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- JohnMédiateur
La Faculté des Lettres, Langues et Sciences humaines de l’Université du Maine propose, depuis octobre 2004, de préparer à un Master de Lettres, Langues et Civilisation – Spécialité « Littérature pour la Jeunesse ».
L’originalité de cette spécialité est qu’elle est entièrement proposée à distance, via un campus virtuel (internet). La formation s’adresse donc à toute personne intéressée, que ce soit en France métropolitaine, dans les DOM-TOM ou à l’étranger (dès lors qu’elle dispose d’un accès Internet et qu’elle peut passer ses examens in situ).
Le public concerné est un public large, au sein duquel se côtoient des enseignants du premier et du second degré, des bibliothécaires ou aides-bibliothécaires, des documentalistes, des étudiants, des éducateurs, des aides-éducateurs, des libraires… etc.
Cette formation peut, en fonction de la situation du candidat
- attester d’une compétence professionnelle,
- apporter un complément de formation,
- constituer une formation nouvelle.
Il s’agit d’une formation originale et dynamique, tant par son contenu que par sa forme :
- qui tend à développer une culture et une réflexion sur la littérature de jeunesse, sur sa situation dans le champ général de la littérature, et sur son statut d’objet éditorial.
-qui met en contact, notamment grâce aux forums de discussion très actifs, des gens d’horizons différents, issus de secteurs géographiques divers, pour une vraie polyphonie.
Trois orientations professionnelles sont proposées pour ce Master, auxquelles correspondent des Unités d’Enseignement (UE) spécialisées la deuxième année en partenariat avec l’Enssib et l’Institut International Charles-Perrault :
- une orientation « enseignement »
- un parcours « bibliothèque »
- un parcours « édition et librairie ».
Ces enseignements seront dispensés par des professeurs des universités ou maîtres de conférences spécialistes du domaine de la littérature pour la jeunesse et des professionnels du monde de l’édition, de la documentation collective et de l’édition (directeurs de collection, libraires, etc…).
Tous renseignements sur : http://lije.univ-lemans.fr/
L’originalité de cette spécialité est qu’elle est entièrement proposée à distance, via un campus virtuel (internet). La formation s’adresse donc à toute personne intéressée, que ce soit en France métropolitaine, dans les DOM-TOM ou à l’étranger (dès lors qu’elle dispose d’un accès Internet et qu’elle peut passer ses examens in situ).
Le public concerné est un public large, au sein duquel se côtoient des enseignants du premier et du second degré, des bibliothécaires ou aides-bibliothécaires, des documentalistes, des étudiants, des éducateurs, des aides-éducateurs, des libraires… etc.
Cette formation peut, en fonction de la situation du candidat
- attester d’une compétence professionnelle,
- apporter un complément de formation,
- constituer une formation nouvelle.
Il s’agit d’une formation originale et dynamique, tant par son contenu que par sa forme :
- qui tend à développer une culture et une réflexion sur la littérature de jeunesse, sur sa situation dans le champ général de la littérature, et sur son statut d’objet éditorial.
-qui met en contact, notamment grâce aux forums de discussion très actifs, des gens d’horizons différents, issus de secteurs géographiques divers, pour une vraie polyphonie.
Trois orientations professionnelles sont proposées pour ce Master, auxquelles correspondent des Unités d’Enseignement (UE) spécialisées la deuxième année en partenariat avec l’Enssib et l’Institut International Charles-Perrault :
- une orientation « enseignement »
- un parcours « bibliothèque »
- un parcours « édition et librairie ».
Ces enseignements seront dispensés par des professeurs des universités ou maîtres de conférences spécialistes du domaine de la littérature pour la jeunesse et des professionnels du monde de l’édition, de la documentation collective et de l’édition (directeurs de collection, libraires, etc…).
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- NjNiveau 1
Ca me tenterait bien....
D'autres seraient tentés?
D'autres seraient tentés?
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They can't say we never try
- FlofloNiveau 10
Oui, moi aussi mais Le Mans c'est très loin de ....... Marseille !! Même si c'est "entièrement" à distance, les exams sont là-bas ! Et puis vous pensez que ça serait pris en charge dans le cadre de la formation continue ? Parce que c'est plus de 1000€ ! Mais sinon, ça me plairait beaucoup !
