- henrietteMédiateur
@Hélips : C'est ce que je dis : faire en sorte que tout le monde bouge le moins possible, ce qui fait que tout le monde est amené à bouger un petit peu.
Pour ma part, je suis deux matinées dans une autre salle.
Et puis, dans l'équipe, on fait tourner les choses : le collègue qui une année bouge un peu plus, sera plus sédentaire l'année suivante. Bref, ça peut s'organiser en bonne entente.
@Mélusine2 : je suis dans un établissement avec des équipes très stables, ceci explique cela peut-être. On est très attentifs les uns aux autres, et aussi aux collègues "de passage". Par exemple, hors de question de laisser un service de bouse au BMP ou au nouvel arrivant.
Pour ma part, je suis deux matinées dans une autre salle.
Et puis, dans l'équipe, on fait tourner les choses : le collègue qui une année bouge un peu plus, sera plus sédentaire l'année suivante. Bref, ça peut s'organiser en bonne entente.
@Mélusine2 : je suis dans un établissement avec des équipes très stables, ceci explique cela peut-être. On est très attentifs les uns aux autres, et aussi aux collègues "de passage". Par exemple, hors de question de laisser un service de bouse au BMP ou au nouvel arrivant.
- User20159Esprit éclairé
Hélips a écrit:Mais ça, ça ne peut fonctionner que lorsque tout le monde a une salle à peu près régulière, et surtout pas quand presque tout le monde a une salle régulière et que 2 péquins passent leur temps à bouger. Dans ce cas, l'ensemble de l'équipe trouve que ça marche très bien, et a souvent du mal à entendre les deux malheureux qui cumulent "pas de salle" et "déménagement".
Mais les 2 (ou 3 ou 4) péquins sont généralement les BMP/TZR/contractuels, derniers arrivés, et oui hélas, ils vont changer de salle.
Je ne vois pas pourquoi on devrait par mesure "d'égalité" imposer le nomadisme à tout le monde, ce serait parfaitement inepte, surtout quand on connaît le confort d'avoir la sienne, de salle.
Et c'est un nomade à 12 salles qui le dit ! Quand je ne bouge pas lors d'une demi-journée, je suis content, j'ai le temps d'être posé.
- TangledingGrand Maître
Critères possibles pour l'attribution des salles :
- salles fixes au maximum pour les collègues sur plusieurs établissements, et pour les collègues les plus âgé-es, les collègues jeunes parents, les collègues en SH, les collègues en mi-temps thérapeutique, les stagiaires et T1...
- salles fixes au maximum pour les collègues sur plusieurs établissements, et pour les collègues les plus âgé-es, les collègues jeunes parents, les collègues en SH, les collègues en mi-temps thérapeutique, les stagiaires et T1...
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"Never complain, just fight."
- Plutôt que de se battre pour des miettes et des contraintes:
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- TivinouDoyen
Ah non, je fais chaque année partie des 2-3 péquins. Et ça fait 20 ans que je travaille dans le même lycée ! Chez nous ce sont plutôt des disciplines qui sont favorisées, puis des individus pénibles qui sont servis (il vaut mieux leur donner tout de suite ce qu’ils veulent pour éviter les drames à la rentrée).
Bref, je regarde ça de loin cette année, en me disant que je vais avoir du mal à reprendre.
Une année j’ai osé suggérer qu’on fasse un roulement d’une année sur l’autre en excluant du roulement ceux qui ne peuvent se déplacer pour raisons de santé. Le drame.
Bref, je regarde ça de loin cette année, en me disant que je vais avoir du mal à reprendre.
Une année j’ai osé suggérer qu’on fasse un roulement d’une année sur l’autre en excluant du roulement ceux qui ne peuvent se déplacer pour raisons de santé. Le drame.
- DaphNenyaNeoprof expérimenté
Moi aussi ai eu un truc pas mal il y a quelques années.
J'étais sur 3 établissements, dont un collège pour seulement 3 heures. La salle dans laquelle j'étais le mercredi matin de 10 à 11 était la salle d'une collègue ne travaillant pas le mercredi. Eh bien elle venait quand même à 11h tous les mercredis pour voir si je n'avais pas chamboulé "sa" salle et si une table avait bougé d'un centimètre, je me faisais allumer.
J'étais sur 3 établissements, dont un collège pour seulement 3 heures. La salle dans laquelle j'étais le mercredi matin de 10 à 11 était la salle d'une collègue ne travaillant pas le mercredi. Eh bien elle venait quand même à 11h tous les mercredis pour voir si je n'avais pas chamboulé "sa" salle et si une table avait bougé d'un centimètre, je me faisais allumer.
