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- DoctoresseNiveau 5
Salut à tous,
Comment prodiguez-vous vos enseignements ?
Votre méthode est-elle celle que nos parents et une grande majorité de nous avons connue: première partie, chapitre 1, I. A. Titre tel B. Titre tel a. Sous-titre1 b. Sous-titre2 II. Etc.? On recopie tout en écoutant l'enseignant. Ça sonne. On remballe. On rentre à la maison. On apprend nos leçons puis on revient subir un devoir surveillé. Nous n'en sommes pas des cancres pour autant mais l'esprit critique sur le monde on l'a peut-être osé plus tard vers la fac....
Alors voilà, je ne suis pas toujours en phase avec cette façon d'enseigner. Je fais cours en partant du plus infime détail (ressenti des élèves, détail d'une image ou d'un texte, etc. ), j'opère ensuite une consolidation progressive qui se conclut par une synthèse. C'est une méthode ascendante qui fait de l'élève acteur de son accès au savoir.
Que pensez-vous de tout cela ?
Merci.
Comment prodiguez-vous vos enseignements ?
Votre méthode est-elle celle que nos parents et une grande majorité de nous avons connue: première partie, chapitre 1, I. A. Titre tel B. Titre tel a. Sous-titre1 b. Sous-titre2 II. Etc.? On recopie tout en écoutant l'enseignant. Ça sonne. On remballe. On rentre à la maison. On apprend nos leçons puis on revient subir un devoir surveillé. Nous n'en sommes pas des cancres pour autant mais l'esprit critique sur le monde on l'a peut-être osé plus tard vers la fac....
Alors voilà, je ne suis pas toujours en phase avec cette façon d'enseigner. Je fais cours en partant du plus infime détail (ressenti des élèves, détail d'une image ou d'un texte, etc. ), j'opère ensuite une consolidation progressive qui se conclut par une synthèse. C'est une méthode ascendante qui fait de l'élève acteur de son accès au savoir.
Que pensez-vous de tout cela ?
Merci.
- Fires of PompeiiGuide spirituel
Doctoresse a écrit:Salut à tous,
Comment prodiguez-vous vos enseignements ?
Votre méthode est-elle celle que nos parents et une grande majorité de nous avons connue: première partie, chapitre 1, I. A. Titre tel B. Titre tel a. Sous-titre1 b. Sous-titre2 II. Etc.? On recopie tout en écoutant l'enseignant. Ça sonne. On remballe. On rentre à la maison. On apprend nos leçons puis on revient subir un devoir surveillé. Nous n'en sommes pas des cancres pour autant mais l'esprit critique sur le monde on l'a peut-être osé plus tard vers la fac....
Alors voilà, je ne suis pas toujours en phase avec cette façon d'enseigner. Je fais cours en partant du plus infime détail (ressenti des élèves, détail d'une image ou d'un texte, etc. ), j'opère ensuite une consolidation progressive qui se conclut par une synthèse. C'est une méthode ascendante qui fait de l'élève acteur de son accès au savoir.
Que pensez-vous de tout cela ?
Merci.
Je réponds sur ce que j'ai mis en gras.
1/ Vous partez d'un postulat de départ faux : cette méthode, que vous évoquez en ouverture de votre message, ne m'évoque rien. On dirait un peu NVB qui part de principes faux pour discréditer les profs de latin.
2/ L'esprit critique, on ne l'obtient pas en faisant n'importe quoi dans son coin : cadrer une réflexion, ça fait partie des choses à savoir faire. Savoir sur quoi elle se fonde avant de la développer.
3/ Je ne comprends pas ce que vous voulez dire.
Pour répondre à votre question, chacun enseigne différemment.
_________________
Je ne dirai qu'une chose : stulo plyme.
- SisypheHabitué du forum
J'adorerais enseigner comme cela...Doctoresse a écrit:première partie, chapitre 1, I. A. Titre tel B. Titre tel a. Sous-titre1 b. Sous-titre2 II. Etc.? On recopie tout en écoutant l'enseignant. Ça sonne. On remballe. On rentre à la maison. On apprend nos leçons
- Mélusine2Niveau 10
Doctoresse a écrit:Salut à tous,
Comment prodiguez-vous vos enseignements ?
Votre méthode est-elle celle que nos parents et une grande majorité de nous avons connue: première partie, chapitre 1, I. A. Titre tel B. Titre tel a. Sous-titre1 b. Sous-titre2 II. Etc.? On recopie tout en écoutant l'enseignant. Ça sonne. On remballe. On rentre à la maison. On apprend nos leçons puis on revient subir un devoir surveillé. Nous n'en sommes pas des cancres pour autant mais l'esprit critique sur le monde on l'a peut-être osé plus tard vers la fac....
