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- ZetitcheurHabitué du forum
Oui se méfier des classements ! À la limite en regarder quelques uns (l’Etudiant, l’Usine Nouvelle…) pour se rendre compte des écoles constamment bien placées, mais aussi pour voir que finalement chaque classement a des critères différents des autres : par ex l’Usine Nouvelle a tendance à classer vers le haut des écoles avec pour critère le salaire moyen des diplômés à la sortie, alors que le niveau académique n’est pas le meilleur.
Il faut faire aussi la différence entre les écoles accessibles après CPGE, et celles ouvertes dès le bac avec deux années de “prépa intégrée” (large gamme de cours scientifiques) qui sont censées guider les élèves vers une spécialité.
Différence également entre écoles privées parfois très onéreuses, et publiques.
Il faut faire aussi la différence entre les écoles accessibles après CPGE, et celles ouvertes dès le bac avec deux années de “prépa intégrée” (large gamme de cours scientifiques) qui sont censées guider les élèves vers une spécialité.
Différence également entre écoles privées parfois très onéreuses, et publiques.
- NoukaExpert
Merci pour vos réponses.
Mais alors... il doit falloir avoir un décodeur pour interpréter les sous-entendus. Il faut se méfier des classements mais quand même regarder les classements pour savoir quelle école est bien cotée, correctement cotée ou faiblement cotée. Je suis perdue ! Ou alors il faut être initié ou faire partie de ceux qui ont déjà suivi ce genre de parcours pour savoir ce qui ne se dit pas mais se sait ?
Je comprends bien qu'il y a une différence entre les écoles privées (tu as l'argent, tu peux y entrer ou presque), et publiques (moins chères donc) et celles accessibles via une prépa intégrée ou après 2 ou 3 ans de prépa. Mais comment fait-on son choix ? Cela semble évident quand vous en parlez parce que vous connaissez mais vraiment de l'extérieur c'est d'une opacité incroyable et on dirait qu'il faut vraiment savoir lire entre les lignes
Je veux bien de l'aide, vraiment...
Mais alors... il doit falloir avoir un décodeur pour interpréter les sous-entendus. Il faut se méfier des classements mais quand même regarder les classements pour savoir quelle école est bien cotée, correctement cotée ou faiblement cotée. Je suis perdue ! Ou alors il faut être initié ou faire partie de ceux qui ont déjà suivi ce genre de parcours pour savoir ce qui ne se dit pas mais se sait ?
Je comprends bien qu'il y a une différence entre les écoles privées (tu as l'argent, tu peux y entrer ou presque), et publiques (moins chères donc) et celles accessibles via une prépa intégrée ou après 2 ou 3 ans de prépa. Mais comment fait-on son choix ? Cela semble évident quand vous en parlez parce que vous connaissez mais vraiment de l'extérieur c'est d'une opacité incroyable et on dirait qu'il faut vraiment savoir lire entre les lignes
Je veux bien de l'aide, vraiment...
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- ProtonExpert
Je comprends bien qu'il y a une différence entre les écoles privées (tu as l'argent, tu peux y entrer ou presque)
Pas du tout, il y a pas mal de sélectivité. Je pense notamment à l'ESTACA. Et les Polytech ne sont pas très sélectives. Chez nous un élève à 10-11 de moyenne maths phys peut y rentrer assez facilement. Par contre certaines écoles du concours avenir ne leur sont pas accessibles. De plus c'est l'environnement fac pour les polytech ... pas forcément très agréable (anonymat, professeurs qui ne connaissent pas du tout les étudiants, différents intervenants TD / amphi et pas forcément très intéressés par l'enseignement ..., etc). Cela peut être intéressant en cycle ingé, mais le cycle "prépa" (qui n'est pas du tout une vraie prépa qu'on se le dise), c'est une sorte de licence mais avec un promo plus ou moins fixée (on voit plus ou moins les mêmes têtes en TD).
Je conseille plutôt de partir sur une PTSI si on n'a pas un niveau très bon mais que l'on souhaite poursuivre sur une école d'ingé sans être fixé sur la spécialité. Au moins cela laisse deux ans pour y réfléchir et on peut intégrer assez facilement Arts et métiers.