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On her finger was Nenya, the ring wrought of mithril, that bore a single white stone flickering like a frosty star.
JRR Tolkien
- MédéeÉrudit
DaphNenya a écrit:Moi aussi ai eu un truc pas mal il y a quelques années.
J'étais sur 3 établissements, dont un collège pour seulement 3 heures. La salle dans laquelle j'étais le mercredi matin de 10 à 11 était la salle d'une collègue ne travaillant pas le mercredi. Eh bien elle venait quand même à 11h tous les mercredis pour voir si je n'avais pas chamboulé "sa" salle et si une table avait bougé d'un centimètre, je me faisais allumer.
Il y a des grands malades
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Rentrée 2024 : Poste fixe ! (et 16e établissement )
2021-2024 : TZR en remplacements courts
2020-2021 : T3 - TZR en AFA : 1 collège 6e, 5e + PP 5e
2019-2020 : T2 - TZR en AFA : 2 collèges 6e, 5e, 4e + PP 5e
2018-2019 : T1 - TZR en AFA : 3 collèges 5e, 4e
2017-2018 : Stagiaire en lycée (2nde x2)
- DaphNenyaNeoprof expérimenté
Médée a écrit:DaphNenya a écrit:Moi aussi ai eu un truc pas mal il y a quelques années.
J'étais sur 3 établissements, dont un collège pour seulement 3 heures. La salle dans laquelle j'étais le mercredi matin de 10 à 11 était la salle d'une collègue ne travaillant pas le mercredi. Eh bien elle venait quand même à 11h tous les mercredis pour voir si je n'avais pas chamboulé "sa" salle et si une table avait bougé d'un centimètre, je me faisais allumer.
Il y a des grands malades
Oui !
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On her finger was Nenya, the ring wrought of mithril, that bore a single white stone flickering like a frosty star.
JRR Tolkien
- HélipsProphète
Ce n'est pas le nomadisme que je voudrais imposer à tout le monde (je partage ton avis, ce serait stupide), c'est la répartition du déménagement. Après, c'est très théorique dans mon cas puisque sauf un chanceux une année de temps en temps, nous sommes tous nomades dans mon établissement et donc assez bien dressés sur le "on regarde l'emploi du temps et on cause aux collègues avant après pour voir si on veut la même chose ou pas".Ha@_x a écrit:Hélips a écrit:Mais ça, ça ne peut fonctionner que lorsque tout le monde a une salle à peu près régulière, et surtout pas quand presque tout le monde a une salle régulière et que 2 péquins passent leur temps à bouger. Dans ce cas, l'ensemble de l'équipe trouve que ça marche très bien, et a souvent du mal à entendre les deux malheureux qui cumulent "pas de salle" et "déménagement".
Mais les 2 (ou 3 ou 4) péquins sont généralement les BMP/TZR/contractuels, derniers arrivés, et oui hélas, ils vont changer de salle.
Je ne vois pas pourquoi on devrait par mesure "d'égalité" imposer le nomadisme à tout le monde, ce serait parfaitement inepte, surtout quand on connaît le confort d'avoir la sienne, de salle.
Et c'est un nomade à 12 salles qui le dit ! Quand je ne bouge pas lors d'une demi-journée, je suis content, j'ai le temps d'être posé.
Edit : après, j'ai la chance d'être dans un lycée rempli de collègues et d'élèves sympas et compréhensifs, donc jusqu'ici, je suis toujours arrivée à avoir des conditions acceptables avec des collègues avec qui on peut négocier et des élèves efficaces, même si j'avoue qu'hier j'aurais volontiers expliqué ma façon de penser à celui ou celle qui a laissé la salle avec un très bon rond de chaises au milieu et toutes les tables autour... Heureusement que mes élèves étaient peu nombreux mais réactifs.
_________________
Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- User20159Esprit éclairé
Tivinou a écrit:Ah non, je fais chaque année partie des 2-3 péquins. Et ça fait 20 ans que je travaille dans le même lycée ! Chez nous ce sont plutôt des disciplines qui sont favorisées, puis des individus pénibles qui sont servis (il vaut mieux leur donner tout de suite ce qu’ils veulent pour éviter les drames à la rentrée).
C'est totalement anormal ça.
Dans mon dernier bahut en fixe, le seul et unique critère c'était l'ancienneté. On peut en imaginer d'autres comme indiqué précédemment.
Mais pour que tous les profs aient leur salle (confort inégalé reconnu même par ceux qui pestent contre les sédentaires) la solution est simple hein
Construire de nouveaux établissements, réduire le nombre d'élèves par établissement, et le nombre d'élèves par classe. Assurer donc de meilleures conditions de travail, à tout le monde.