Alors voilà, je ne suis pas toujours en phase avec cette façon d'enseigner. Je fais cours en partant du plus infime détail (ressenti des élèves, détail d'une image ou d'un texte, etc. ), j'opère ensuite une consolidation progressive qui se conclut par une synthèse. C'est une méthode ascendante qui fait de l'élève acteur de son accès au savoir.
Que pensez-vous de tout cela ?
Merci.
Sans revenir sur la caricature de l'enseignement à la papa, qui commence à sérieusement dater, puis-je vous demander de bien vouloir définir les termes mis en gras ci-dessus ? (je ne comprends particulièrement pas "qui fait de l'élève acteur de son accès au savoir")
- NLM76Grand Maître
Ah. Un fil divertissant !
Oui; il y a une seule manière d'enseigner. La mienne. Tous les autres ont tort, ces malheureux qui n'ont pas accès à la Vérité.
Oui; il y a une seule manière d'enseigner. La mienne. Tous les autres ont tort, ces malheureux qui n'ont pas accès à la Vérité.
_________________
Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- Sylvain de Saint-SylvainGrand sage
- IllianeExpert
Que ce soit en tant qu'élève ou en tant que professeur, je n'ai jamais vu personne enseigner avec des I.1, etc. que l'élève recopierait sans jamais prendre la parole en classe. Sauf exception (ça peut arriver, du cours magistral, mais c'est très ponctuel), je pense que nous construisons tous notre cours avec nos élèves ; ce sont leurs interventions qui font avancer la séance - notamment en analyse de texte (j'évoque ce point précis vu que nous sommes toutes deux professeurs de lettres/français). Je trouve donc pour le moins étrange la vision que tu présentes ici de l'enseignement, elle ne correspond absolument pas à mon expérience personnelle. Et je ne parle même pas de l'emploi du terme "subir" pour parler d'une évaluation.
Sinon, je plussoie Ruthven (ainsi que HaineLM666 et SdeSS )
Sinon, je plussoie Ruthven (ainsi que HaineLM666 et SdeSS )
- InvitéInvité
Dans la mesure où tu distingues, certes de façon très caricaturale, deux façons d'enseigner, j'ai tendance à penser que non...
- Mélusine2Niveau 10
NLM76 a écrit:Ah. Un fil divertissant !
Oui; il y a une seule manière d'enseigner. La mienne. Tous les autres ont tort, ces malheureux qui n'ont pas accès à la Vérité.
Mais comment opères-tu pour que la Vérité soit ascendante ?
- TangledingGrand Maître
Tout dépend du résultat escompté.
En tout cas ce que j'ai redécouvert, c'est que mon enseignement ne tient que par la qualité des œuvres que je fais étudier.
J'ai inscrit ma bonne 5e à un concours de lecture de polar de jeunesse pour dépanner une collègue, et je n'ai pas reconnu ma classe tellement les boulets ont foutu le dawa tout le temps que ces nanars leur étaient présentés.
On était 3 adultes autour de la classe.
Ce matin je lis l'explicit de Comment Wang-Fô fut sauvé à mon autre 5e de surexcités avant une évaluation, et silence absolu...
La "littérature"' de jeunesse c'est un aller simple pour l'Apocalypse en fait.
En tout cas ce que j'ai redécouvert, c'est que mon enseignement ne tient que par la qualité des œuvres que je fais étudier.
J'ai inscrit ma bonne 5e à un concours de lecture de polar de jeunesse pour dépanner une collègue, et je n'ai pas reconnu ma classe tellement les boulets ont foutu le dawa tout le temps que ces nanars leur étaient présentés.
On était 3 adultes autour de la classe.
Ce matin je lis l'explicit de Comment Wang-Fô fut sauvé à mon autre 5e de surexcités avant une évaluation, et silence absolu...
La "littérature"' de jeunesse c'est un aller simple pour l'Apocalypse en fait.
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"Never complain, just fight."
- Plutôt que de se battre pour des miettes et des contraintes:
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- valleExpert spécialisé
En plus, l'auteur du fil semble identifier la méthode au résultat, en laissant comprendre qu'un cours qui part du détail et qui utilise cette voie ascendante ne peut pas être absolument ennuyeux et inintéressant.Nizab a écrit:Dans la mesure où tu distingues, certes de façon très caricaturale, deux façons d'enseigner, j'ai tendance à penser que non...
- NLM76Grand Maître
Je préfère la Vérité B, avec Dante.Mélusine2 a écrit:NLM76 a écrit:Ah. Un fil divertissant !