Très bon dossier, tu as les INSA sinon avec admission post bac.
- NoukaExpert
Est-ce que je me trompe en pensant qu'intégrer une école post bac veut dire qu'on a déjà forcément décidé d'un domaine ? Alors que faire une prépa permet de se donner le temps de cibler une école et aussi de voir quel est notre niveau ?
Mon fils se dirige plutôt vers une MPSI. Mais je me demande s'il a le profil prépa car il a un bon niveau mais n'est pas un acharné du travail pour le moment.
Mon fils se dirige plutôt vers une MPSI. Mais je me demande s'il a le profil prépa car il a un bon niveau mais n'est pas un acharné du travail pour le moment.
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- ProtonExpert
Les INSA sont assez généralistes. Au contraire, il en a sous le pied s'il y arrive sans trop travailler MPSI / PCSI ça lui permettra ensuite d'aller au concours CCINP dans lequel il y a beaucoup d'écoles avec différentes spécialités.
- ZetitcheurHabitué du forum
Dsl si tu es encore plus confuse…
Pour les classements j’ai tendance à penser que les critères de L’Etudiant sont plutôt cohérents.
Pour les différences entre écoles, l’ambiance n’est pas la même selon qu’on intègre directement après le bac (et en effet ça n’est pas une prépa type CPGE même si on parle de prépa intégrée, dans les faits c’est juste que ça prépare à la suite, le “cycle ingénieur”), où il y a moins de compétition et une vraie vie de campus avec le milieu associatif souvent très développé, ou qu’on passe par la case CPGE.
Un lycéen avec un très bon dossier peut donc tenter une CPGE ou une école post-bac sélective comme l’Estaca, ou l’une du réseau INSA (avec des différences de sélectivité par ex INSA Lyon sans doute plus dur à obtenir que INSA Rouen).
Avec un dossier un peu moins bon le concours Geipi donne accès a des écoles tout de même bien reconnues comme Polytech dont l’avantage est de permettre au bout de 2 ans de choisir une spé très souplement dans l’ensemble du réseau.
J’ai l’exemple d’une fratrie : l’un est dans un INSA et les deux autres chez Polytech. Les parents n’ont pas l’air inquiets
Pour les classements j’ai tendance à penser que les critères de L’Etudiant sont plutôt cohérents.
Pour les différences entre écoles, l’ambiance n’est pas la même selon qu’on intègre directement après le bac (et en effet ça n’est pas une prépa type CPGE même si on parle de prépa intégrée, dans les faits c’est juste que ça prépare à la suite, le “cycle ingénieur”), où il y a moins de compétition et une vraie vie de campus avec le milieu associatif souvent très développé, ou qu’on passe par la case CPGE.
Un lycéen avec un très bon dossier peut donc tenter une CPGE ou une école post-bac sélective comme l’Estaca, ou l’une du réseau INSA (avec des différences de sélectivité par ex INSA Lyon sans doute plus dur à obtenir que INSA Rouen).
Avec un dossier un peu moins bon le concours Geipi donne accès a des écoles tout de même bien reconnues comme Polytech dont l’avantage est de permettre au bout de 2 ans de choisir une spé très souplement dans l’ensemble du réseau.
J’ai l’exemple d’une fratrie : l’un est dans un INSA et les deux autres chez Polytech. Les parents n’ont pas l’air inquiets
- NoukaExpert
Zetitcheur a écrit:Dsl si tu es encore plus confuse…
Pour les classements j’ai tendance à penser que les critères de L’Etudiant sont plutôt cohérents.
Pour les différences entre écoles, l’ambiance n’est pas la même selon qu’on intègre directement après le bac (et en effet ça n’est pas une prépa type CPGE même si on parle de prépa intégrée, dans les faits c’est juste que ça prépare à la suite, le “cycle ingénieur”), où il y a moins de compétition et une vraie vie de campus avec le milieu associatif souvent très développé, ou qu’on passe par la case CPGE.