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Les mots sont
La voix de l'émotion
Grand Corps Malade
- CarabasVénérable
Ca pourrait m'intéresser (parcours bibliothèque pour moi), mais là, vu que je sors du DUT, je fais un peu une overdose des études et je n'ai pas envie de me replonger dans la rédaction d'un mémoire. Peut-être dans un an ou 2...
- AëmielExpert
ça fait longtemps que je cherche un formation de ce genre. Merci John !! Ca m'intéresse carrément (euphémisme ). Je vais regarder ça de près. Merci !!
edit : raté pour moi cette année, inscription avant le 25 août....
edit : raté pour moi cette année, inscription avant le 25 août....
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Auteur
- minnieExpert
C'est très cher.... déjà que les 500 euros environs de la licence FLE de la Sorbonne nouvelle m'arrêtent...
- AdèleNiveau 6
Décadence, décadence..... :Descartes:
- AëmielExpert
Adèle a écrit:Décadence, décadence..... :Descartes:
pourquoi décadence ?
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Auteur
- AdèleNiveau 6
Parce qu'un master littérature jeunesse, c'est encore une voie poubelle pour des gens inaptes à des études "normales", et que ça ne va pas avoir la moindre valeur.
Rien que le descriptif est plein de vent, alors j'imagine le "contenu". C'est misérable, voilà tout.
Qui a besoin de se pencher sur l'étude approfondie (bac+4 ou 5) d'un livre écrit de manière quasi-indigente pour un public de 0 à 15 ans ? Honnêtement ? C'est n'importe quoi. Du remplissage pour dire qu'en France, il y a un super taux de réussite en master, et que ouais, elle est trop bien la réforme de l'université et qu'on a eu bien raison de la faire.
C'est à boycotter, si on ne veut pas continuer perpétuellement à descendre dans la boue et la médiocrité.
Déjà que les jeunes profs sont issus du système collège unique et ont du mal à comprendre à quel point l'heure est grave, mais là, c'est carrément indécent.
Pourquoi pas un master "tuning", pendant qu'on y est ? Si c'est avoir un master pour avoir un master, là, j'avoue, je suis totalement déconcertée et même carrément très agacée et navrée.
Il y a un moment où il faut arrêter les conneries quand même .
Rien que le descriptif est plein de vent, alors j'imagine le "contenu". C'est misérable, voilà tout.
Qui a besoin de se pencher sur l'étude approfondie (bac+4 ou 5) d'un livre écrit de manière quasi-indigente pour un public de 0 à 15 ans ? Honnêtement ? C'est n'importe quoi. Du remplissage pour dire qu'en France, il y a un super taux de réussite en master, et que ouais, elle est trop bien la réforme de l'université et qu'on a eu bien raison de la faire.
C'est à boycotter, si on ne veut pas continuer perpétuellement à descendre dans la boue et la médiocrité.
Déjà que les jeunes profs sont issus du système collège unique et ont du mal à comprendre à quel point l'heure est grave, mais là, c'est carrément indécent.
Pourquoi pas un master "tuning", pendant qu'on y est ? Si c'est avoir un master pour avoir un master, là, j'avoue, je suis totalement déconcertée et même carrément très agacée et navrée.
Il y a un moment où il faut arrêter les conneries quand même .
- CarabasVénérable
Pas sûr : je vois plus ça comme un complément à une formation déjà solide plutôt que comme aboutissement des études. Un enseignant s'inscrivant à ce type de master a déjà fait ses preuves par ailleurs, par exemple.Adèle a écrit:Parce qu'un master littérature jeunesse, c'est encore une voie poubelle pour des gens inaptes à des études "normales", et que ça ne va pas avoir la moindre valeur.
Pour un bibliothécaire, cela peut être un plus dans son cursus : vu qu'il doit postuler lui-même auprès des bibliothèques, ce type de profil peut retenir l'attention, davantage, en tout cas, qu'un DEA de Lettres... C'est dans cette optique-là que je l'envisageais. On peut le déplorer et préférer la littérature avec un grand L (c'est mon cas, d'ailleurs) mais pragmatisme oblige...