Oui; il y a une seule manière d'enseigner. La mienne. Tous les autres ont tort, ces malheureux qui n'ont pas accès à la Vérité.
Mais comment opères-tu pour que la Vérité soit ascendante ?
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- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- Flo44Érudit
Et bien non, en effet.valle a écrit:En plus, l'auteur du fil semble identifier la méthode au résultat, en laissant comprendre qu'un cours qui part du détail et qui utilise cette voie ascendante ne peut pas être absolument ennuyeux et inintéressant.Nizab a écrit:Dans la mesure où tu distingues, certes de façon très caricaturale, deux façons d'enseigner, j'ai tendance à penser que non...
Point de vue d'une (ex) élève de collège : " les cours où on construit tout en travail de groupe, c'est de la m...."
(Ma fille dans ses oeuvres)
Elle trouvait que les cours les moins ennuyeux ( surtout dans les matières littéraires) étaient ceux où les professeurs racontaient (en histoire par exemple), où expliquaient le cours. Bon, j'imagine que c'était bien fait par les professeurs en question, ce n'est peut-être pas donné à tout le monde.
Pour en revenir au sujet, il n'y a pas UNE bonne méthode. Personnellement, je varie. Parfois c'est plutôt type pédagogie explicite : j'explique un truc simple, on fait un exercice modèle, ils font le même à 2 (ou seuls) et je les aide, puis ils font sans aide, et on recommence sur la notion suivante... Parfois c'est "cours dialogué" puis exercices. Parfois c'est activité de découverte, exercices, cours. Parfois c'est travail de groupe et synthèse (pour les révisions des années précédentes surtout).
J'ai arrêté de partir des productions des élèves pour le cours (trop de travail pour moi pour un résultat pas meilleur et mes élèves sont tellement lents pour écrire... que je suis passée aux cours à trous mais ça changera peut-être).
- nicole 86Expert spécialisé
En tant qu'élève ou étudiante mes plus beaux souvenirs de cours sont des cours magistraux, après il nous revenait de mettre en application ce que nous avions reçu. Je venais pour apprendre ce que je ne savais pas, ce que le milieu familial intellectuellement déficient ne pouvait pas me donner et ce que mes camarades ne savaient pas non plus. Mais il y a 60 ans j'étais déjà un dinosaure
- Mélusine2Niveau 10
NLM76 a écrit:Je préfère la Vérité B, avec Dante.Mélusine2 a écrit:NLM76 a écrit:Ah. Un fil divertissant !
Oui; il y a une seule manière d'enseigner. La mienne. Tous les autres ont tort, ces malheureux qui n'ont pas accès à la Vérité.
Mais comment opères-tu pour que la Vérité soit ascendante ?
Vil élitiste, te voilà promis aux enfers, sans blague.
Soyons un peu charitables : non, il n'y a pas une et une seule manière de faire. Ça dépend de l'objectif, du groupe, de l'heure, du jour de la semaine et de la proximité du week-end ou des vacances, ça dépend même de la météo ou de la palpitante question de savoir si X a largué Y : c'est la vie. Non, il n'y a pas de vérité révélée (mille pardons NLM )
Les élèves adorent le magistral qui révèle et raconte, ça a été dit ; un autre jour, une autre heure, il faut les mettre à la tâche. Non, ils ne vont pas "construire leur savoir" sur la poésie médiévale (pas plus que bidouiller tout seuls un théorème) ; oui, s'ils ne sont pas idiots et que le moment (cf supra) s'y prête, ils peuvent se battre un moment seuls avec un texte et en faire quelque chose, qu'il faudra compléter, et c'est un métier. Et c'est tout sauf mécanique.
Je ne sais pas si l'intention de l'initiatrice de ce fil était de troller, ou bien si elle a vraiment pensé découvrir l'eau tiède : en tout cas, un peu d'humilité ne nuit pas. On bricole, on s'adapte, et c'est un art qui a ses réussites et ses échecs, à peu près quoi qu'on fasse. Penser détenir "la" solution est la meilleure façon de s'y planter.
- Fesseur ProGuide spirituel
Et bien !Doctoresse a écrit:Je fais cours en partant du plus infime détail (ressenti des élèves, détail d'une image ou d'un texte, etc. ), j'opère ensuite une consolidation progressive qui se conclut par une synthèse. C'est une méthode ascendante qui fait de l'élève acteur de son accès au savoir.
Bravo à toi !
Sinon, moi je fais cours comme un vieux.
_________________
Pourvu que ça dure...