Un lycéen avec un très bon dossier peut donc tenter une CPGE ou une école post-bac sélective comme l’Estaca, ou l’une du réseau INSA (avec des différences de sélectivité par ex INSA Lyon sans doute plus dur à obtenir que INSA Rouen).
Avec un dossier un peu moins bon le concours Geipi donne accès a des écoles tout de même bien reconnues comme Polytech dont l’avantage est de permettre au bout de 2 ans de choisir une spé très souplement dans l’ensemble du réseau.
J’ai l’exemple d’une fratrie : l’aîné est dans un INSA et les deux suivants chez Polytech. Les parents n’ont pas l’air inquiets
Voilà comment savoir ça justement ??
Et les écoles post bac sont sur dossier ? Sur concours ? Ou ça dépend lesquelles ?
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En disponibilité
- chmarmottineGuide spirituel
Les INSA sont globalement très sélectifs, encore plus pour Lyon et Toulouse.
En prépa intégrée, il y a aussi les prépa INP :
https://www.la-prepa-des-inp.fr/
Et pour la chimie, les CPI :
https://20ecolesdechimie.com/les-classes-preparatoires-integrees/
Je trouve assez juste l'idée que la cpge permet de ne pas se spécialiser juste après le BAC. C'est vrai aussi pour les prépa INP qui mènent à certaine écoles du concours CCINP.
Je dirais aussi qu'il ne faut pas se focaliser sur la CPGE MPSI, regarder les écoles accessibles avec les autres CPGE.
https://www.scei-concours.fr/statistiques.php
Un autre aspect si on n'est pas boursier : la gratuité des CPGE publiques puisque c'est en lycée.
En prépa intégrée, il y a aussi les prépa INP :
https://www.la-prepa-des-inp.fr/
Et pour la chimie, les CPI :
https://20ecolesdechimie.com/les-classes-preparatoires-integrees/
Je trouve assez juste l'idée que la cpge permet de ne pas se spécialiser juste après le BAC. C'est vrai aussi pour les prépa INP qui mènent à certaine écoles du concours CCINP.
Je dirais aussi qu'il ne faut pas se focaliser sur la CPGE MPSI, regarder les écoles accessibles avec les autres CPGE.
https://www.scei-concours.fr/statistiques.php
Un autre aspect si on n'est pas boursier : la gratuité des CPGE publiques puisque c'est en lycée.
- ZetitcheurHabitué du forum
Ça dépend des écoles. Il faut creuser, jeter un œil sur leurs sites. Les INSA sont sur dossier (+ entretien en fonction du dossier), les Polytech, l’Estaca par exemple sont sur concours.Nouka a écrit:Zetitcheur a écrit:Dsl si tu es encore plus confuse…
Pour les classements j’ai tendance à penser que les critères de L’Etudiant sont plutôt cohérents.
Pour les différences entre écoles, l’ambiance n’est pas la même selon qu’on intègre directement après le bac (et en effet ça n’est pas une prépa type CPGE même si on parle de prépa intégrée, dans les faits c’est juste que ça prépare à la suite, le “cycle ingénieur”), où il y a moins de compétition et une vraie vie de campus avec le milieu associatif souvent très développé, ou qu’on passe par la case CPGE.
Un lycéen avec un très bon dossier peut donc tenter une CPGE ou une école post-bac sélective comme l’Estaca, ou l’une du réseau INSA (avec des différences de sélectivité par ex INSA Lyon sans doute plus dur à obtenir que INSA Rouen).
Avec un dossier un peu moins bon le concours Geipi donne accès a des écoles tout de même bien reconnues comme Polytech dont l’avantage est de permettre au bout de 2 ans de choisir une spé très souplement dans l’ensemble du réseau.
J’ai l’exemple d’une fratrie : l’aîné est dans un INSA et les deux suivants chez Polytech. Les parents n’ont pas l’air inquiets
Voilà comment savoir ça justement ??
Et les écoles post bac sont sur dossier ? Sur concours ? Ou ça dépend lesquelles ?
Concernant la sélectivité au sein d’un même réseau, les classements publiés dans la presse donnent souvent une idée. Le site de chaque école donne parfois des statistiques.