Quand je vois le taux d'occupation des salles de ma cité scol' parisienne (qui doit friser les 95%), et avec ce qui en découle : classes blindées à 36 ou plus en lycée, une 5e qui succède à une terminale dans la même salle, et donc des profs et des élèves qui cavalent d'une salle à l'autre et d'un bâtiment à l'autre, et bien, on nage en plein délire.
Hélips a écrit:Edit : après, j'ai la chance d'être dans un lycée rempli de collègues et d'élèves sympas et compréhensifs, donc jusqu'ici, je suis toujours arrivée à avoir des conditions acceptables avec des collègues avec qui on peut négocier et des élèves efficaces, même si j'avoue qu'hier j'aurais volontiers expliqué ma façon de penser à celui ou celle qui a laissé la salle avec un très bon rond de chaises au milieu et toutes les tables autour... Heureusement que mes élèves étaient peu nombreux mais réactifs.
Mais oui ! Pour les dispositions de tables et de chaises que vous trouverez baroques à votre arrivée en salle, mettez vos élèves à contribution Non seulement ils seront très efficaces mais ils le feront rapidement
- Spoiler:
- Bon les plus petits, il faut leur apprendre hein,
- TivinouDoyen
Une année j’ai eu une salle unique. Le jour de la pré-rentrée une pénible l’à réclamée... et obtenue. Depuis, je ne me fais plus aucune illusion. Après, la plupart des collègues sont sympa, mais les 4 pénibles le sont tellement que je comprends même le PA qui cède à leurs caprices.Ha@_x a écrit:Tivinou a écrit:Ah non, je fais chaque année partie des 2-3 péquins. Et ça fait 20 ans que je travaille dans le même lycée ! Chez nous ce sont plutôt des disciplines qui sont favorisées, puis des individus pénibles qui sont servis (il vaut mieux leur donner tout de suite ce qu’ils veulent pour éviter les drames à la rentrée).
C'est totalement anormal ça.
Dans mon dernier bahut en fixe, le seul et unique critère c'était l'ancienneté. On peut en imaginer d'autres comme indiqué précédemment.
Mais pour que tous les profs aient leur salle (confort inégalé reconnu même par ceux qui pestent contre les sédentaires) la solution est simple hein
Construire de nouveaux établissements, réduire le nombre d'élèves par établissement, et le nombre d'élèves par classe. Assurer donc de meilleures conditions de travail, à tout le monde.
Quand je vois le taux d'occupation des salles de ma cité scol' parisienne (qui doit friser les 95%), et avec ce qui en découle : classes blindées à 36 ou plus en lycée, une 5e qui succède à une terminale dans la même salle, et donc des profs et des élèves qui cavalent d'une salle à l'autre et d'un bâtiment à l'autre, et bien, on nage en plein délire.
Comme tu le dis, le problème est aussi structurel. Je travaille dans une cité scolaire, et les salles attribuées au lycée sont petites malgré un bâtiment relativement récent. On entasse 34 élèves dans des salles de 38 mètres carrés, mais même avec la meilleure volonté du monde, il n’y a pas de place pour une 35e table.
Avec le protocole sanitaire, certains ont découvert l’inconfort et la fatigue du changement regulier de salle. Ça permettra peut-être de faire bouger les lignes, à la marge.
- SphinxProphète
Dans mon collège c'était par matière : une zone = une matière, et après à l'intérieur de la zone à l'ancienneté (par exemple en lettres on était six puis cinq profs pour quatre salles). La première année, j'étais sur cinq ou six salles, puis j'ai eu la petite salle un peu pourrie de la zone de lettres, puis une collègue est partie à la retraite et j'ai hérité de "sa" salle. Je crois que c'était pire quand je suis arrivée que quand je suis partie, parce qu'il y avait plus d'élèves et moins d'élèves par classe, et donc plus de classes, donc plus de profs, mais pas plus de salles.
Ça ne m'a jamais dérangée de bouger tant que c'était dans la limite du raisonnable : pendant des années, j'ai demandé à aller ailleurs que dans "ma" salle le mercredi par exemple, parce que comme c'était le jour où j'avais toutes mes classes de latin ça me permettait de leur faire cours de civi dans une salle d'anglais équipée d'un vidéoproj (la mienne n'en avait pas, et les collègues d'anglais demandaient presque toutes leur mercredi donc leurs salles étaient vides).