Là, je t'approuve. Mon intérêt s'est refroidi à la lecture de la maquette du master 2. Quasiment pas de contenu et un mémoire professionnel plus ou moins bidon. J'ai pour ma part rédigé 2 mémoires pro, et, rien à faire, je trouve ça bidon. Ca se veut universitaire, ça se veut ancré dans la vie pratique, mais le mélange est bancal... Il faut éviter le descriptif tout en décrivant quand même, tout en analysant... Bref, je n'adhère pas. Le mémoire universitaire "classique" me pose moins de problèmes.Rien que le descriptif est plein de vent, alors j'imagine le "contenu". C'est misérable, voilà tout.
C'est le problème des diplômes qui se veulent professionnalisants. Il faut bien s'immerger dans le côté pratique, mais il faut garder une distance théorique, ce qui donne souvent des cours creux.
Là, c'est peut-être un poil caricatural. S'il y a un certain nombre de livres estampillés "littérature jeunesse" très pauvres tant au niveau de l'histoire qu'à celui du style, d'autres sont réellement de qualité. Le Clan des Otori, par exemple, est un très bon roman d'apprentissage et d'aventures qui vaut bien un bon roman adulte. De plus, je ne trouve pas les textes pour adultes publiés aujourd'hui particulièrement riches et attrayants. Il doit y avoir la même proportion d'inepties en adulte qu'en jeunesse.Qui a besoin de se pencher sur l'étude approfondie (bac+4 ou 5) d'un livre écrit de manière quasi-indigente pour un public de 0 à 15 ans ? Honnêtement ? C'est n'importe quoi.
Etudier de façon diachronique et synchronique les publications à destination de la jeunesse, souligner l'évolution du héros des origines à nos jours, l'usage de la mythologie, la présence ou non de morale, faire des études croisées avec la "vraie" littérature (après tout, on étudie bien le héros aussi, entre autres?), montrer comment des personnages de romans pour adultes sont devenus des héros pour la jeunesse (comme les 3 mousquetaires) et pourquoi, ce que cela signifie sur le statut du lecture, confronter les collections jeunesse d'antan à celles d'aujourd'hui... tout ceci me semble digne d'intérêt. Le programme du master 1 semble répondre à cette optique...
Ce qui me gêne, c'est le côté "professionnalisant" du M2 qui vient bouffer le contenu. Je sais que pour certains, c'est ce qui fera la valeur de ce diplôme. Mais les cours professionnalisants que j'ai pu avoir (les cours techniques exceptés, vraiment utiles), au mieux enfonçaient des portes ouvertes et ne servaient à rien. Je crains le même phénomène ici...
- Pierre_au_carréGuide spirituel
Adèle a écrit:Parce qu'un master littérature jeunesse, c'est encore une voie poubelle pour des gens inaptes à des études "normales", et que ça ne va pas avoir la moindre valeur.
Rien que le descriptif est plein de vent, alors j'imagine le "contenu". C'est misérable, voilà tout.
Qui a besoin de se pencher sur l'étude approfondie (bac+4 ou 5) d'un livre écrit de manière quasi-indigente pour un public de 0 à 15 ans ? Honnêtement ? C'est n'importe quoi. Du remplissage pour dire qu'en France, il y a un super taux de réussite en master, et que ouais, elle est trop bien la réforme de l'université et qu'on a eu bien raison de la faire.
C'est à boycotter, si on ne veut pas continuer perpétuellement à descendre dans la boue et la médiocrité.
Déjà que les jeunes profs sont issus du système collège unique et ont du mal à comprendre à quel point l'heure est grave, mais là, c'est carrément indécent.
Pourquoi pas un master "tuning", pendant qu'on y est ? Si c'est avoir un master pour avoir un master, là, j'avoue, je suis totalement déconcertée et même carrément très agacée et navrée.
Il y a un moment où il faut arrêter les conneries quand même .
En étant faite à distance, c'est plutôt considéré un complément de formation :
pour l'édition, les bibliothèques apparemment, travailler dans une grande librairie...
Des ingénieurs font bien du marketing (ou autre nom barbare) en complément de leur études et ... trouve du boulot grâce à leur connaissance supplémentaire.