- Fires of PompeiiGuide spirituel
Moi je prends un fouet, je crie "apprends tes leçons, gueux !" et je frappe à l'occasion pour l'exemple. C'est une méthode assez efficace. Je ne sais pas si c'est moderne ou ancien.
_________________
Je ne dirai qu'une chose : stulo plyme.
- CathEnchanteur
Fais une place. Et file un peu ton paquet.Ruthven a écrit:
- SisypheHabitué du forum
Fires of Pompeii a écrit:Moi je prends un fouet, je crie "apprends tes leçons, gueux !" et je frappe à l'occasion pour l'exemple. C'est une méthode assez efficace. Je ne sais pas si c'est moderne ou ancien.
L'oreille du garçon est dans son dos, disait Pline l'Ancien. Il entend quand on le frappe.
- valleExpert spécialisé
Je viens de comprendre que Néoprofs, l'ÉN, l'UE, tout, existe uniquement afin que j'aie pu lire ce fragment de Vrai et de Réel qui a pris forme pour donner sens à ma vie.Fires of Pompeii a écrit:Moi je prends un fouet, je crie "apprends tes leçons, gueux !" et je frappe à l'occasion pour l'exemple. C'est une méthode assez efficace. Je ne sais pas si c'est moderne ou ancien.
Humblement, merci. Merci a l'iniciateur du fil qui connait évidemment les profondeurs de l'Existence et qui a pu déclencher cette Révélation à partir d'un post en apparence trolleur ou absurde.
- User20159Esprit éclairé
Doctoresse a écrit:Je fais cours en partant du plus infime détail (ressenti des élèves, détail d'une image ou d'un texte, etc. ), j'opère ensuite une consolidation progressive qui se conclut par une synthèse. C'est une méthode ascendante qui fait de l'élève acteur de son accès au savoir.
ça + le titre du fil et je crois que je suis mort de rire jusqu'aux vacances...
Ha@_x, méthode descendante.
- LouisBarthasExpert
Non, non. Moi, l'esprit critique je l'avais déjà à l'école primaire. Et ça mouftait pas à cette époque, dans les années 60 : aucun débat, aucune discussion en classe. On avait peur de faire du bruit en déplaçant la chaise. Mais quand le maître nous interrogeait, et que nous levions le doigt sans un mot, la leçon devenait très vivante. Et quand il lisait nos rédactions à haute voix, c'était souvent plein d'inventivité, de style et de drôlerie. Et nous étions nombreux de familles modestes.Doctoresse a écrit:... l'esprit critique sur le monde on l'a peut-être osé plus tard vers la fac....
Le savoir venait d'en haut, mais nous le faisions très bien remonter.
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Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde ne se défasse. - Albert Camus
Aller apprendre l'ignorance à l'école, c'est une histoire qui ne s'invente pas ! - Alexandre Vialatte
À quels enfants allons-nous laisser le monde ? - Jaime Semprun
Comme si, tous ceux qui n'approuvent pas les nouveaux abus étaient évidemment partisans des anciens. - Edmund Burke
Versaillais de droite et Versaillais de gauche doivent être égaux devant la haine du peuple. - Manifeste des proscrits de la Commune
- ErgoDevin
Et grâce à toi, nous allons pouvoir supprimer des fonctionnaires en licenciant tous les autres enseignants de Lettres de France et de Navarre en te filmant et en transformant ton cours en capsule vidéo.NLM76 a écrit:Ah. Un fil divertissant !
Oui; il y a une seule manière d'enseigner. La mienne. Tous les autres ont tort, ces malheureux qui n'ont pas accès à la Vérité.
De rien, V. Pécresse.
:dehors2:
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"You went to a long-dead octopus for advice, and you're going to blame *me* for your problems?" -- Once Upon a Time
"The gull was your ordinary gull." -- Wittgenstein's Mistress
« Cède, cède, cède, je le veux ! » écrivait Ronin, le samouraï. (Si vous cherchez un stulo-plyme, de l'encre, récap de juillet 2024)
- slynopHabitué du forum
Ha@_x a écrit:Doctoresse a écrit:Je fais cours en partant du plus infime détail (ressenti des élèves, détail d'une image ou d'un texte, etc. ), j'opère ensuite une consolidation progressive qui se conclut par une synthèse. C'est une méthode ascendante qui fait de l'élève acteur de son accès au savoir.
ça + le titre du fil et je crois que je suis mort de rire jusqu'aux vacances...
Ha@_x, méthode descendante.
De mon côté j'applique la méthode chère aux saumons, la méthode remontante.
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"C'est pas moi qu'explique mal, c'est les autres qui sont cons !", Perceval dans Kaamelot.
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