J'ai aussi "partagé" avec la dernière arrivée : je lui laissais "ma" salle le mercredi, le vendredi ou le lundi selon les années je n'étais pas là (agrégée, à 16h) donc ça lui faisait deux jours sur cinq où elle avait une grande salle, fixe. Si d'autres avaient fait pareil (ou si l'adjointe y avait réfléchi d'elle-même au lieu de lui mettre toutes les salles que crachait le logiciel, parfois quatre différentes dans la journée) les choses auraient été plus confortables pour elle. Je ne tiens pas à devoir me sacrifier et bouger tout le temps, mais si chacun y met un petit peu du sien ça fonctionne quand même mieux.
On n'a jamais eu trop le problème dans mon collège parce que par tradition les salles de langue étaient en U et les autres en autobus (et les profs de maths faisaient leurs expérimentations dans leur coin), mais je trouve la mentalité "c'est ma salle" assez détestable : la première année, celle où je changeais tout le temps, j'étais une demi-journée dans une salle d'HG dont la titulaire était en congé maternité depuis la rentrée. La salle était en autobus, je ne sais pas si c'était la remplaçante qui l'avait mise comme ça mais je n'avais touché à rien. Retour des vacances de janvier, je trouve les tables placées en grandes lignes continues face au tableau (je déteste, les pénibles se retrouvent avec deux voisins de bavardage pour le prix d'un) et un mot de la titulaire (que je n'avais donc jamais croisée) scotchée sur le bureau pour me dire qu'elle a arrangé "sa" salle comme elle l'entend et de ne toucher à rien merci. J'avais trouvé le procédé et le ton employé assez détestables... mais bon c'était une personne un peu particulière.
Ça ne m'a jamais dérangée de bouger tant que c'était dans la limite du raisonnable : pendant des années, j'ai demandé à aller ailleurs que dans "ma" salle le mercredi par exemple, parce que comme c'était le jour où j'avais toutes mes classes de latin ça me permettait de leur faire cours de civi dans une salle d'anglais équipée d'un vidéoproj (la mienne n'en avait pas, et les collègues d'anglais demandaient presque toutes leur mercredi donc leurs salles étaient vides).
J'ai aussi "partagé" avec la dernière arrivée : je lui laissais "ma" salle le mercredi, le vendredi ou le lundi selon les années je n'étais pas là (agrégée, à 16h) donc ça lui faisait deux jours sur cinq où elle avait une grande salle, fixe. Si d'autres avaient fait pareil (ou si l'adjointe y avait réfléchi d'elle-même au lieu de lui mettre toutes les salles que crachait le logiciel, parfois quatre différentes dans la journée) les choses auraient été plus confortables pour elle. Je ne tiens pas à devoir me sacrifier et bouger tout le temps, mais si chacun y met un petit peu du sien ça fonctionne quand même mieux.
On n'a jamais eu trop le problème dans mon collège parce que par tradition les salles de langue étaient en U et les autres en autobus (et les profs de maths faisaient leurs expérimentations dans leur coin), mais je trouve la mentalité "c'est ma salle" assez détestable : la première année, celle où je changeais tout le temps, j'étais une demi-journée dans une salle d'HG dont la titulaire était en congé maternité depuis la rentrée. La salle était en autobus, je ne sais pas si c'était la remplaçante qui l'avait mise comme ça mais je n'avais touché à rien. Retour des vacances de janvier, je trouve les tables placées en grandes lignes continues face au tableau (je déteste, les pénibles se retrouvent avec deux voisins de bavardage pour le prix d'un) et un mot de la titulaire (que je n'avais donc jamais croisée) scotchée sur le bureau pour me dire qu'elle a arrangé "sa" salle comme elle l'entend et de ne toucher à rien merci. J'avais trouvé le procédé et le ton employé assez détestables... mais bon c'était une personne un peu particulière.
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An education was a bit like a communicable sexual disease. It made you unsuitable for a lot of jobs and then you had the urge to pass it on. - Terry Pratchett, Hogfather
"- Alors, Obélix, l'Helvétie c'est comment ? - Plat."
- henrietteMédiateur
C'est ce qui se passe dans mon collège, en effet. Cela facilite les choses, pour les dictionnaires en français, et les doubles de manuels en particulier (les élèves n'apportent pas leurs manuels, ils les ont pour travailler à la maison, on a des doubles dans les armoires des classes).Sphinx a écrit:Dans mon collège c'était par matière : une zone = une matière, et après à l'intérieur de la zone à l'ancienneté (par exemple en lettres on était six puis cinq profs pour quatre salles). La première année, j'étais sur cinq ou six salles, puis j'ai eu la petite salle un peu pourrie de la zone de lettres, puis une collègue est partie à la retraite et j'ai hérité de "sa" salle. Je crois que c'était pire quand je suis arrivée que quand je suis partie, parce qu'il y avait plus d'élèves et moins d'élèves par classe, et donc plus de classes, donc plus de profs, mais pas plus de salles.