A l'heure du diplôme dévalué tout est bon...
- AdèleNiveau 6
Pierre_au_carré a écrit:Adèle a écrit:Parce qu'un master littérature jeunesse, c'est encore une voie poubelle pour des gens inaptes à des études "normales", et que ça ne va pas avoir la moindre valeur.
Rien que le descriptif est plein de vent, alors j'imagine le "contenu". C'est misérable, voilà tout.
Qui a besoin de se pencher sur l'étude approfondie (bac+4 ou 5) d'un livre écrit de manière quasi-indigente pour un public de 0 à 15 ans ? Honnêtement ? C'est n'importe quoi. Du remplissage pour dire qu'en France, il y a un super taux de réussite en master, et que ouais, elle est trop bien la réforme de l'université et qu'on a eu bien raison de la faire.
C'est à boycotter, si on ne veut pas continuer perpétuellement à descendre dans la boue et la médiocrité.
Déjà que les jeunes profs sont issus du système collège unique et ont du mal à comprendre à quel point l'heure est grave, mais là, c'est carrément indécent.
Pourquoi pas un master "tuning", pendant qu'on y est ? Si c'est avoir un master pour avoir un master, là, j'avoue, je suis totalement déconcertée et même carrément très agacée et navrée.
Il y a un moment où il faut arrêter les conneries quand même .
A l'heure du diplôme dévalué tout est bon...
Et c'est là qu'est le pb, justement .
- AdèleNiveau 6
carabas a écrit:Pas sûr : je vois plus ça comme un complément à une formation déjà solide plutôt que comme aboutissement des études. Un enseignant s'inscrivant à ce type de master a déjà fait ses preuves par ailleurs, par exemple.Adèle a écrit:Parce qu'un master littérature jeunesse, c'est encore une voie poubelle pour des gens inaptes à des études "normales", et que ça ne va pas avoir la moindre valeur.
Pour un bibliothécaire, cela peut être un plus dans son cursus : vu qu'il doit postuler lui-même auprès des bibliothèques, ce type de profil peut retenir l'attention, davantage, en tout cas, qu'un DEA de Lettres... C'est dans cette optique-là que je l'envisageais. On peut le déplorer et préférer la littérature avec un grand L (c'est mon cas, d'ailleurs) mais pragmatisme oblige...
Là, je t'approuve. Mon intérêt s'est refroidi à la lecture de la maquette du master 2. Quasiment pas de contenu et un mémoire professionnel plus ou moins bidon. J'ai pour ma part rédigé 2 mémoires pro, et, rien à faire, je trouve ça bidon. Ca se veut universitaire, ça se veut ancré dans la vie pratique, mais le mélange est bancal... Il faut éviter le descriptif tout en décrivant quand même, tout en analysant... Bref, je n'adhère pas. Le mémoire universitaire "classique" me pose moins de problèmes.Rien que le descriptif est plein de vent, alors j'imagine le "contenu". C'est misérable, voilà tout.
C'est le problèmes des diplômes qui se veulent professionnalisants. Il faut bien s'immerger dans le côté pratique, mais il faut garder une distance théorique, ce qui donne souvent des cours creux.
Là, c'est peut-être un poil caricatural. S'il y a un certain nombre de livres estampillés "littérature jeunesse" très pauvres tant au niveau de l'histoire qu'à celui du style, d'autres sont réellement de qualité. Le Clan des Otori, par exemple, est un très bon roman d'apprentissage et d'aventures qui vaut bien un bon roman adulte. De plus, je ne trouve pas les textes pour adultes publiés aujourd'hui particulièrement riches et attrayants. Il doit y avoir la même proportion d'inepties en adulte qu'en jeunesse.Qui a besoin de se pencher sur l'étude approfondie (bac+4 ou 5) d'un livre écrit de manière quasi-indigente pour un public de 0 à 15 ans ? Honnêtement ? C'est n'importe quoi.