Dans la mesure du possible, c’est instructif de faire les JPO.
Sur le coût des écoles : il existe des écoles publiques de grande qualité.
- chmarmottineGuide spirituel
Pour avoir une idée de la sélectivité, regarder les taux d'accès sur Parcoursup.
- denis_neoprofsNiveau 5
Je partage. Il ne faut pas se focaliser sur les classements.Zetitcheur a écrit:Oui se méfier des classements ! À la limite en regarder quelques uns (l’Etudiant, l’Usine Nouvelle…) pour se rendre compte des écoles constamment bien placées, mais aussi pour voir que finalement chaque classement a des critères différents des autres : par ex l’Usine Nouvelle a tendance à classer vers le haut des écoles avec pour critère le salaire moyen des diplômés à la sortie, alors que le niveau académique n’est pas le meilleur.
Il faut faire aussi la différence entre les écoles accessibles après CPGE, et celles ouvertes dès le bac avec deux années de “prépa intégrée” (large gamme de cours scientifiques) qui sont censées guider les élèves vers une spécialité.
Différence également entre écoles privées parfois très onéreuses, et publiques.
Celui de l'usine nouvelle est sans doute le pire. Plusieurs écoles parmi les meilleures en France n'y figurent même pas (Télécom Paris, Les ponts et chaussées, Ensta Paris). Esilv devant espci ou supaero, du grand n'importe quoi.
Les moins pire (un classement des classements :-)) : daur, figaro, puis celui de l'étudiant.
- denis_neoprofsNiveau 5
Quelque soit le chemin, il y a un moment ou on se spécialise. Le problème est quand. (Ingénieur généraliste, ça n'existe pas :-))Nouka a écrit:Est-ce que je me trompe en pensant qu'intégrer une école post bac veut dire qu'on a déjà forcément décidé d'un domaine ? Alors que faire une prépa permet de se donner le temps de cibler une école et aussi de voir quel est notre niveau ?
Et vous avez complétement raison. Certains écoles post bac sont déjà typées, et en prépa intégrée, on est captif. Il faut donc faire un choix dès la terminale. C'est beaucoup moins vrai pour les insas, qui offrent des spécialisations très différentes, mais qui dépendent souvent du classement durant les 2 premières années.
A noter qu'il y a aussi des prépas intégrées pour les écoles centrales (inp toulouse est devenue prépa T2 https://www.inp-toulouse.fr/fr/formations/prepa-t.html, prépa ECL à lyon je crois)
- chmarmottineGuide spirituel
denis_neoprofs a écrit:Quelque soit le chemin, il y a un moment ou on se spécialise. Le problème est quand. (Ingénieur généraliste, ça n'existe pas :-))Nouka a écrit:Est-ce que je me trompe en pensant qu'intégrer une école post bac veut dire qu'on a déjà forcément décidé d'un domaine ? Alors que faire une prépa permet de se donner le temps de cibler une école et aussi de voir quel est notre niveau ?
Et vous avez complétement raison. Certains écoles post bac sont déjà typées, et en prépa intégrée, on est captif. Il faut donc faire un choix dès la terminale. C'est beaucoup moins vrai pour les insas, qui offrent des spécialisations très différentes, mais qui dépendent souvent du classement durant les 2 premières années.
A noter qu'il y a aussi des prépas intégrées pour les écoles centrales (inp toulouse est devenue prépa T2 https://www.inp-toulouse.fr/fr/formations/prepa-t.html, prépa ECL à lyon je crois)
Ah tiens, ce projet a fini par aboutir ?
- MaroussiaHabitué du forum
je n'ai pour ma part que la vision de l'enseignante ayant passé 15 ans devant des classes de MPSI/MP . J'ai vu des étudiants revenir d'une INSA en MPSI car la formation INSA avait été jugée peu stimulante (mais 3 ou 4 cas en tout)
J'ai vu des étudiants de CPGE intégrer des Polytech et nous nous disions que c'était dommage d'avoir fait tout cela pour cela.