Ça ne m'a jamais dérangée de bouger tant que c'était dans la limite du raisonnable : pendant des années, j'ai demandé à aller ailleurs que dans "ma" salle le mercredi par exemple, parce que comme c'était le jour où j'avais toutes mes classes de latin ça me permettait de leur faire cours de civi dans une salle d'anglais équipée d'un vidéoproj (la mienne n'en avait pas, et les collègues d'anglais demandaient presque toutes leur mercredi donc leurs salles étaient vides).
J'ai aussi "partagé" avec la dernière arrivée : je lui laissais "ma" salle le mercredi, le vendredi ou le lundi selon les années je n'étais pas là (agrégée, à 16h) donc ça lui faisait deux jours sur cinq où elle avait une grande salle, fixe. Si d'autres avaient fait pareil (ou si l'adjointe y avait réfléchi d'elle-même au lieu de lui mettre toutes les salles que crachait le logiciel, parfois quatre différentes dans la journée) les choses auraient été plus confortables pour elle. Je ne tiens pas à devoir me sacrifier et bouger tout le temps, mais si chacun y met un petit peu du sien ça fonctionne quand même mieux.
On n'a jamais eu trop le problème dans mon collège parce que par tradition les salles de langue étaient en U et les autres en autobus (et les profs de maths faisaient leurs expérimentations dans leur coin), mais je trouve la mentalité "c'est ma salle" assez détestable : la première année, celle où je changeais tout le temps, j'étais une demi-journée dans une salle d'HG dont la titulaire était en congé maternité depuis la rentrée. La salle était en autobus, je ne sais pas si c'était la remplaçante qui l'avait mise comme ça mais je n'avais touché à rien. Retour des vacances de janvier, je trouve les tables placées en grandes lignes continues face au tableau (je déteste, les pénibles se retrouvent avec deux voisins de bavardage pour le prix d'un) et un mot de la titulaire (que je n'avais donc jamais croisée) scotchée sur le bureau pour me dire qu'elle a arrangé "sa" salle comme elle l'entend et de ne toucher à rien merci. J'avais trouvé le procédé et le ton employé assez détestables... mais bon c'était une personne un peu particulière.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- choup78Habitué du forum
Médée a écrit:DaphNenya a écrit:Moi aussi ai eu un truc pas mal il y a quelques années.
J'étais sur 3 établissements, dont un collège pour seulement 3 heures. La salle dans laquelle j'étais le mercredi matin de 10 à 11 était la salle d'une collègue ne travaillant pas le mercredi. Eh bien elle venait quand même à 11h tous les mercredis pour voir si je n'avais pas chamboulé "sa" salle et si une table avait bougé d'un centimètre, je me faisais allumer.
Il y a des grands malades
Ou des gens qui n'ont tellement pas de vie qu'ils n'ont que ça à faire....
- scot69Modérateur
En y réfléchissant, si la collègue était venue me voir gentiment pour me proposer de trouver une solution qui soit la moins chronophage pour nous deux, je pense qu'on peut le prendre autrement, mais vu comme elle est agressive, ça enlève tout dialogue possible.
- PoupoutchModérateur
Je pense aussi que le problème principal, c'est l'agressivité de la collègue et le fait qu'elle considère la salle comme la "sienne" alors qu'elle est partagée par 6 collègues.
Autrement, je pense qu'un arrangement pourrait être trouvé afin que la charge du déménagement soit partagée.
Autrement, je pense qu'un arrangement pourrait être trouvé afin que la charge du déménagement soit partagée.
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Lapin Émérite, celle qui Nage en Lisant ou Inversement, Dompteuse du fauve affamé et matutinal.
"L'intelligence est une maladie qui peut se transmettre très facilement mais dont on peut guérir très rapidement et sans aucune séquelle"
- PrezboGrand Maître
Clayd34 a écrit:Bonsoir à tous !
Je ne sais pas si je suis dans la bonne section.. Mais je vais exposer mon problème pour avoir vos avis !
Je suis TZR à l'année, et depuis le début de l'année le mercredi je suis en salle d'allemand. Avant décembre, aucun soucis, salle en autobus, etc.. Mais depuis la mi-décembre, la collègue dans la salle a changé en double U (sans prévenir).
Personnellement, j'ai remis la salle en autobus le mercredi (REP et je ne supporte pas cette disposition) je suis partisan du "partage de salle" il y a de la vie dedans, donc des changements, je ne vais pas râler : chacun sa disposition et change quand il a cours.
SAUF QUE la collègue ne le voit pas ainsi : elle m'a alpagué une première fois et malgré mes explications (je prends 5 min pour le faire, donc à son tour) elle a catégoriquerement demandé à ce que "je remette la salle" puisque "si tu viens plus tôt, tu peux partir plus tard". Mon "non" fut tout aussi catégorique.
