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- SUPER-PROFNiveau 1
Bonjour,
Jeune professeure de français dans le privé catholique, le diocèse est incapable de me proposer un poste sur Rennes ou proche de Rennes. Je suis contractuelle par choix car je ne veux pas être enchaînée à l'Éducation nationale et je ne veux surtout pas qu'on choisisse à ma place mon lieu de vie. Donc j'imagine toute sortes de techniques qui me permettraient d'être prof en Ille-et-Vilaine. Je ne suis malheureusement pas véhiculée car j'habitais la "très accueillante" île-de-France. Je passe mon code actuellement, j'ai déjà eu 3 propositions : 2 en île-de-France et 1 à Montréal. Je ne peux pas quitter Rennes car je viens de m'y installer (août dernier) pour faire un autre master. À la rentrée 2022, je vais faire autre chose, auxiliaire de vie, car mes factures, elles ne peuvent attendre indéfiniment. Apparement je ne suis pas prioritaire sur les postes tant que je n'ai pas l'accord collégial. La nouvelle génération, celle de 97, 98, 99... n'acceptera pas les contraintes d'antan, quitte à faire autre chose. Finalement, les breaks ne sont pas exclusivement destinés aux couples. J'avoue aussi que les enfants me manquent et que j'adore enseigner, mais là je ne peux faire autrement. J'ai cru comprendre que l'Ille-et-Vilaine et plus exactement l'académie de Rennes était très demandée...
Bref, la grosse galère des contractuels.
Jeune professeure de français dans le privé catholique, le diocèse est incapable de me proposer un poste sur Rennes ou proche de Rennes. Je suis contractuelle par choix car je ne veux pas être enchaînée à l'Éducation nationale et je ne veux surtout pas qu'on choisisse à ma place mon lieu de vie. Donc j'imagine toute sortes de techniques qui me permettraient d'être prof en Ille-et-Vilaine. Je ne suis malheureusement pas véhiculée car j'habitais la "très accueillante" île-de-France. Je passe mon code actuellement, j'ai déjà eu 3 propositions : 2 en île-de-France et 1 à Montréal. Je ne peux pas quitter Rennes car je viens de m'y installer (août dernier) pour faire un autre master. À la rentrée 2022, je vais faire autre chose, auxiliaire de vie, car mes factures, elles ne peuvent attendre indéfiniment. Apparement je ne suis pas prioritaire sur les postes tant que je n'ai pas l'accord collégial. La nouvelle génération, celle de 97, 98, 99... n'acceptera pas les contraintes d'antan, quitte à faire autre chose. Finalement, les breaks ne sont pas exclusivement destinés aux couples. J'avoue aussi que les enfants me manquent et que j'adore enseigner, mais là je ne peux faire autrement. J'ai cru comprendre que l'Ille-et-Vilaine et plus exactement l'académie de Rennes était très demandée...
Bref, la grosse galère des contractuels.
- mafalda16Modérateur
La grosse galère des contractuels qui ont en plus un nombre de désidératas conséquent.
Edit. Tu peux éditer ton titre et enlever les majuscules. C’est désagréable à lire et ça donne l’impression que tu cries. Merci.
Edit. Tu peux éditer ton titre et enlever les majuscules. C’est désagréable à lire et ça donne l’impression que tu cries. Merci.
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"Si no luchas, al menos ten la decencia de respetar a quienes lo hacen", José Martí.
- User16619Niveau 6
"La nouvelle génération, celle de 97, 98, 99... n'acceptera pas les contraintes d'antan"
J'entends souvent ce discours chez les 'jeunes'. Il faut par conséquent accepter d'être sans poste... Un contractuel m'avait une fois tenu la jambe pour m'expliquer en quoi j'étais à plaindre d'être titulaire. J'imagine qu'on n'envisageait pas notre vie professionnelle de la même façon. Je me permets de répondre ça, car ton message ne pose pas vraiment de question.
Cette même génération qui pédale 10 h par jour pour livrer de la sous nourriture, sous payée mais avec le statut d'indépendant. Au moins, elle habite à côté de chez elle.