Je pense vraiment que si le jeune a la capacité de travail et le niveau pour faire une prépa, même une petite prépa de province, en termes de méthodes et d'acquisitions, la prépa est plus formatrice.
Sur le débat écoles d'ingé privées et publiques, de manière générale, je dirais que le montant de la scolarité est inversement proportionnel à la qualité et la renommée de l'école, et du reste à l'X les élèves sont même payés ( ) . C'est l"inverse dans les écoles de management .
J'ai vu des étudiants de CPGE intégrer des Polytech et nous nous disions que c'était dommage d'avoir fait tout cela pour cela.
Je pense vraiment que si le jeune a la capacité de travail et le niveau pour faire une prépa, même une petite prépa de province, en termes de méthodes et d'acquisitions, la prépa est plus formatrice.
Sur le débat écoles d'ingé privées et publiques, de manière générale, je dirais que le montant de la scolarité est inversement proportionnel à la qualité et la renommée de l'école, et du reste à l'X les élèves sont même payés ( ) . C'est l"inverse dans les écoles de management .
- denis_neoprofsNiveau 5
Maroussia a écrit:
Sur le débat écoles d'ingé privées et publiques, de manière générale, je dirais que le montant de la scolarité est inversement proportionnel à la qualité et la renommée de l'école, et du reste à l'X les élèves sont même payés ( ) . C'est l"inverse dans les écoles de management .
Malheureusement les écoles d'ingénieurs publiques les plus prestigieuses ont désormais des frais (annuels) de scolarité importants (l'X étant un cas à part) :
- Mines de Paris : 3 850
- Centrale Supélec : 3500
- Ponts et Chaussées : 3450
- Télécom Paris : 2900
- Ensta Paris : 2650
- denis_neoprofsNiveau 5
chmarmottine a écrit:denis_neoprofs a écrit:Quelque soit le chemin, il y a un moment ou on se spécialise. Le problème est quand. (Ingénieur généraliste, ça n'existe pas :-))Nouka a écrit:Est-ce que je me trompe en pensant qu'intégrer une école post bac veut dire qu'on a déjà forcément décidé d'un domaine ? Alors que faire une prépa permet de se donner le temps de cibler une école et aussi de voir quel est notre niveau ?
Et vous avez complétement raison. Certains écoles post bac sont déjà typées, et en prépa intégrée, on est captif. Il faut donc faire un choix dès la terminale. C'est beaucoup moins vrai pour les insas, qui offrent des spécialisations très différentes, mais qui dépendent souvent du classement durant les 2 premières années.
A noter qu'il y a aussi des prépas intégrées pour les écoles centrales (inp toulouse est devenue prépa T2 https://www.inp-toulouse.fr/fr/formations/prepa-t.html, prépa ECL à lyon je crois)
Ah tiens, ce projet a fini par aboutir ?
De ce que je sais, aux dernières nouvelles :
- la création d'un institut centrale Toulouse a été rejeté in extremis par l'inpt en juin dernier.
- l'N7 semble vouloir reprendre le projet seule.
- la prépa inpt s'appelle désormais prépa T2. Elle continuerait à alimenter les inp, mais également les écoles centrales, et des écoles toulousaines (Supaéro, Enac, météo, etc.). A voir en 2025 ce qu'il en sera avec la sortie de la première promo.
- MathadorEmpereur
Ces écoles ont en commun de dépendre d'un ministère autre que le MESR.denis_neoprofs a écrit:Maroussia a écrit:
Sur le débat écoles d'ingé privées et publiques, de manière générale, je dirais que le montant de la scolarité est inversement proportionnel à la qualité et la renommée de l'école, et du reste à l'X les élèves sont même payés ( ) . C'est l"inverse dans les écoles de management .
Malheureusement les écoles d'ingénieurs publiques les plus prestigieuses ont désormais des frais (annuels) de scolarité importants (l'X étant un cas à part) :
- Mines de Paris : 3 850
- Centrale Supélec : 3500
- Ponts et Chaussées : 3450
- Télécom Paris : 2900
- Ensta Paris : 2650
On peut y rajouter les écoles qui forment des ingénieurs fonctionnaires: les élèves fonctionnaires sont rémunérés contre engagement à servir l'administration, mais les autres payent des frais qui peuvent atteindre les montants que tu évoques.