Suite à cela, elle m'a agressé devant des élèves, en hurlant que c'était "SA" salle car elle y passe toutes ses heures (mais elle la partage avec 6 autres profs.. Passons). Peu importe mes arguments, que ce n'était la salle de personne etc.. Que moi aussi je déplaçais les tables et qu'on était donc au même niveau.. Elle a fini par me dire "Ça ne me prend que deux minutes le jeudi donc tu peux le refaire le mercredi avant de partir".... Ce à quoi j'ai répondu "Si ça te prend deux minutes, tu peux le faire alors !" Elle m'a répondu agressivement "bien sûr que non, ça m'agace de le faire !!"
Et hier pour couronner le tout je l'entends en salle des profs "je suis arrivé ce matin, il se fout de ma gueule j'ai envie de le frapper !" Etc etc..
Chaque jour elle m'envoie mes élèves me dire que je n'ai pas le droit, qu'elle est en colère..
Je pense donc aller voir le principal adjoint pour parler de ce cas. Je l'évite le plus possible car je ne veux pas d'un nouveau scandale car Mamade juge que c'est "SA" salle et que je n'y ai aucun droit, mais c'est usant de stresser dès que je la vois ou de me dire qu'elle me casse du sucre sur le dos en permanence, alors que de mon côté je ne plains pas et fais simplement ma vie sans en parler à personne.
Pensez vous qu'il est judicieux de contacter le principal adjoint ?
C'était très long et je sais pertinemment que certains vont me dire que c'est "sa" salle et être contre moi, mais je tente !
Je suis surpris que ce qui est graissé n'ait pas été relevé jusque là.
Revenons à ce qui est factuel.
1) Ce n'est pas "sa" salle, même si elle y passe toutes ses heures, mais un local professionnel partagé par six enseignants.
2) La salle était en disposition autobus depuis le début de l'année, sans que personne n'ait signalé que ça le gênait. C'est elle qui prend l'initiative de changer sans prendre la peine de demander aux autres utilisateurs.
3) Les menaces ne sont pas acceptables. Au passage, je me demande s'il n'y a pas quelque chose de très calculé dans cette façon de dire "j'ai envie de le frapper" à quelqu'un d'autre, mais en se débrouillant pour que tu l'entendes, ce qui permettra éventuellement de nier les menaces en jouant sur l’ambiguïté de la formulation, ou de prétendre que tu as mal compris.
4) Elle te dénigre devant les élèves, en ta présence et hors de ta présence, et les manipule en les faisant intervenir dans un conflit entre adulte. Si la direction laisse faire, c'est à moyen terme l'établissement qui peut partir en vrille.
Signale son comportement au proviseur adjoint, en restant factuel et précis. Il est possible qu'il ne s'oppose pas franchement à elle (les CDE qui s'appuient sur les personnes ressources, c'est-à-dire évitent de s'opposer aux profs bien en place pour acheter la paix sociale, c'est commun), mais au moins tu auras montré à elle et à lui que tu ne te laisses pas marcher sur les pieds. Sans cela, elle va comprendre qu'elle peut continuer et tu vas te faire bouffer.
Pense au fait que si tu ne signales pas les faits au PA, c'est elle qui pourra le faire en donnant sa version.
Au pire, tu continues à ne pas remettre la salle en U en partant, que pourra--t-elle faire ?
Hélips a écrit:
Mais ça, ça ne peut fonctionner que lorsque tout le monde a une salle à peu près régulière, et surtout pas quand presque tout le monde a une salle régulière et que 2 péquins passent leur temps à bouger. Dans ce cas, l'ensemble de l'équipe trouve que ça marche très bien, et a souvent du mal à entendre les deux malheureux qui cumulent "pas de salle" et "déménagement".
Cas fréquent, et vécu.
S'imposer face aux collègues bien en place quand on est TZR ou néo-arrivant, c'est pénible (moi aussi je n'aime pas perdre mon temps en conflit pour des problèmes triviaux, j'ai l'impression de rejoindre le groupe des rats qui se battent pour des miettes), mais c'est parfois nécessaire, ça fait presque partie du boulot.
Je me souviens, lors de ma première année en poste fixe, d'une collègue à salle personnelle qui avait commencé à faire une crise en SDP par que le proviseur, lors d'une réunion restreinte avec les enseignants dans son cas, lui avait dit que ça ne serait pas forcément possible l'année prochaine. Je bougeais sur cinq ou six salles dans la semaine, j'avais reçu ses récriminations fraîchement.