J'entends souvent ce discours chez les 'jeunes'. Il faut par conséquent accepter d'être sans poste... Un contractuel m'avait une fois tenu la jambe pour m'expliquer en quoi j'étais à plaindre d'être titulaire. J'imagine qu'on n'envisageait pas notre vie professionnelle de la même façon. Je me permets de répondre ça, car ton message ne pose pas vraiment de question.
Cette même génération qui pédale 10 h par jour pour livrer de la sous nourriture, sous payée mais avec le statut d'indépendant. Au moins, elle habite à côté de chez elle.
- ProvenceEnchanteur
SUPER-PROF a écrit:Bonjour,
Jeune professeure de français dans le privé catholique, le diocèse est incapable de me proposer un poste sur Rennes ou proche de Rennes. Je suis contractuelle par choix car je ne veux pas être enchaînée à l'Éducation nationale et je ne veux surtout pas qu'on choisisse à ma place mon lieu de vie. Donc j'imagine toute sortes de techniques qui me permettraient d'être prof en Ille-et-Vilaine. Je ne suis malheureusement pas véhiculée car j'habitais la "très accueillante" île-de-France. Je passe mon code actuellement, j'ai déjà eu 3 propositions : 2 en île-de-France et 1 à Montréal. Je ne peux pas quitter Rennes car je viens de m'y installer (août dernier) pour faire un autre master. À la rentrée 2022, je vais faire autre chose, auxiliaire de vie, car mes factures, elles ne peuvent attendre indéfiniment. Apparement je ne suis pas prioritaire sur les postes tant que je n'ai pas l'accord collégial. La nouvelle génération, celle de 97, 98, 99... n'acceptera pas les contraintes d'antan, quitte à faire autre chose. Finalement, les breaks ne sont pas exclusivement destinés aux couples. J'avoue aussi que les enfants me manquent et que j'adore enseigner, mais là je ne peux faire autrement. J'ai cru comprendre que l'Ille-et-Vilaine et plus exactement l'académie de Rennes était très demandée...
Bref, la grosse galère des contractuels.
Mais quelle est ta question au juste ?
- DanskaProphète
Je crois qu'il n'y en a aucune ; visiblement la nouvelle génération, incarnée avec modestie par @SUPER-PROF, s'estime simplement légitime pour se faire plaindre quand elle vient expliquer qu'elle refuse les contraintes mais que le diocèse se doit quand même de proposer un poste exactement à l'endroit souhaité... Bref.
- DaphnéDemi-dieu
Dans la vie on fait des choix... et on les assume.
- Lisak40Expert spécialisé
Le problème c'est que chaque fois qu'on dit à des contractuels sur ce forum de faire attention parce que leur statut est précaire (même si on comprend pour certains leur choix), on se fait envoyer sur les roses en "mode mais non du boulot y'en aura toujours, on a toujours besoin de profs !" voire limite "vous êtes de gros moutons alors que moi non, je suis liiiibre !" Je suis désolée poru la postante, mais tabler sur un poste à plein temps dans une matière qui ne me semble pas en déficit, dans une région très demandée, ne me semble pas avoir été le choix de carrière le plus judicieux...
PS Sinon la "très accueillante Ile de France" se fiche bien de ton avis hein... Plein de gens y vivent et sont heureux, gentils, polis, courtois, accueillants..
PS Sinon la "très accueillante Ile de France" se fiche bien de ton avis hein... Plein de gens y vivent et sont heureux, gentils, polis, courtois, accueillants..
- SUPER-PROFNiveau 1
diarise a écrit:"La nouvelle génération, celle de 97, 98, 99... n'acceptera pas les contraintes d'antan"
J'entends souvent ce discours chez les 'jeunes'. Il faut par conséquent accepter d'être sans poste... Un contractuel m'avait une fois tenu la jambe pour m'expliquer en quoi j'étais à plaindre d'être titulaire. J'imagine qu'on n'envisageait pas notre vie professionnelle de la même façon. Je me permets de répondre ça, car ton message ne pose pas vraiment de question.
