaire et ne font pas de différence. Malheureusement il arrive qu'on soit plus dans un fonctionnement de négociation salariale ou "à la tête du client".
- LagomorpheFidèle du forum
jaimelekiri a écrit:y a pas de tabous mais parfois il y a bien une clause de confidentialité dans le contrat. Voilà.
Simple curiosité: quelle est la justification d'une telle clause de confidentialité ? En quoi le fait que le salaire d'un enseignant soit connu nuirait-il à l'établissement employeur ?
J'ai déjà vu des clauses de confidentialité dans des CDI privés (hors enseignement), mais d'abord elles concernent rarement le salaire, plutôt les informations dont l'employé peut avoir connaissance (un peu à l'image de notre obligation de discrétion professionnelle) et ensuite elles sont justifiées par la nature du travail effectué et la pérennité de l'entreprise. Par exemple, il est interdit à un employé de divulguer l'identité des clients (certains pouvant nuire à l'image de l'entreprise s'ils sont sulfureux; ou être démarchables par un concurrent), il y a une logique derrière.
Mais pour un établissement scolaire, je ne vois pas.
- User2264Niveau 5
Lagomorphe a écrit:jaimelekiri a écrit:y a pas de tabous mais parfois il y a bien une clause de confidentialité dans le contrat. Voilà.
Simple curiosité: quelle est la justification d'une telle clause de confidentialité ? En quoi le fait que le salaire d'un enseignant soit connu nuirait-il à l'établissement employeur ?
J'ai déjà vu des clauses de confidentialité dans des CDI privés (hors enseignement), mais d'abord elles concernent rarement le salaire, plutôt les informations dont l'employé peut avoir connaissance (un peu à l'image de notre obligation de discrétion professionnelle) et ensuite elles sont justifiées par la nature du travail effectué et la pérennité de l'entreprise. Par exemple, il est interdit à un employé de divulguer l'identité des clients (certains pouvant nuire à l'image de l'entreprise s'ils sont sulfureux; ou être démarchables par un concurrent), il y a une logique derrière.
Mais pour un établissement scolaire, je ne vois pas.
Les lycées français sont des entreprises privées.
J’imagine que si elles rédigent une telle clause c’est qu’elles ont leurs raisons.
Si on n’est pas dans la confidence, on ne peut que faire des suppositions.
Un collègue m’a dit une fois que ça mettrait à jour de grands écarts, renforçant l’attractivité de certains bahuts au détriment de « petits » bahuts qui offrent des salaires moins gros (mais souvent bons par rapport au coût de la vie du pays en question).
C’est possible.
Une chose est sûre cela permettrait aux profs de se positionner plus facilement et d’éviter bien des déconvenues et un gain de temps et d’énergie considérable.
- User2264Niveau 5
Solovieï a écrit:@jaimelekiri : Euh... je n'ai jamais dit le contraire. Bien sûr qu'un titulaire est mieux rémuneré, mais ce n'est pas une règle. D'abord, tous les établissements n'ont pas une grille salariale. Ensuite, quelques établissements ignorent ou font mine d'ignorer ce qu'est un titulaire et ne font pas de différence. Malheureusement il arrive qu'on soit plus dans un fonctionnement de négociation salariale ou "à la tête du client".
Vous dîtes : « Il est impossible d'émettre un constat généralisé sur la rémunération des contrats locaux. »
Je fais la remarque générale que dans ce type de contrat, les titulaires du MEN sont distingués des contractuels non titulaires. Il s’agit d’un constat généralisé.
Quand aux établissements sans grille, c’est un gros red flag, je n’imagine pas la gestion RH…
- MehitabelVénérable
Non, l'employeur doit participer aux frais de "housing", ce qui est différent. Soit il offre/propose un logement, soit il inclut une allocation logement dans le salaire, à sa convenance, et qui ne correspond pas forcément au prix d'un loyer.User2264 a écrit:Arthur Rambo a écrit:Bonjour,
Suite à un entretien ce jour, il existe une petite chance pour que je puisse enseigner à l'étranger, plus particulièrement à Doha. Etant contractuel, en France, depuis maintenant une dizaine d'années, j'aimerais faire le grand saut. Le directeur, lors de l'entretien, m'a donné une rémunération mensuelle comprise entre 4500 et 5000 euros, bien que je ne sois pas titulaire. Ne me rendant pas compte du coût de la vie sur place, pensez-vous que cela serait suffisant, sachant que je suis célibataire ? Aussi, qu'en est-il des impôts ?
Vous remerciant par avance !
Julien
Je pense que c’est une très bonne rémunération, surtout pour un non titulaire. Je trouve même un peu exagéré pour un contractuel. En tous cas je suis surprise. Les titulaires ont pour leur part plutôt autour de 3500 et 4000€. Donc payer plus plus pour quelqu’un de non titulaire, ça me semble l’inverse de ce qui se pratique dans toutes les grilles de salaires des lycées français à l’étranger.
Et le logement fourni est une obligation légale au Qatar il me semble.
- SwadeJe viens de m'inscrire !
Bonjour Mehitabel .
As-tu des infos sur le lycée Bonaparte de Doha ?
Merci
As-tu des infos sur le lycée Bonaparte de Doha ?
Merci
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