- Lord StevenExpert
Les menaces verbales ne sont jamais tolérables, quel que soit le contexte, et se doivent d'être condamnées.
Mais je suis stupéfait de voir tout le monde crier haro sur le baudet, à savoir cette collègue d'allemand. Si tout son service a lieu dans cette salle, il est légitime qu'elle la considère comme propre..certains linguistes adorent les dispositions en double U, et c'est une disposition très particulière supposée faciliter l'interaction et l'interactivité, mais qu'elle déplaise, je l'entends aisément. Il me semble que oui, c'est le privilège de l'âge, de l'ancienneté, de bénéficier de la sédentarité, et nul doute que les jeunes collègues qui s'insurgent aujourd'hui, demain trouveront ce confort tout à fait normal.
Dans l'absolu, je comprends, voire partage le déplaisir de cette collègue d'allemand. Les agressions verbales, encore une fois, c'est autre chose et ne sont pas acceptables. Il suffit normalement d'une discussion avec le sourire. C'est ainsi que je procède avec les collègues invités dans ma salle - eh oui souvent stagiaires ou TZR. Ils savent qu'à mon âge et une fois installés, eux aussi auront ce privilège.
Même si, dans l'idéal, chacun devrait pouvoir jouir de ce confort inégalable que de pouvoir disposer librement de son espace de travail, avec son armoire, sa décoration, sa disposition. Une utopie hélas.
Mais je suis stupéfait de voir tout le monde crier haro sur le baudet, à savoir cette collègue d'allemand. Si tout son service a lieu dans cette salle, il est légitime qu'elle la considère comme propre..certains linguistes adorent les dispositions en double U, et c'est une disposition très particulière supposée faciliter l'interaction et l'interactivité, mais qu'elle déplaise, je l'entends aisément. Il me semble que oui, c'est le privilège de l'âge, de l'ancienneté, de bénéficier de la sédentarité, et nul doute que les jeunes collègues qui s'insurgent aujourd'hui, demain trouveront ce confort tout à fait normal.
Dans l'absolu, je comprends, voire partage le déplaisir de cette collègue d'allemand. Les agressions verbales, encore une fois, c'est autre chose et ne sont pas acceptables. Il suffit normalement d'une discussion avec le sourire. C'est ainsi que je procède avec les collègues invités dans ma salle - eh oui souvent stagiaires ou TZR. Ils savent qu'à mon âge et une fois installés, eux aussi auront ce privilège.
Même si, dans l'idéal, chacun devrait pouvoir jouir de ce confort inégalable que de pouvoir disposer librement de son espace de travail, avec son armoire, sa décoration, sa disposition. Une utopie hélas.
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If you play with a cat, you should mind his scratch
- ZybulkaHabitué du forum
J'ai la chance de faire toujours cours dans la même salle (et de l'organiser à ma guise, que ce soit pour les tables, la déco, le contenu des armoires...), mais il ne me viendrait pas à l'idée de trouver que c'est normal que moi j'aie ce privilège et que ça soit aux plus jeunes / précaires / inexpérimenté·es de se plier en quatre pour faire perdurer mon petit privilège.Lord Steven a écrit:Il me semble que oui, c'est le privilège de l'âge, de l'ancienneté, de bénéficier de la sédentarité, et nul doute que les jeunes collègues qui s'insurgent aujourd'hui, demain trouveront ce confort tout à fait normal.
Ca va peut-être te paraître hallucinant, mais il existe encore un certain nombre de collègues qui ne pensent pas qu'à leur petit confort personnel et essaient d'avoir une vision un peu solidaire de notre boulot (et il me semble qu'en ce moment en particulier, penser en termes collectifs est encore plus précieux que d'ordinaire, à une époque où nos conditions de travail se dégradent grandement et où tout est fait pour déliter nos collectifs de travail).
En l'occurrence, même si comme toi je pense que l'idéal serait que chaque prof puisse disposer de sa propre salle (et je ne dirais même pas que c'est un confort, c'est la normalité pour pouvoir faire son boulot correctement), si l'établissement ne dispose pas de suffisamment de locaux pour que ce soit le cas, je trouverais ça plutôt logique qu'au contraire de ce que tu proposes, les collègues qui sont déjà lésé·es en termes de conditions de travail (donc notamment collègues sur plusieurs bahuts, tzr, primoarrivant·es...) qui aient une salle fixe, histoire d'équilibrer un peu la pénibilité (d'autant que les collègues qui débarquent dans un nouveau bahut ont aussi souvent à faire leur preuves auprès des élèves, et régner sur son propre espace aide clairement à trouver sa place).
