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- JennyMédiateur
Avant que je rachète un ordi, ça m’aurait été bien utile quand même. J’aimerais bien en avoir un en complément comme Helips, le mien étant un peu lourd.
- SphinxProphète
Dans mon collège les casiers ne fermaient pas, mais pendant les 8 ans que j'y suis restée il n'y a jamais eu de vols à ma connaissance. La salle des casiers était aussi la salle de travail des profs et était uniquement accessible par la première moitié de la salle des profs qui était la partie "détente" (quand j'y suis arrivée cela dit ils étaient plutôt vers l'entrée de cette deuxième salle, et quand je suis partie on avait parfois évoqué l'idée de les remettre car l'espace vide, et sombre, à l'entrée n'était plus utilisé et ils prenaient beaucoup de place en salle de travail). Je trouvais quand même certains collègues un peu inconscients à y laisser leur sac à main ou leur portable. Il est vrai que l'année où il y a eu des vols, c'était un élève, en classe (on ne l'a jamais pris sur le fait mais les portefeuilles disparaissaient uniquement en sa présence quand il était au premier rang, il y a eu aussi des histoires dans les vestiaires quand sa classe avait EPS, et ça a cessé quand on l'a viré pour autre chose).
Perso avec 1h30 de transports en commun aller simple j'y laissais mes manuels, documents de cours et photocopies pour ne me trimballer que le paquet à corriger du moment. J'y faisais aussi du trafic de drogue (= une petite trousse avec les indispensables (pour moi) paracétamol, ibuprofène et pastilles pour la gorge, les collègues savaient qu'ils avaient le droit de se servir).
J'aurais préféré avoir un casier qui ferme mais comme nous aussi on les redistribuait tous les ans par ordre alphabétique, il est certain que ça aurait créé des problèmes, les collègues ayant une capacité à perdre les clés assez sidérante, ou à les embarquer avec eux en quittant l'établissement :
- quand j'ai hérité en 2015 de la salle fixe dans laquelle j'ai passé le plus gros des cinq années suivantes, la clé du tiroir du haut du bureau avait disparu, et je n'ai jamais osé déranger l'homme à tout faire pour lui demander de l'ouvrir, je n'ai donc jamais su ce qu'il y avait dans ce tiroir
- une année, on a réussi par une miraculeuse abondance de la dotation à faire acheter quinze dictionnaires (on n'en avait pas avant, sauf ceux du CDI). On a décidé de les laisser dans l'armoire de la salle que j'occupais et de laisser la clé sur la porte de l'armoire. La clé a disparu en moins de deux (bon à la décharge des collègues, ça pouvait être un élève...)
- les clés de la réserve où l'on mettait les séries disparaissaient avec une telle régularité que quand je suis partie, il en restait genre deux pour cinq profs (contre cinq ou six à mon arrivée), et je laissais la mienne dans mon casier à disposition, avec obligation absolue de la remettre en place après usage.
Là où je travaille maintenant (boîte privée), c'est une petite salle avec de grandes armoires métalliques type ancien vestiaire de sport. J'ai un casier qui fait quatre fois la taille de celui que j'avais avant, alors que je n'ai pas de copies à y laisser, seulement mes manuels et mes classeurs de cours, et qui ferme à clé.
Perso avec 1h30 de transports en commun aller simple j'y laissais mes manuels, documents de cours et photocopies pour ne me trimballer que le paquet à corriger du moment. J'y faisais aussi du trafic de drogue (= une petite trousse avec les indispensables (pour moi) paracétamol, ibuprofène et pastilles pour la gorge, les collègues savaient qu'ils avaient le droit de se servir).
J'aurais préféré avoir un casier qui ferme mais comme nous aussi on les redistribuait tous les ans par ordre alphabétique, il est certain que ça aurait créé des problèmes, les collègues ayant une capacité à perdre les clés assez sidérante, ou à les embarquer avec eux en quittant l'établissement :
- quand j'ai hérité en 2015 de la salle fixe dans laquelle j'ai passé le plus gros des cinq années suivantes, la clé du tiroir du haut du bureau avait disparu, et je n'ai jamais osé déranger l'homme à tout faire pour lui demander de l'ouvrir, je n'ai donc jamais su ce qu'il y avait dans ce tiroir
- une année, on a réussi par une miraculeuse abondance de la dotation à faire acheter quinze dictionnaires (on n'en avait pas avant, sauf ceux du CDI). On a décidé de les laisser dans l'armoire de la salle que j'occupais et de laisser la clé sur la porte de l'armoire. La clé a disparu en moins de deux (bon à la décharge des collègues, ça pouvait être un élève...)
- les clés de la réserve où l'on mettait les séries disparaissaient avec une telle régularité que quand je suis partie, il en restait genre deux pour cinq profs (contre cinq ou six à mon arrivée), et je laissais la mienne dans mon casier à disposition, avec obligation absolue de la remettre en place après usage.
Là où je travaille maintenant (boîte privée), c'est une petite salle avec de grandes armoires métalliques type ancien vestiaire de sport. J'ai un casier qui fait quatre fois la taille de celui que j'avais avant, alors que je n'ai pas de copies à y laisser, seulement mes manuels et mes classeurs de cours, et qui ferme à clé.
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An education was a bit like a communicable sexual disease. It made you unsuitable for a lot of jobs and then you had the urge to pass it on. - Terry Pratchett, Hogfather
"- Alors, Obélix, l'Helvétie c'est comment ? - Plat."
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