Cette même génération qui pédale 10 h par jour pour livrer de la sous nourriture, sous payée mais avec le statut d'indépendant. Au moins, elle habite à côté de chez elle.
Je vois que la bienveillance c'est une option chez vous.
Je voulais simplement une confirmation de la difficulté à trouver un poste en Ille-et-Vilaine, mais apparement vous ne savez que cracher sur la génération qui ramasse vos miettes.
- DaphnéDemi-dieu
Ben voyons !
- SUPER-PROFNiveau 1
Danska a écrit:Je crois qu'il n'y en a aucune ; visiblement la nouvelle génération, incarnée avec modestie par @SUPER-PROF, s'estime simplement légitime pour se faire plaindre quand elle vient expliquer qu'elle refuse les contraintes mais que le diocèse se doit quand même de proposer un poste exactement à l'endroit souhaité... Bref.
Déjà, j'étais peu inspirée, et si je m'appelle super-prof c'est que je vois dans l'enseignement une mission, une vocation, pas pour me mousser.
- Lisak40Expert spécialisé
Heu ça va pas bien ? Je ne pense pas que le poste de @diarise mérite une telle réponse : il ne faisait que constater que cette génération qui se vante d'être libre parce que non-enchaînée à un employeur par un CDI n'a que l'illusion de la liberté...
- DanskaProphète
Attends, on va transposer la situation à n'importe quel entretien d'embauche.
"Bonjour, je sais que la région est très demandée mais je vous préviens tout de suite que je refuse de déménager, je n'ai pas de véhicule, d'ailleurs je n'aime pas trop les contraintes ; en revanche j'ai des factures à payer qui n'attendront pas, dépêchez-vous de me trouver un poste à la hauteur de mes compétences."
Etonnamment une telle approche a peu de chance de déboucher sur une embauche ; ben c'est pareil dans l'EN. Si tu veux être sûre d'avoir un poste, tu passes le concours et tu en acceptes les contraintes ; si tu ne veux pas de contraintes tu restes contractuelles, mais sans la certitude d'avoir un poste.
"Bonjour, je sais que la région est très demandée mais je vous préviens tout de suite que je refuse de déménager, je n'ai pas de véhicule, d'ailleurs je n'aime pas trop les contraintes ; en revanche j'ai des factures à payer qui n'attendront pas, dépêchez-vous de me trouver un poste à la hauteur de mes compétences."
Etonnamment une telle approche a peu de chance de déboucher sur une embauche ; ben c'est pareil dans l'EN. Si tu veux être sûre d'avoir un poste, tu passes le concours et tu en acceptes les contraintes ; si tu ne veux pas de contraintes tu restes contractuelles, mais sans la certitude d'avoir un poste.
- SUPER-PROFNiveau 1
Provence a écrit:SUPER-PROF a écrit:Bonjour,
Jeune professeure de français dans le privé catholique, le diocèse est incapable de me proposer un poste sur Rennes ou proche de Rennes. Je suis contractuelle par choix car je ne veux pas être enchaînée à l'Éducation nationale et je ne veux surtout pas qu'on choisisse à ma place mon lieu de vie. Donc j'imagine toute sortes de techniques qui me permettraient d'être prof en Ille-et-Vilaine. Je ne suis malheureusement pas véhiculée car j'habitais la "très accueillante" île-de-France. Je passe mon code actuellement, j'ai déjà eu 3 propositions : 2 en île-de-France et 1 à Montréal. Je ne peux pas quitter Rennes car je viens de m'y installer (août dernier) pour faire un autre master. À la rentrée 2022, je vais faire autre chose, auxiliaire de vie, car mes factures, elles ne peuvent attendre indéfiniment. Apparement je ne suis pas prioritaire sur les postes tant que je n'ai pas l'accord collégial. La nouvelle génération, celle de 97, 98, 99... n'acceptera pas les contraintes d'antan, quitte à faire autre chose. Finalement, les breaks ne sont pas exclusivement destinés aux couples. J'avoue aussi que les enfants me manquent et que j'adore enseigner, mais là je ne peux faire autrement. J'ai cru comprendre que l'Ille-et-Vilaine et plus exactement l'académie de Rennes était très demandée...