- choup78Habitué du forum
Lord Steven a écrit:Les menaces verbales ne sont jamais tolérables, quel que soit le contexte, et se doivent d'être condamnées.
Mais je suis stupéfait de voir tout le monde crier haro sur le baudet, à savoir cette collègue d'allemand. Si tout son service a lieu dans cette salle, il est légitime qu'elle la considère comme propre..certains linguistes adorent les dispositions en double U, et c'est une disposition très particulière supposée faciliter l'interaction et l'interactivité, mais qu'elle déplaise, je l'entends aisément. Il me semble que oui, c'est le privilège de l'âge, de l'ancienneté, de bénéficier de la sédentarité, et nul doute que les jeunes collègues qui s'insurgent aujourd'hui, demain trouveront ce confort tout à fait normal.
Dans l'absolu, je comprends, voire partage le déplaisir de cette collègue d'allemand. Les agressions verbales, encore une fois, c'est autre chose et ne sont pas acceptables. Il suffit normalement d'une discussion avec le sourire. C'est ainsi que je procède avec les collègues invités dans ma salle - eh oui souvent stagiaires ou TZR. Ils savent qu'à mon âge et une fois installés, eux aussi auront ce privilège.
Même si, dans l'idéal, chacun devrait pouvoir jouir de ce confort inégalable que de pouvoir disposer librement de son espace de travail, avec son armoire, sa décoration, sa disposition. Une utopie hélas.
Ce n'est pas dit qu'un jour ils aient ce ''privilege'' comme tu dis car ce n'est pas partout comme ça. Et encore une fois, le concept ''ma salle'' ''mes invités'' ça me choque au plus haut point. Une salle ne vous appartient pas!!!
- Clecle78Bon génie
Dans mon établissement actuel personne n'a de salle attitrée ça règle le problème.
- CathEnchanteur
Mais c'est très bien d'avoir "sa" salle, sauf que ce n'est pas "notre" salle au sens de la propriété, une salle où on pourrait faire ce qu'on veut, mais "notre" salle au sens où c'est là qu'on enseigne toutes nos heures.
Les autres heures, d'autres enseignants y travaillent, sauf cas rares.
La disposition lambda, c'est celle de l'autobus.
Donc si un collègue veut une autre disposition, il change en arrivant et remet en autobus en partant : retour à l'état d'origine. Parce qu'il n'est pas tout seul.
Les autres heures, d'autres enseignants y travaillent, sauf cas rares.
La disposition lambda, c'est celle de l'autobus.
Donc si un collègue veut une autre disposition, il change en arrivant et remet en autobus en partant : retour à l'état d'origine. Parce qu'il n'est pas tout seul.
- Nina68Niveau 9
S'il y a des dispositions qui gênent les apprentissages, il n'y a pas l'une qui prévaut sur l'autre.
Du coup, pour faire simple on peut agir ainsi : on arrive dans la salle X, on dispose rapidement comme on le souhaite. Et les collègues font pareil ensuite. Il n'y aura donc qu'une manipulation/prof & élèves.
S'il y a dialogue courtois entre collègues, on peut le faire en fin d'heure pour que le collègue qui suit trouve la disposition qui lui convient.
Faire deux manip', c'est juste aberrant, et anormal, selon moi.
Du coup, pour faire simple on peut agir ainsi : on arrive dans la salle X, on dispose rapidement comme on le souhaite. Et les collègues font pareil ensuite. Il n'y aura donc qu'une manipulation/prof & élèves.
S'il y a dialogue courtois entre collègues, on peut le faire en fin d'heure pour que le collègue qui suit trouve la disposition qui lui convient.
Faire deux manip', c'est juste aberrant, et anormal, selon moi.
- HélipsProphète
Le concept de collègues "invités" me laisse sans voix.
_________________
Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- CathEnchanteur
Ah je n'avais pas lu.
Effectivement.
Invités par qui, au fait ?
Effectivement.
Invités par qui, au fait ?
- ProvenceEnchanteur
Hélips a écrit:Le concept de collègues "invités" me laisse sans voix.
De même.
- lisa81Habitué du forum
Lord Steven a écrit: Il me semble que oui, c'est le privilège de l'âge, de l'ancienneté, de bénéficier de la sédentarité, et nul doute que les jeunes collègues qui s'insurgent aujourd'hui, demain trouveront ce confort tout à fait normal..
J'ai une très mauvaise nouvelle pour les jeunes collègues. Il est tout à fait possible de faire toute sa carrière sans bénéficier de ce privilège. Cela a été mon cas. Le seul confort que j'ai obtenu une fois sexagénaire et après des soucis de santé ( vous savez le truc qui touche une femme sur 8 ) est de pouvoir conserver la même salle par demi-journée.
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