De plus, étudier de façon diachronique et synchronique les publications à destination de la jeunesse, souligner l'évolution du héros des origines à nos jours, l'usage de la mythologie, la présence ou non de morale, faire des études croisées avec la "vraie" littérature (après tout, on étudie bien le héros aussi, entre autres?), montrer comment des personnages de romans pour adultes sont devenus des héros pour la jeunesse (comme les 3 mousquetaires) et pourquoi, ce que cela signifie sur le statut du lecture, confronter les collections jeunesse d'antant à celles d'aujourd'hui... tout ceci me semble digne d'intérêt. Le programme du master 1 semble répondre à cette optique...
Ce qui me gêne, c'est le côté "professionnalisant" du M2 qui vient bouffer le contenu. Je sais que pour certains, c'est ce qui fera la valeur de ce diplôme. Mais les cours professionnalisants que j'ai pu avoir (les cours techniques exceptés, vraiment utiles), au mieux enfonçaient des portes ouvertes et ne servaient à rien. Je crains le même phénomène ici...
Je t'approuve dans ton développement sur l'argument littéraire (évolution, mythe, etc...).
Et je suis d'accord, on publie pour les adultes des daubes tout autant démoralisantes .
- Pierre_au_carréGuide spirituel
Adèle a écrit:Pierre_au_carré a écrit:Adèle a écrit:Parce qu'un master littérature jeunesse, c'est encore une voie poubelle pour des gens inaptes à des études "normales", et que ça ne va pas avoir la moindre valeur.
Rien que le descriptif est plein de vent, alors j'imagine le "contenu". C'est misérable, voilà tout.
Qui a besoin de se pencher sur l'étude approfondie (bac+4 ou 5) d'un livre écrit de manière quasi-indigente pour un public de 0 à 15 ans ? Honnêtement ? C'est n'importe quoi. Du remplissage pour dire qu'en France, il y a un super taux de réussite en master, et que ouais, elle est trop bien la réforme de l'université et qu'on a eu bien raison de la faire.
C'est à boycotter, si on ne veut pas continuer perpétuellement à descendre dans la boue et la médiocrité.
Déjà que les jeunes profs sont issus du système collège unique et ont du mal à comprendre à quel point l'heure est grave, mais là, c'est carrément indécent.
Pourquoi pas un master "tuning", pendant qu'on y est ? Si c'est avoir un master pour avoir un master, là, j'avoue, je suis totalement déconcertée et même carrément très agacée et navrée.
Il y a un moment où il faut arrêter les conneries quand même .
A l'heure du diplôme dévalué tout est bon...
Et c'est là qu'est le pb, justement .
Enfin, je disais "dévalué" au sens de "beaucoup d'étudiants l'atteignent", ce qui n'est pas un mal, mais avec la création d'emplois assez faible, tout plus est bon à prendre (inflation scolaire)...
- AëmielExpert
[quote="Adèle"]Parce qu'un master littérature jeunesse, c'est encore une voie poubelle pour des gens inaptes à des études "normales", et que ça ne va pas avoir la moindre valeur. quote]
je vois ça davantage comme un complément de formation, et je suis plutôt d'accord sur le fait que le diplôme en soi n'apportera pas grand chose. Ca s'appellerait "cycle de conférences" que ça m'intéresserait tout pareil.
Pour le reste, je ne m'engagerai pas dans le débat : les jugements à l'emporte pièce ont une légère tendance à m'agacer.
je vois ça davantage comme un complément de formation, et je suis plutôt d'accord sur le fait que le diplôme en soi n'apportera pas grand chose. Ca s'appellerait "cycle de conférences" que ça m'intéresserait tout pareil.
Pour le reste, je ne m'engagerai pas dans le débat : les jugements à l'emporte pièce ont une légère tendance à m'agacer.
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Auteur
- AdèleNiveau 6
Ce n'est pas un jugement à l'emporte-pièce, c'est une conviction. Un diplôme au rabais .
M'enfin, je laisse tomber aussi.
M'enfin, je laisse tomber aussi.
- sara0705Niveau 7
Moi j'aurais une question toute simple, sur le diplome en lui-même : j'ai déjà une maîtrise de Lettres Modernes (le vieux truc qui n'existe plus!!!), mais normalement, ça corrextpond à quoi? A un master 1? Donc ça ferait passer directement en Master 2?
Ca m'interesse dans le sens où mon mémoire pro de l'iufm est centré sur la Littérature de jeunesse.