_________________
"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- MaroussiaHabitué du forum
les frais évoqués sont certes importants et difficiles à supporter pour les familles mais des écoles bien moins prestigieuses ont des frais de scolarité encore bien plus élevés: Un exemple:une ENSI de province : Cursus Mastère spécialisé Expert(e)en Monétique et Transactions sécurisées Montant des droits : 9000 euros
Et entre 3000 et 4000, on est bien en-dessous des frais des écoles de management ou des Sciences Po.
Et entre 3000 et 4000, on est bien en-dessous des frais des écoles de management ou des Sciences Po.
- MathadorEmpereur
Oui mais aucune école publique, à ma connaissance, ne perçoit de tels frais pour un cursus ingénieur.
Les « mastères spécialisés » sont à part, ils servent de pompe à fric pour soulager la trésorerie des écoles.
Les « mastères spécialisés » sont à part, ils servent de pompe à fric pour soulager la trésorerie des écoles.
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- denis_neoprofsNiveau 5
Tout à fait.Mathador a écrit:Oui mais aucune école publique, à ma connaissance, ne perçoit de tels frais pour un cursus ingénieur.
Les « mastères spécialisés » sont à part, ils servent de pompe à fric pour soulager la trésorerie des écoles.
Les "Ensi de province" (qui dépendent du MESR) pour un cursus ingénieur en formation initiale, coutent 601 euros.
- ZetitcheurHabitué du forum
Les frais de scolarité des écoles publiques post-bac style INSA sont pas mal en-dessous des chiffres cités pour les autres, me semble-t-il.
- Javier70Niveau 5
Bonjour,
@Nouka : c'est bien de se questionner en première pour ton fils, mais encore faudrait-il savoir quelles spécialités il a choisi s'il est dans l’enseignement générale. Est-il en série technologique ?
Car là c'est le flou le plus total.
En plus, il est scolarisé dans un établissement scolaire ? auquel cas, il a au moins un professeur principal à qui il faudrait lui parler du projet du fiston. Dans cet établissement scolaire, il doit bien y avoir chaque année un certain nombre de lycéens qui intègrent soit une cpge, une école d'ingé post bac, etc.
Ensuite, ce qu'il a envie de faire aujourd'hui et dans 2 ou 3 ans, il peut y avoir beaucoup de changements, ce qui est normal, mais d'abord, faut en revenir au début ; quelles spécialités ? niveau de ton fils, tout particulièrement en anglais ?
@Maroussia : Les Mastères Spé sont en effet coûteux, mais c'est une spé à bac + 6 et ils recrutent des bac + 5 donc en particulier des ingé.
@Nouka : c'est bien de se questionner en première pour ton fils, mais encore faudrait-il savoir quelles spécialités il a choisi s'il est dans l’enseignement générale. Est-il en série technologique ?
Car là c'est le flou le plus total.
En plus, il est scolarisé dans un établissement scolaire ? auquel cas, il a au moins un professeur principal à qui il faudrait lui parler du projet du fiston. Dans cet établissement scolaire, il doit bien y avoir chaque année un certain nombre de lycéens qui intègrent soit une cpge, une école d'ingé post bac, etc.
Ensuite, ce qu'il a envie de faire aujourd'hui et dans 2 ou 3 ans, il peut y avoir beaucoup de changements, ce qui est normal, mais d'abord, faut en revenir au début ; quelles spécialités ? niveau de ton fils, tout particulièrement en anglais ?
@Maroussia : Les Mastères Spé sont en effet coûteux, mais c'est une spé à bac + 6 et ils recrutent des bac + 5 donc en particulier des ingé.
- NoukaExpert
Javier70 a écrit:Bonjour,
@Nouka : c'est bien de se questionner en première pour ton fils, mais encore faudrait-il savoir quelles spécialités il a choisi s'il est dans l’enseignement générale. Est-il en série technologique ?