Bref, la grosse galère des contractuels.
Mais quelle est ta question au juste ?
C'était plus qu'implicite - je l'accorde - je voulais savoir s'il existait d'autres endroits en Bretagne où il y aurait plus de postes vacants.
- HélipsProphète
Mais c'est très beau de voir dans l'enseignement une mission, mais faut aller au bout du truc alors, une mission, ça s'exerce là où il y a des besoins.SUPER-PROF a écrit:Danska a écrit:Je crois qu'il n'y en a aucune ; visiblement la nouvelle génération, incarnée avec modestie par @SUPER-PROF, s'estime simplement légitime pour se faire plaindre quand elle vient expliquer qu'elle refuse les contraintes mais que le diocèse se doit quand même de proposer un poste exactement à l'endroit souhaité... Bref.
Déjà, j'étais peu inspirée, et si je m'appelle super-prof c'est que je vois dans l'enseignement une mission, une vocation, pas pour me mousser.
Et sérieusement, sans l'accord collégial, dans une des villes les plus demandées de France, ben oui, on peut faire d'autant de gentillesse que tu veux, la réalité c'est "ça va pas le faire".
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Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- trompettemarineMonarque
Tu peux chercher aussi dans le hors-contrat ou dans les entreprises qui font de l'enseignement à domicile.
Mais je rejoins les autres : je ne comprends pas tes choix. Rien ne t'est dû, contractuel ou titulaire.
Mais je rejoins les autres : je ne comprends pas tes choix. Rien ne t'est dû, contractuel ou titulaire.
- nicole 86Expert spécialisé
SUPER-PROF a écrit:Provence a écrit:
Mais quelle est ta question au juste ?
C'était plus qu'implicite - je l'accorde - je voulais savoir s'il existait d'autres endroits en Bretagne où il y aurait plus de postes vacants.
Les syndicats sauront vous répondre, après les vacances bien sûr.
- TrucOuBiduleHabitué du forum
Bonjour,SUPER-PROF a écrit:diarise a écrit:"La nouvelle génération, celle de 97, 98, 99... n'acceptera pas les contraintes d'antan"
J'entends souvent ce discours chez les 'jeunes'. Il faut par conséquent accepter d'être sans poste... Un contractuel m'avait une fois tenu la jambe pour m'expliquer en quoi j'étais à plaindre d'être titulaire. J'imagine qu'on n'envisageait pas notre vie professionnelle de la même façon. Je me permets de répondre ça, car ton message ne pose pas vraiment de question.
Cette même génération qui pédale 10 h par jour pour livrer de la sous nourriture, sous payée mais avec le statut d'indépendant. Au moins, elle habite à côté de chez elle.
Je vois que la bienveillance c'est une option chez vous.
Je voulais simplement une confirmation de la difficulté à trouver un poste en Ille-et-Vilaine, mais apparement vous ne savez que cracher sur la génération qui ramasse vos miettes.
en tous les cas, dans le public, je connais des enseignants (couple, et donc bonif qui va avec) qui ont pu intégrer l'académie de Rennes avec... une ancienneté de poste de 15 ans en REP 93 pour l'une (justement certifié puis agrégé lettres), un dossier "travailleur handicapé" pour l'autre...
Le beurre, l'argent du beurre etc.
TrucOuBidule, titulaire depuis + de 15 ans et pourtant ramasseuse de miettes aussi et qui aimerait aussi vivre ailleurs qu'en IDF avec un traitement de catégorie B.
- ProvenceEnchanteur
SUPER-PROF a écrit:Danska a écrit:Je crois qu'il n'y en a aucune ; visiblement la nouvelle génération, incarnée avec modestie par @SUPER-PROF, s'estime simplement légitime pour se faire plaindre quand elle vient expliquer qu'elle refuse les contraintes mais que le diocèse se doit quand même de proposer un poste exactement à l'endroit souhaité... Bref.