Après, c'est vrai que pour l'enseignement, (si l'on en juge par l'ébauche des nouveaux programmes), la litté jeunesse disparaitrait, donc....
Ca m'interesse dans le sens où mon mémoire pro de l'iufm est centré sur la Littérature de jeunesse.
Après, c'est vrai que pour l'enseignement, (si l'on en juge par l'ébauche des nouveaux programmes), la litté jeunesse disparaitrait, donc....
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"I don't wanna work today, maybe I just want to stay, just take it easy cause there's no stress"
- Pierre_au_carréGuide spirituel
sara0705 a écrit:Moi j'aurais une question toute simple, sur le diplome en lui-même : j'ai déjà une maîtrise de Lettres Modernes (le vieux truc qui n'existe plus!!!), mais normalement, ça corrextpond à quoi? A un master 1? Donc ça ferait passer directement en Master 2?
Ca m'interesse dans le sens où mon mémoire pro de l'iufm est centré sur la Littérature de jeunesse.
Après, c'est vrai que pour l'enseignement, (si l'on en juge par l'ébauche des nouveaux programmes), la litté jeunesse disparaitrait, donc....
Ah non, si la maîtise n'existe plus, il faudrait tout recommençer depuis le Bac !!!
Non bien sûr, il faudrait demander une équivalence de ton Master 1...
PS pour Adèle, qui te dit que la FNAC ou les grandes enseignes de ce genre ne recherche pas des spécialistes " littérature jeunesse" ?
Ce qui pourrait justifier une formation professionnalisante.
Il y a des noms de formations scientifiques qui doivent prêter à rire, et pourtant qui donnent du boulot !!!
- JohnMédiateur
On peut s'inscrire directement avec un master 1 de Lettres modernes, pas besoin d'équivalence.
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"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- AdèleNiveau 6
Pierre_au_carré a écrit:sara0705 a écrit:Moi j'aurais une question toute simple, sur le diplome en lui-même : j'ai déjà une maîtrise de Lettres Modernes (le vieux truc qui n'existe plus!!!), mais normalement, ça corrextpond à quoi? A un master 1? Donc ça ferait passer directement en Master 2?
Ca m'interesse dans le sens où mon mémoire pro de l'iufm est centré sur la Littérature de jeunesse.
Après, c'est vrai que pour l'enseignement, (si l'on en juge par l'ébauche des nouveaux programmes), la litté jeunesse disparaitrait, donc....
Ah non, si la maîtise n'existe plus, il faudrait tout recommençer depuis le Bac !!!
Non bien sûr, il faudrait demander une équivalence de ton Master 1...
PS pour Adèle, qui te dit que la FNAC ou les grandes enseignes de ce genre ne recherche pas des spécialistes " littérature jeunesse" ?
Ce qui pourrait justifier une formation professionnalisante.
Il y a des noms de formations scientifiques qui doivent prêter à rire, et pourtant qui donnent du boulot !!!
Oui, je peux imaginer ça, mais j'ai en fait très très peur que ce master puisse servir de pont vers l'enseignement, et ça m'affole .
- AëmielExpert
là où je te rejoins, adèle, c'est que je pense que ce master n'a rien à voir avec l'enseignement. Ceci dit, avec d'en arriver à ce master, il faut bien avoir fait des études de lettres classiques ou modernes, non ?
Par contre, laisse-moi le droit de m'intéresser à la littérature jeunesse sans me condamner. Il est là, le jugement à l'emporte pièce.
Par contre, laisse-moi le droit de m'intéresser à la littérature jeunesse sans me condamner. Il est là, le jugement à l'emporte pièce.
_________________
Auteur
- Pierre_au_carréGuide spirituel
Adèle a écrit:Pierre_au_carré a écrit:sara0705 a écrit:Moi j'aurais une question toute simple, sur le diplome en lui-même : j'ai déjà une maîtrise de Lettres Modernes (le vieux truc qui n'existe plus!!!), mais normalement, ça corrextpond à quoi? A un master 1? Donc ça ferait passer directement en Master 2?
Ca m'interesse dans le sens où mon mémoire pro de l'iufm est centré sur la Littérature de jeunesse.