Car là c'est le flou le plus total.
En plus, il est scolarisé dans un établissement scolaire ? auquel cas, il a au moins un professeur principal à qui il faudrait lui parler du projet du fiston. Dans cet établissement scolaire, il doit bien y avoir chaque année un certain nombre de lycéens qui intègrent soit une cpge, une école d'ingé post bac, etc.
Ensuite, ce qu'il a envie de faire aujourd'hui et dans 2 ou 3 ans, il peut y avoir beaucoup de changements, ce qui est normal, mais d'abord, faut en revenir au début ; quelles spécialités ? niveau de ton fils, tout particulièrement en anglais ?
Mon fils est en 1ère générale, avec spécialités maths, PC et SES qu'il va laisser tomber en terminale.
Il a un (très) non niveau général même si la PC est plutôt difficile et il est avec un prof qui note très sévèrement ce qui l'inquiète car sa moyenne est pas top (aux alentours de 14).
Il a un très bon niveau en anglais, il est parti 3 mois à l'étranger l'année dernière.
Et enfin nous ne sommes pas en métropole ce qui fait que c'est assez difficile de trouver les informations sur les écoles de France, d'aller dans des forums, etc. et sa PP, comment dire..., n'est pas compétente en la matière.
Mais je vous remercie, vos réponses m'aident vraiment.
_________________
En disponibilité
- dandelionVénérable
J’étais allée sur forum.prepas.org pour avoir des infos pour ma fille aînée quand nous habitions à l’étranger. On y trouve de bons conseils.
Ma plus jeune est en première également et l’orientation occasionne beaucoup de stress, notamment parce qu’il est difficile d’évaluer le niveau de son enfant.
Ma plus jeune est en première également et l’orientation occasionne beaucoup de stress, notamment parce qu’il est difficile d’évaluer le niveau de son enfant.
- Javier70Niveau 5
Bonjour,
Bon choix de spécialités pour poursuivre dans le scientifique et bon point également pour l’anglais.
Quand tu dis tu n'es pas en métropole, mais tu peux être en Corse, en Guadeloupe, Martinique, la Réunion ou Nouvelle Calédonie et donc dans ces territoires, il y a des cpge. Après si tu es en dehors de tout ça, je comprends que ce soit difficile d'avoir des renseignements.
Quant à sa PP, c'est vrai que maintenant avec cette réforme du bac, les PP sont des profs de lettres ou d'histoire géo... Il faut plutôt demander au prof de maths ou de physique ce qu'il en pense, et lui il devrait avoir des pistes.
Bon choix de spécialités pour poursuivre dans le scientifique et bon point également pour l’anglais.
Quand tu dis tu n'es pas en métropole, mais tu peux être en Corse, en Guadeloupe, Martinique, la Réunion ou Nouvelle Calédonie et donc dans ces territoires, il y a des cpge. Après si tu es en dehors de tout ça, je comprends que ce soit difficile d'avoir des renseignements.
Quant à sa PP, c'est vrai que maintenant avec cette réforme du bac, les PP sont des profs de lettres ou d'histoire géo... Il faut plutôt demander au prof de maths ou de physique ce qu'il en pense, et lui il devrait avoir des pistes.
- ZetitcheurHabitué du forum
Je ne sais pas où vous vivez hors métropole mais il est à noter que le groupe INSA vient d’ouvrir un premier cycle en Martinique :Javier70 a écrit:
Quand tu dis tu n'es pas en métropole, mais tu peux être en Corse, en Guadeloupe, Martinique, la Réunion ou Nouvelle Calédonie et donc dans ces territoires, il y a des cpge. Après si tu es en dehors de tout ça, je comprends que ce soit difficile d'avoir des renseignements.
https://www.martinique.franceantilles.fr/actualite/education/linsa-ouvre-un-premier-cycle-de-formation-dingenieurs-en-martinique-925932.php
“ce premier cycle de formation a pour objectif d'intégrer des étudiants de l'île mais également de la Guadeloupe, de la Guyane et de la zone Caraïbe au sens large. Ils seront recrutés via Parcoursup”
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