Déjà, j'étais peu inspirée, et si je m'appelle super-prof c'est que je vois dans l'enseignement une mission, une vocation, pas pour me mousser.
C’est très noble de ta part. Je t’encourage à mener ta mission sacrée auprès des nécessiteux qui ont le plus besoin de toi : en région parisienne.
- User16619Niveau 6
SUPER-PROF a écrit:diarise a écrit:"La nouvelle génération, celle de 97, 98, 99... n'acceptera pas les contraintes d'antan"
J'entends souvent ce discours chez les 'jeunes'. Il faut par conséquent accepter d'être sans poste... Un contractuel m'avait une fois tenu la jambe pour m'expliquer en quoi j'étais à plaindre d'être titulaire. J'imagine qu'on n'envisageait pas notre vie professionnelle de la même façon. Je me permets de répondre ça, car ton message ne pose pas vraiment de question.
Cette même génération qui pédale 10 h par jour pour livrer de la sous nourriture, sous payée mais avec le statut d'indépendant. Au moins, elle habite à côté de chez elle.
Je vois que la bienveillance c'est une option chez vous.
Je voulais simplement une confirmation de la difficulté à trouver un poste en Ille-et-Vilaine, mais apparement vous ne savez que cracher sur la génération qui ramasse vos miettes.
Nous avons sensiblement le même âge, l'argument "ok Boomer" ne passe pas. La bienveillance est un concept sérieux qui ne consiste pas à plaindre une personne qui fait des choix exigeants et se plaint des conséquences. Bonne journée à vous.
- SUPER-PROFNiveau 1
Danska a écrit:Attends, on va transposer la situation à n'importe quel entretien d'embauche.
"Bonjour, je sais que la région est très demandée mais je vous préviens tout de suite que je refuse de déménager, je n'ai pas de véhicule, d'ailleurs je n'aime pas trop les contraintes ; en revanche j'ai des factures à payer qui n'attendront pas, dépêchez-vous de me trouver un poste à la hauteur de mes compétences."
Etonnamment une telle approche a peu de chance de déboucher sur une embauche ; ben c'est pareil dans l'EN. Si tu veux être sûre d'avoir un poste, tu passes le concours et tu en acceptes les contraintes ; si tu ne veux pas de contraintes tu restes contractuelles, mais sans la certitude d'avoir un poste.
Si vous avez envie de vous défouler sur quelqu'un, choisissez un autre post. Vous n'êtes pas obligé d'être désagréable. Je ne me présente pas comme ça à un entretien, faut être stupide pour dire ça et je ne suis pas là à me mousser comme si j'étais sortie de la cuisse de Jupiter. Vous déformez tout. Je vais arrêter de me justifier. Au revoir.
- ProvenceEnchanteur
Bienvenue dans la vraie vie en tout cas.
- SUPER-PROFNiveau 1
Wow, je ne m'attendais pas à autant de haine. Dieu merci, j'ai connu une salle des profs bien plus accueillante que vous et je n'aimerai pas vous avoir pour collègues, je pense que c'est partagé et c'est tant mieux.
- MathadorEmpereur
Quelle haine ?
Si tu veux un emploi public et être sûre de rester dans une zone géographique donnée, tu passes un concours déconcentré, ou du moins un concours à affectation locale.
Dans l'EN, tu as le choix entre le CRPE et le concours de secrétaire administratif.
Si tu veux un emploi public et être sûre de rester dans une zone géographique donnée, tu passes un concours déconcentré, ou du moins un concours à affectation locale.
Dans l'EN, tu as le choix entre le CRPE et le concours de secrétaire administratif.
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- DaphnéDemi-dieu
Au revoir.
- nicole 86Expert spécialisé
De la haine ? Oh non ! Juste un zeste d'humour à moins que ce ne soit de l'ironie
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