Après, c'est vrai que pour l'enseignement, (si l'on en juge par l'ébauche des nouveaux programmes), la litté jeunesse disparaitrait, donc....
Ah non, si la maîtise n'existe plus, il faudrait tout recommençer depuis le Bac !!!
Non bien sûr, il faudrait demander une équivalence de ton Master 1...
PS pour Adèle, qui te dit que la FNAC ou les grandes enseignes de ce genre ne recherche pas des spécialistes " littérature jeunesse" ?
Ce qui pourrait justifier une formation professionnalisante.
Il y a des noms de formations scientifiques qui doivent prêter à rire, et pourtant qui donnent du boulot !!!
Oui, je peux imaginer ça, mais j'ai en fait très très peur que ce master puisse servir de pont vers l'enseignement, et ça m'affole .
Avec une Licence de Maths, je peux passer aussi un CAPES de Lettres, pourrais-je pour autant l'avoir ?
- sara0705Niveau 7
Pierre_au_carré a écrit:Adèle a écrit:Pierre_au_carré a écrit:sara0705 a écrit:Moi j'aurais une question toute simple, sur le diplome en lui-même : j'ai déjà une maîtrise de Lettres Modernes (le vieux truc qui n'existe plus!!!), mais normalement, ça corrextpond à quoi? A un master 1? Donc ça ferait passer directement en Master 2?
Ca m'interesse dans le sens où mon mémoire pro de l'iufm est centré sur la Littérature de jeunesse.
Après, c'est vrai que pour l'enseignement, (si l'on en juge par l'ébauche des nouveaux programmes), la litté jeunesse disparaitrait, donc....
Ah non, si la maîtise n'existe plus, il faudrait tout recommençer depuis le Bac !!!
Non bien sûr, il faudrait demander une équivalence de ton Master 1...
PS pour Adèle, qui te dit que la FNAC ou les grandes enseignes de ce genre ne recherche pas des spécialistes " littérature jeunesse" ?
Ce qui pourrait justifier une formation professionnalisante.
Il y a des noms de formations scientifiques qui doivent prêter à rire, et pourtant qui donnent du boulot !!!
Oui, je peux imaginer ça, mais j'ai en fait très très peur que ce master puisse servir de pont vers l'enseignement, et ça m'affole .
Avec une Licence de Maths, je peux passer aussi un CAPES de Lettres, pourrais-je pour autant l'avoir ?
T'aurais peut-être plus de chance que quelqu'un avec une licence de Lettres pour passer le CAPES de Maths!!!! :lol!:
Après tout, on pouvait bien passer d'une première S à une TL, et non l'inverse!
_________________
"I don't wanna work today, maybe I just want to stay, just take it easy cause there's no stress"
- Pierre_au_carréGuide spirituel
Statistiquement, mais je ne vais pas essayer :lol:
- pimousseNiveau 10
Adèle a écrit:Parce qu'un master littérature jeunesse, c'est encore une voie poubelle pour des gens inaptes à des études "normales", et que ça ne va pas avoir la moindre valeur.
Rien que le descriptif est plein de vent, alors j'imagine le "contenu". C'est misérable, voilà tout.
Qui a besoin de se pencher sur l'étude approfondie (bac+4 ou 5) d'un livre écrit de manière quasi-indigente pour un public de 0 à 15 ans ? Honnêtement ? C'est n'importe quoi. Du remplissage pour dire qu'en France, il y a un super taux de réussite en master, et que ouais, elle est trop bien la réforme de l'université et qu'on a eu bien raison de la faire.
C'est à boycotter, si on ne veut pas continuer perpétuellement à descendre dans la boue et la médiocrité.
Déjà que les jeunes profs sont issus du système collège unique et ont du mal à comprendre à quel point l'heure est grave, mais là, c'est carrément indécent.
Pourquoi pas un master "tuning", pendant qu'on y est ? Si c'est avoir un master pour avoir un master, là, j'avoue, je suis totalement déconcertée et même carrément très agacée et navrée.
Il y a un moment où il faut arrêter les conneries quand même .
Merci merci, ça fait vraiment super plaisir...j'ai fait ce master...mais j'adore perde mon temps bien sûr...
(et j'ai fait aussi une maîtrise FLE : quelle HONTE !!!...)
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